Travail à domicile
C’est l’exode ! Une véritable marée humaine vient de quitter la capitale. Je suis sûre que vous avez tous vu ces images de longues files de voitures s’étirant lentement en direction des quatre points cardinaux comme une gigantesque toile d’araignée. Au petit matin, les survivants célébraient la fête de la Toussaint dans un silence de mort.
Loin de me déprimer, cet exile volontaire m’a rendu plutôt joyeuse. Je ne suis pas misanthrope, non, pas vraiment ; ce qui a changé subitement mon humeur chagrine c’est l’annonce du départ de ma voisine. Ne vous méprenez pas, je l’aime beaucoup. C’est une charmante grand-mère qui ne quitte son appartement qu’une ou deux fois par an( généralement pour les fêtes de Noël et celles de Pâques) en me demandant de m’occuper de ses pots de géranium sur son balcon. Voici mon plan diabolique : j’allai transformer pour une petite semaine son trois pièces en charmant pied à terre pour recevoir quelques amis entre 5 et 7. J’écris « amis » mais, pour cette occasion unique, je devrais plutôt parler de clients. La plupart de ceux que je qualifie d’amis étant bloqués dans leur foyer, il me fallait bien trouver un stratagème pour en recevoir de nouveaux. Bref, après avoir soigneusement rangé et caché les affaires personnelles de ma petite mémé, j’aménageai mon nid douillet. Quelques annonces sur des sites spécialisés et vingt-quatre heures plus tard, je recevais mon premier amateur. Je vais tenter de vous raconter toutes mes aventures (ou presque) dans un ordre chronologique.
En ouvrant la porte cet après-midi là, je décidai en une fraction de seconde que le jeune garçon que j’avais devant moi ne franchirai pas le seuil de l’appartement. D’aspect assez négligé, en jean et baskets sales, il souriait comme un imbécile. Pour qui me prenait-il ? Je l’expédiai manu militari en lui affirmant qu’il s’était trompé d’adresse.
-M’ enfin, bafouilla-t-il, c’est bien le 06……..Je vous ai téléphoné.
-Non, désolée, je n’ai pas de portable.
Il fit demi-tour et reprit l’ascenseur en maugréant. Mon nouveau travail à domicile débutait bien !
Heureusement, à la fin de l’après-midi, mon premier vrai client se présenta. C’était un monsieur d’un certain âge (comme on nomme élégamment ce genre de personne pour ne pas les appeler les vieux) avec un casque de cheveux blancs.Il portait un costume trois-pièces très à la mode dans les années soixante. Je compris assez vite grâce à ses mouvements un peu gauches et à sa façon de baisser souvent les yeux que c’était la toute première fois qu’il prenait le risque de rencontrer une femme comme moi. J’essayai de le détendre du mieux que je pouvais en lui offrant un café et en lui parlant de la pluie et du beau temps. Pour la rencontre, il m’avait demandé de me vêtir uniquement de cuir ; j’avais obéi à ses désirs. Une petite jupe courte, un blouson, des bas et escarpins noirs. Ses yeux ne cessaient de lorgner du côté de ma jupe. Je croisai plusieurs fois les jambes pour ajouter un peu plus de piment au spectacle. Quand je décidai d’ôter mon blouson, révélant un petit haut en dentelle, il respira un peu plus fort et se mit à rougir. C’était vraiment touchant. Je dirai même attendrissant. Mais, j’avais un travail à faire et ce n’était certainement pas le moment de s’attendrir. Alors qu’il développait une théorie sur la Chine et le coronavirus, je m’approchai doucement de lui, lui pris la main et la posai sur mon genou. Elle resta quelques secondes immobile, sans vie, puis, s’agita un peu. Ses doigts encore un peu fébriles firent un léger mouvement et se mirent à caresser le nylon. Néophyte mon petit monsieur ? Sûrement pas ! La main redescendit lentement jusqu’à mes chevilles en toute légèreté et réelle maîtrise. Un plaisir ! Ce fut à mon tour d’être troublée ! Je me penchai vers lui pour lui permettre de m’embrasser. Il ne se fit pas prier. Ses lèvres chaudes se posèrent, toujours en toute délicatesse, dans mon cou puis sur mon haut, jouant malicieusement avec la dentelle.
