Chauffeur routier
Chauffeur routier
A 20 ans, jâai fini ma formation de conducteur routier avec tous mes permis poids lourds. Je nâai pas eu de mal Ă trouver du boulot. Au dĂ©but, jâĂ©tais en double avec un chauffeur expĂ©rimentĂ© sur un camion simple pour des tournĂ©es locales, puis des tournĂ©es nationales. Voyant que je me dĂ©brouillais bien, il mâa mis en double sur une semi-remorque pour connaĂźtre les itinĂ©raires des clients Ă livrer.
Jâai appris Ă connaĂźtre mon tuteur, un bel homme de 35 ans, pĂšre de famille, agrĂ©able Ă regarder surtout lorsquâil conduisait en short et marcel, laissant apparaĂźtre son torse bronzĂ© poilu et musclĂ©.
JâĂ©tais stressĂ© et excitĂ© lorsquâil mâa dit que la prochaine tournĂ©e se ferait sur deux jours, que nous devrions dormir dans la cabine. La journĂ©e terminĂ©e, nous nous sommes stationnĂ©s sur un centre routier rĂ©servĂ© aux routiers avec restaurant, douches. AprĂšs que jâeusse garĂ© le camion, nous avons pris la direction des douches. CâĂ©tait des douches ouvertes oĂč lâon pouvait voir ceux qui sây douchaient. Il y avait des gros, des costauds, des quadras, et plus. Je voulais me montrer Ă la hauteur. Je me suis mis Ă poils. Jâavais lâimpression que tous les regards se posaient sur ma jeunesse. Mon collĂšgue sâest mis dans une douche en face de moi. Jâai pu voir son anatomie avec son beau sexe calottĂ© et ses boules pendantes, le tout entourĂ© de poils, ce qui nâĂ©tait pas pour me dĂ©plaire. Bien quâessayant de me contrĂŽler, je sentais mon sexe grossir ce que ne manqua pas de remarquer mon collĂšgue.
Tout en allant manger au restaurant, il me dit que pour faire un peu plus dâargent, câĂ©tait mieux de manger dans la cabine. En rejoignant le camion pour dormir, il me dit que je ne mâen fasse pas, que câest un monde dâhomme qui certains aiment regarder les jeunes se doucher. Avant de monter dans la cabine nous sommes allĂ©s uriner. Nous Ă©tions proches si bien que nous pouvions voir nos sexes Ă la main. Je remarquais quâil me matait.
Une fois dans la cabine, il a tirĂ© les rideaux, dĂ©pliĂ© la couchette pour faire un lit Ă deux places. Il mâa dit que je serai mieux au fond plutĂŽt que sur le bord. Je me suis allongĂ© en short, pendant quâil se foutait Ă poil Ă cĂŽtĂ© de moi disant quâil dormait toujours ainsi. Le lit Ă©tait tellement Ă©troit que nos corps se touchaient. Une fois la veilleuse Ă©teinte, je lâai laissĂ© faire lorsque jâai senti sa main se poser sur mon ventre et glisser doucement dans lâĂ©lastique de mon caleçon. Comme je nâai pas rĂ©agi, il a continuĂ© jusquâĂ caresser ma queue encore molle, atteindre mes boules flasques.
Lorsquâil sâest tournĂ© vers moi, jâai senti son sexe dur sur ma cuisse. Dans mon caleçon, mon sexe commençait Ă grossir. Il sâest un peu relevĂ© pour ĂŽter le morceau de tissus. Il sâest allongĂ© sur moi. Nos sexes collĂ©s lâun Ă lâautre. Bien quâayant eu quelques aventures Ă lâinternat, câest la premiĂšre fois quâun adulte sâoccupait de moi.
Il a commencĂ© par mâembrasser dans le cou, puis sucĂ© mes tĂ©tons. JâĂ©tais dĂ©jĂ aux anges par le plaisir quâil me donnait. Il a continuĂ© lentement sa descente vers mon nombril, mon ventre pour arriver jusquâĂ mon sexe qui sâĂ©tait dĂ©calottĂ© par la force de mon Ă©rection.
