Valérie - 2ème partie
Ceci est la suite de l'histoire : Valérie, en vacances dans le Sud
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Liste des personnages présents :
- David
- Valérie
- L’homme du parking
- Les participants du gangbang : groupe 1
- Les participants du gangbang : groupe 2
- Les participants du gangbang : groupe 3
Bonjour je m’appelle Valérie et je vis à Bruxelles. Je vous avais raconté précédemment ce qu’il m’est arrivé avec un inconnu pendant mes vacances en France à Nîmes l’été 2020.
J’avais omis de préciser que quand j’ai réglé ma note, le portier m’avait dit qu’un message m’attendait. Je me doute qu’il vient de mon inconnu. Sur celui-ci une adresse mail et simplement « si tu veux qu’on garde contact » et une signature « David ».
Je garde ce mot dans mon sac à main mais décide qu’il n’y aura pas de suite à cette nuit parfaite.
2 mois ont passé, ce que j’avais pris pour une certitude est fausse, je repense souvent à ce moment intense . Cette soirée et cet homme, dont je connais enfin le prénom, me hantent. Même si je ne m’ennuie pas sexuellement étant très active, multipliant les aventures autant avec les hommes qu’avec les femmes, l’attirance de cet homme dont il m’a avoué être Maître dominant et posséder 2 Soumises m’excite toujours par la pensée et certains soirs de solitude, je me branle en pensant à lui et à ce qu’il aurait pu faire de moi entre ses mains expertes.
Un soir de solitude m’étant fait poser un lapin par un connard, mon excitation est à son comble, je décide d’aller dans un club libertin, fouillant mon sac pour y prendre mes clés de voiture, ma main att**** le fameux mot de l’hôtel. Et là une pulsion soudaine me fait changer d’avis, avant de partir je vais lui envoyer un bref message, comme une bouteille à la mer.
« Alors Monsieur, vous ne m’avez pas laisser le temps de vous remercier pour notre nuit torride. Vous êtes toujours avec vos 2 soumises ? Je vous laisse, je pars me faire baiser dans un club. Votre Pute d’un soir. Valérie. »
J’ai décidé d’être bien provocante et vu mon mail il comprendra facilement que je vis en Belgique.
4h du mat, ma soirée fût presque un fiasco, heureusement que j’ai pu me régaler avec une sublime blonde bi, les hommes ont plus pensé à vider leurs couilles qu’à me donner du plaisir. J’ai la réflexion qu’il me faut trouver non pas un homme pour la vie mais un dominant qui sache comment m’amener dans mes derniers retranchements et qu’il me fasse vivre mes fantasmes en pensant qu’à mon plaisir.
Alors sortant du club, je ne peux attendre d’être devant mon ordi pour regarder si j’ai une réponse à mon mail, je sors mon téléphone et comme une idiote je saute de joie en voyant qu’il m’a répondu.
David : « Bonsoir ma belle Pute d’un soir, enfin tu me contactes, je n’attendais plus de tes nouvelles. Alors comme cela tu pars te faire baiser en club, j’espère que ta soirée va te combler…mais tu mérites sans doute mieux que ça, trouves-toi un homme dominant qui te fasse vivre tes désirs les plus fous et ne te contente pas du minimum. Tu as le potentiel pour être une Soumise épanouie. Moi oui j’ai toujours mes 2 soumises, mais c’est une autre histoire que je te développerais plus tard si tu veux. Contacte moi dans tu rentres de ta soirée pour me faire un compte rendu. Ton pseudo Maître du sud de la France. David. »
Putain le salaud, on dirait qu’il a lu dans mes pensées comme s’il avait été présent dans le club. Il a joint un fichier joint que j’ouvre en arrivant chez moi. Dessus, 3 photos de moi qu’il a prise lors de notre soirée, une dans les Arènes quand le portier m’a juté sur les seins et 2 à l’hôtel quand il m’avait attaché à la table. Pfff je mouille comme une pucelle en revivant ces moments et m’empresse de me caresser tout en lui répondant avec vice.