-J’adore votre parfum, murmura-t-il avant de happer un de mes tétons par-dessus le tissu.
La caresse me fit chavirer.Puis, il s’occupa du deuxième téton (qui ne demandait que ça) pendant que caressai ses cheveux en l’encourageant de quelques petits soupirs plaintifs. (Croyez-le si vous le voulez, mais ils n’étaient pas feints). Je l’amenai jusqu’au grand miroir sur pied que j’avais installé. Si vous lisez mes histoires depuis le début, vous savez que l’épisode du miroir est une de mes petites manies essentielle. Un véritable passage obligé pour le plaisir.
Je me tenais donc face au miroir et je le sentais derrière moi. Je dois dire que ce que je sentais à ce moment précis bouleversa mes préjugés. Oui, on pouvait avoir un certain âge, être timide, emprunté, et bander comme un fou ! Je faisais mon possible pour me frotter contre lui, pour monter et descendre en cadence.. Son souffle était précipité..Je sentais qu’il était de plus en plus tendu. Je fis glisser ma jupe et aussitôt ses mains se plaquèrent sur ma culotte qu’il malmena plus qu’il ne caressa. Elle tomba vite à mes pieds et sa bouche remplaça ses mains. Il n’en finissait pas d’embrasser mes fesses, de les couvrir de baisers doux et brûlants. J’écartai les jambes. Après quelques secondes d’hésitation, je sentis la pointe de sa langue sur mon petit trou. Je me penchai légèrement vers l’avant et l’encourageai :
-Oui, viens mon chéri..
La langue se fit plus inquisitrice ! Elle fouilla ma petite grotte secrète ! Que c’était doux ! Elle s’occupa aussi de mes boules en les réveillant de petits coups furtifs… Mon Dieu !
Puis, il me goba le sexe. Il se mit à le sucer à une cadence infernale.
-Doucement, chéri… Doucement..
Mes conseils furent entendus.. La caresse devint plus douce sans perdre la cadence nécessaire. Inutile de vous préciser à quel point j’étais excitée. Je me retournai, lui demandai de s’asseoir à terre, contre le rebord du lit et me présentai face à lui. Je le laissai me lécher encore les couilles et mon petit trou et le pénétrai ensuite dans la bouche. Il accusa le coup. Je pourrai même affirmer que son visage se mit à rayonner. Dans un premier temps, je jouai avec mon gland dans sa bouche entrouverte et plongeai enfin plus avant. C’était maintenant à moi de travailler ! Je fis coulisser ma bite dans un rythme soutenu en me risquant même à quelques petites improvisations de type gorge profonde. Il acceptait tout...Un bonheur partagé si rare à dénicher que je pris grand soin de le faire durer le plus longtemps possible. Il était quasi silencieux, se contentant d’accepter mon sexe comme un cadeau du ciel. Ce sont mes cris de plaisir qui remplissaient la pièce et pas ceux de mon client, un comble !
Mais, tout de même, il fallait bien que je me reprenne. Je n’allais pas rester jusqu’à ce que la nuit tombe avec ce monsieur, aussi charmant soit-il. Pensez que mon côté vénale et légèrement salope l’emporta et je n’opposerai aucun argument contre, c’est ainsi. Je l’arrosai copieusement de toute ma semence. Si copieusement qu’il ne parvenait pas à laper ni à avaler la plus grande partie de mon offrande qui lui dégoulinait le long des joues.
-Merci… Merci.. Murmura-t-il, la bouche grande ouverte en tentant de retrouver une respiration normale.
Je me souviens que j’ai failli lui répondre : « mais, c’est moi qui te remercie » mais je m’abstenais, préférant afficher un sourire complaisant.
Il mit un temps infini avant de se décider à partir, voulant absolument apprendre des tas de choses comme mon nom, mon histoire et bien entendu les circonstances qui m’avaient conduit à exercer ce métier dangereux. Je lui lâchai quelques bribes tout droit sorties de mon imagination et l’accompagnai jusqu’à la sortie.
Voilà, le premier vrai client de ma toute nouvelle carrière venait de partir. Le bilan n’était pas trop mauvais et ce vieux monsieur s’était comporté en parfait gentleman. Ce qui ne fut pas le cas des autres amateurs qui allaient suivre. Mais, ça, c’est une autre histoire.
