Martine ou Edwige
Bourgeoise Martine ou Soumise Edwige
Récit entièrement imaginé et fantasmé entre participant qui existe.
Personnage présent :
Martine, nom de scène : Soumise Edwige
Patrick, mon mari cocu
David, l'organisateur et dont je suis la soumise pour ce soir
Éric, le propriétaire du donjon
Raoul, un black bi hyper membré
Laurent, le spécialiste du fist
Je me présente, je m’appelle Martine. Je suis une bourgeoise, la cinquantaine passée, mariée à Patrick depuis des années et très heureuse en couple.
Dans la vie de tous les jours, je suis une femme assez austère, les gens qui ne me connaissent pas me définiront comme quelqu’un d’hautain. Mais je mène une double vie, car depuis un moment, mon mari m’a fait part de son désir de candaulisme et il me livre à des soirées libertines.
Dans ces soirées là je deviens EDWIGE et je me suis découvert un désir de soumission que je n’aurais jamais soupçonné des années en arrière. Dans ces moments-là je me sens une vraie Chienne et je suis capable de tout accepté de la part de Maîtres qui savent manier une Salope comme moi.
Je tenais à vous faire part de notre dernière rencontre : Patrick depuis quelques temps discutait avec un homme de 48 ans (David) vivant à 2 h de chez nous, il se définissait comme un homme ayant un penchant à dominer les femmes matures. Après une première rencontre chez lui très hard, j’avais hâte de le revoir et de me soumettre totalement à lui.
Aussi, quand il nous a recontactés et a promis à Patrick une séance encore plus intense, on a rapidement répondu par l’affirmative à son invitation. Le rendez-vous eu lieu à une autre adresse que chez David, sans nous donner plus de détail.
Je suis habillé comme une bonne Pute, un petit ensemble en latex, seins nu, mini jupe ras le cul avec un string ouvert.
On arrive dans une maison retirée en pleine nature. David nous attend dehors et à peine sortie de voiture, il me roule une pelle intense, tout en pelotant mon cul et me parle crûment.
David : « Bonjour, ma petite Salope d’Edwige, aujourd’hui on va être plus hard que l’autre fois et tu es ma chienne, secoue la tête si tu es partante pour te laisser entièrement dominer. »
Je lui obéis et ne voulant ne pas le décevoir, j’en profite pour m’agenouiller et à dégrafer son pantalon, envie d’avoir de suite une bite à sucer. Mais il me relève me disant que j’aurai tout le temps pour le sucer. Il m’équipe d’un collier avec le mot SLAVE dessus et au bout de ce collier m’installe une laisse.
David : « Tu vas gentiment me suivre, à 4 pattes et rejoindre nos invités, ils sont là pour toi et je leur ai venté tes talents alors ne me déçoit pas. »
Avec mes talons hauts, ma mini-jupe remonte sur mes fesses, dévoilant clairement mon string fendue.
En rentrant dans le salon, se trouve 3 autres mecs, Éric le propriétaire de la maison, ainsi que Laurent et Raoul un grand black. Je comprends de suite qu’on va entrer dans le vif du sujet car ces 3 hommes sont déjà nus installé sur un grand canapé.
David : « Voilà Edwige en tant que ma SALOPE, tu vas dire bonjour à ces Messieurs et comme les Chiennes adorent bouffer des culs, tu vas commencer par introduire ta langue dans leur anus. »
Je suis littéralement ravie, en plus de Patrick, je vais avoir 4 bites rien que pour moi, mon sexe est déjà bien trempée.
Je lèche à tour de rôle les culs de ses hommes, ils sont tous très bien équipés, je sais que je prendre plaisir à me faire baiser par ceux-ci.
Pendant ce temps, David s’occupe du mien de cul, je sais qu’il va me prendre l’anus avant de me baiser la chatte, la fois où l’on s’est rencontré c’est ceux qu’il a fait. Sa langue me fait du bien en s’insérant dans ma rondelle. Au moment où il me rentre 1 puis 2 doigts les 3 mecs se lèvent et viennent me baiser la bouche à tour de rôle. Ils m’utilisent comme une poupée gonflable, je ne suis pas en train de les sucer car ils se servant de ma bouche comme d’un vulgaire trou. Les gorges profondes s’enchaînent les unes aux autres, je bave littéralement sur leurs bites.
David présente son gland devant mon cul, alors d’un mouvement de recul, c’est moi qui force la pénétration, lui montrant à quel point j’ai envie qu’il m’encule.
Les mecs se déchaînant, je suis déjà en loque, totalement décoiffé, ma bouche est tellement défoncé que j’en ai mal à la mâchoire, les larmes coulent sur mon visage mais je prends un pied terrible.
David se retire de mon cul en annonçant :
David : « Au suivant, prenez lui son cul à cette traînée, il sera temps de s’occuper de sa chatte humide après. »
Ils se concertent et décide de venir m’enculer en commençant par le sexe le moins gros pour finir pour celui de Raoul qui ne dément pas la réputation des sexes de blacks. Éric se présente le premier et il arrive avec un martinet et juste avant de m’enculer me fouette intensément le cul. Je sens mes fesses rosir, ça chauffe et ma chatte dégouline sur le sol, les mecs le remarquent et ne se gène pas pour m’insulter.
Raoul : « Regardez-moi cette Salope, elle gicle sur le sol, tu devras me nettoyer tout cela après Blanchette. »
J’adore qu’on me parle crûment, je me sens réellement Chienne dans ces moments-là. Alors qu’Éric me prend le cul, David me tend sa bite...
David : « Allez Edwige, coûte un peu l’odeur de ma bite qui sort de ton cul, applique toi à bien me la nettoyer, ton cocu nous a vanté tes talents de suceuse. »
Je sais que certaines femmes trouvent cela dégradant de sucer une queue sortant d’un anus mais moi cela ne me pose aucun souci, autant si je suis Martine la femme sérieuse je pourrais être offusquée, mais en étant Edwige, je me laisse aller dans ma lubricité et ma perversité.
Et Patrick me direz-vous ? J’allais oublier de vous en parler. Lui il adore jouer le rôle du cocu et me voir dans cet état. David étant au courant avait prévenu les autres de l’attacher à une chaise, le pantalon sur les chevilles, la queue à l’air pour qu’il ne puisse pas se branler. David ne se gêne pas de l’humilier, cela nous excite tout les 2.
David : « Alors le cocu ! Regardes comme on fait de ta femme notre PUTE. »
Patrick bande dur et pour lui c’est un doux calvaire de me voir prise ainsi et je sais qu’il est capable lui aussi de toute les perversions aussi je compte bien, moi aussi, sa femme en profiter plus tard et l’humilier également.
Après Éric, c’est au tour de Laurent de venir prendre mon cul, lui aussi n’y est pas allez de main morte et m’a prise un long moment en tapant fort et profondément, je devais en être à mon deuxième orgasme quand il s’est retiré de mon cul bien élargi.
