Sophie prête à tout pour son mariage (FHH forcée)

Le feu est rouge, il n'y a personne et pourtant j'attends. Je me perd dans mes pensées. Je suis triste au fond de moi. Loulou m'a « abandonné », il est en déplacement pour son boulot alors que notre fille est en vacance de neige avec son école. On attendait cela depuis tellement longtemps ! Se retrouver enfin seuls, Loulou et moi … ça arrive si rarement … et son travail vient tout gâcher.
Je suis triste, mais bon, je comprends. Il travaille tellement dur pour finalement voir ses collègues avoir de l'avancement et pas lui. Il se donne à fond et cette année, il pense que c'est la bonne, son chef le lui a dit. Ce n'était pas le moment de refuser ce déplacement. Pour l'heure je me dirige vers une adresse inconnue, celle de Claire ma « copine » de travail. Elle est enceinte de 5 mois, un ventre bien rond et le moral dans les chaussettes. Ces derniers temps, ses hormones la travaillent, elle alterne régulièrement entre phase d'euphorie et de déprime. A midi elle m'a téléphoné, sa voix était grave. Elle m'a seulement dit … « je sais que ton chéri est parti pour son travail et que t'es toute seule … j'ai besoin d'un service, je … tu peux venir chez moi ce soir ? Tu feras la connaissance de Julien. Dis pas non … s'il te plaît. Je t'envoie mon adresse par texto. ». Avant même d'avoir pu lui répondre quoi que ce soit, elle m'avait raccroché au nez. J'ai senti que c'était important pour elle.
Arrivée chez eux, je retrouve « ma petite Claire », ce beau brin de fille, une petite brune aux yeux pétillant. Comme à l'habitué, je pose une main sur son bidon tout en lui claquant 4 bises sur les joues et lui demandant comment ils vont tous les deux. Elle me répond que tout va bien puis me présente « son Julien ». Ils sont un peu plus jeune que moi, mais l'osmose est bien présente. Nous prenons l'apéritif ; le mojito est assez corsé. Claire descend son jus de pomme d'une seule traite puis s'éclipse et me laisse avec son homme. Il me parle de sa femme qu'il aime plus que tout.
- Ces derniers temps, avec sa grossesse, la vie n'est plus la même. Elle a le moral qui joue aux montagnes russes. Et puis le « petit homme » la chamboule aussi parfois, lui donnant des coups de pied, … elle aime mais ça lui fait mal aussi. Il y a également …
- Doucement Julien. J'ai déjà eu un enfant, je sais ce que sait. Lui dis-je d'un air blasé.
On rigole, il s'amuse de cette situation et me congratule en remerciements pour l'amitié que je voue à sa femme. Il me confirme que je suis sa meilleure amie, sa confidente. Je ne pensais pas qu'elle m'aimait autant que ça. C'est flatteur, je ne la connais pas si bien que ça et pourtant je reste persuadée qu'elle le mériterait grandement. Une résolution de plus à prendre rapidement.
Claire revient, elle est euphorique, je pensais qu'elle s'affairait en cuisine, mais en fait elle était partie se changer. Après un bref échange entre eux, je comprend que la miss est de nouveau partie dans ses délires : madame veut aller en boîte avant même d'aller manger. Je m'en amuse, allant de surprise en surprise. Julien semble surpris, limite choquée de sa demande. A plusieurs reprises il la questionne.
- T'es vraiment sûre de vouloir y aller ? Tout … tout les trois ?

La proposition de sa « Claire adorée » semble le tourmenter.
Ils sont beaux tous les deux, si amoureux l'un de l'autre. Je sais que ça n'a pas toujours été comme ça. Au début de leur mariage, Julien était jaloux. J'ai cru comprendre que la brunette était en couple avec une fille avant lui et … enfin elle ne me l'a jamais vraiment dit mais elle me l'a fait comprendre, à sa façon. Du coup il n'acceptait pas qu'elle ait d'amis (aussi bien masculin que féminin). Depuis l'eau a coulé et … je dois me l'avouer, je pense être sa seule amie.
- T'inquiètes pas Julien, Sophie est une grande fille, je suis sûre qu'elle en a vue d'autre. Et même si elle ne connais pas le « C PLUS » je suis certaine qu'elle va adorer.
- Non mais Claire, c'est pas raisonnable, t'es enceinte jusqu'au bout des ongles et tu veux aller danser en discothèque avec le bruit, le risque d'être bousculé et …
- Sophie, t'inquiètes pas ma chérie, là-bas, rien de tout cela n'arrivera, demande à Julien, … la musique est douce et les gens savent se tenir. Un endroit très sélectif.

