Chauffeur routier

Chauffeur routier


A 20 ans, j’ai fini ma formation de conducteur routier avec tous mes permis poids lourds. Je n’ai pas eu de mal Ă  trouver du boulot. Au dĂ©but, j’étais en double avec un chauffeur expĂ©rimentĂ© sur un camion simple pour des tournĂ©es locales, puis des tournĂ©es nationales. Voyant que je me dĂ©brouillais bien, il m’a mis en double sur une semi-remorque pour connaĂźtre les itinĂ©raires des clients Ă  livrer.

J’ai appris Ă  connaĂźtre mon tuteur, un bel homme de 35 ans, pĂšre de famille, agrĂ©able Ă  regarder surtout lorsqu’il conduisait en short et marcel, laissant apparaĂźtre son torse bronzĂ© poilu et musclĂ©.

J’étais stressĂ© et excitĂ© lorsqu’il m’a dit que la prochaine tournĂ©e se ferait sur deux jours, que nous devrions dormir dans la cabine. La journĂ©e terminĂ©e, nous nous sommes stationnĂ©s sur un centre routier rĂ©servĂ© aux routiers avec restaurant, douches. AprĂšs que j’eusse garĂ© le camion, nous avons pris la direction des douches. C’était des douches ouvertes oĂč l’on pouvait voir ceux qui s’y douchaient. Il y avait des gros, des costauds, des quadras, et plus. Je voulais me montrer Ă  la hauteur. Je me suis mis Ă  poils. J’avais l’impression que tous les regards se posaient sur ma jeunesse. Mon collĂšgue s’est mis dans une douche en face de moi. J’ai pu voir son anatomie avec son beau sexe calottĂ© et ses boules pendantes, le tout entourĂ© de poils, ce qui n’était pas pour me dĂ©plaire. Bien qu’essayant de me contrĂŽler, je sentais mon sexe grossir ce que ne manqua pas de remarquer mon collĂšgue.

Tout en allant manger au restaurant, il me dit que pour faire un peu plus d’argent, c’était mieux de manger dans la cabine. En rejoignant le camion pour dormir, il me dit que je ne m’en fasse pas, que c’est un monde d’homme qui certains aiment regarder les jeunes se doucher. Avant de monter dans la cabine nous sommes allĂ©s uriner. Nous Ă©tions proches si bien que nous pouvions voir nos sexes Ă  la main. Je remarquais qu’il me matait.

Une fois dans la cabine, il a tirĂ© les rideaux, dĂ©pliĂ© la couchette pour faire un lit Ă  deux places. Il m’a dit que je serai mieux au fond plutĂŽt que sur le bord. Je me suis allongĂ© en short, pendant qu’il se foutait Ă  poil Ă  cĂŽtĂ© de moi disant qu’il dormait toujours ainsi. Le lit Ă©tait tellement Ă©troit que nos corps se touchaient. Une fois la veilleuse Ă©teinte, je l’ai laissĂ© faire lorsque j’ai senti sa main se poser sur mon ventre et glisser doucement dans l’élastique de mon caleçon. Comme je n’ai pas rĂ©agi, il a continuĂ© jusqu’à caresser ma queue encore molle, atteindre mes boules flasques.

Lorsqu’il s’est tournĂ© vers moi, j’ai senti son sexe dur sur ma cuisse. Dans mon caleçon, mon sexe commençait Ă  grossir. Il s’est un peu relevĂ© pour ĂŽter le morceau de tissus. Il s’est allongĂ© sur moi. Nos sexes collĂ©s l’un Ă  l’autre. Bien qu’ayant eu quelques aventures Ă  l’internat, c’est la premiĂšre fois qu’un adulte s’occupait de moi.

Il a commencĂ© par m’embrasser dans le cou, puis sucĂ© mes tĂ©tons. J’étais dĂ©jĂ  aux anges par le plaisir qu’il me donnait. Il a continuĂ© lentement sa descente vers mon nombril, mon ventre pour arriver jusqu’à mon sexe qui s’était dĂ©calottĂ© par la force de mon Ă©rection.