À ce moment-là Raoul s’est approché de moi, toujours à 4 pattes en levrette, heureusement que les 3 autres m’avait bien élargie le cul car si j’avais du le prendre en premier j’aurai bien dérouiller. Lui ne me claques pas les fesses avec sa main, mais il me les claque avec son gros chibre et mon cul est tellement rouge que rien que ça cela me fait sursauter.
Au moment où son gland me pénètre, malgré que je sois bien dilatée je ressent une douleur tellement il est large, jamais pris un engin si gros dans mon anus. Mais je sais être aussi perverse qu’eux et me vient une idée alors j’ose faire une demande à David pendant que Raoul s’active en moi.
Edwige : « Maître David, si Raoul est d’accord, j’aurai une demande à faire pour vivre un de mes plus grand fantasme. »
David : « Dis le nous et on verra si on y répond favorablement. »
Edwige : « J’ai honte mais tant pis je me lance.....j’aimerai que mon cocu nettoie son gros calibre quand Raoul aura fini de m’enculer, toujours rêver de voir mon homme sucer un black. »
Raoul a un grand sourire aux lèvres et me réponds : « On peut dire que tu as de la chance, sur nous 4 je suis le seul qui sois bi, alors me faire sucer par toi ou ton mec aucun problème pour moi. »
Satisfaite et malgré tout légèrement honteuse je regarde Patrick, qui même en ayant baissé la tête au début, me fais voir à son regard qu’il accepte.
David a lui une autre idée :
David : « Pourquoi attendre que Raoul ait fini, on va rapprocher la chaise et Raoul va faire un « ass to mouth » , il t’encule, Patrick le suce, puis il te la remet, ainsi de suite.... »
Edwige : « Mmmm merci vous êtes un vrai cochon, en réalisant mon grand fantasme, vous pouvez TOUT exiger de moi, je ne pourrais rien vous refuser. »
Éric et Laurent ont ramené Patrick toujours attaché près de moi, quand j’ai vu mon homme sorti de lui même sa langue pour avaler la bite énorme de Raoul, j’ai jouis immédiatement dans un râle intense.
Je savais que mon cocu avait des tendances bi mais c’était principalement cérébral et je lui ai fait franchir un cap dans notre perversité.
Cette séquence entre mon anus et sa bouche a du durer 5 bonnes minutes, Raoul se sentant au bord de la jouissance hésite entre jouir dans mon cul ou dans la bouche de mon homme, finalement il relie les 2 en me jouissant à l’intérieur et en ordonnant à Patrick d’abord de le nettoyer puis ensuite de nettoyer mon cul en avalant son foutre épais.
Patrick, une fois détaché s’active à obéir et pendant ce temps, les 4 hommes se servent à boire pour se remettre de ce premier acte.
Je sais que la soirée ne fait que commencer mais je suis déjà exténuée, ravie et un peu anxieuse de la suite si celle-ci doit être plus intense encore.
David vient me relever par la laisse et me donne une coupe de champagne.
David : « Je crois qu’Edwige, tu as bien mérité ce breuvage vu ta prestation, profite en car ensuite tu devras avaler un tout autre liquide plus visqueux. »
Patrick nous rejoins et nous trinquons pour ce début de soirée réussi. David demande à Patrick si on n’est pas allé trop loin avec lui dans le feu de l’action...
Patrick : « Non, j’ai adoré, ce fantasme interdit est dans mon esprit depuis longtemps et tu m’as donné l’occasion de le réaliser, au départ c’est vrai que c’était une soirée pour soumettre Salope Edwige maintenant vous savez que vous avez une autre personne qui accepte d’être soumis à vos jeux aussi, on ne vit qu’une fois. »
Tout en rigolant Raoul lui dit : « Toi t’en as pas fini avec ma bite on dirait, qui sait aussi bien après mettre fait le cul de ta Salope j’aurai envie du tien. »
Tout le monde se met à rire et cela détend l’atmosphère.
La pause n’a pas duré longtemps pour moi, Éric nous fait visiter le reste de sa maison et surtout comme il dit sa « pièce Maîtresse », en effet il a tout d’un parfait dominant car au sous-sol est installé un véritable donjon avec tous engins indispensables pour ce genres de soirée : Croix St-James, pilori, chaise de contrainte, cheval d’arçon ...plus tout un tas d’accessoire, dont un choix conséquents de fouet, martinets et badianes. Des jouets pervers trônant sur divers étagères.
Mon corps est parcouru de frisson, mélange d’angoisse et d’excitation à la vue de cette pièce. J’avais convenu avec Patrick et David que je souhaitais un jour vivre ce genre de séance BDSM mais là un doute me prend. Voyant que je n’ose pas avancer et que je reste à l’entrée de la pièce, David vient me chercher en me prenant par la laisse pendant sur mon collier.
David : « Allez avance Salope Edwige, tu es venue pour ça, pas la peine de t’en cacher. Tu ne pensais pas qu’on allait juste se contenter de baiser ton beau CUL. »
Les autres hommes ayant compris que Patrick adorait vivre son rôle de cocu, l’installe à nouveau sur une chaise, mais ils lui menottent juste une main, laissant la droite de libre.
Raoul : « Voilà le cocu, on te laisse la possibilité de te branler pendant qu’on va s’occuper de ta bourgeoise. »
Patrick : « Merci Maître, et allez y à fond, elle fait sa timide mais je suis sur qu’elle mouille abondamment. »
Éric amène la croix au centre de la pièce, celle-ci étant sur roulette. Laurent et David m’y installent, chacun s’occupant de m’attacher une main et un pied. Je me retrouve totalement nue, hormis mes bas coutures, même en étant un peu tétanisée il me tarde de la séance commence, la cyprine coule lentement le long de mes cuisses.
Laurent : « À partir de maintenant, ton corps nous appartient, ton mari n’a pas son mot à dire, par contre la séance s’arrête quand tu prononceras le mot ‘PÉNITENCE’. C’est ton mot clé pour que toutes les choses que tu subiras cessent immédiatement. As-tu bien compris ? »
Edwige : « Oui, j’ai compris. »
Un premier coup de martinet léger, donné par Éric, claque sur mes cuisses.
Éric : « Oui qui ? et oublie les messieurs, ce sera Maîtres pour nous 4. Pour la peine, mettez lui un bâillon dans la bouche, on va commencer la séance par quelques coups de fouet. Chacun de nous 4 t’en donneront 5 sur une partie de ton corps, je vais commencer par tes cuisses. Secoue la tête pour nous montrer ton obéissance. »
Le martinet ayant des lanières souples, je peux dire que cette première partie fût agréable. Après Éric sur mes cuisses, Raoul m’a fouetté le dos, Laurent les fesses et enfin David s’occupant de mes seins. Mon corps entier était rosé. Patrick bandait déjà dur mais s’abstenait de se caresser, voulant sans doute se réserver pour plus tard.
Éric : « Je vois que tu supportes facilement le martinet, passons maintenant au fouet. Comme il faut être doué pour le maniement afin de ne pas trop marquer ton corps, c’est moi qui vais m’en charger. On va t’enlever le bâillon et tu devras compter les coups à haute-voie. »
En m’ôtant le bâillon, de la bave intense coule sur mon menton et mes seins. Raoul détache Patrick et lui ordonne de me nettoyer en léchant et avalant ma salive mais en l’interdisant de m’embrasser. Mon cocu ne se le fait pas dire 2 fois.