Jâai frissonnĂ© lorsque sa langue sâest posĂ©e sur mon gland puis raidi lorsque jâai senti la chaleur et lâhumiditĂ© de sa bouche. Il me suçait comme jamais je ne lâavais Ă©tĂ©. Jâai couinĂ© lorsquâil a Ă©cartĂ© mes jambes pour me lĂ©cher les boules. La rugositĂ© de sa barbe de trois jours sur mes cuisses mâĂ©lectrisait. JâĂ©tais incapable de faire quoi que ce soit tellement jâĂ©tais dans le plaisir. Il est revenu sur mon sexe encore plus dur pour lâemboucher tandis que sa main malaxait mes boules, sâinsinuant par moment entre mes fesses. Lorsque je lui ai dit que jâallais jouir, il a enfoncĂ© ma bite jusquâĂ sa gorge. Jâai lĂąchĂ© une grande quantitĂ© de sperme quâil a avalĂ©, puis a nettoyĂ© avec sa langue les coulures. Mon corps dĂ©tendu, je suis restĂ© un instant immobile avant de mâexcuser de ne pas lui avoir rendu la politesse. Il mâa rĂ©pondu quâil avait pris beaucoup de plaisir Ă me donner du plaisir, quâil fallait quâil aille se soulager dehors. On est descendu de la cabine Ă poils entre deux camions. Jâai pissĂ© tout en le regardant masturber son Ă©norme sexe et cracher plusieurs jets de sperme.
Nous sommes remontĂ©s sur notre couchette. Je me suis endormi immĂ©diatement. Comme je nâai pas lâhabitude de dormir dans ces conditions, je fus rĂ©veillĂ© par les bruits extĂ©rieurs. Je regardais mon collĂšgue encore endormi avec une superbe Ă©rection. Je nâai pu mâempĂȘcher de saisir son membre et commencer Ă le sucer. Ila remuĂ©, jâai continuĂ© lorsque jâai senti sa main sur ma tĂȘte. Je lâavais rĂ©veillĂ©. Je lâai entendu faire « hummmm » quel beau rĂ©veil ! continue ! Je lâai sucĂ© jusquâĂ ce quâil crache dans ma bouche son jus du matin.
Nous avons repris la route plus complice encore. Le soir nous étions chacun de retour chez nous, moi chez mes parents, lui avec sa femme. Je me demandais si elle le suçait et avalait.
Jâavais encore une semaine Ă faire avec lui avant dâavoir mon propre vĂ©hicule et ĂȘtre autonome. Pour clore la derniĂšre nuit ensemble, il avait rĂ©servĂ© une chambre Ă lâhĂŽtel du centre routier. Câest cette nuit-lĂ avec plus de confort quâil mâa dĂ©florĂ©. Il mâa fait allonger sur le dos, relevĂ© les jambes, Ă©cartĂ© les lobes fessiers. Avec sa langue il mâa lubrifiĂ© lâanus, puis Ă©talĂ© du gel pour y faire pĂ©nĂ©trer un puis deux doigts quâil faisait tourner pour dĂ©tendre lâentrĂ©e. Ce traitement me mettait dĂ©jĂ dans un Ă©tat second. AprĂšs ce massage, jâai senti son gland se prĂ©senter Ă lâentrĂ©e de ma rondelle puis y pĂ©nĂ©trer doucement. La douleur Ă©tait supportable jusquâĂ ce quâil me pĂ©nĂštre entiĂšrement. LĂ , jâai poussĂ© un petit cri. Il est restĂ© un moment immobile afin que je mâhabitue, puis a repris ses mouvements de va et vient. Le plaisir avait laissĂ© place Ă la douleur. Je sentais dans mes entrailles coulisser son membre, ses boules venaient taper lorsquâil sâenfonçait au maximum. Il sâest redressĂ©, son corps sâest raidi. Jâai senti un flot de sperme me remplir. Encore en moi, il sâest allongĂ© sur moi pour mâembrasser. Je sentais la douceur de ses poils sur mon torse. La pression Ă©tant retombĂ©, il sâest retirĂ© le sexe gluant de son sperme quâil a frottĂ© sur le mien. Mon sexe enduit, il le saisit pour me masturber jusquâĂ ce que jaillisse ma semence sur mon visage et mon torse.
