Masturbation technique edging
Masturbation technique
Exercice 2
Toujours assis, mais cette fois au fond du fauteuil, vous allez solliciter votre sexe par une stimulation, pour obtenir votre érection et une préparation à votre masturbation prolongée qui font appel pratiquement au même mouvement.
Votre attitude est moyennement relâchée, vos cuisses écartées et vos jambes à demi allongées. Vous concentrez votre regard sur votre sexe. Tout d'abord votre main gauche se referme sur vos testicules, vos doigts se rejoignant presque, tout près de la racine externe de votre pénis.
Votre main droite retire le prépuce et, seulement du pouce et de l'index placés en vis-à-vis vous allez faire venir l'érection. Toujours positionnés juste derrière la couronne, ils ne compriment pas votre gland mais se posent délicatement. Dans un premier temps, votre main gauche conserve son immobilité, vos deux doigts droits déplacent votre pénis d'arrière en avant très lentement. Ne faites rien d'autre que cette simple incitation. La chaleur qui transite dans vos testicules passe très rapidement dans votre pénis qui, par le biais de ce déplacement doux et lent, gonfle étonnamment vite. Si au bout de quelques dizaines de secondes et pas davantage, vous ne sentez et ne voyez aucune modification, ne brusquez pas les choses : il ne sert à rien d'être impatient, car il importe que votre érection se mette en place par ce mouvement ; ce même mouvement qui vous masturbera pour profiter d'un plaisir qui durera indéfiniment. Toute autre stimulation ne pourrait avoir un prolongement aussi parfait. Regardez donc très attentivement vos deux doigts et le déplacement de votre gland qui se refuse jusqu'ici à grossir, et donnez de très subtiles impulsions à votre pouce et à votre index droits. Cette combinaison suffit pour entraîner un début de modification notable. Vous n'arrêtez pas le mouvement, vous lui donnez seulement plus d'amplitude. Il est presque impossible qu'au terme d'une à deux minutes vous ne parveniez pas à une érection semi-rigide. Au fur et à mesure de la progression, la peau de votre pénis se tend et vos doigts droits ont un contact beaucoup plus étroit à l'endroit sensible où ils sont appuyés. Sans faiblir, et avec la même constance dans la régularité, vous pouvez poursuivre de longues minutes ; le pouce et l'index gauches s'enfoncent progressivement contre la base de votre pénis, tandis que vous contractez les muscles pelviens : vous devez sentir la rétraction de l'anus.
Votre érection est établie. Il s'agit maintenant d'augmenter l'intensité votre plaisir, encore diffus, sans chercher à vous précipiter sur une masturbation classique. Amplifiez au maximum le déplacement votre pénis en le tirant vers le haut, tandis que vous intensifiez la pression à sa base. Si vous continuez suffisamment longtemps, votre plaisir lui-même ne demandera pas à se poursuivre autrement que par ce moyen ; vous allez donc faire fluctuer en alternant ces grands débattements et des déplacements plus courts, mais aussi plus rapides, sans modifier quoi que ce soit dans le placement de vos doigts. Au fil des minutes, la rigidité de votre pénis arrive à son apogée, votre gland s'empourpre c'est le moment de modifier la stimulation de base, en l'adaptant à votre main droite toute entière. Posez confortablement votre avant-bras sur l'accoudoir, car le mouvement que vous allez entreprendre ne peut pas se faire vraiment bien sans cet appui. Entourez donc de vos cinq doigts votre gland mais sans le saisir ; n'exercez aucune pression, il s'agit seulement de lui imprimer le même mouvement, mais avec une vitesse qu'un maintien ferme rendrait tout à fait impossible. C'est votre poignet qui transmet l'impulsion à vos doigts pour une vibration de très courte amplitude de très grande rapidité. Les tapotements ainsi obtenus sollicitent votre gland sous la couronne, le pouce étant placé au dos, les quatre autres doigts sur le devant. Continuez à maintenir fermement vos testicules en poursuivant pressions et relâchements. Vous modifiez alors légèrement cette incitation. Bloquez vos cinq doigts et tirez par le haut votre gland comme si vous vouliez l'arracher du reste de votre verge. Ces tractions à effectuer une vingtaine de fois augmentent considérablement l'afflux sanguin vers le gland. Vous reprenez le mouvement précédent que vous alternez à nouveau avec celui-ci : l'excitation devient effectivement de plus en plus vive, vous ressentez des picotements très diffus dans toute la zone du bassin. Puis vous faites ces mouvements vibratoires mais sans lâcher votre gland : c'est à ce moment que vos sensations commencent à être les plus vives, ce courant de plaisir qui part d'en haut descend tout le long de votre verge jusqu'aux testicules.
Vos doigts de la main gauche se déplacent à la base même de votre pénis et libèrent donc vos testicules.