« Merci pour ces photos, je me caresse en même temps que je vous écris, mes doigts sont dégoulinant, dommage que vous ne soyez pas là pour y goûter. J’espère que vous aussi vous vous branlez souvent en les matant. »
Et là je lui envoie une photo de mon doigt tout mouillé sortant de ma chatte lisse. Il ne peut que constater combien mes lèvres sont rouges et toutes humides.
J’envoie le mail et patiente quelques minutes voir s’il me répond, mais comme il se fait tard, rien ne vient. Je pars alors me coucher en me faisant jouir une dernière fois en pensant à ce qu’il m’a dit de me trouver un homme dominant.
Le lendemain, sa réponse fut courte. Un numéro de téléphone et textote moi à n’importe quelle heure du jour et de la nuit.
Je ne vous raconterais pas la suite et je vais être brève, mais l’on a eu des échanges fréquent pour ne pas dire toute la journée, souvent érotiques voir même carrément porno, il me lançait des défis que je devais relever en lui envoyant la preuve par photo. J’ai même dû lui envoyer certains de mes strings souillées par la poste et en cadeau je recevais des dessous de plus en plus provocants.
Il n’a pas arrêter de me sonder sur mon désir d’appartenir à un « Maître » et à force de parler sans arrêt de cela, l’idée fait son chemin et je me sens prête à franchir le pas et être Soumise à une personne précise. Mais pour moi cette personne ne peut être que lui et je ne lui ai pas encore avoué.
Certains jours + de 200 textos ont pu été échangés, du matin au soir, on ne se lâchait pas, au boulot ma concentration baissait tandis que le fauteuil de mon bureau devenait de plus en plus trempe. J’ai souvent du aller bosser sans culotte avec comme défi de m’assoir les fesses directement en contact avec le cuir du fauteuil en relevant ma jupe. Il m’avait interdit de porter des jeans et des pantalons, chaque jour je devais lui envoyer une photo de moi arrivant au boulot pour lui monter mon obéissance.
Ces jeux nous amusaient et nous excitaient beaucoup mais en même temps, on était frustré car ce n’était que du virtuel. Alors un lundi soir de légère déprime, je l’appelle pour lui dire qu’il faut y mettre un terme, même si j’aime cela, il me faut +. Alors il me répond.
David : « Et si je monte te voir en train jusqu’à Bruxelles ? »
Valérie : « Tu ferais réellement cela ? »
David : « Bien sûr, cela fait 1 mois que je regarde comment faire, mais si je monte, je te veux en tant que ma Soumise et non pas pour un simple plan cul. »
Moi toute excitée : « OUI je veux aussi que tu sois mon Maître, ne serait-ce que pour quelques jours. »
David : « J’ai pas mal de congé à prendre, laisses-moi 10 jours le temps de m’organiser et de te préparer une surprise. J’arriverai le vendredi soir. »
Valérie : « Je viendrais te chercher à la gare et surtout ne réserve pas d’hôtel, je te veux chez moi. »
David : « J’accepte ton accueil à domicile alors, mais je ne veux pas t’y obliger. »
Valérie : « Non j’y tiens en fait, et comment veux tu que je me m’habille pour t’accueillir à la gare. »
David : « Tiens pour une fois, je te laisse le choix de la tenue, surprend-moi, tu peux être sage comme provocante, je te laisserais décider, je sais que tout me plaira de toute façon. Par contre une chose dont je tiens absolument et que je vérifierais chaque soir avant ma venue. »
Valérie : « Oui c’est quoi ? »
David : « Interdiction de baiser pendant ces 10 jours, fini tes clubs, fini tes plans culs à la sauvette, je te veux en grand manque sexuelle. »
Valérie : « Même pas avec une femme ??? ce soir je devais voir mon amie bi Céline. »
David : « Alors seulement ce soir et explique à Sophie que tu es stand-by pendant au moins 2 semaines. À moins que tu ne veuilles la mêler à nos jeux ? »
Un peu jalouse je lui rétorque : « Non, je vous veux pour moi seule. Plus tard qui sait pourquoi pas mais pour nos retrouvailles cela va me rendre jalouse de vous voir avec une autre !!! »
Les 10 jours avant son arrivée, nos échanges se font plus espacés, il me disait ne pas avoir de temps à me consacrer, trop de travail et trop de truc à programmer. Je sais qu’il fait cela pour me frustrer et me rendre en manque de lui et cela marche le salaud.