Une demi-heure plus tard, nous sommes dans le vestiaire de la soit-disant discothèque. Effectivement c'est très « sélectif », je ne m'attendait pas à cela. Ma « copine Claire », dans son état … je la savais coquine, mais pas à ce point. On est à poil l'une à côté de l'autre et Claire me tend un peignoir, elle a le même.
- Je ne savais pas que vous aimiez les clubs libertins.
- Je sais ma chérie, je ne t'ai pas tout dit sur ma vie. J'ai quelques zones d'ombre qu'il m'est difficile de dévoiler … comme celle-là. Ce soir c'est l'occasion. Eclates-toi si tu veux, ou contentes-toi de regarder. Si c'est ce que tu veux, reste avec nous et si quelqu'un te demande … t'as qu'à refuser poliment, en toute logique la personne s'éclipsera discrètement. C'est la règle.
- Je … j'ai pas envie de paraître vieux jeux, mais, tu comptes faire quoi ici ? Moi j'ai mon Loulou et ça me convient très bien, j'ai pas envie de …
- Chuuut, ne stresse pas. Avant ma grossesse, avec Julien on venait souvent ici. Depuis on a levé le pied. Parfois c'était juste pour mater ou faire l'amour à côté d'un autre couple, rien de plus. OK, j'avoue, il est possible qu'on ait une fois ou deux opéré quelques « mélanges », mais c'est rare. Aujourd'hui, c'est notre anniversaire de mariage, et je voulais le partager avec toi, mais aussi faire plaisir à mon Juju d'amour. Alors on va se trouver un petit salon et t'auras qu'à nous regarder, rien de plus. T'imagines même pas ce que ça me fait de nous savoir épié dans l'intimité. Si t'as envie de te faire plaisir, n'hésites surtout pas … ce sera le meilleur des cadeaux que tu puisses me faire. C'est si excitant de voir une femme se faire plaisir en nous regardant faire l'amour. Avec Loulou vous devriez essayer un jour. Tu verrais à quel point ta libido serait décuplée. Moi, rien que d'y penser … hummm ça me fait des frissons partout.

Je suis à peine rassurée. Ceci dit, Claire a un corps de rêve, même dans son état elle ferait bander la quasi totalité des mecs de l'établissement ; enfin je pense. Le spectacle devrait être des plus esthétique, vues l'Appolon qui lui sert de mari.
D'une main je balaye toutes ces vilaines images qui traversent mon esprit et … j'enfile le pas à Claire qui se dirige déjà vers le bar. Tous les trois nous reprenons un cocktail puis direction le salon n°6. L'ambiance est feutrée, il fait chaud et mon regard est scotché à ce grand lit en plein milieu de la pièce, aux miroirs qui recouvrent les murs et le plafond. Julien pose une main sur mon épaule : je sursaute, ça les fait rire. Claire me met une claque sur les fesses et m'indique d'un geste de la tête un sofa sur le coté qui semble n'attendre que moi. Bientôt la pièce est inondée d'une douce musique … la play-list qu'ils ont choisi par internet juste avant de venir.
Rapidement Claire se retrouve cuisse écartée, allongée sur le dos et Julien la butinant entre ses cuisses. Des soupirs et gémissements emplissent rapidement le petit salon … c'est vrai, Claire avait raison, j'ai le ventre en ébullition, une bouffée de chaleur semble m'envahir et j'éprouve une terrible envie d'écarter les cuisses aussi et de laisser ma main s'égarer vers ma vallée des plaisirs.
Julien semble en forme, il est nu, j'admire la musculature de son dos et … ce bel engin qui pend entre ses jambe annonçant de belles vocalises pour Claire. Quelques instants plus tard, cette dernière est à ses genoux et le suce vigoureusement tout en m'envoyant régulièrement des oeillades coquines. Faisant mine d'entrer dans leur jeu, j'écarte les pans de mon peignoir et lui montre ma main s'activant sur mon sexe, les deux doigts insérés en moi … je ne suis pas aussi prude qu'elle le pensais et oui c'est vrai, les voir ainsi donne du baume au cœur.
Elle s'en amuse et me fait un clin d'oeil avant de se remettre à l'oeuvre, pompant vigoureusement le pieu de chair de son « Juju d'amour ».
Une bonne heure plus tard, je suis toujours en train de mater ces deux pervers. Ils n'ont cessés de copuler ensemble, essayant même de m'initier et de venir sur ce lit immense pour batifoler avec eux. Hors de question ! J'aime trop Loulou pour lui faire ça.
- Heee … en fait je n'y suis pas allé mais Claire est venue à moi et je ne sais pas pourquoi, je n'ai pas résisté. Je l'ai laissé faire, sa tête entre mes cuisses … c'était agréable, je ne pensais pas qu'une femme puisse me procurer autant de plaisir. Bref, OK j'ai succombé mais juste une fois et pas longtemps.
A un moment, ils décident de faire un petit tour aux douches, mais me promettent de revenir sous peu pour le deuxième round. Je rigole à l'idée de leur retour pour de nouveau y aller gaiement. Petit à petit je me laisse à divaguer à ce qu'il vient de se passer … doux rêve et si jouissif.
Le rideau se lève et je poursuis ma caresse. Claire doit être en train de me mater, de savourer ce petit spectacle. « Savoures ma belle, mais cette fois-ci tu n'auras rien. Une fois mais pas deux.»
- Je t'avais bien dit que c'est elle : Sophie, la femme de Franck. Il attend une augmentation depuis deux ans. Un vrai boulet son mec. Là je l'ai envoyé à l'autre bout du pays et sa greluche bouffe de la foufounette quand monsieur travaille.
- Une vrai salope sa garce. Toutes les mêmes. Tu crois qu'elles t'attendent et en fait elles te font cocu.