J’ai frissonnĂ© lorsque sa langue s’est posĂ©e sur mon gland puis raidi lorsque j’ai senti la chaleur et l’humiditĂ© de sa bouche. Il me suçait comme jamais je ne l’avais Ă©tĂ©. J’ai couinĂ© lorsqu’il a Ă©cartĂ© mes jambes pour me lĂ©cher les boules. La rugositĂ© de sa barbe de trois jours sur mes cuisses m’électrisait. J’étais incapable de faire quoi que ce soit tellement j’étais dans le plaisir. Il est revenu sur mon sexe encore plus dur pour l’emboucher tandis que sa main malaxait mes boules, s’insinuant par moment entre mes fesses. Lorsque je lui ai dit que j’allais jouir, il a enfoncĂ© ma bite jusqu’à sa gorge. J’ai lĂąchĂ© une grande quantitĂ© de sperme qu’il a avalĂ©, puis a nettoyĂ© avec sa langue les coulures. Mon corps dĂ©tendu, je suis restĂ© un instant immobile avant de m’excuser de ne pas lui avoir rendu la politesse. Il m’a rĂ©pondu qu’il avait pris beaucoup de plaisir Ă  me donner du plaisir, qu’il fallait qu’il aille se soulager dehors. On est descendu de la cabine Ă  poils entre deux camions. J’ai pissĂ© tout en le regardant masturber son Ă©norme sexe et cracher plusieurs jets de sperme.

Nous sommes remontĂ©s sur notre couchette. Je me suis endormi immĂ©diatement. Comme je n’ai pas l’habitude de dormir dans ces conditions, je fus rĂ©veillĂ© par les bruits extĂ©rieurs. Je regardais mon collĂšgue encore endormi avec une superbe Ă©rection. Je n’ai pu m’empĂȘcher de saisir son membre et commencer Ă  le sucer. Ila remuĂ©, j’ai continuĂ© lorsque j’ai senti sa main sur ma tĂȘte. Je l’avais rĂ©veillĂ©. Je l’ai entendu faire « hummmm » quel beau rĂ©veil ! continue ! Je l’ai sucĂ© jusqu’à ce qu’il crache dans ma bouche son jus du matin.

Nous avons repris la route plus complice encore. Le soir nous étions chacun de retour chez nous, moi chez mes parents, lui avec sa femme. Je me demandais si elle le suçait et avalait.

J’avais encore une semaine Ă  faire avec lui avant d’avoir mon propre vĂ©hicule et ĂȘtre autonome. Pour clore la derniĂšre nuit ensemble, il avait rĂ©servĂ© une chambre Ă  l’hĂŽtel du centre routier. C’est cette nuit-lĂ  avec plus de confort qu’il m’a dĂ©florĂ©. Il m’a fait allonger sur le dos, relevĂ© les jambes, Ă©cartĂ© les lobes fessiers. Avec sa langue il m’a lubrifiĂ© l’anus, puis Ă©talĂ© du gel pour y faire pĂ©nĂ©trer un puis deux doigts qu’il faisait tourner pour dĂ©tendre l’entrĂ©e. Ce traitement me mettait dĂ©jĂ  dans un Ă©tat second. AprĂšs ce massage, j’ai senti son gland se prĂ©senter Ă  l’entrĂ©e de ma rondelle puis y pĂ©nĂ©trer doucement. La douleur Ă©tait supportable jusqu’à ce qu’il me pĂ©nĂštre entiĂšrement. LĂ , j’ai poussĂ© un petit cri. Il est restĂ© un moment immobile afin que je m’habitue, puis a repris ses mouvements de va et vient. Le plaisir avait laissĂ© place Ă  la douleur. Je sentais dans mes entrailles coulisser son membre, ses boules venaient taper lorsqu’il s’enfonçait au maximum. Il s’est redressĂ©, son corps s’est raidi. J’ai senti un flot de sperme me remplir. Encore en moi, il s’est allongĂ© sur moi pour m’embrasser. Je sentais la douceur de ses poils sur mon torse. La pression Ă©tant retombĂ©, il s’est retirĂ© le sexe gluant de son sperme qu’il a frottĂ© sur le mien. Mon sexe enduit, il le saisit pour me masturber jusqu’à ce que jaillisse ma semence sur mon visage et mon torse.

Le vendredi soir, j’étais dans mon lit en repensant Ă  cette formation « complĂšte » et que dĂšs lundi je serai seul au volant d’un camion et les rencontres possibles lors des repos sur les parkings.






..

Ça fait 5 ans que je suis dans cette entreprise et pour fĂȘter cela mon patron m’a octroyĂ© un vĂ©hicule dernier modĂšle avec tous les amĂ©nagements pour mes pauses, surtout si je devais rester bloquĂ© tout un weekend, ce qui arrivait souvent puisque j’étais un chauffeur cĂ©libataire et que ça ne me dĂ©rangeait pas, bien au contraire.