Éric est en effet doué, d’un coup bien dosé, les lanières du fouet enroulent la totalité de mon corps. Je sursaute au premier coup, plus par surprise que par douleur et commence le comptage à voie haute ne voulant surtout pas les décevoir au risque de recevoir des coups plus intenses.
Mon cocu retrouve sa place sur le fauteuil mais au passage, Raoul se fait branler par lui. Une fois à la maison, j’ai bien l’intention de profiter de son penchant bi qu’il est en train de me montrer de plus en plus intensément.
Éric fait une pause tout les 4 coups, David alors pour corser encore un peu ma torture m’installe des pinces à seins et me doigte intensément ma chatte toute trempée avec 2 doigts.
David : « Alors Salope Edwige, tu aimes ça on dirait et ton cocu impuissant qui assiste à ton humiliation et à ta dépravation, tu vas devenir accro à ça et devenir ma Chienne attitrée. Ceci n’est que le début de ton apprentissage et j’ai pas mal de connaissance qui se feront un plaisir de te baiser, autant les hommes que les femmes. »
Ce salaud a raison, je suis à la fois honteuse mais le plaisir l’emporte et j’ai soudain un orgasme intense quand je l’entend me parler ainsi.
Éric reprends les coups de fouets se rapprochant de plus en plus de mes mamelons, je redoute l’instant où le fouet va taper sur les pinces. J’en suis à 8 dans mes comptes quand c’est au tour de Laurent de venir me doigter, la cyprine inonde mes bas-coutures, lui ne se contente pas de 2 doigts, j’ai l’impression qu’il veut me rentrer la main entière aussi par crainte je me contracte. Il n’insiste pas mais me claque la chatte :
Laurent : « Pas la peine de te contracter Chienne, ta chatte sera fistée bientôt, encore 4 coups de fouet, mais je vais te rajouter du poids sur tes lèvres vaginales. »
Et ce que je redoutais est arrivée, sur les 4 derniers coups de fouet, Éric avec une précision diabolique a visé mes mamelons pincés, je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un cri de douleur au premier coup mais ravalant ma fierté j’ai serré les dents pour les suivants sachant que ce supplice allait se terminer.
Mon Patrick a demandé à David si Éric n’allait pas trop loin.
David : « Je te rassure, il n’est pas là pour infliger de la souffrance, Edwige éprouve du plaisir à se livrer ainsi et je te rappelle qu’elle peut stopper ceci à tout moment avec le mot clé. On te fera lécher sa chatte quand on va la détacher et tu verras combien elle jouis ta traînée de bourgeoise. »
Les coups ayant cessés, Raoul s’approche et délicatement me retire une à une les poids de ma chatte, en fait la douleur arrive lorsqu’on les enlève, aussi il y va en douceur et prenant son temps entre chaque poids.
Une fois débarrassée des poids et des pinces à seins, il m’applique une pommade sur les zones rougis par le fouet et en me détachant je m’agrippe dans ses bras, ayant les jambes flageolantes.
Raoul : « On va te laisser 5 minutes de pause, ensuite on passera à un autre instrument si tu es toujours prête à te laisser dominer. »
Edwige : « Avec grand plaisir, je suis votre Soumise et je veux bien entendu continuer, mais je n’ai pas besoin de pause, j’ai envie de queue à sucer, vous m’avez mise en grand appétit. »
Alors sans laisser le temps à Raoul de réagir, je m’agenouille et commence à branler son sexe, mon Dieu qu’il est énorme !!! Du coup Laurent se positionne derrière mon cul et entreprend de branler mon clito.
Mais à mon grand regret, David nous arrête.
David : « Ce n’est pas à toi à décider ce que tu dois faire !!! mais puisque tu veux sucer, alors on va t’installer sur le pilori et tu nous suceras à tour de rôle, sauf Laurent qui lui va te fister la chatte. »
J’avoue que de toutes les machines présentes, c’est celle dont j’avais le plus envie en arrivant, aussi je me laisse docilement amené et attaché, la tête bien maintenue par le morceau de bois.
Pendant que Raoul, Éric et David me présentent leurs bites à sucer, Laurent commence à me préparer la chatte afin que je subisse un FIST vaginal.
Je suis tellement excitée par tout ce qui nous est déjà arrivé à Patrick et à moi, que Laurent entre directement 4 doigts et s’exclame :
Laurent : « Toi qui faisais ta mijaurée, je vais très facilement te fister vu comme ta chatte est une gouffre ambulant, même pas besoin de gel tellement tu es dilatée petite Putain. »
Je le sens qui s’active en moi et toutes mes craintes se sont envolés tellement il s’y prend de façon intense mais en même temps en étant attentionné à ne pas me faire mal. Malgré tout, je sens qu’il arrive au niveau du poignet et pour m’encourager à me détendre il me claque une fesse en me disant que je suis une bonne Chienne. Pendant ce temps les 3 autres ne perdent pas leur temps et continuent à utiliser ma bouche comme un vulgaire vide-couilles. Raoul me surprend car il a déjà une seconde éjac et me maintient la tête fermement afin que je l’avale. La quantité de sperme qui m’envoie au fond de ma gorge est impressionnante et forcément le trop plein me sort de la bouche. Me voyant ainsi souillée, Éric me balance la purée sur mon visage et mes seins.
Éric : « C’est comme cela que tu es la plus bandante et Chienne avec la gueule recouvert de nos semences, comme tu ne peux pas bouger et avaler nos jus, on va faire venir Soumis Patrick, à lui de te nettoyer et d’avaler notre foutre, lui seul décidera s’il le partage avec toi. »
Edwige : « Merci mes Maîtres d’utiliser aussi mon cocu, mais avec la main de Laurent dans mon vagin en même temps que sa langue dans mon cul, je sens que je vais m’évanouir tellement j’ai d’orgasmes sur orgasmes. »
Laurent : « Attends la bourgeoise, y a encore un trou de dispo, vu comme je t’ai préparé le cul, David va se régaler de t’enculer pendant que je continue à te fister. »
Edwige : « Attendez cela ne rentrera pas avec votre main !!! vous allez m’écarteler. »
David viens me donner une gifle : « Je t’ai déjà dis que tu n’avais pas ton mot à dire ce soir, tu es ma Chienne, alors contente toi d’obéir et au lieu de te plaindre de nous, pense plutôt à nous remercier de parfaire ton dressage en bonne Pute bourgeoise. »
Je ne peux pas me tourner ayant la tête bloquée dans le pilori mais je sens son engin qui pénètre ma rondelle sans ménagement.
Je ne suis plus qu’une loque humaine mais cela m’est égale, je suis venue pour ça et mes cris de jouissance encouragent mes baiseurs. Raoul détache Patrick et le fais venir en position 69 sous moi.