(A suivre)
Loin de me déprimer, cet exile volontaire m’a rendu plutôt joyeuse. Je ne suis pas misanthrope, non, pas vraiment ; ce qui a changé subitement mon humeur chagrine c’est l’annonce du départ de ma voisine. Ne vous méprenez pas, je l’aime beaucoup. C’est une charmante grand-mère qui ne quitte son appartement qu’une ou deux fois par an( généralement pour les fêtes de Noël et celles de Pâques) en me demandant de m’occuper de ses pots de géranium sur son balcon. Voici mon plan diabolique : j’allai transformer pour une petite semaine son trois pièces en charmant pied à terre pour recevoir quelques amis entre 5 et 7. J’écris « amis » mais, pour cette occasion unique, je devrais plutôt parler de clients. La plupart de ceux que je qualifie d’amis étant bloqués dans leur foyer, il me fallait bien trouver un stratagème pour en recevoir de nouveaux. Bref, après avoir soigneusement rangé et caché les affaires personnelles de ma petite mémé, j’aménageai mon nid douillet. Quelques annonces sur des sites spécialisés et vingt-quatre heures plus tard, je recevais mon premier amateur. Je vais tenter de vous raconter toutes mes aventures (ou presque) dans un ordre chronologique.
En ouvrant la porte cet après-midi là, je décidai en une fraction de seconde que le jeune garçon que j’avais devant moi ne franchirai pas le seuil de l’appartement. D’aspect assez négligé, en jean et baskets sales, il souriait comme un imbécile. Pour qui me prenait-il ? Je l’expédiai manu militari en lui affirmant qu’il s’était trompé d’adresse.
-M’ enfin, bafouilla-t-il, c’est bien le 06……..Je vous ai téléphoné.
-Non, désolée, je n’ai pas de portable.
Il fit demi-tour et reprit l’ascenseur en maugréant. Mon nouveau travail à domicile débutait bien !
Heureusement, à la fin de l’après-midi, mon premier vrai client se présenta. C’était un monsieur d’un certain âge (comme on nomme élégamment ce genre de personne pour ne pas les appeler les vieux) avec un casque de cheveux blancs.Il portait un costume trois-pièces très à la mode dans les années soixante. Je compris assez vite grâce à ses mouvements un peu gauches et à sa façon de baisser souvent les yeux que c’était la toute première fois qu’il prenait le risque de rencontrer une femme comme moi. J’essayai de le détendre du mieux que je pouvais en lui offrant un café et en lui parlant de la pluie et du beau temps. Pour la rencontre, il m’avait demandé de me vêtir uniquement de cuir ; j’avais obéi à ses désirs. Une petite jupe courte, un blouson, des bas et escarpins noirs. Ses yeux ne cessaient de lorgner du côté de ma jupe. Je croisai plusieurs fois les jambes pour ajouter un peu plus de piment au spectacle. Quand je décidai d’ôter mon blouson, révélant un petit haut en dentelle, il respira un peu plus fort et se mit à rougir. C’était vraiment touchant. Je dirai même attendrissant. Mais, j’avais un travail à faire et ce n’était certainement pas le moment de s’attendrir. Alors qu’il développait une théorie sur la Chine et le coronavirus, je m’approchai doucement de lui, lui pris la main et la posai sur mon genou. Elle resta quelques secondes immobile, sans vie, puis, s’agita un peu. Ses doigts encore un peu fébriles firent un léger mouvement et se mirent à caresser le nylon. Néophyte mon petit monsieur ? Sûrement pas ! La main redescendit lentement jusqu’à mes chevilles en toute légèreté et réelle maîtrise. Un plaisir ! Ce fut à mon tour d’être troublée ! Je me penchai vers lui pour lui permettre de m’embrasser. Il ne se fit pas prier. Ses lèvres chaudes se posèrent, toujours en toute délicatesse, dans mon cou puis sur mon haut, jouant malicieusement avec la dentelle.
-J’adore votre parfum, murmura-t-il avant de happer un de mes tétons par-dessus le tissu.