Il ne le sait pas mais avant-hier mercredi j’ai craqué, 10 jours d’abstinence !!!! il m’a prise pour une nonne, alors quand on a raccroché sous les coups de minuit, je suis ressortie vite me faire un plan régulier habitant pas loin. Rien de sensas mais me fallait de la bite, le mec surpris de mon appel car la dernière fois qu’on s’était vu, je lui avais gentiment dit que c’était la dernière. Mais comme il n’y avait que lui à proximité, j’en ai fait mon affaire. C’est toujours un mauvais coup mais au moins cela un peu comblé mon manque.
Enfin le jour est arrivé, vendredi 27 Novembre, son train arrive à la gare à 18h30.
J’ai choisi après une longue réflexion, changeant d’habits 4-5 fois, une tenue provocante. Jupe courte, bas, sans culotte, chemisier assez échancré sans soutif bien sûr, un maquillage bien prononcé que j’aime bien quand je fais la Putain, ongles et rouges à lèvres roses, paupières bleues. Comme chaussures de grosses rouges, avec des talons vertigineux.
Je fais exprès d’arriver en avance sur le quai pour voir le regard que les gens vont porter sur mon corps. Comme je me doutais certains hommes sont captivés par ma tenue, ne lâchant pas mon corps et mon cul des yeux. Il y a même 2 jeunes d’environ 20 ans qui tentent une approche mais je les repousse fermement en les narguant comme quoi je suis trop chère pour eux. Les autres hommes en couple qui osent me mater se font incendier par leurs femmes qui me jettent des regards furieux mais cela ne me touche pas. Il y a bien une nana qui m’a tendrement sourit en me croisant, si je n’avais pas eu à attendre David, j’en aurais fait mon repas du soir avec son mignon petit cul serré dans un short en jean raz la moule et ses 2 obus moulant son T-shirt arrivant au-dessus du nombril. Petite, cheveux très court, style garçon manqué, je reconnais en elle la lesbienne typique et en plus elle porte comme moi une chaînette à une cheville….
Mais je m’égare. J’ai réservé une petite surprise pour David car dans ma main je tiens 2 télécommandes. Avant de partir je me suis mise 2 œufs vibrants dans ma chatte et mon cul, là pour l’instant ils sont sur « off », j’espère qu’il comprendra tout de suite ce que veut dire ses télécommandes, en tout cas je le laisserai dans l’ignorance s’il ne trouve pas.
Le TGV en provenance de Montpellier rentre en gare, je suis surprise du nombre de personnes sur le quai qui attendent un passager. Ne m’ayant pas dit dans quel wagon il se trouve, j’attend à la rame du conducteur et vois passer 1 par 1 les gens sortant des wagons. Le train était visiblement complet, du monde passe devant moi depuis 2 minutes et je ne le vois toujours pas. Il ne reste quasiment plus personne qui descend, je me demande s’il ne m’a pas posé un gros lapin et s’il ne sait pas amusé de moi tout le temps qu’on a discuté quand soudain je l’aperçoit au fond à côté d’un grand black de 2 mètres style rugbyman. Ils se serrent la main et quand il se sépare, David me voit enfin. Un grand sourire s’affiche sur son visage, il ne porte qu’une petite valise avec lui. Un costard bleu foncé mais décontracté, pas de cravate. Arrivant à 10 cm de moi, il émet un sifflet, mais pas du style vulgaire.