Du pouce, de l'index et du majeur, vous faites à ce niveau de courts mais fermes massages qui à leur tour font remonter ce courant vers le sommet. L'alternance de tous ces mouvements provoque un mélange de plaisir et d'agacement que vous voulez poursuivre par moments et arrêter par d'autres. En poursuivant longtemps encore cette combinaison de mouvements, vous allez franchir un cap où l'agacement disparaîtra pour ne laisser qu'une intense sensation de plaisir. Poursuivez donc ces alternances. Au bout d'un temps variable selon chacun, l'excitation devient brutalement très vive, c'est l'arrivée du liquide lubrifiant dont beaucoup d'hommes ignorent l'existence et son indication. Cela veut dire que vous n'allez pas tarder à éjaculer...
Arrêtez net, ne bougez plus, fermez les paupières et faites le vide en ne pensant qu'à votre respiration, prenez de très profondes inspirations ; cette façon de procéder vous calme, en quelques secondes, la tension tombe et vous retrouvez votre lucidité.
Il est normal qu'à ce moment vous constatiez une perte partielle d'érection, car l'excitation a dépassé le stade où vous auriez dû éjaculer. Ceci augure d'une masturbation que vous allez pouvoir poursuivre un temps que vous ne pouviez imaginer auparavant. La stimulation a exacerbé votre gland et le sang stagne dans l'attente de sa réactivation. Vous pouvez donc dès maintenant vous masturber de la façon suivante : de la main gauche, en un va-et-vient important, par déplacement de la peau, sans toutefois aborder le gland qui est devenu très irritable, faites-le lentement, puis reprenez de la main droite mais très rapidement et changez de main tous les vingt aller et retour environ. Cette alternance des mains influe considérablement sur le prolongement de votre masturbation donc de votre plaisir. Du fait de l'excitation prolongée qui a précédé cette masturbation, vous arrivez maintenant à contrôler beaucoup plus facilement la montée du sperme.
Pendant plusieurs secondes en effet, alors que vous sentez distinctement sa venue, vous êtes capable de poursuivre sans risque et de vous arrêter quand vous le jugez indispensable. Ralentissez le mouvement et la pression jusqu'à cinquante pour cent. L'envie d'éjaculer disparaît aussitôt.
Vous pouvez recommencer, tout cela sans effort, avec une maîtrise totale. Il est préférable d'arrêter l'exercice sans conclure par l'éjaculation.
Exercice 2
Toujours assis, mais cette fois au fond du fauteuil, vous allez solliciter votre sexe par une stimulation, pour obtenir votre érection et une préparation à votre masturbation prolongée qui font appel pratiquement au même mouvement.
Votre attitude est moyennement relâchée, vos cuisses écartées et vos jambes à demi allongées. Vous concentrez votre regard sur votre sexe. Tout d'abord votre main gauche se referme sur vos testicules, vos doigts se rejoignant presque, tout près de la racine externe de votre pénis.
Votre main droite retire le prépuce et, seulement du pouce et de l'index placés en vis-à-vis vous allez faire venir l'érection. Toujours positionnés juste derrière la couronne, ils ne compriment pas votre gland mais se posent délicatement. Dans un premier temps, votre main gauche conserve son immobilité, vos deux doigts droits déplacent votre pénis d'arrière en avant très lentement. Ne faites rien d'autre que cette simple incitation. La chaleur qui transite dans vos testicules passe très rapidement dans votre pénis qui, par le biais de ce déplacement doux et lent, gonfle étonnamment vite. Si au bout de quelques dizaines de secondes et pas davantage, vous ne sentez et ne voyez aucune modification, ne brusquez pas les choses : il ne sert à rien d'être impatient, car il importe que votre érection se mette en place par ce mouvement ; ce même mouvement qui vous masturbera pour profiter d'un plaisir qui durera indéfiniment. Toute autre stimulation ne pourrait avoir un prolongement aussi parfait. Regardez donc très attentivement vos deux doigts et le déplacement de votre gland qui se refuse jusqu'ici à grossir, et donnez de très subtiles impulsions à votre pouce et à votre index droits. Cette combinaison suffit pour entraîner un début de modification notable. Vous n'arrêtez pas le mouvement, vous lui donnez seulement plus d'amplitude. Il est presque impossible qu'au terme d'une à deux minutes vous ne parveniez pas à une érection semi-rigide. Au fur et à mesure de la progression, la peau de votre pénis se tend et vos doigts droits ont un contact beaucoup plus étroit à l'endroit sensible où ils sont appuyés. Sans faiblir, et avec la même constance dans la régularité, vous pouvez poursuivre de longues minutes ; le pouce et l'index gauches s'enfoncent progressivement contre la base de votre pénis, tandis que vous contractez les muscles pelviens : vous devez sentir la rétraction de l'anus.