J’étais fier au volant de ce bijou de technologie. Ce jour-lĂ  il pleuvait sur cette route rectiligne. La nuit commençait Ă  tomber lorsqu’au loin, je vois une silhouette faisant du stop.

En me rapprochant, je distingue une silhouette en jupe, des cheveux qui dĂ©passent d’un chapeau. Bien que je ne prenne jamais de filles, comme la nuit arrive et qu’il pleut, j’arrĂȘte mon camion un peu plus loin sur un emplacement. Dans mon rĂ©troviseur, je vois la personne arriver en courant. En ouvrant la porte, je vois un jeune gars, roux comme un Ă©cureuil. Avec un accent il me demande si je vais Ă  Calais. Je rĂ©ponds que je dois passer la nuit sur un centre routier, que je serai Ă  Calais qu’en fin de matinĂ©e. Il me rĂ©pond que cela lui va trĂšs bien puisque le ferry ne part qu’en fin d’aprĂšs-midi.

Il monte dans mon camion.

Comme il est trempĂ©, je lui dis de se changer. Je ne voulais pas qu’il mouille le siĂšge tout neuf. Il me dit que ses vĂȘtements sont mouillĂ©s, alors je lui passe un short et un tee-shirt.
Il passe vers la couchette et commence Ă  enlever son chapeau, son tee-shirt qu’il accroche Ă  la paterne, puis se penche vers son sac Ă  dos. Je vois qu’il est un vrai Ă©cossais puisqu’il n’a rien sous son kilt. Il prend une serviette et enlĂšve son kilt. J’ai Ă  cĂŽtĂ© de moi un superbe mec Ă  poil avec un magnifique cul poilu. En discutant, il me raconte qu’il est Ă©tudiant en vacances, qu’il rentre Ă  Edinburg. Je vois qu’il commence Ă  piquer des pois et fini par s’endormir.

Une heure plus tard, je range la semi-remorque entre deux camions. Le bruit des bouteilles d’air le rĂ©veille. Je lui explique que je dois passer la nuit ici, qu’il peut rester et dormir dans le camion.

Je lui dis qu’on peut prendre une douche et manger au self. Il m’accompagne. Il y a des douches communes ou individuelles toutes occupĂ©es. Nous nous installons. Je vois son beau corps de face. Ses poils ambrĂ©s sur son corps musclĂ© m’électrisent, au point que j’ai du mal Ă  contenir un dĂ©but d’érection lorsqu’il se savonne le ventre, ses boules en passant entre ses fesses, son sexe qu’il dĂ©calotte plusieurs fois. La douche terminĂ©e, nous allons au self pour prendre une biĂšre et un sandwich.

En revenant vers le camion, je lui dis qu’il avait un beau corps, que les filles devaient craquer. Sans ambages, il met son bras autour de mon Ă©paule, il me rĂ©pond qu’il m’avait vu sous la douche, que les garçons aimaient aussi son corps.

RemontĂ©s dans le camion, nous dĂ©plions la couchette. Avant de s’allonger il m’embrasse Ă  pleine bouche. Il me semble que son baiser dure une Ă©ternitĂ©. Mon sexe s’est durci dans mon short. Je sens le sien tout aussi en forme. Nous nous dĂ©shabillons mutuellement avant de se mettre sur la couchette.

Nos mains parcourent nos peaux enlacĂ©s, nos bouchent explorent notre corps n’oubliant ni le cou, les tĂ©tons, le ventre et nos sexes. Il saisit ma verge qu’il dĂ©calotte – ce que j’adore – pour que sa langue lĂšche mon gland sans oublier le frein, puis descend sur mes boules. Il Ă©carte mes jambes, sa barbe frĂŽle mes cuisses et comme Ă  chaque fois je frisonne.

Je lui fais comprendre de se retourner pour se retrouver tĂȘte bĂȘche. J’ai sur mon visage ses grosses boules et sa grosse queue courte mais Ă©paisse. Lorsque je la dĂ©calotte, je dĂ©couvre un Ă©norme gland qui a du mal Ă  entrer dans ma bouche. J’écarte au maximum mes lĂšvres pour le prendre entiĂšrement. Il commence Ă  mouiller et je goĂ»te son prĂ©-cum.

Je sens qu’il soulĂšve une jambe pour que j’aille lui bouffer le cul. J’enfourne mon visage entre ses fesses Ă©cartĂ©es. J’atteins sa rosette entourĂ©e de poils. Il s’arrĂȘte de s’occuper de moi pour profiter du plaisir qu’il ressent. Il gĂ©mit. Lorsque je reviens sur sa queue, il reprend l’introspection de ma raie. Il Ă©carte mes fesses, plonge son visage, me lĂšche l’anus avec beaucoup de salive avant d’y introduire deux doigts qu’il agite de vas et vient circulaires.