Le vendredi soir, jâĂ©tais dans mon lit en repensant Ă cette formation « complĂšte » et que dĂšs lundi je serai seul au volant dâun camion et les rencontres possibles lors des repos sur les parkings.
âŠâŠâŠâŠâŠ..
Ăa fait 5 ans que je suis dans cette entreprise et pour fĂȘter cela mon patron mâa octroyĂ© un vĂ©hicule dernier modĂšle avec tous les amĂ©nagements pour mes pauses, surtout si je devais rester bloquĂ© tout un weekend, ce qui arrivait souvent puisque jâĂ©tais un chauffeur cĂ©libataire et que ça ne me dĂ©rangeait pas, bien au contraire.
JâĂ©tais fier au volant de ce bijou de technologie. Ce jour-lĂ il pleuvait sur cette route rectiligne. La nuit commençait Ă tomber lorsquâau loin, je vois une silhouette faisant du stop.
En me rapprochant, je distingue une silhouette en jupe, des cheveux qui dĂ©passent dâun chapeau. Bien que je ne prenne jamais de filles, comme la nuit arrive et quâil pleut, jâarrĂȘte mon camion un peu plus loin sur un emplacement. Dans mon rĂ©troviseur, je vois la personne arriver en courant. En ouvrant la porte, je vois un jeune gars, roux comme un Ă©cureuil. Avec un accent il me demande si je vais Ă Calais. Je rĂ©ponds que je dois passer la nuit sur un centre routier, que je serai Ă Calais quâen fin de matinĂ©e. Il me rĂ©pond que cela lui va trĂšs bien puisque le ferry ne part quâen fin dâaprĂšs-midi.
Il monte dans mon camion.
Comme il est trempĂ©, je lui dis de se changer. Je ne voulais pas quâil mouille le siĂšge tout neuf. Il me dit que ses vĂȘtements sont mouillĂ©s, alors je lui passe un short et un tee-shirt.
Il passe vers la couchette et commence Ă enlever son chapeau, son tee-shirt quâil accroche Ă la paterne, puis se penche vers son sac Ă dos. Je vois quâil est un vrai Ă©cossais puisquâil nâa rien sous son kilt. Il prend une serviette et enlĂšve son kilt. Jâai Ă cĂŽtĂ© de moi un superbe mec Ă poil avec un magnifique cul poilu. En discutant, il me raconte quâil est Ă©tudiant en vacances, quâil rentre Ă Edinburg. Je vois quâil commence Ă piquer des pois et fini par sâendormir.
Une heure plus tard, je range la semi-remorque entre deux camions. Le bruit des bouteilles dâair le rĂ©veille. Je lui explique que je dois passer la nuit ici, quâil peut rester et dormir dans le camion.
Je lui dis quâon peut prendre une douche et manger au self. Il mâaccompagne. Il y a des douches communes ou individuelles toutes occupĂ©es. Nous nous installons. Je vois son beau corps de face. Ses poils ambrĂ©s sur son corps musclĂ© mâĂ©lectrisent, au point que jâai du mal Ă contenir un dĂ©but dâĂ©rection lorsquâil se savonne le ventre, ses boules en passant entre ses fesses, son sexe quâil dĂ©calotte plusieurs fois. La douche terminĂ©e, nous allons au self pour prendre une biĂšre et un sandwich.
En revenant vers le camion, je lui dis quâil avait un beau corps, que les filles devaient craquer. Sans ambages, il met son bras autour de mon Ă©paule, il me rĂ©pond quâil mâavait vu sous la douche, que les garçons aimaient aussi son corps.
RemontĂ©s dans le camion, nous dĂ©plions la couchette. Avant de sâallonger il mâembrasse Ă pleine bouche. Il me semble que son baiser dure une Ă©ternitĂ©. Mon sexe sâest durci dans mon short. Je sens le sien tout aussi en forme. Nous nous dĂ©shabillons mutuellement avant de se mettre sur la couchette.