Horreur, c'est qui ? ! Merde ! Deux voix de mecs et pas du tout celles de Claire et Julien ! Face à moi, deux hommes à poil, se branlant tout en me regardant me doigter, cuisses écartées et yeux fermés, bercé par la musique douce et … attendant mes hôtes.
- Vous, vous êtes qui ? Sortez, c'est un salon privé ici !
- Doucement mignonne. D'abord t'es toute seule, on est juste rentré pour faire la causette et en plus on se connait. Je pense qu'on pourrait faire plus ample connaissance.
- Je … je …
- Moi c'est Eric, je suis le patron de votre mari, vous savez, celui qui bosse dur pendant que sa petite femme s'amuse à se gouiner avec une femme enceinte et son chéri.
- Je ne vous permet pas …

Je me prend une claque de la part du vieux. Eric ayant une petite cinquantaine, l'autre doit bien en avoir 25 de plus. Il est gras et bedonnant alors que le soit-disant Eric a un corps d'athlète et pu le déodorant.
- Doucement grognasse. On parle pas à mon fiston comme ça. S'il te dit que c'est le boss de ton homme, c'est que c'est vrai. Et là, vu ce qu'on voit, je ne pense pas que tu sois en mesure de faire la femme effarouchée.
- Que me voulez-vous ?
- C'est claire non ? Faire de plus ample connaissance. Ça pourrait aider votre mari d'être dans les petits papiers du patron, non ? Papa s'ennuyait chez lui alors je lui ai dit de venir s'amuser un peu avec moi ici et … disons que votre présence me ravie.
- Je … Je ne suis pas celle que … enfin, je …
- Oh ta gueule, tu nous emmerdes. On t'a chopé la main dans le pot de confiture alors maintenant c'est clair : soit tu te laisses faire et on passe un bon moment ensemble, soit les photos qu'on a prise de ta copine en train de te bouffer la chatte et ta petite gueule d'ange ouverte nous chantant la Traviata … Ben ces photos finiront sur le bureau de mon p'tit gars et ton mari va faire la gueule. Tu crois qu'il voudra garder une traînée comme toi ? Allez fais pas ta pucelle, on va jouer un peu ensemble alors profites d'avoir deux beaux gosses comme nous sous la main … et fais pas de chichi.
- …

J'en reste bouche bée. Le gros dégueulasse viens de me sortir cette tirade sans même sourciller et tout en se branlant. Maintenant il est tout prêt de moi et semble vouloir me mettre son gros sexe tout violacé dans la bouche. C'est dégoûtant et écoeurant. Eric renchérie à la suite de son père.
- Juste une petite soirée pour égayer la triste vie de mon papa et personne n'en saura rien. T'a deux secondes pour réfléchir. Soit tu suces papa, soit ton chéri aura nos photos lundi. Ça tombe bien, en rentrant de son déplacement, il doit me faire un compte rendu en salle de réunion avec tous ses collègues … t'en connais certains salope. Ils vont adorer de voir ta petite gueule en train de jouir … t'en pense quoi ?