Il me positionne en travers du lit dos sur le mur de la couchette, soulĂšve mes jambes et prĂ©sente son membre Ă  l’entrĂ©e de mon trou. Je stresse Ă  l’idĂ©e de prendre un tel morceau. Il pousse doucement. Je sens son gland pĂ©nĂ©trer le premier sphincter puis sa queue entrer lentement. Bien qu’ayant dĂ©jĂ  pratiquĂ© la sodomie, son manche me procure une douleur supportable. AprĂšs ĂȘtre entrĂ© complĂštement, il marque une pause avant de commencer Ă  me limer. Je sens sa verge Ă  chaque aller-retour.

Dans cette position, il peut saisir mon sexe dur et le branler. Ce double plaisir me fait ahaner chaque fois que son pubis s’appuie sur mes couilles.
La jouissance mutuelle ne va pas tarder. Il sort sa que de mon trou, pour Ă©jaculer plusieurs jets sur mon ventre, puis rentre Ă  nouveau pour continuer Ă  me fourrer. Il me lime quelques instants et fini de se vider les couilles Ă  l’intĂ©rieur. Il me branle jusqu’à ce que j’expulse plusieurs jets de sperme. Mon ventre et mon cul Ă©taient maculĂ©s de jus. Il se penche sur moi pour me rouler une mĂ©ga pelle.

J’ai toujours un petit bidon d’eau dans mon camion. A cette heure tardive nous sortons nus pour se rincer. Un routier insomniaque fume une cigarette en nous regardant se frotter mutuellement nos torses. Il nous salut avec un sourire qui en dit long sur ce qu’il s’est passĂ© dans le camion.

Je me rĂ©veille le premier. Mon Ă©cossais est allongĂ© sur le dos avec une magnifique Ă©rection. Je ne peux m’empĂȘcher de saisir son obĂ©lisque, pour la sucer. J’arrive Ă  faire rentrer la moitiĂ© de son membre. Je le suce avec Ă©nergie. Il bouge. Je continue. Il se raidit pour m’envoyer une grande quantitĂ© de son jus dans la bouche. J’avale tout. HĂ©las, il n’avait pas le goĂ»t de whisky – ha ! Ha ! Ha !

Je n’avais jamais connu un tel assaut depuis que je roule.

AprĂšs le petit dĂ©jeuner, nous reprenons la route. J’arrive en fin de matinĂ©e Ă  Calais. Je le dĂ©pose pour l’ Ile, et moi repars pour Lille.

Je revois souvent mon formateur qui me fait un sourire et un clin d’Ɠil qui en disent long, surtout lorsqu’il est accompagnĂ© d’un jeune en formation.

VoilĂ  pourquoi j’aime bien mon mĂ©tier, je voyage et fais des rencontres intĂ©ressantes. Mon prochain objectif est de devenir formateur.
Published by gaimago
4 years ago
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COYOTTE17 2 years ago
SUPER
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natur21 3 years ago
bien joli recit moi meme etant routier
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bicomplice
bicomplice 3 years ago
to gaimago : Avec plaisir
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gaimago
gaimago Publisher 3 years ago
to bicomplice : merci pour ton commentaire.
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bicomplice
bicomplice 3 years ago
superbe récit, comme j'aimerais vivre cela de cette maniÚre
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robertuis 3 years ago
En  1987 ,l' été , J'ai passé mes permis et , suis allé en stage  , J' aime les costauds Hmmmm . Merci 
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frenchyparis 4 years ago
Ça m’a fait bien bander,cmerci 
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TriCummer
TriCummer 4 years ago
to gaimago : De rien!
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gaimago
gaimago Publisher 4 years ago
to TriCummer : merci pour ton commentaire
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TriCummer
TriCummer 4 years ago
Je pense que la plupart des routiers sont gros, mĂȘme si comme histoire elle est excitante
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gaimago
gaimago Publisher 4 years ago
to alexandrebi : merci pour ton commentaire. J'en ai posté d'autres
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alexandrebi 4 years ago
merci j adore ces 2 histoires bien excitantes
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penntoull 4 years ago
to gaimago : De rien et merci pour tes contributions...
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gaimago
gaimago Publisher 4 years ago
to penntoull : merci pour ton commentaire
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penntoull 4 years ago
Les routiers sont sympa ! 
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