Nos mains parcourent nos peaux enlacĂ©s, nos bouchent explorent notre corps nâoubliant ni le cou, les tĂ©tons, le ventre et nos sexes. Il saisit ma verge quâil dĂ©calotte â ce que jâadore â pour que sa langue lĂšche mon gland sans oublier le frein, puis descend sur mes boules. Il Ă©carte mes jambes, sa barbe frĂŽle mes cuisses et comme Ă chaque fois je frisonne.
Je lui fais comprendre de se retourner pour se retrouver tĂȘte bĂȘche. Jâai sur mon visage ses grosses boules et sa grosse queue courte mais Ă©paisse. Lorsque je la dĂ©calotte, je dĂ©couvre un Ă©norme gland qui a du mal Ă entrer dans ma bouche. JâĂ©carte au maximum mes lĂšvres pour le prendre entiĂšrement. Il commence Ă mouiller et je goĂ»te son prĂ©-cum.
Je sens quâil soulĂšve une jambe pour que jâaille lui bouffer le cul. Jâenfourne mon visage entre ses fesses Ă©cartĂ©es. Jâatteins sa rosette entourĂ©e de poils. Il sâarrĂȘte de sâoccuper de moi pour profiter du plaisir quâil ressent. Il gĂ©mit. Lorsque je reviens sur sa queue, il reprend lâintrospection de ma raie. Il Ă©carte mes fesses, plonge son visage, me lĂšche lâanus avec beaucoup de salive avant dây introduire deux doigts quâil agite de vas et vient circulaires.
Il me positionne en travers du lit dos sur le mur de la couchette, soulĂšve mes jambes et prĂ©sente son membre Ă lâentrĂ©e de mon trou. Je stresse Ă lâidĂ©e de prendre un tel morceau. Il pousse doucement. Je sens son gland pĂ©nĂ©trer le premier sphincter puis sa queue entrer lentement. Bien quâayant dĂ©jĂ pratiquĂ© la sodomie, son manche me procure une douleur supportable. AprĂšs ĂȘtre entrĂ© complĂštement, il marque une pause avant de commencer Ă me limer. Je sens sa verge Ă chaque aller-retour.
Dans cette position, il peut saisir mon sexe dur et le branler. Ce double plaisir me fait ahaner chaque fois que son pubis sâappuie sur mes couilles.
La jouissance mutuelle ne va pas tarder. Il sort sa que de mon trou, pour Ă©jaculer plusieurs jets sur mon ventre, puis rentre Ă nouveau pour continuer Ă me fourrer. Il me lime quelques instants et fini de se vider les couilles Ă lâintĂ©rieur. Il me branle jusquâĂ ce que jâexpulse plusieurs jets de sperme. Mon ventre et mon cul Ă©taient maculĂ©s de jus. Il se penche sur moi pour me rouler une mĂ©ga pelle.
Jâai toujours un petit bidon dâeau dans mon camion. A cette heure tardive nous sortons nus pour se rincer. Un routier insomniaque fume une cigarette en nous regardant se frotter mutuellement nos torses. Il nous salut avec un sourire qui en dit long sur ce quâil sâest passĂ© dans le camion.
Je me rĂ©veille le premier. Mon Ă©cossais est allongĂ© sur le dos avec une magnifique Ă©rection. Je ne peux mâempĂȘcher de saisir son obĂ©lisque, pour la sucer. Jâarrive Ă faire rentrer la moitiĂ© de son membre. Je le suce avec Ă©nergie. Il bouge. Je continue. Il se raidit pour mâenvoyer une grande quantitĂ© de son jus dans la bouche. Jâavale tout. HĂ©las, il nâavait pas le goĂ»t de whisky â ha ! Ha ! Ha !
Je nâavais jamais connu un tel assaut depuis que je roule.
AprĂšs le petit dĂ©jeuner, nous reprenons la route. Jâarrive en fin de matinĂ©e Ă Calais. Je le dĂ©pose pour lâ Ile, et moi repars pour Lille.
Je revois souvent mon formateur qui me fait un sourire et un clin dâĆil qui en disent long, surtout lorsquâil est accompagnĂ© dâun jeune en formation.
VoilĂ pourquoi jâaime bien mon mĂ©tier, je voyage et fais des rencontres intĂ©ressantes. Mon prochain objectif est de devenir formateur.