La caresse me fit chavirer.Puis, il s’occupa du deuxième téton (qui ne demandait que ça) pendant que caressai ses cheveux en l’encourageant de quelques petits soupirs plaintifs. (Croyez-le si vous le voulez, mais ils n’étaient pas feints). Je l’amenai jusqu’au grand miroir sur pied que j’avais installé. Si vous lisez mes histoires depuis le début, vous savez que l’épisode du miroir est une de mes petites manies essentielle. Un véritable passage obligé pour le plaisir.
Je me tenais donc face au miroir et je le sentais derrière moi. Je dois dire que ce que je sentais à ce moment précis bouleversa mes préjugés. Oui, on pouvait avoir un certain âge, être timide, emprunté, et bander comme un fou ! Je faisais mon possible pour me frotter contre lui, pour monter et descendre en cadence.. Son souffle était précipité..Je sentais qu’il était de plus en plus tendu. Je fis glisser ma jupe et aussitôt ses mains se plaquèrent sur ma culotte qu’il malmena plus qu’il ne caressa. Elle tomba vite à mes pieds et sa bouche remplaça ses mains. Il n’en finissait pas d’embrasser mes fesses, de les couvrir de baisers doux et brûlants. J’écartai les jambes. Après quelques secondes d’hésitation, je sentis la pointe de sa langue sur mon petit trou. Je me penchai légèrement vers l’avant et l’encourageai :
-Oui, viens mon chéri..
La langue se fit plus inquisitrice ! Elle fouilla ma petite grotte secrète ! Que c’était doux ! Elle s’occupa aussi de mes boules en les réveillant de petits coups furtifs… Mon Dieu !
Puis, il me goba le sexe. Il se mit à le sucer à une cadence infernale.
-Doucement, chéri… Doucement..
Mes conseils furent entendus.. La caresse devint plus douce sans perdre la cadence nécessaire. Inutile de vous préciser à quel point j’étais excitée. Je me retournai, lui demandai de s’asseoir à terre, contre le rebord du lit et me présentai face à lui. Je le laissai me lécher encore les couilles et mon petit trou et le pénétrai ensuite dans la bouche. Il accusa le coup. Je pourrai même affirmer que son visage se mit à rayonner. Dans un premier temps, je jouai avec mon gland dans sa bouche entrouverte et plongeai enfin plus avant. C’était maintenant à moi de travailler ! Je fis coulisser ma bite dans un rythme soutenu en me risquant même à quelques petites improvisations de type gorge profonde. Il acceptait tout...Un bonheur partagé si rare à dénicher que je pris grand soin de le faire durer le plus longtemps possible. Il était quasi silencieux, se contentant d’accepter mon sexe comme un cadeau du ciel. Ce sont mes cris de plaisir qui remplissaient la pièce et pas ceux de mon client, un comble !
Mais, tout de même, il fallait bien que je me reprenne. Je n’allais pas rester jusqu’à ce que la nuit tombe avec ce monsieur, aussi charmant soit-il. Pensez que mon côté vénale et légèrement salope l’emporta et je n’opposerai aucun argument contre, c’est ainsi. Je l’arrosai copieusement de toute ma semence. Si copieusement qu’il ne parvenait pas à laper ni à avaler la plus grande partie de mon offrande qui lui dégoulinait le long des joues.
-Merci… Merci.. Murmura-t-il, la bouche grande ouverte en tentant de retrouver une respiration normale.
Je me souviens que j’ai failli lui répondre : « mais, c’est moi qui te remercie » mais je m’abstenais, préférant afficher un sourire complaisant.
Il mit un temps infini avant de se décider à partir, voulant absolument apprendre des tas de choses comme mon nom, mon histoire et bien entendu les circonstances qui m’avaient conduit à exercer ce métier dangereux. Je lui lâchai quelques bribes tout droit sorties de mon imagination et l’accompagnai jusqu’à la sortie.
Voilà, le premier vrai client de ma toute nouvelle carrière venait de partir. Le bilan n’était pas trop mauvais et ce vieux monsieur s’était comporté en parfait gentleman. Ce qui ne fut pas le cas des autres amateurs qui allaient suivre. Mais, ça, c’est une autre histoire.
(A suivre)
4 years ago