Impossible de répondre à ça. J'ai pas le choix. Je chiale, les larmes tombent toutes seules et … je peine à ouvrir la bouche face à ce sexe immonde. Un gros truc un peu tordu avec une veine énorme qui coure sur le dessus. Un gros gland hideux … La bite est courte mais le diamètre est impressionnant.
Voyant mon dégoût, Eric prend une ceinture de peignoir et s'en sert pour me bander les yeux. Il me prend les poignet et me les plaque dans le dos tandis que Paul me prend la tête à deux mains et enfonce son chibre immonde dans la bouche que j'ouvre non sans avoir des hauts de cœur.
Je suçotte la bite du vieux tandis que son fiston se plaque à mon dos et me tripote de ses sales mains. Quelques minutes plus tard, je me retrouve attachée bras à la tête de lit, cuisses écartées en l'air et le vieux entre mes cuisses cherchant à me pistonner. Je pleure de plus belle ce qui l'agace et Eric me gifle violemment …
N'arrivant pas à leurs fins, ils finissent par me détacher, me jettent par terre juste devant le rideau de la pièce … j'entends distinctement des personnes circuler dans ce couloir illuminé … Je me sens pourtant bien seule face à ces deux vicieux. Eric s'empale en moi. J'hurle autant de douleur que de surprise. Il me besogne vigoureusement et fini par me jeter par terre. A cet instant le gros s'écroule derrière moi et pose ses mains sur mes fesses, me soulevant vigoureusement et me remettant en place pour recommencer dans la même position mais avec lui. Eric est à genoux à mes côtés. Il prend ma chevelure dans une main et me tire la tête en arrière tout en se rapprochant de mon oreille.
- Tu vas le regarder et lui dire distinctement et fort « s'il vous plaît, baisez-moi, je suis votre salope ».

Nos regards se croisent … c'est lourd et froid. Je comprend immédiatement qu'il va falloir obéir sans rien dire. Heureusement que Claire n'ai pas très loin. Le cauchemar va bientôt se terminer.
Eric me lâche et me donne une petite gifle.
- Vas-y … maintenant.

Il se relève et va s'assoir sur le sofa, se masturbant et nous regardant. Je suis avachie par terre, les coudes au sol, le visage en larme, le cul en l'air, sur mes genoux et les cuisses largement écartées. Le gros lard au regard vicieux tiens sa petite mais non moins épaisse … une bite hideuse. Il est tout rouge et prêt à m'embrocher, n'attendant qu'une chose … ma soumission la plus totale.
Claire et Juju vont arriver, ça va changer la donne. Eric me regarde avec insistance. Je dois y aller ou je vais me reprendre une baffe.
- Vas-y Paul. Défonces-moi, baises-moi, Ce soir je suis ta salope.
- T'as pas dit s'il vous plaît. Recommence !

Fait chier ce Eric. S'il n'était pas le patron de Loulou … je ne peut pas lui faire ça. Il attend cette promotion depuis si longtemps …
Ce soir et c'est tout. Après on ne se reverra plus jamais et Loulou aura son augmentation ?
Jurée poulette.

… j'ai honte. Je baisse la tête. Milles images traversent mon esprit. Loulou, sa chambre d'hôtel, ma fille, ma copine Claire, son mari … ma vie bien rangée. Reprenant ma respiration, je sèche mes larmes et repire à fond, cherchant une once de courage. C'est bientôt fini me dis-je. Me retournant avec le sourire en prime, je regard le visage rougeot de l'affreux père …
- S'il vous plaît monsieur, baisez-moi, ce soir je suis votre salope.