A 20 ans, jâai fini ma formation de conducteur routier avec tous mes permis poids lourds. Je nâai pas eu de mal Ă trouver du boulot. Au dĂ©but, jâĂ©tais en double avec un chauffeur expĂ©rimentĂ© sur un camion simple pour des tournĂ©es locales, puis des tournĂ©es nationales. Voyant que je me dĂ©brouillais bien, il mâa mis en double sur une semi-remorque pour connaĂźtre les itinĂ©raires des clients Ă livrer.
Jâai appris Ă connaĂźtre mon tuteur, un bel homme de 35 ans, pĂšre de famille, agrĂ©able Ă regarder surtout lorsquâil conduisait en short et marcel, laissant apparaĂźtre son torse bronzĂ© poilu et musclĂ©.
JâĂ©tais stressĂ© et excitĂ© lorsquâil mâa dit que la prochaine tournĂ©e se ferait sur deux jours, que nous devrions dormir dans la cabine. La journĂ©e terminĂ©e, nous nous sommes stationnĂ©s sur un centre routier rĂ©servĂ© aux routiers avec restaurant, douches. AprĂšs que jâeusse garĂ© le camion, nous avons pris la direction des douches. CâĂ©tait des douches ouvertes oĂč lâon pouvait voir ceux qui sây douchaient. Il y avait des gros, des costauds, des quadras, et plus. Je voulais me montrer Ă la hauteur. Je me suis mis Ă poils. Jâavais lâimpression que tous les regards se posaient sur ma jeunesse. Mon collĂšgue sâest mis dans une douche en face de moi. Jâai pu voir son anatomie avec son beau sexe calottĂ© et ses boules pendantes, le tout entourĂ© de poils, ce qui nâĂ©tait pas pour me dĂ©plaire. Bien quâessayant de me contrĂŽler, je sentais mon sexe grossir ce que ne manqua pas de remarquer mon collĂšgue.
Tout en allant manger au restaurant, il me dit que pour faire un peu plus dâargent, câĂ©tait mieux de manger dans la cabine. En rejoignant le camion pour dormir, il me dit que je ne mâen fasse pas, que câest un monde dâhomme qui certains aiment regarder les jeunes se doucher. Avant de monter dans la cabine nous sommes allĂ©s uriner. Nous Ă©tions proches si bien que nous pouvions voir nos sexes Ă la main. Je remarquais quâil me matait.
Une fois dans la cabine, il a tirĂ© les rideaux, dĂ©pliĂ© la couchette pour faire un lit Ă deux places. Il mâa dit que je serai mieux au fond plutĂŽt que sur le bord. Je me suis allongĂ© en short, pendant quâil se foutait Ă poil Ă cĂŽtĂ© de moi disant quâil dormait toujours ainsi. Le lit Ă©tait tellement Ă©troit que nos corps se touchaient. Une fois la veilleuse Ă©teinte, je lâai laissĂ© faire lorsque jâai senti sa main se poser sur mon ventre et glisser doucement dans lâĂ©lastique de mon caleçon. Comme je nâai pas rĂ©agi, il a continuĂ© jusquâĂ caresser ma queue encore molle, atteindre mes boules flasques.
Lorsquâil sâest tournĂ© vers moi, jâai senti son sexe dur sur ma cuisse. Dans mon caleçon, mon sexe commençait Ă grossir. Il sâest un peu relevĂ© pour ĂŽter le morceau de tissus. Il sâest allongĂ© sur moi. Nos sexes collĂ©s lâun Ă lâautre. Bien quâayant eu quelques aventures Ă lâinternat, câest la premiĂšre fois quâun adulte sâoccupait de moi.
Il a commencĂ© par mâembrasser dans le cou, puis sucĂ© mes tĂ©tons. JâĂ©tais dĂ©jĂ aux anges par le plaisir quâil me donnait. Il a continuĂ© lentement sa descente vers mon nombril, mon ventre pour arriver jusquâĂ mon sexe qui sâĂ©tait dĂ©calottĂ© par la force de mon Ă©rection.