Votre érection est établie. Il s'agit maintenant d'augmenter l'intensité votre plaisir, encore diffus, sans chercher à vous précipiter sur une masturbation classique. Amplifiez au maximum le déplacement votre pénis en le tirant vers le haut, tandis que vous intensifiez la pression à sa base. Si vous continuez suffisamment longtemps, votre plaisir lui-même ne demandera pas à se poursuivre autrement que par ce moyen ; vous allez donc faire fluctuer en alternant ces grands débattements et des déplacements plus courts, mais aussi plus rapides, sans modifier quoi que ce soit dans le placement de vos doigts. Au fil des minutes, la rigidité de votre pénis arrive à son apogée, votre gland s'empourpre c'est le moment de modifier la stimulation de base, en l'adaptant à votre main droite toute entière. Posez confortablement votre avant-bras sur l'accoudoir, car le mouvement que vous allez entreprendre ne peut pas se faire vraiment bien sans cet appui. Entourez donc de vos cinq doigts votre gland mais sans le saisir ; n'exercez aucune pression, il s'agit seulement de lui imprimer le même mouvement, mais avec une vitesse qu'un maintien ferme rendrait tout à fait impossible. C'est votre poignet qui transmet l'impulsion à vos doigts pour une vibration de très courte amplitude de très grande rapidité. Les tapotements ainsi obtenus sollicitent votre gland sous la couronne, le pouce étant placé au dos, les quatre autres doigts sur le devant. Continuez à maintenir fermement vos testicules en poursuivant pressions et relâchements. Vous modifiez alors légèrement cette incitation. Bloquez vos cinq doigts et tirez par le haut votre gland comme si vous vouliez l'arracher du reste de votre verge. Ces tractions à effectuer une vingtaine de fois augmentent considérablement l'afflux sanguin vers le gland. Vous reprenez le mouvement précédent que vous alternez à nouveau avec celui-ci : l'excitation devient effectivement de plus en plus vive, vous ressentez des picotements très diffus dans toute la zone du bassin. Puis vous faites ces mouvements vibratoires mais sans lâcher votre gland : c'est à ce moment que vos sensations commencent à être les plus vives, ce courant de plaisir qui part d'en haut descend tout le long de votre verge jusqu'aux testicules.
Vos doigts de la main gauche se déplacent à la base même de votre pénis et libèrent donc vos testicules.
Du pouce, de l'index et du majeur, vous faites à ce niveau de courts mais fermes massages qui à leur tour font remonter ce courant vers le sommet. L'alternance de tous ces mouvements provoque un mélange de plaisir et d'agacement que vous voulez poursuivre par moments et arrêter par d'autres. En poursuivant longtemps encore cette combinaison de mouvements, vous allez franchir un cap où l'agacement disparaîtra pour ne laisser qu'une intense sensation de plaisir. Poursuivez donc ces alternances. Au bout d'un temps variable selon chacun, l'excitation devient brutalement très vive, c'est l'arrivée du liquide lubrifiant dont beaucoup d'hommes ignorent l'existence et son indication. Cela veut dire que vous n'allez pas tarder à éjaculer...
Arrêtez net, ne bougez plus, fermez les paupières et faites le vide en ne pensant qu'à votre respiration, prenez de très profondes inspirations ; cette façon de procéder vous calme, en quelques secondes, la tension tombe et vous retrouvez votre lucidité.
Il est normal qu'à ce moment vous constatiez une perte partielle d'érection, car l'excitation a dépassé le stade où vous auriez dû éjaculer. Ceci augure d'une masturbation que vous allez pouvoir poursuivre un temps que vous ne pouviez imaginer auparavant. La stimulation a exacerbé votre gland et le sang stagne dans l'attente de sa réactivation. Vous pouvez donc dès maintenant vous masturber de la façon suivante : de la main gauche, en un va-et-vient important, par déplacement de la peau, sans toutefois aborder le gland qui est devenu très irritable, faites-le lentement, puis reprenez de la main droite mais très rapidement et changez de main tous les vingt aller et retour environ. Cette alternance des mains influe considérablement sur le prolongement de votre masturbation donc de votre plaisir. Du fait de l'excitation prolongée qui a précédé cette masturbation, vous arrivez maintenant à contrôler beaucoup plus facilement la montée du sperme.
Pendant plusieurs secondes en effet, alors que vous sentez distinctement sa venue, vous êtes capable de poursuivre sans risque et de vous arrêter quand vous le jugez indispensable. Ralentissez le mouvement et la pression jusqu'à cinquante pour cent. L'envie d'éjaculer disparaît aussitôt.
Vous pouvez recommencer, tout cela sans effort, avec une maîtrise totale. Il est préférable d'arrêter l'exercice sans conclure par l'éjaculation.
4 years ago