J'ai sorti la tirade sans accroche, d'une seule traite et faisant fi du bruit du rideau qui venait de s'ouvrir. Je me retourne prestement pour voir le visage ébahie de Claire, une main sur sn ventre rond et l'autre sur sa bouche, comme abasourdie de me voir moi, paraissant si prude et … dans cette situation dès qu'ils ont le dos tourné. Julien me regarde avec un grand sourire. Il referme le rideau et tire sa femme en arrière. Je l'entend dire à sa femme qu'ils s'en vont et que c'est mieux comme ça. Tout se passe très vite et avant même que je puisse ouvrir la bouche, Paul me tire à lui et m'enfonce son gourdin jusqu'à la garde. Immédiatement mon corps réagit par un beuglement, suivi d'un mouvement nerveux incontrôlé, mettant ma tête en arrière, ouvrant la bouche et fermant les yeux. Je manque de m'étouffer et quand j'ouvre enfin les yeux, c'est pour voir le rideau tomber sur le visage d'une Claire écoeurée par le spectacle que je lui donne.
Je perd tout espoir de secours de sa part et Paul est déjà en train de se retirer pour mieux me pilonner. Eric choisi cet instant pour se relever et me donner sa queue à sucer : un bel engin long et fin avec le même gland rond et gros que son père.
Le vieux se déchaine en moi tandis qu'Eric me soutient tout en me baisant la bouche. En quelques minutes, le vieux se retire et laisse la place à son fils.
- Ecartes un peu tes fesses, j'arrive pas à trouver ta chatte.
- Regardes fiston, j'vais lui faire un masque de beauté.

Eric rigole de la connerie de son père. Je n'y comprends rien et de toute façon j'ai hâte que ça se termine.
J'écarte mes fesses comme demandé et j'attends qu'il me pénètre. De toute façon après son père, sa queue je ne vais pas trop la sentir. Elle a beau être longue, seule le gland est un peu impressionnant. Pour le reste : un gamin.
Le vieux s'astique devant en moi, il est rouge écrevisse et astique son gland comme on laverait une vieille paire de chaussettes.
Une douleur m'irradie brutalement. Eric vient de m'enculer, m'enfilant d'une traite, sans prévenir, sans préliminaire. Au même moment Paul décharge son foutre sur mon visage. J'hurle de douleur et me jette en avant comme pour déculer de l'ignominie qui vient de m'être faite. Eric me suit et s'écroule sur mon dos. Je suis empalé sur sa colonne de chair, le cul éclaté et douloureux.
- Oh, j'le crois pas, elle est pucelle ?
- J'sais pas papa.
- …
- Tu t'ais déjà faite enculée ?
- Non. J'ai horreur de ça, du coup mon chéri n'insiste pas.
- Tu sais pas s'qu'est bon ma salope. Tu vas voir, Eric a ce qu'il faut pour les pucelles comme toi.

Effectivement, il se retire, la douleur est effroyable, je me recroqueville par terre tandis que le boss fouille dans un petit sac.
Dix minutes plus tard, je suis prise en levrette par le cul, confortablement installée sur le lit tandis que je suce Paul. Ce gros pervers m'a giclé son foutre épais et visqueux en pleine figure mais il n'a toujours pas débandé et je suis sencée lui refaire une beauté. La crème d'Eric fait merveille, je n'ai plus mal et accepte assez facilement cette sodomie endiablée auquel je suis soumise.
Pendant 3 heures, ils vont me baiser, m'enculer et même me prendre en même temps, les deux bites dans le sexe. Une grande première pour moi. Les deux mâles debout, moi les cuisses largement écartées, les genoux à la hauteur de la poitrine, le tout soutenu par les bras fort et puissant du vieux pervers. Quand Eric s'est plaqué à moi, je pensai qu'il me prendrait une fois de plus par le cul. J'ai eu un moment de panique mais ils m'ont écrasé de tous leur poids et il a forcé jusqu'à ce que ça rentre. Vu la quantité de gel qu'ils m'avaient mis auparavant … c'est rentré sans trop de difficulté.
Quand je vais enfin sortir, je risque de marcher en canard. Ils me dérouillent ces lascars …
- Bon, c'est pas tout ça, mais il va être l'heure de partir papa.
- Déjà ? Mais fiston, je … regarde je bande encore !
- Normale papa. Les cachetons, je t'avais dit un seul … t'en a pris deux. C'est bien ça, non ?
- Oui, ben … ça fait si longtemps, oui j'en ai pris deux.
- Tu vas avoir la gaule pendant au moins une à deux heures. Mais là, il va falloir laisser partir notre amie. Demain son homme va rentrer et il doit trouver sa petite femme en pleine forme.
- Fais chier. Pour une fois que je baise pas une vieille pute. Celle-là elle me plait bien fiston.
- T'inquiètes pas papa. Le mois prochain j'envoie son mari une semaine en Pologne pour négocier un contrat. Le gamin va prendre du galon et je vais lui filer ce fameux poste qu'il attend depuis deux ans. Donc Si le cocu est en Pologne … sa grognasse va pouvoir venir chez nous pour nous satisfaire.
- Quoi ? Non mais ça va pas ! On avait dit juste une fois ! Hors de question !
- Tu préfères que je lui montre les photos de tout à l'heure ? Regarde, depuis j'en ai pris d'autres. Là c'est quand on t'a attaché les chevilles au lit et que papa t'a défoncé le cul … regarde ta tête, t'as vu la belle grimace ? Et là c'est quand t'a jouie avec la main de papa dans ta chatte. Là c'est toi qui bouge en amazone sur papa … t'as l'air de prendre ton pied sur sa grosse bitte … Tu veux vraiment que je montre tout ça à tout le monde en salle de réunion ? Les collègues vont se marrer. C'est Sébastien qui est votre voisin je crois … tu penses qu'il continuera à te dire bonjour tous les matins comme avant ?