Jâai frissonnĂ© lorsque sa langue sâest posĂ©e sur mon gland puis raidi lorsque jâai senti la chaleur et lâhumiditĂ© de sa bouche. Il me suçait comme jamais je ne lâavais Ă©tĂ©. Jâai couinĂ© lorsquâil a Ă©cartĂ© mes jambes pour me lĂ©cher les boules. La rugositĂ© de sa barbe de trois jours sur mes cuisses mâĂ©lectrisait. JâĂ©tais incapable de faire quoi que ce soit tellement jâĂ©tais dans le plaisir. Il est revenu sur mon sexe encore plus dur pour lâemboucher tandis que sa main malaxait mes boules, sâinsinuant par moment entre mes fesses. Lorsque je lui ai dit que jâallais jouir, il a enfoncĂ© ma bite jusquâĂ sa gorge. Jâai lĂąchĂ© une grande quantitĂ© de sperme quâil a avalĂ©, puis a nettoyĂ© avec sa langue les coulures. Mon corps dĂ©tendu, je suis restĂ© un instant immobile avant de mâexcuser de ne pas lui avoir rendu la politesse. Il mâa rĂ©pondu quâil avait pris beaucoup de plaisir Ă me donner du plaisir, quâil fallait quâil aille se soulager dehors. On est descendu de la cabine Ă poils entre deux camions. Jâai pissĂ© tout en le regardant masturber son Ă©norme sexe et cracher plusieurs jets de sperme.
Nous sommes remontĂ©s sur notre couchette. Je me suis endormi immĂ©diatement. Comme je nâai pas lâhabitude de dormir dans ces conditions, je fus rĂ©veillĂ© par les bruits extĂ©rieurs. Je regardais mon collĂšgue encore endormi avec une superbe Ă©rection. Je nâai pu mâempĂȘcher de saisir son membre et commencer Ă le sucer. Ila remuĂ©, jâai continuĂ© lorsque jâai senti sa main sur ma tĂȘte. Je lâavais rĂ©veillĂ©. Je lâai entendu faire « hummmm » quel beau rĂ©veil ! continue ! Je lâai sucĂ© jusquâĂ ce quâil crache dans ma bouche son jus du matin.
Nous avons repris la route plus complice encore. Le soir nous étions chacun de retour chez nous, moi chez mes parents, lui avec sa femme. Je me demandais si elle le suçait et avalait.
Jâavais encore une semaine Ă faire avec lui avant dâavoir mon propre vĂ©hicule et ĂȘtre autonome. Pour clore la derniĂšre nuit ensemble, il avait rĂ©servĂ© une chambre Ă lâhĂŽtel du centre routier. Câest cette nuit-lĂ avec plus de confort quâil mâa dĂ©florĂ©. Il mâa fait allonger sur le dos, relevĂ© les jambes, Ă©cartĂ© les lobes fessiers. Avec sa langue il mâa lubrifiĂ© lâanus, puis Ă©talĂ© du gel pour y faire pĂ©nĂ©trer un puis deux doigts quâil faisait tourner pour dĂ©tendre lâentrĂ©e. Ce traitement me mettait dĂ©jĂ dans un Ă©tat second. AprĂšs ce massage, jâai senti son gland se prĂ©senter Ă lâentrĂ©e de ma rondelle puis y pĂ©nĂ©trer doucement. La douleur Ă©tait supportable jusquâĂ ce quâil me pĂ©nĂštre entiĂšrement. LĂ , jâai poussĂ© un petit cri. Il est restĂ© un moment immobile afin que je mâhabitue, puis a repris ses mouvements de va et vient. Le plaisir avait laissĂ© place Ă la douleur. Je sentais dans mes entrailles coulisser son membre, ses boules venaient taper lorsquâil sâenfonçait au maximum. Il sâest redressĂ©, son corps sâest raidi. Jâai senti un flot de sperme me remplir. Encore en moi, il sâest allongĂ© sur moi pour mâembrasser. Je sentais la douceur de ses poils sur mon torse. La pression Ă©tant retombĂ©, il sâest retirĂ© le sexe gluant de son sperme quâil a frottĂ© sur le mien. Mon sexe enduit, il le saisit pour me masturber jusquâĂ ce que jaillisse ma semence sur mon visage et mon torse.
