Non-poème languissant
Cette bourrasque infernale emportant mes défenses
Je voudrais l'éviter, la parer, lui hurler de s'en aller…
Ô comme je voudrais pouvoir être à genoux sans crainte,
Pouvoir avoir envie de ta queue dégoulinante
Pouvoir aimer ton suc dans ma bouche frémissante
Pouvoir te laisser cogner ma glotte honteuse et tendre
De ton gland turgescent devant mes seins bouillants
Comme je voudrais pouvoir hurler le plaisir qui me ronge
Etre prise par les cheveux dans la fièvre d'un songe
Juste être pliée en deux par ta main bienveillante
Juste être portée jusqu'à la renaissance
Je voudrais que ton membre empale mes reins
Avec autant d'intransigeance que sa main sur mes plaies
Que tes baisers referment les stigmates du passé
Que tes bras accompagnent ma danse de jouissance
Je voudrais que ce soit long, lent, languissant
Je voudrais gémir , pleurer, râler longtemps
Je voudrais devenir une boule de désir
Une chienne enfiévrée soumise à ton empire
Monter, redescendre en une folle vague
M'accrocher aux draps et oublier le temps
Oublier l'espace, oublier les traces
Imprimées dans ma chair et dans mon cœur d'enfant.
Mais tu passes trop loin de mon radeau sauvage
Tu allumes un feu et me laisses le regarder
Le laisse se consumer sans espoir de remède
Autre que ta main, ta bouche et ton mat fier….
Aborde moi encore, étrille mon flanc tremblant
Mords mes lèvres, aspire ma langue, Aspire mon bouton
Masse mon étoile, rentre dedans, empale moi
Ne me laisse pas le choix. Ne me rends pas à la mer.
Je voudrais l'éviter, la parer, lui hurler de s'en aller…
Ô comme je voudrais pouvoir être à genoux sans crainte,
Pouvoir avoir envie de ta queue dégoulinante
Pouvoir aimer ton suc dans ma bouche frémissante
Pouvoir te laisser cogner ma glotte honteuse et tendre
De ton gland turgescent devant mes seins bouillants
Comme je voudrais pouvoir hurler le plaisir qui me ronge
Etre prise par les cheveux dans la fièvre d'un songe
Juste être pliée en deux par ta main bienveillante
Juste être portée jusqu'à la renaissance
Je voudrais que ton membre empale mes reins
Avec autant d'intransigeance que sa main sur mes plaies
Que tes baisers referment les stigmates du passé
Que tes bras accompagnent ma danse de jouissance
Je voudrais que ce soit long, lent, languissant
Je voudrais gémir , pleurer, râler longtemps
Je voudrais devenir une boule de désir
Une chienne enfiévrée soumise à ton empire
Monter, redescendre en une folle vague
M'accrocher aux draps et oublier le temps
Oublier l'espace, oublier les traces
Imprimées dans ma chair et dans mon cœur d'enfant.
Mais tu passes trop loin de mon radeau sauvage
Tu allumes un feu et me laisses le regarder
Le laisse se consumer sans espoir de remède
Autre que ta main, ta bouche et ton mat fier….
Aborde moi encore, étrille mon flanc tremblant
Mords mes lèvres, aspire ma langue, Aspire mon bouton
Masse mon étoile, rentre dedans, empale moi
Ne me laisse pas le choix. Ne me rends pas à la mer.
5 years ago