David : « Waouh, quelle tenue pour un accueil en beauté, tu as du rameuter toute la gare dans cette tenue de Putain de haut-vol. »
Valérie : « Tu aimes alors, pas trop vulgaire ? »
David : « Non parfait ma Salope, juste ce qu’il faut. Allez viens ici j’ai trop envie de ta bouche dans la mienne. »
Ne faisant même pas attention aux mauvais regards des derniers voyageurs, nous nous lançons dans un baiser fougueux, il ne se gêne pas de peloter mon cul avec ses mains, constatant que je ne porte pas de culotte. Une fois nos bouches décollées je lui donne les 2 télécommandes en lui disant « cadeau ». Son sourire démoniaque à cet instant me fait comprendre qu’il sait de suite de quoi il s’agit. Il me demande juste laquelle sert pour mon vagin et laquelle pour mon anus.
Pour rejoindre ma voiture, située au niveau -4 du parking souterrain, on descend d’abord les escalators de la gare. Il ne tarde pas à actionner les 2 télécommandes en même temps. Mon corps se trémousse en sentant le début des légères vibrations des œufs. Dans l’ascenseur bondé qui rejoint le parking souterrain, on se place qu fond et il n’actionne que l’œuf de ma chatte mais déjà en position maximum. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas gémir. Arrivée au niveau -2, l’ascenseur s’arrête et la secousse de l’arrêt + le désir montant en moi fait que je bascule légèrement en avant touchant légèrement l’épaule d’un homme. Je m’excuse et lui en se retournant affirme pas de mal, mais il se gêne pas pour balader outre mesure sa main sur mes hanches.
David sourit de la situation. Nous voilà arrivés au -4, le parking est pour le moment désert, il ne reste plus que cet homme et nous, lui prenant à gauche et nous à droite. Je me dirige vers la voiture quand soudain j’entends David l’apostropher.
David : « Pardon Monsieur, je vous ai vu tout à l’heure peloter les hanches de ma femme. »
L’homme tout gêné bredouille des excuses, qu’il n’a pas fait exprès mais David a une bien meilleure idée pour lui.
David : « Ah non pas de mal, vous avez eu bien raison d’en profiter, c’est ma Soumise, d’ailleurs cela vous dirait d’en voir plus ? »
Outrée je proteste disant qu’on pourrait me demander mon avis et David d’une voix autoritaire m’ordonne de la fermer.
David : « T’as voulu que je sois ton dominant alors il faut assumer maintenant, laisses nous parler affaire entre homme. »
Se retournant vers lui, il lui dit qu’il peut venir voir de plus près mon corps, que je porte pas de culotte et que je vais lui montrer ma chatte toute épilée.
Il hésite ne sachant pas si on le fait marcher mais David m’ordonne de prendre appuie sur le capot de ma voiture et de soulever ma courte jupe et de lui exhiber mon sexe imberbe.
L’homme est bouche bée et il s’approche pour voir de plus près.
David : « Allez ma Salope, caresse toi devant nous. »
Je refuse mais David le salaud actionne alors les 2 œufs vibrants à son maximum. Impossible de résister à ses 2 objets et je me trémousse sentant le désir monté en moi. David diminue l’intensité et me redemande de me caresser. Envie de désir je lui obéis et le fixant intensément dans les yeux.
David : « Voyez comme c’est une bonne petite Putain. »
L’homme du parking : « Ah oui vous en avez de la chance, possible de la toucher ? »
David faisant semblant d’hésiter : « Je ne sais pas, qu’en dis-tu ma Soumise, il peut venir toucher ton clito gonflée ? »
Valérie : « Toi seul peux décider puisque je t’appartiens mais faites vite je sens que je vais jouir. »
David vient retirer l’œuf vibrant de ma chatte et me le donne à lécher et déclare à l’inconnu.
