De la Manche a l'Atlantique

De la Manche à l’Atlantique
(histoire vraie)


Après avoir passé plusieurs années au bord de la Manche, j’ai enfin réussi à être muté dans un département au bord de l’Atlantique. J’en avais marre de ce temps humide, de cette eau trop froide pour que je m’y baigne.

J’arrive en septembre dans ma nouvelle affectation, alors qu’un été indien s’est installé. Le temps est superbe, la chaleur au rendez-vous. Après avoir pris mes repères, rencontré mes nouveaux collègues, je me renseigne pour savoir où trouver une plage un peu sauvage. Ils m’en indiquent une.

Je la trouve sur une carte et m’y rend un samedi après-midi. Il faut prendre une route traversant une forêt. A bout, un grand parking. La majorité des touristes étant partis, je trouve facilement une place.

En sortant, le bruit des vagues m’enchante. Je prends mon sac et me dirige vers la plage. Je vois une plage sur des kilomètres. Une partie est plus utilisée, alors je décide d’aller plus loin. Je traverse un espace naturiste où quelques couples profitent du soleil. Plus je marche, moins il y a de monde. J’arrive dans une zone où quelques mecs à poils se font bronzer. Je continue pour trouver un coin tranquille.

J’étends ma serviette sur le sable. N’ayant jamais pratiqué le naturisme, je reste un instant assis encore habillé. Après hésitation, comme il y a presque personne, je m’enhardis et me mets nu je reste assis, je replis mes jambes. Je mate les quelques hommes se promenant au bord de l’eau. La marée étant haute, je peux bien observer leur corps. Voyant que personne ne m’observait, je me détends. Je m’allonge entièrement sur le dos. Je ferme les yeux pour profiter de la brise sur mon corps. Je sens mon sexe gonfler. Avant qu’il ne soit trop tard, je vais me baigner. J’en profite pour me décalotter, l’eau de mer ne peut que faire du bien. L’eau froide et les vagues ont eue raison de mon début d’érection et même rétracter mon sexe. Je ressors pour m’allonger de nouveau. Une fois sec, voyant des mecs qui arrivent par la dune, je veux savoir d’où ils viennent. Je mets mon maillot J’escalade la dune. Je vois des chemins qui sortent de la forêt. Je décide d’aller explorer. Je vois des petites zones de sable cachées dans des bosquets. J’en vois une avec un mec à poil. Je m’aventure un peu plus loin. J’en vois plusieurs occupées ou pas et des mecs qui se baladent tout nu le maillot à la main. Je comprends que c’est un lieu de drague et de baise.

Il faut que j’en découvre un peu plus. Sur une carte détaillée, je repère bien la plage et la forêt. Il y a une route et un parking. J’arrive sur le parking. Quelques voitures sont stationnées. Je prends mon sac de plage. Je vois un panneau de bois avec gravé dessus : « plage à 1,5 kms » Je l’emprunte et effectivement, j’arrive sur la plage. Je reconnais le blockhaus. Je continue mon apprentissage du naturisme.

Un dimanche après-midi, je suis un gars sur la route forestière. Je le vois prendre un chemin de traverse. Je décide de le suivre à distance. Arrivé dans la forêt, il y a un dédale de petits chemins avec toujours ces petits espaces dissimulés. Des mecs à poil sont installés d’autres ne sont pas cachés mais toujours à poils. Depuis ce jour, je prends toujours ce chemin et en découvre d’autres.

Sur la plage, je me contrôle de mieux en mieux ce qui me permet d’aller marcher sur la grève et mater les mâles. Je voulais découvrir ce lieu à différent moments. Alors que je suis resté plus tard que de coutume, debout au bord de l’eau, je vois un mec sans gêne qui arrive sur ma droite avec une méga érection. Il remarque je le regarde, il rentre dans l’eau jusqu’à la ceinture juste en face de moi et commence à se branler en me fixant. Il avance vers moi. Sa bite raide est entièrement visible. Il éjacule plusieurs jets, se rince et s’en va. Je suis ébaubi.

Un vendredi de RTT, je retourne à la plage. Il n’y a presque personne. Je trouve une place tranquille. Je me déshabille, j’étale ma serviette et m’installe sur le dos. Je m’endors.
Je me réveille pour me mettre sur le ventre. Je vois un gars qui vient s’installer pas trop loin. Je suis surpris car il y a de la place. Il se fout à poil. Je remarque de dos qu’il est sacrément bien foutu. Il reste debout et se penche jambes écartées pour chercher sa serviette dans son sac. Je vois ces magnifiques fesses, ses boules et le bout de son prépuce bien détendus.

J’aurai pu plier mes affaires et partir, mais je commençais à bien bander. Il s’allonge sur le dos. Il prend son sexe pour le placer. Je distingue sa queue qui me semble de bonne taille au repos et des boules dans les mêmes proportions, le tout entouré d’une toison brune. Je suis si excité, que je n’ose bouger.