Raoul : « Allez le cocu, lèche la moule de ta Pute, vu comme Laurent la fiste, elle va pas tarder à tout t’envoyer à la gueule. »
Patrick : « Merci Maître de me permettre de lécher ma Salope de femme, je ne l’ai jamais vu prendre autant son pied que ce soir. »
Et comme l’avait prévu Raoul, au moment où Laurent se retire de ma chatte béante, j’éjacule une quantité impressionnante de cyprine sur la face de mon cocu, je n’arrive même pas à savoir s’il n’y a pas aussi un mélange d’urine mais je m’en moque et inonde le visage de mon mari avec grand plaisir.
Par contre, celui-ci ayant une vue sur le sexe de David qui m’encule toujours intensément, je le vois qu’il approche sa langue et se mets à lui lécher les couilles.
David, n’étant pas bi, est surpris et de colère se retire de mon cul à mon plus grand regret.
David : « Alors comme cela on veut me lécher les couilles ? Tu vas me le payer le cocu, je ne t’en avais pas donné l’ordre et puisque apparemment tu nous dévoiles ton côté bi, il est grand temps de voir jusqu’où tu es près à aller. Les gars, attachez moi cette lopette au pilori. Edwige je te laisse décider de sa punition et ne me déçoit pas ! »
Edwige : « Hummm avec grand plaisir, alors mon bon cocu, tu vas voir ce que c’est de se prendre une grosse dans le cul et puisque tu aimes le cacao, c’est Raoul qui va te dépuceler l’anus, après tout tu as bien aimé sucé son gros cobra. »
Patrick me surprend car un léger sourire pointe sur son visage. Il me remercie même, moi sa femme pour cette punition et humiliation.
David : « Pendant ce temps, nous on va se détendre autour d’un verre et reprendre des forces, on vous laisse « entre hommes » mes petits. Raoul une fois que tu t’es soulagé, rejoins moi et laisse le attaché. »
Edwige : « Je peux rester voir cela ? »
David : « Non, tu nous accompagnes à 4 pattes, c’est à toi d’aller faire le service, mais t’inquiètes on filme la scène pour que tu puisses la voir une fois chez toi ma Salope. »
Raoul, ayant fini, nous rejoins et nous raconte que comme il a déjà joui 2 fois au cours de la soirée, il a mis longtemps avant de juter dans le cul béant de Patrick, celui-ci s’est même évanoui au moment de l’éjac.
Les 3 autres ne m’ont pas laisser sans rien faire de son côté, je me suis retrouvée la chatte et le cul plugé car on n’en avait pas encore fini avec moi et ma mission était de les laisser se servir de mes nichons à leurs guises.
Malgré tout mes multiples orgasmes j’étais encore toute trempée, David s’est exclamé qu’il avait vraiment touché le gros lot avec ce couple de pervers et qu’il comptait bien faire de moi sa CHIENNE docile. Lui présentant mon plus beau sourire, je lui ai dit qu’en effet, dorénavant je lui appartenais, mon cocu n’aura pas son mot à dire, seulement à obtempérer et que j’étais prête à signer un contrat d’appartenance à mon Maître, qu’il avait toute ma confiance.
David : « Avant de voir si je vais faire de toi ma titulaire en chef, il te reste une dernière épreuve à subir et seulement après tu pourras prendre ta décision, en attendant allons détacher Patrick et lui en parler. »
Une fois mon mari, détaché, il a besoin d’être soutenu et on l’installe tranquillement par terre, je lis sa honte sur son visage et j’en éprouve à la fois de la tristesse et de la fierté, sentiment très particulier se mélangeant en moi.
Raoul, Laurent et Éric reviennent me prendre à tour de rôle parfois en double pénétration mais toujours avec un sexe dans ma bouche.
David annonce à mon mari ce que je lui ai dit dans le salon, que j’allais lui appartenir en signant un contrat et lui demande s’il a quelque chose à dire à cela.
Patrick : « Non Maître, je savais que je prenais ce genre de risque en venant à ce genre de soirée, mais je le fais en priorité pour le plaisir de Martine, euh pardon pour le plaisir de Soumise Edwige, si elle est d’accord alors je suis heureux moi aussi. »
David : « Il faut que tu comprennes que si vous signez tout les 2 ce document, elle pourra des fois être avec moi sans que tu viennes et pas seulement pour 1 nuit, cela peut aller jusqu’au mois complet pendant l’été ? »
Patrick : « J’en accepte les conséquences soyez en sur. »
David : « Très bien alors pour la dernière épreuve d’Edwige, je me souviens très bien de nos discussions et que tu m’avais dit qu’elle n’était pas contre les douches dorées et bien une fois qu’on lui aura de nouveau juter sur sa gueule de bourgeoise, on va la nettoyer avec notre pisse, mais ce sera à toi de commencer pour te venger de ce qu’elle t’a fait subir avec Raoul. »
Patrick : « Moi perso, pas sur d’y arriver, et si c’est le cas, après en rentrant je sais qu’elle me le fera payer. Les autres elle veut bien mais pas de moi. »
David : « Est-ce-que je t’ai demandé ton avis ? ce qui se passe après chez toi ne me regarde pas surtout si c’est elle qui tient la culotte. Soit tu le fais, soit tout les 2 on se revoit pas, c’est le dernier test pour en faire ma véritable Chienne. »
Bien sur j’ai tout entendu, ce salaud m’a bien eu, car oui 1 fois j’ai goûté à l’uro, cela ne m’a pas déplu mais pour moi il était hors de question que Patrick m’utilise ainsi un jour.
Mon esprit est tiraillé de prononcer le mot fatidique PÉNITENCE et de mettre fin à ceci. David voit dans mon regard de la fureur et avant que je prononce un mot, je reçois le premier jet de foutre de Laurent en plein sur le visage et instantanément cela me rappelle combien j’aime cela et qu’il est prêt à m’emmener dans des territoires inconnues et tout excitant pour moi.
Alors fièrement je regarde David dans les yeux et lui annonce.
Edwige : « Allez y les pervers, après avoir été une vide couilles, faites de moi votre urinoir mon Maître adoré. »
Patrick les yeux remplis de larme et avec aussi un murmure me disant combien il m’aime, se vide sur moi faisant attention de ne pas m’asperger le visage, chose dont se gène pas les 4 autres. C’est ainsi recouvert de foutre gluant et de pisse que ma soirée se termine.
Avant de partir, David me confisque mes vêtements et ne m’autorise pas à aller prendre une douche salvatrice.
David : « Chienne Edwige, tu vas rentrer chez moi au petit matin ainsi, à toi de te débrouiller pour passer inaperçu quand tu sortiras de la voiture. »
Edwige : « Bien Maître David, quand est-ce qu’on se reverra ? »
David : « Très très vite, il y a des tas de personnes à qui je dois te présenter et aussi d’autres Salopes qui font d’utiliser, je dois vérifier ton côté bi aussi. À très vite Martine !!! »
Le salaud a fait exprès de m’appeler par mon vraie prénom mais cela m’excite et je suis déjà impatiente de découvrir la suite qu’il compte me réserver.