Le piège est refermé, je ne me détacherai plus jamais de l'emprise de ces deux gros pervers.



EPILOGUE
Trois ans plus tard, Loulou passe son temps dans les avions, allant d'un pays à l'autre. Une semaine sur trois il est absent de son foyer tandis que sa petite femme adorée se transforme. Une heure après le départ de son homme, un taxi attend devant sa porte. Elle monte dedans et ce dernier la redéposera 7 jours plus tard au même endroit. Généralement elle est nue sous son imper, des piercing aux seins et le dos couver de tatouages. Son homme n'a pas trop compris les changements chez sa femme.
Eric et Paul ne s'amusent même plus avec elle, ils laissent l'affaire à des professionnels. En effet, chaque semaine sabatique comme aiment à plaisanter les deux pervers, « Chienne Sophie » est leur chose qu'ils livrent à des acteurs porno, tournant même parfois quelques scènes de films. Elle est généralement prise en double ou se gougnotte avec quelques belles actrices. Là ils la préparent psychologiquement à passer un nouveau cap. Jusqu'à maintenant elle avait encore quelques gestes ou pensées de rébellion, mais ils arrivent au bout de son dressage et elle est prête à tout accepter, y compris de tourner dans un chenil. Une grosse production japonaise a fait cette demande assez spéciale et elle en sera la vedette. Les athlètes sont eux aussi en formation et le spectacle se prépare. Chienne Sophie méritera enfin son nom d'actrice, elle en retirera très certainement une certaine orgueil plus tard. Pour l'heure, Eric et Paul se font un fric monstre avec l'ensemble des films tournés par elle.
Published by magmeld
4 years ago
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yoyo-re974 8 months ago
wouaou très belle histoire bien bandante , j'ais imaginé ma petite femme d'amour entre les mains d'Eric et Paul hummmm
magmeld
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POUFFIASSELOVER
POUFFIASSELOVER 3 years ago
hummm
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jul39
jul39 3 years ago
tres belle histoire...
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ccandau
ccandau 3 years ago
histoire superbe et excitante
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magmeld
magmeld Publisher 3 years ago
Merci beaucoup pour ce commentaire. Merci.
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fire6395
fire6395 3 years ago
Bravo, beau récit , c'est fluide , ça se lit bien et ça fait bien durcir l'engin.
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seniorgirondin3374
Très excitant...j'adorerai avoir une partenaire telle que celle-ci et la partager avec tous les mâles qui auraient envie de la posséder...
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Asmodeus_seed
Asmodeus_seed 3 years ago
superbe
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devintaylor
devintaylor 4 years ago
Très bon, ça !
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magmeld
magmeld Publisher 4 years ago
to fisted69 : ... et pourquoi pas ?
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fisted69 4 years ago
Très bien écrit Superbe histoire à rebondissements imprévus... on en veut encore!
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caso29
caso29 4 years ago
Bravo histoire hyper bandante ?
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ludovic66 4 years ago
bravo
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freaulu 4 years ago
Un grand fan
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