J'ai osé 7
Un jour, Hervé ma prêté. Oui, prêté. A un de ses copains dont je ne savais rien, sauf qu'il habitait en lointaine banlieue. Comme j'étais au chômage, j'ai accepté d'y aller pendant une semaine. Il se nommait L. et n'avait pas sa langue dans sa poche ni sa queue dans son slip. C'était pas mal chez lui, le résultat d'une vie de travail. C'était grand mais vide. Il était veuf et ses enfants je ne sais où. Il avait un grand jardin et une piscine. Il était à la retraite depuis plusieurs années. On avait donc tout notre temps mais dès que je suis arrivé chez lui, il a commencé à me foutre à poil et à me tripoter. En moins de dix minutes, j'étais prêt à l'emploi. J'ai commencé à le sucer dans sa chaise-longue pendant qu'il sirotait un cognac. Après un moment, il a joui et m'a dit de garder le sperme dans la bouche sans l'avaler. J'ai gardé ce jus pendant de longues minutes, peut-être près d'une heure et je l'ai avalé sur son ordre pendant qu'il me masturbait doucement. Pendant toute la journée, il m'a tripoté et je l'ai sucé, léché et branlé dans ma bouche et sur mon visage. Le soir, il a fait venir deux de ses amis. Ils m'ont sauté à trois. Un des deux mecs avait une queue énorme, j'avais vraiment eu du mal à la sucer. Quant à me laisser enculer, j'en avais pas tellement envie... au début. Parce qu'après trois ou quatre enculages par les autres, mon anus était assez distendu pour l'accepter. Et là, je le trouvais encore trop insuffisant. On devient vite une vraie putain. Tous les jours, il venait un ou deux de ses copains, ou bien des copains des copains. Ils me passaient dessus comme ils en avaient envie. J'avais l'impression d'être une putain qui reçoit des clients. Je l'étais peut-être ? Je m'en foutais, j'avais beaucoup de plaisir. Je commençais à aimer beaucoup le fait de me faire jouir dans la bouche à tour de rôle ou ensemble. J'ai énormément avalé de sperme pendant cette semaine. L. regardait quand je faisais la salope et il me baisait souvent aussi. Mais à force de satisfaire plusieurs hommes, j'étais en manque quand il était seul. Les nuits, il m'enculait et je lui suçais la bite juste après. Elle était parfois sale. Il aimait que j'aime ça. Il me faisait lécher les anus de ses copains et ils n'étaient pas tous bien propres. Certains me pissaient dessus et dans la bouche. Là aussi, j'avalais leurs jets de pisse avec plaisir. Quand j'ai quitté L. pour rentrer chez moi, j'étais triste. Plus de queue à toute heure. Plus de giclées de sperme à avaler. Je l'ai revu plus tard, parfois, avec Hervé. Ils me baisaient ensemble. L. ne se laissait pas enculer mais j'aurais reconnu son trou du cul les yeux fermés tant je le lui ai léché.
4 years ago