à suivre.....où pas ;-)
Récit entièrement imaginé et fantasmé entre participant qui existe.
Personnage présent :
Martine, nom de scène : Soumise Edwige
Patrick, mon mari cocu
David, l'organisateur et dont je suis la soumise pour ce soir
Éric, le propriétaire du donjon
Raoul, un black bi hyper membré
Laurent, le spécialiste du fist
Je me présente, je m’appelle Martine. Je suis une bourgeoise, la cinquantaine passée, mariée à Patrick depuis des années et très heureuse en couple.
Dans la vie de tous les jours, je suis une femme assez austère, les gens qui ne me connaissent pas me définiront comme quelqu’un d’hautain. Mais je mène une double vie, car depuis un moment, mon mari m’a fait part de son désir de candaulisme et il me livre à des soirées libertines.
Dans ces soirées là je deviens EDWIGE et je me suis découvert un désir de soumission que je n’aurais jamais soupçonné des années en arrière. Dans ces moments-là je me sens une vraie Chienne et je suis capable de tout accepté de la part de Maîtres qui savent manier une Salope comme moi.
Je tenais à vous faire part de notre dernière rencontre : Patrick depuis quelques temps discutait avec un homme de 48 ans (David) vivant à 2 h de chez nous, il se définissait comme un homme ayant un penchant à dominer les femmes matures. Après une première rencontre chez lui très hard, j’avais hâte de le revoir et de me soumettre totalement à lui.
Aussi, quand il nous a recontactés et a promis à Patrick une séance encore plus intense, on a rapidement répondu par l’affirmative à son invitation. Le rendez-vous eu lieu à une autre adresse que chez David, sans nous donner plus de détail.
Je suis habillé comme une bonne Pute, un petit ensemble en latex, seins nu, mini jupe ras le cul avec un string ouvert.
On arrive dans une maison retirée en pleine nature. David nous attend dehors et à peine sortie de voiture, il me roule une pelle intense, tout en pelotant mon cul et me parle crûment.
David : « Bonjour, ma petite Salope d’Edwige, aujourd’hui on va être plus hard que l’autre fois et tu es ma chienne, secoue la tête si tu es partante pour te laisser entièrement dominer. »
Je lui obéis et ne voulant ne pas le décevoir, j’en profite pour m’agenouiller et à dégrafer son pantalon, envie d’avoir de suite une bite à sucer. Mais il me relève me disant que j’aurai tout le temps pour le sucer. Il m’équipe d’un collier avec le mot SLAVE dessus et au bout de ce collier m’installe une laisse.
David : « Tu vas gentiment me suivre, à 4 pattes et rejoindre nos invités, ils sont là pour toi et je leur ai venté tes talents alors ne me déçoit pas. »
Avec mes talons hauts, ma mini-jupe remonte sur mes fesses, dévoilant clairement mon string fendue.
En rentrant dans le salon, se trouve 3 autres mecs, Éric le propriétaire de la maison, ainsi que Laurent et Raoul un grand black. Je comprends de suite qu’on va entrer dans le vif du sujet car ces 3 hommes sont déjà nus installé sur un grand canapé.
David : « Voilà Edwige en tant que ma SALOPE, tu vas dire bonjour à ces Messieurs et comme les Chiennes adorent bouffer des culs, tu vas commencer par introduire ta langue dans leur anus. »
Je suis littéralement ravie, en plus de Patrick, je vais avoir 4 bites rien que pour moi, mon sexe est déjà bien trempée.
Je lèche à tour de rôle les culs de ses hommes, ils sont tous très bien équipés, je sais que je prendre plaisir à me faire baiser par ceux-ci.
Pendant ce temps, David s’occupe du mien de cul, je sais qu’il va me prendre l’anus avant de me baiser la chatte, la fois où l’on s’est rencontré c’est ceux qu’il a fait. Sa langue me fait du bien en s’insérant dans ma rondelle. Au moment où il me rentre 1 puis 2 doigts les 3 mecs se lèvent et viennent me baiser la bouche à tour de rôle. Ils m’utilisent comme une poupée gonflable, je ne suis pas en train de les sucer car ils se servant de ma bouche comme d’un vulgaire trou. Les gorges profondes s’enchaînent les unes aux autres, je bave littéralement sur leurs bites.
David présente son gland devant mon cul, alors d’un mouvement de recul, c’est moi qui force la pénétration, lui montrant à quel point j’ai envie qu’il m’encule.
Les mecs se déchaînant, je suis déjà en loque, totalement décoiffé, ma bouche est tellement défoncé que j’en ai mal à la mâchoire, les larmes coulent sur mon visage mais je prends un pied terrible.
David se retire de mon cul en annonçant :
David : « Au suivant, prenez lui son cul à cette traînée, il sera temps de s’occuper de sa chatte humide après. »
Ils se concertent et décide de venir m’enculer en commençant par le sexe le moins gros pour finir pour celui de Raoul qui ne dément pas la réputation des sexes de blacks. Éric se présente le premier et il arrive avec un martinet et juste avant de m’enculer me fouette intensément le cul. Je sens mes fesses rosir, ça chauffe et ma chatte dégouline sur le sol, les mecs le remarquent et ne se gène pas pour m’insulter.
Raoul : « Regardez-moi cette Salope, elle gicle sur le sol, tu devras me nettoyer tout cela après Blanchette. »
J’adore qu’on me parle crûment, je me sens réellement Chienne dans ces moments-là. Alors qu’Éric me prend le cul, David me tend sa bite...
David : « Allez Edwige, coûte un peu l’odeur de ma bite qui sort de ton cul, applique toi à bien me la nettoyer, ton cocu nous a vanté tes talents de suceuse. »
Je sais que certaines femmes trouvent cela dégradant de sucer une queue sortant d’un anus mais moi cela ne me pose aucun souci, autant si je suis Martine la femme sérieuse je pourrais être offusquée, mais en étant Edwige, je me laisse aller dans ma lubricité et ma perversité.
Et Patrick me direz-vous ? J’allais oublier de vous en parler. Lui il adore jouer le rôle du cocu et me voir dans cet état. David étant au courant avait prévenu les autres de l’attacher à une chaise, le pantalon sur les chevilles, la queue à l’air pour qu’il ne puisse pas se branler. David ne se gêne pas de l’humilier, cela nous excite tout les 2.
David : « Alors le cocu ! Regardes comme on fait de ta femme notre PUTE. »
Patrick bande dur et pour lui c’est un doux calvaire de me voir prise ainsi et je sais qu’il est capable lui aussi de toute les perversions aussi je compte bien, moi aussi, sa femme en profiter plus tard et l’humilier également.
Après Éric, c’est au tour de Laurent de venir prendre mon cul, lui aussi n’y est pas allez de main morte et m’a prise un long moment en tapant fort et profondément, je devais en être à mon deuxième orgasme quand il s’est retiré de mon cul bien élargi.