Le vendredi soir, jâĂ©tais dans mon lit en repensant Ă cette formation « complĂšte » et que dĂšs lundi je serai seul au volant dâun camion et les rencontres possibles lors des repos sur les parkings.
âŠâŠâŠâŠâŠ..
Ăa fait 5 ans que je suis dans cette entreprise et pour fĂȘter cela mon patron mâa octroyĂ© un vĂ©hicule dernier modĂšle avec tous les amĂ©nagements pour mes pauses, surtout si je devais rester bloquĂ© tout un weekend, ce qui arrivait souvent puisque jâĂ©tais un chauffeur cĂ©libataire et que ça ne me dĂ©rangeait pas, bien au contraire.
JâĂ©tais fier au volant de ce bijou de technologie. Ce jour-lĂ il pleuvait sur cette route rectiligne. La nuit commençait Ă tomber lorsquâau loin, je vois une silhouette faisant du stop.
En me rapprochant, je distingue une silhouette en jupe, des cheveux qui dĂ©passent dâun chapeau. Bien que je ne prenne jamais de filles, comme la nuit arrive et quâil pleut, jâarrĂȘte mon camion un peu plus loin sur un emplacement. Dans mon rĂ©troviseur, je vois la personne arriver en courant. En ouvrant la porte, je vois un jeune gars, roux comme un Ă©cureuil. Avec un accent il me demande si je vais Ă Calais. Je rĂ©ponds que je dois passer la nuit sur un centre routier, que je serai Ă Calais quâen fin de matinĂ©e. Il me rĂ©pond que cela lui va trĂšs bien puisque le ferry ne part quâen fin dâaprĂšs-midi.
Il monte dans mon camion.
Comme il est trempĂ©, je lui dis de se changer. Je ne voulais pas quâil mouille le siĂšge tout neuf. Il me dit que ses vĂȘtements sont mouillĂ©s, alors je lui passe un short et un tee-shirt.
Il passe vers la couchette et commence Ă enlever son chapeau, son tee-shirt quâil accroche Ă la paterne, puis se penche vers son sac Ă dos. Je vois quâil est un vrai Ă©cossais puisquâil nâa rien sous son kilt. Il prend une serviette et enlĂšve son kilt. Jâai Ă cĂŽtĂ© de moi un superbe mec Ă poil avec un magnifique cul poilu. En discutant, il me raconte quâil est Ă©tudiant en vacances, quâil rentre Ă Edinburg. Je vois quâil commence Ă piquer des pois et fini par sâendormir.
Une heure plus tard, je range la semi-remorque entre deux camions. Le bruit des bouteilles dâair le rĂ©veille. Je lui explique que je dois passer la nuit ici, quâil peut rester et dormir dans le camion.
Je lui dis quâon peut prendre une douche et manger au self. Il mâaccompagne. Il y a des douches communes ou individuelles toutes occupĂ©es. Nous nous installons. Je vois son beau corps de face. Ses poils ambrĂ©s sur son corps musclĂ© mâĂ©lectrisent, au point que jâai du mal Ă contenir un dĂ©but dâĂ©rection lorsquâil se savonne le ventre, ses boules en passant entre ses fesses, son sexe quâil dĂ©calotte plusieurs fois. La douche terminĂ©e, nous allons au self pour prendre une biĂšre et un sandwich.
En revenant vers le camion, je lui dis quâil avait un beau corps, que les filles devaient craquer. Sans ambages, il met son bras autour de mon Ă©paule, il me rĂ©pond quâil mâavait vu sous la douche, que les garçons aimaient aussi son corps.
RemontĂ©s dans le camion, nous dĂ©plions la couchette. Avant de sâallonger il mâembrasse Ă pleine bouche. Il me semble que son baiser dure une Ă©ternitĂ©. Mon sexe sâest durci dans mon short. Je sens le sien tout aussi en forme. Nous nous dĂ©shabillons mutuellement avant de se mettre sur la couchette.