Le gars se lève pour aller se baigner. Je m’assois pour le regarder. Il est magnifique. Cela n’arrange pas mon excitation. Lorsqu’il ressort de l’eau, qu’il revient face à moi, je suis hypnotisé. Bien qu’ayant replié mes jambes pour cacher mon érection, je pense qu’il s’en est aperçu.

Il se sèche face à moi en me regardant, puis s’allonge sur le côté de manière à ce que je puisse le voir les yeux clos comme si il dormait. Profitant de cet instant, je me mets sur le ventre ma tête tournée vers lui.

Il commence à jouer avec son sexe, soulever ses boules, se décalotter avec seulement deux doigts. Il sait que je le vois, alors il continue son show. Sa bite commence à prendre des proportions qui m’impressionnent. Il commence à se masturber.

Je ne tiens plus et à mon tour je me mets sur le côté face à lui et commence à me masturber. C’est maintenant les yeux ouverts que nous nous masturbons. Nous éjaculons en même temps. Nous allons ensembles nous rincer dans l’eau. Il me dit qu’il serait bien que nous nous revoyions.

L’automne tire à sa fin, le ciel plus gris, les températures plus fraiches. Je pense que la saison est terminée jusqu’au printemps.

Fin février, un vent chaud vient balayer la côte. Je décide d’aller prendre mon premier bain de soleil. J’arrive sur le parking où il n’y a que deux voitures. Je pars sur la route forestière, bifurque vers la forêt pour m’y installer. Je trouve un espace bien exposé, dissimulé seulement par quelques branchages disposés pour se cacher tout en voyant les personnes qui pourraient passer. Je déplie ma serviette, me déshabille en gardant mon caleçon bleu et blanc. Mes paupières sont presque closent pour surveiller les alentours, une main dans mon caleçon. Après plusieurs minutes, je vois au loin deux bonshommes. Je pose ma casquette sur mes yeux.

Ils m’ont repéré et s’approchent. Je garde ma casquette sur les yeux. Un moment d’hésitation avant de sentir une main caresser mon torse, une autre mes jambes qui remonte vers mes cuisses et glisse dans la jambe de mon caleçon. Ma non réaction signe mon accord. L’un dit « on peut la voir ? » Je réponds : «si vous voulez »

L’un prend la ceinture de mon caleçon et le fait glisser pour l’enlever entièrement. Je suis nu avec deux mecs que je ne vois pas. L’un saisit mon sexe en demi-molle et le décalotte tandis qu’une autre main flatte mes bourses.

Cette situation que mon corps soit à la disposition de mains inconnues m’excite tellement que ma queue est dure comme un bout de bois. Je sens une bouche qui s’occupe de mes tétons et une autre de mon sexe. Il faut que je fasse un effort de concentration pour faire durer le plaisir.

Je laisse faire les mains qui écartent mes jambes. La bouche qui s’occupait de mes seins s’occupe à présent de mes boules. Je ne pensais pas que la soumissions pouvait apporter de telles sensations de plaisir surtout lorsque l’un a soulevé mes jambes, l’autre écarté les fesses pour aller me lécher ma rondelle. Mes gémissements ne trompaient pas sur le plaisir qu’ils me faisaient. Une fois bien lubrifié de salive, j’ai senti un doigt me masser l’anus. Je n’allais pas me retenir longtemps, juste le temps de dire que j’allais jouir qu’une main saisit mon sexe. Une grande quantité de sperme gicle sur mon torse.

Mon corps épuisé de jouissance, je reste un instant inerte. Je n’entends plus de bruit. J’enlève ma casquette, ouvre les yeux. Je suis seul. Aurai-je rêvé ? Je n’ai plus mon caleçon, mon torse est maculé de sperme, mon trou encore humide.

Je me relève, me rince avec ma bouteille d’eau, sous le regard d’un mec au loin.

Entre la forêt et la plage, je me dis que l’été sera chaud et « show ». Je ne me trompais pas. J’ai vu sur la plage des mecs se faire sucer, d’autres s’embrassant dans l’eau en se branlant mutuellement, tout ça sans que personne ne s’offense.

Dans la forêt, beaucoup de mecs se baladaient nus le maillot et la serviette à la main. Certains arboraient des belles érections comme une publicité. Les bosquets étaient occupés par des mecs qui baisaient à deux ou trois, d’autre le faisaient sous le regard de voyeurs. Un gars me fait comprendre de le suivre, ce que je fais. Arrivés dans un endroit discret, j’ai eu droit aux – caresses, léchage, doigtage, suçage en avalant tout.

Ce lieu devenant trop fréquenté, les gendarmes à cheval et les agents de l’ONF faisaient des rondes. Il s’est désertifié de plus en plus.