À ce moment-là Raoul s’est approché de moi, toujours à 4 pattes en levrette, heureusement que les 3 autres m’avait bien élargie le cul car si j’avais du le prendre en premier j’aurai bien dérouiller. Lui ne me claques pas les fesses avec sa main, mais il me les claque avec son gros chibre et mon cul est tellement rouge que rien que ça cela me fait sursauter.
Au moment où son gland me pénètre, malgré que je sois bien dilatée je ressent une douleur tellement il est large, jamais pris un engin si gros dans mon anus. Mais je sais être aussi perverse qu’eux et me vient une idée alors j’ose faire une demande à David pendant que Raoul s’active en moi.
Edwige : « Maître David, si Raoul est d’accord, j’aurai une demande à faire pour vivre un de mes plus grand fantasme. »
David : « Dis le nous et on verra si on y répond favorablement. »
Edwige : « J’ai honte mais tant pis je me lance.....j’aimerai que mon cocu nettoie son gros calibre quand Raoul aura fini de m’enculer, toujours rêver de voir mon homme sucer un black. »
Raoul a un grand sourire aux lèvres et me réponds : « On peut dire que tu as de la chance, sur nous 4 je suis le seul qui sois bi, alors me faire sucer par toi ou ton mec aucun problème pour moi. »
Satisfaite et malgré tout légèrement honteuse je regarde Patrick, qui même en ayant baissé la tête au début, me fais voir à son regard qu’il accepte.
David a lui une autre idée :
David : « Pourquoi attendre que Raoul ait fini, on va rapprocher la chaise et Raoul va faire un « ass to mouth » , il t’encule, Patrick le suce, puis il te la remet, ainsi de suite.... »
Edwige : « Mmmm merci vous êtes un vrai cochon, en réalisant mon grand fantasme, vous pouvez TOUT exiger de moi, je ne pourrais rien vous refuser. »
Éric et Laurent ont ramené Patrick toujours attaché près de moi, quand j’ai vu mon homme sorti de lui même sa langue pour avaler la bite énorme de Raoul, j’ai jouis immédiatement dans un râle intense.
Je savais que mon cocu avait des tendances bi mais c’était principalement cérébral et je lui ai fait franchir un cap dans notre perversité.
Cette séquence entre mon anus et sa bouche a du durer 5 bonnes minutes, Raoul se sentant au bord de la jouissance hésite entre jouir dans mon cul ou dans la bouche de mon homme, finalement il relie les 2 en me jouissant à l’intérieur et en ordonnant à Patrick d’abord de le nettoyer puis ensuite de nettoyer mon cul en avalant son foutre épais.
Patrick, une fois détaché s’active à obéir et pendant ce temps, les 4 hommes se servent à boire pour se remettre de ce premier acte.
Je sais que la soirée ne fait que commencer mais je suis déjà exténuée, ravie et un peu anxieuse de la suite si celle-ci doit être plus intense encore.
David vient me relever par la laisse et me donne une coupe de champagne.
David : « Je crois qu’Edwige, tu as bien mérité ce breuvage vu ta prestation, profite en car ensuite tu devras avaler un tout autre liquide plus visqueux. »
Patrick nous rejoins et nous trinquons pour ce début de soirée réussi. David demande à Patrick si on n’est pas allé trop loin avec lui dans le feu de l’action...
Patrick : « Non, j’ai adoré, ce fantasme interdit est dans mon esprit depuis longtemps et tu m’as donné l’occasion de le réaliser, au départ c’est vrai que c’était une soirée pour soumettre Salope Edwige maintenant vous savez que vous avez une autre personne qui accepte d’être soumis à vos jeux aussi, on ne vit qu’une fois. »
Tout en rigolant Raoul lui dit : « Toi t’en as pas fini avec ma bite on dirait, qui sait aussi bien après mettre fait le cul de ta Salope j’aurai envie du tien. »
Tout le monde se met à rire et cela détend l’atmosphère.
La pause n’a pas duré longtemps pour moi, Éric nous fait visiter le reste de sa maison et surtout comme il dit sa « pièce Maîtresse », en effet il a tout d’un parfait dominant car au sous-sol est installé un véritable donjon avec tous engins indispensables pour ce genres de soirée : Croix St-James, pilori, chaise de contrainte, cheval d’arçon ...plus tout un tas d’accessoire, dont un choix conséquents de fouet, martinets et badianes. Des jouets pervers trônant sur divers étagères.
Mon corps est parcouru de frisson, mélange d’angoisse et d’excitation à la vue de cette pièce. J’avais convenu avec Patrick et David que je souhaitais un jour vivre ce genre de séance BDSM mais là un doute me prend. Voyant que je n’ose pas avancer et que je reste à l’entrée de la pièce, David vient me chercher en me prenant par la laisse pendant sur mon collier.
David : « Allez avance Salope Edwige, tu es venue pour ça, pas la peine de t’en cacher. Tu ne pensais pas qu’on allait juste se contenter de baiser ton beau CUL. »
Les autres hommes ayant compris que Patrick adorait vivre son rôle de cocu, l’installe à nouveau sur une chaise, mais ils lui menottent juste une main, laissant la droite de libre.
Raoul : « Voilà le cocu, on te laisse la possibilité de te branler pendant qu’on va s’occuper de ta bourgeoise. »
Patrick : « Merci Maître, et allez y à fond, elle fait sa timide mais je suis sur qu’elle mouille abondamment. »
Éric amène la croix au centre de la pièce, celle-ci étant sur roulette. Laurent et David m’y installent, chacun s’occupant de m’attacher une main et un pied. Je me retrouve totalement nue, hormis mes bas coutures, même en étant un peu tétanisée il me tarde de la séance commence, la cyprine coule lentement le long de mes cuisses.
Laurent : « À partir de maintenant, ton corps nous appartient, ton mari n’a pas son mot à dire, par contre la séance s’arrête quand tu prononceras le mot ‘PÉNITENCE’. C’est ton mot clé pour que toutes les choses que tu subiras cessent immédiatement. As-tu bien compris ? »
Edwige : « Oui, j’ai compris. »
Un premier coup de martinet léger, donné par Éric, claque sur mes cuisses.
Éric : « Oui qui ? et oublie les messieurs, ce sera Maîtres pour nous 4. Pour la peine, mettez lui un bâillon dans la bouche, on va commencer la séance par quelques coups de fouet. Chacun de nous 4 t’en donneront 5 sur une partie de ton corps, je vais commencer par tes cuisses. Secoue la tête pour nous montrer ton obéissance. »
Le martinet ayant des lanières souples, je peux dire que cette première partie fût agréable. Après Éric sur mes cuisses, Raoul m’a fouetté le dos, Laurent les fesses et enfin David s’occupant de mes seins. Mon corps entier était rosé. Patrick bandait déjà dur mais s’abstenait de se caresser, voulant sans doute se réserver pour plus tard.
Éric : « Je vois que tu supportes facilement le martinet, passons maintenant au fouet. Comme il faut être doué pour le maniement afin de ne pas trop marquer ton corps, c’est moi qui vais m’en charger. On va t’enlever le bâillon et tu devras compter les coups à haute-voie. »
En m’ôtant le bâillon, de la bave intense coule sur mon menton et mes seins. Raoul détache Patrick et lui ordonne de me nettoyer en léchant et avalant ma salive mais en l’interdisant de m’embrasser. Mon cocu ne se le fait pas dire 2 fois.