Nos mains parcourent nos peaux enlacĂ©s, nos bouchent explorent notre corps nâoubliant ni le cou, les tĂ©tons, le ventre et nos sexes. Il saisit ma verge quâil dĂ©calotte â ce que jâadore â pour que sa langue lĂšche mon gland sans oublier le frein, puis descend sur mes boules. Il Ă©carte mes jambes, sa barbe frĂŽle mes cuisses et comme Ă chaque fois je frisonne.
Je lui fais comprendre de se retourner pour se retrouver tĂȘte bĂȘche. Jâai sur mon visage ses grosses boules et sa grosse queue courte mais Ă©paisse. Lorsque je la dĂ©calotte, je dĂ©couvre un Ă©norme gland qui a du mal Ă entrer dans ma bouche. JâĂ©carte au maximum mes lĂšvres pour le prendre entiĂšrement. Il commence Ă mouiller et je goĂ»te son prĂ©-cum.
Je sens quâil soulĂšve une jambe pour que jâaille lui bouffer le cul. Jâenfourne mon visage entre ses fesses Ă©cartĂ©es. Jâatteins sa rosette entourĂ©e de poils. Il sâarrĂȘte de sâoccuper de moi pour profiter du plaisir quâil ressent. Il gĂ©mit. Lorsque je reviens sur sa queue, il reprend lâintrospection de ma raie. Il Ă©carte mes fesses, plonge son visage, me lĂšche lâanus avec beaucoup de salive avant dây introduire deux doigts quâil agite de vas et vient circulaires.
Il me positionne en travers du lit dos sur le mur de la couchette, soulĂšve mes jambes et prĂ©sente son membre Ă lâentrĂ©e de mon trou. Je stresse Ă lâidĂ©e de prendre un tel morceau. Il pousse doucement. Je sens son gland pĂ©nĂ©trer le premier sphincter puis sa queue entrer lentement. Bien quâayant dĂ©jĂ pratiquĂ© la sodomie, son manche me procure une douleur supportable. AprĂšs ĂȘtre entrĂ© complĂštement, il marque une pause avant de commencer Ă me limer. Je sens sa verge Ă chaque aller-retour.
Dans cette position, il peut saisir mon sexe dur et le branler. Ce double plaisir me fait ahaner chaque fois que son pubis sâappuie sur mes couilles.
La jouissance mutuelle ne va pas tarder. Il sort sa que de mon trou, pour Ă©jaculer plusieurs jets sur mon ventre, puis rentre Ă nouveau pour continuer Ă me fourrer. Il me lime quelques instants et fini de se vider les couilles Ă lâintĂ©rieur. Il me branle jusquâĂ ce que jâexpulse plusieurs jets de sperme. Mon ventre et mon cul Ă©taient maculĂ©s de jus. Il se penche sur moi pour me rouler une mĂ©ga pelle.
Jâai toujours un petit bidon dâeau dans mon camion. A cette heure tardive nous sortons nus pour se rincer. Un routier insomniaque fume une cigarette en nous regardant se frotter mutuellement nos torses. Il nous salut avec un sourire qui en dit long sur ce quâil sâest passĂ© dans le camion.
Je me rĂ©veille le premier. Mon Ă©cossais est allongĂ© sur le dos avec une magnifique Ă©rection. Je ne peux mâempĂȘcher de saisir son obĂ©lisque, pour la sucer. Jâarrive Ă faire rentrer la moitiĂ© de son membre. Je le suce avec Ă©nergie. Il bouge. Je continue. Il se raidit pour mâenvoyer une grande quantitĂ© de son jus dans la bouche. Jâavale tout. HĂ©las, il nâavait pas le goĂ»t de whisky â ha ! Ha ! Ha !
Je nâavais jamais connu un tel assaut depuis que je roule.
AprĂšs le petit dĂ©jeuner, nous reprenons la route. Jâarrive en fin de matinĂ©e Ă Calais. Je le dĂ©pose pour lâ Ile, et moi repars pour Lille.
Je revois souvent mon formateur qui me fait un sourire et un clin dâĆil qui en disent long, surtout lorsquâil est accompagnĂ© dâun jeune en formation.
VoilĂ pourquoi jâaime bien mon mĂ©tier, je voyage et fais des rencontres intĂ©ressantes. Mon prochain objectif est de devenir formateur.
4 years ago