Éric est en effet doué, d’un coup bien dosé, les lanières du fouet enroulent la totalité de mon corps. Je sursaute au premier coup, plus par surprise que par douleur et commence le comptage à voie haute ne voulant surtout pas les décevoir au risque de recevoir des coups plus intenses.
Mon cocu retrouve sa place sur le fauteuil mais au passage, Raoul se fait branler par lui. Une fois à la maison, j’ai bien l’intention de profiter de son penchant bi qu’il est en train de me montrer de plus en plus intensément.
Éric fait une pause tout les 4 coups, David alors pour corser encore un peu ma torture m’installe des pinces à seins et me doigte intensément ma chatte toute trempée avec 2 doigts.
David : « Alors Salope Edwige, tu aimes ça on dirait et ton cocu impuissant qui assiste à ton humiliation et à ta dépravation, tu vas devenir accro à ça et devenir ma Chienne attitrée. Ceci n’est que le début de ton apprentissage et j’ai pas mal de connaissance qui se feront un plaisir de te baiser, autant les hommes que les femmes. »
Ce salaud a raison, je suis à la fois honteuse mais le plaisir l’emporte et j’ai soudain un orgasme intense quand je l’entend me parler ainsi.
Éric reprends les coups de fouets se rapprochant de plus en plus de mes mamelons, je redoute l’instant où le fouet va taper sur les pinces. J’en suis à 8 dans mes comptes quand c’est au tour de Laurent de venir me doigter, la cyprine inonde mes bas-coutures, lui ne se contente pas de 2 doigts, j’ai l’impression qu’il veut me rentrer la main entière aussi par crainte je me contracte. Il n’insiste pas mais me claque la chatte :
Laurent : « Pas la peine de te contracter Chienne, ta chatte sera fistée bientôt, encore 4 coups de fouet, mais je vais te rajouter du poids sur tes lèvres vaginales. »
Et ce que je redoutais est arrivée, sur les 4 derniers coups de fouet, Éric avec une précision diabolique a visé mes mamelons pincés, je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un cri de douleur au premier coup mais ravalant ma fierté j’ai serré les dents pour les suivants sachant que ce supplice allait se terminer.
Mon Patrick a demandé à David si Éric n’allait pas trop loin.
David : « Je te rassure, il n’est pas là pour infliger de la souffrance, Edwige éprouve du plaisir à se livrer ainsi et je te rappelle qu’elle peut stopper ceci à tout moment avec le mot clé. On te fera lécher sa chatte quand on va la détacher et tu verras combien elle jouis ta traînée de bourgeoise. »
Les coups ayant cessés, Raoul s’approche et délicatement me retire une à une les poids de ma chatte, en fait la douleur arrive lorsqu’on les enlève, aussi il y va en douceur et prenant son temps entre chaque poids.
Une fois débarrassée des poids et des pinces à seins, il m’applique une pommade sur les zones rougis par le fouet et en me détachant je m’agrippe dans ses bras, ayant les jambes flageolantes.
Raoul : « On va te laisser 5 minutes de pause, ensuite on passera à un autre instrument si tu es toujours prête à te laisser dominer. »
Edwige : « Avec grand plaisir, je suis votre Soumise et je veux bien entendu continuer, mais je n’ai pas besoin de pause, j’ai envie de queue à sucer, vous m’avez mise en grand appétit. »
Alors sans laisser le temps à Raoul de réagir, je m’agenouille et commence à branler son sexe, mon Dieu qu’il est énorme !!! Du coup Laurent se positionne derrière mon cul et entreprend de branler mon clito.
Mais à mon grand regret, David nous arrête.
David : « Ce n’est pas à toi à décider ce que tu dois faire !!! mais puisque tu veux sucer, alors on va t’installer sur le pilori et tu nous suceras à tour de rôle, sauf Laurent qui lui va te fister la chatte. »
J’avoue que de toutes les machines présentes, c’est celle dont j’avais le plus envie en arrivant, aussi je me laisse docilement amené et attaché, la tête bien maintenue par le morceau de bois.
Pendant que Raoul, Éric et David me présentent leurs bites à sucer, Laurent commence à me préparer la chatte afin que je subisse un FIST vaginal.
Je suis tellement excitée par tout ce qui nous est déjà arrivé à Patrick et à moi, que Laurent entre directement 4 doigts et s’exclame :
Laurent : « Toi qui faisais ta mijaurée, je vais très facilement te fister vu comme ta chatte est une gouffre ambulant, même pas besoin de gel tellement tu es dilatée petite Putain. »
Je le sens qui s’active en moi et toutes mes craintes se sont envolés tellement il s’y prend de façon intense mais en même temps en étant attentionné à ne pas me faire mal. Malgré tout, je sens qu’il arrive au niveau du poignet et pour m’encourager à me détendre il me claque une fesse en me disant que je suis une bonne Chienne. Pendant ce temps les 3 autres ne perdent pas leur temps et continuent à utiliser ma bouche comme un vulgaire vide-couilles. Raoul me surprend car il a déjà une seconde éjac et me maintient la tête fermement afin que je l’avale. La quantité de sperme qui m’envoie au fond de ma gorge est impressionnante et forcément le trop plein me sort de la bouche. Me voyant ainsi souillée, Éric me balance la purée sur mon visage et mes seins.
Éric : « C’est comme cela que tu es la plus bandante et Chienne avec la gueule recouvert de nos semences, comme tu ne peux pas bouger et avaler nos jus, on va faire venir Soumis Patrick, à lui de te nettoyer et d’avaler notre foutre, lui seul décidera s’il le partage avec toi. »
Edwige : « Merci mes Maîtres d’utiliser aussi mon cocu, mais avec la main de Laurent dans mon vagin en même temps que sa langue dans mon cul, je sens que je vais m’évanouir tellement j’ai d’orgasmes sur orgasmes. »
Laurent : « Attends la bourgeoise, y a encore un trou de dispo, vu comme je t’ai préparé le cul, David va se régaler de t’enculer pendant que je continue à te fister. »
Edwige : « Attendez cela ne rentrera pas avec votre main !!! vous allez m’écarteler. »
David viens me donner une gifle : « Je t’ai déjà dis que tu n’avais pas ton mot à dire ce soir, tu es ma Chienne, alors contente toi d’obéir et au lieu de te plaindre de nous, pense plutôt à nous remercier de parfaire ton dressage en bonne Pute bourgeoise. »
Je ne peux pas me tourner ayant la tête bloquée dans le pilori mais je sens son engin qui pénètre ma rondelle sans ménagement.
Je ne suis plus qu’une loque humaine mais cela m’est égale, je suis venue pour ça et mes cris de jouissance encouragent mes baiseurs. Raoul détache Patrick et le fais venir en position 69 sous moi.
Raoul : « Allez le cocu, lèche la moule de ta Pute, vu comme Laurent la fiste, elle va pas tarder à tout t’envoyer à la gueule. »
Patrick : « Merci Maître de me permettre de lécher ma Salope de femme, je ne l’ai jamais vu prendre autant son pied que ce soir. »
Et comme l’avait prévu Raoul, au moment où Laurent se retire de ma chatte béante, j’éjacule une quantité impressionnante de cyprine sur la face de mon cocu, je n’arrive même pas à savoir s’il n’y a pas aussi un mélange d’urine mais je m’en moque et inonde le visage de mon mari avec grand plaisir.
Par contre, celui-ci ayant une vue sur le sexe de David qui m’encule toujours intensément, je le vois qu’il approche sa langue et se mets à lui lécher les couilles.
David, n’étant pas bi, est surpris et de colère se retire de mon cul à mon plus grand regret.
David : « Alors comme cela on veut me lécher les couilles ? Tu vas me le payer le cocu, je ne t’en avais pas donné l’ordre et puisque apparemment tu nous dévoiles ton côté bi, il est grand temps de voir jusqu’où tu es près à aller. Les gars, attachez moi cette lopette au pilori. Edwige je te laisse décider de sa punition et ne me déçoit pas ! »
Edwige : « Hummm avec grand plaisir, alors mon bon cocu, tu vas voir ce que c’est de se prendre une grosse dans le cul et puisque tu aimes le cacao, c’est Raoul qui va te dépuceler l’anus, après tout tu as bien aimé sucé son gros cobra. »
Patrick me surprend car un léger sourire pointe sur son visage. Il me remercie même, moi sa femme pour cette punition et humiliation.
David : « Pendant ce temps, nous on va se détendre autour d’un verre et reprendre des forces, on vous laisse « entre hommes » mes petits. Raoul une fois que tu t’es soulagé, rejoins moi et laisse le attaché. »
Edwige : « Je peux rester voir cela ? »
David : « Non, tu nous accompagnes à 4 pattes, c’est à toi d’aller faire le service, mais t’inquiètes on filme la scène pour que tu puisses la voir une fois chez toi ma Salope. »
Raoul, ayant fini, nous rejoins et nous raconte que comme il a déjà joui 2 fois au cours de la soirée, il a mis longtemps avant de juter dans le cul béant de Patrick, celui-ci s’est même évanoui au moment de l’éjac.
Les 3 autres ne m’ont pas laisser sans rien faire de son côté, je me suis retrouvée la chatte et le cul plugé car on n’en avait pas encore fini avec moi et ma mission était de les laisser se servir de mes nichons à leurs guises.
Malgré tout mes multiples orgasmes j’étais encore toute trempée, David s’est exclamé qu’il avait vraiment touché le gros lot avec ce couple de pervers et qu’il comptait bien faire de moi sa CHIENNE docile. Lui présentant mon plus beau sourire, je lui ai dit qu’en effet, dorénavant je lui appartenais, mon cocu n’aura pas son mot à dire, seulement à obtempérer et que j’étais prête à signer un contrat d’appartenance à mon Maître, qu’il avait toute ma confiance.
David : « Avant de voir si je vais faire de toi ma titulaire en chef, il te reste une dernière épreuve à subir et seulement après tu pourras prendre ta décision, en attendant allons détacher Patrick et lui en parler. »
Une fois mon mari, détaché, il a besoin d’être soutenu et on l’installe tranquillement par terre, je lis sa honte sur son visage et j’en éprouve à la fois de la tristesse et de la fierté, sentiment très particulier se mélangeant en moi.
Raoul, Laurent et Éric reviennent me prendre à tour de rôle parfois en double pénétration mais toujours avec un sexe dans ma bouche.
David annonce à mon mari ce que je lui ai dit dans le salon, que j’allais lui appartenir en signant un contrat et lui demande s’il a quelque chose à dire à cela.
Patrick : « Non Maître, je savais que je prenais ce genre de risque en venant à ce genre de soirée, mais je le fais en priorité pour le plaisir de Martine, euh pardon pour le plaisir de Soumise Edwige, si elle est d’accord alors je suis heureux moi aussi. »
David : « Il faut que tu comprennes que si vous signez tout les 2 ce document, elle pourra des fois être avec moi sans que tu viennes et pas seulement pour 1 nuit, cela peut aller jusqu’au mois complet pendant l’été ? »
Patrick : « J’en accepte les conséquences soyez en sur. »
David : « Très bien alors pour la dernière épreuve d’Edwige, je me souviens très bien de nos discussions et que tu m’avais dit qu’elle n’était pas contre les douches dorées et bien une fois qu’on lui aura de nouveau juter sur sa gueule de bourgeoise, on va la nettoyer avec notre pisse, mais ce sera à toi de commencer pour te venger de ce qu’elle t’a fait subir avec Raoul. »
Patrick : « Moi perso, pas sur d’y arriver, et si c’est le cas, après en rentrant je sais qu’elle me le fera payer. Les autres elle veut bien mais pas de moi. »
David : « Est-ce-que je t’ai demandé ton avis ? ce qui se passe après chez toi ne me regarde pas surtout si c’est elle qui tient la culotte. Soit tu le fais, soit tout les 2 on se revoit pas, c’est le dernier test pour en faire ma véritable Chienne. »
Bien sur j’ai tout entendu, ce salaud m’a bien eu, car oui 1 fois j’ai goûté à l’uro, cela ne m’a pas déplu mais pour moi il était hors de question que Patrick m’utilise ainsi un jour.
Mon esprit est tiraillé de prononcer le mot fatidique PÉNITENCE et de mettre fin à ceci. David voit dans mon regard de la fureur et avant que je prononce un mot, je reçois le premier jet de foutre de Laurent en plein sur le visage et instantanément cela me rappelle combien j’aime cela et qu’il est prêt à m’emmener dans des territoires inconnues et tout excitant pour moi.
Alors fièrement je regarde David dans les yeux et lui annonce.
Edwige : « Allez y les pervers, après avoir été une vide couilles, faites de moi votre urinoir mon Maître adoré. »
Patrick les yeux remplis de larme et avec aussi un murmure me disant combien il m’aime, se vide sur moi faisant attention de ne pas m’asperger le visage, chose dont se gène pas les 4 autres. C’est ainsi recouvert de foutre gluant et de pisse que ma soirée se termine.
Avant de partir, David me confisque mes vêtements et ne m’autorise pas à aller prendre une douche salvatrice.
David : « Chienne Edwige, tu vas rentrer chez moi au petit matin ainsi, à toi de te débrouiller pour passer inaperçu quand tu sortiras de la voiture. »
Edwige : « Bien Maître David, quand est-ce qu’on se reverra ? »
David : « Très très vite, il y a des tas de personnes à qui je dois te présenter et aussi d’autres Salopes qui font d’utiliser, je dois vérifier ton côté bi aussi. À très vite Martine !!! »
Le salaud a fait exprès de m’appeler par mon vraie prénom mais cela m’excite et je suis déjà impatiente de découvrir la suite qu’il compte me réserver.
à suivre.....où pas ;-)
3 роки(-ів) тому