David : « Tu peux seulement la doigter, mais je te préviens elle est vite fontaine quand elle est excitée ainsi. »
L’homme du parking : « Merci j’adore les fontaines, je peux me mettre dessous pour qu’elle jute dans ma bouche ? »
David : « Si c’est ton délire, fais toi plaisir, mais presse toi pendant qu’on est seul. Et toi ma chérie, arrose lui sa bouche si tel est son envie pendant qu’il te branle. »
Je ne me suis pas gênée et lui en est mis plein la bouche, faut dire que bien excitée je suis une assez bonne juteuse et de voir cet homme sous ma jupe tendre la langue m’a mis le feu aux fesses, feu que d’ailleurs David attise avec mon œuf vibrant dans mon cul.
Une fois la chose fini, cet homme demande s’il peut se branler sur moi mais David le remballe lui disant qu’il en a eu largement assez et qu’il dégage vite.
Je réajuste ma jupe et rentre enfin dans l’auto après avoir mis la valise de David dans le coffre. Une fois au volant je lui demande si tout le weekend va être aussi surprenant que cet instant. Il en répond pas de suite et puis me dit.
David : « Oh ça, c’était de l’improvisation !!!! ce n’est rien à côté de ce qui t’attends, démarre je vais rentrer une adresse sur ton GPS. »
Valérie : « Pourquoi on ne va pas chez moi ? »
David : « Non !!! je t’ai dit t’avoir préparé quelque chose de spécial, faut pas trainer, il y a un peu de route, c’est hors de la ville. »
J’ai beau le questionner, il ne lâche rien sur cette surprise. Pendant qu’on est encore sur Bruxelles, il prend un malin plaisir à actionner les œufs à fond quand je suis à un feu rouge. 2 fois j’ai même loupé le feu vert m’attirant des tas de klaxons de gens énervés.
Le GPS indique que sortie de Bruxelles on en a encore pour 1 heure de route et à force d’actionner les œufs, j’ai une forte envie d’aller au petit coin. Je m’arrête donc en pleine nature pour vite uriner, David me regarde faire alors que ce salaud actionne encore l’œuf de mon cul. Et avant de remonter en voiture il me pose une question que je n’avais pas anticipée.
David : « Alors tu m’as bien obéi, 10 jours d’abstinences ? »
Et moi comme une conne, je détourne mais alors juste un poil la tête avec un tout petit moment d’hésitation et lui affirme que NON. Il a repéré ma gêne et ce court moment de silence coupable, il devine que je viens de lui mentir.
David : « Bon je vois que même un simple ordre basique, tu n’es pas capable de le tenir, comment veux-tu que ton Maître est confiance en toi ? »
Je prend de l’assurance et lui affirme qu’il ne connait pas ma vie et que moi j’ai besoin de bite alors oui avant-hier je me suis faite baisé et je lui mens en lui affirmant que ce fût un plan d’enfer.
David : « Très bien, content pour toi si c’est ce que tu désires, un plan cul basique. Reviens à la voiture, tu peux faire demi-tour et me laissez à la gare, je me débrouillerais pour trouver un hôtel où passer la nuit et rentrer en France demain. »
Tétanisée je ne bouge pas, je n’arrive pas à exprimer mes sentiments mais ce que je sais c’est qu’il est hors de question de le laisser partir. Alors je le supplie, lui disant que j’ai réellement essayé de tenir et que je m’en veux sincèrement d’avoir craqué et lui avoue finalement que c’était nul en plus, j’ai dit que c’était excellent pour le faire enrager. Retrouvant du courage, je lui dis.
Valérie : « De toute façon c’est moi qui est les clés, hors de question de faire marche arrière, il ne te reste que le Stop. »
Putain pourvue qu’il ne me prends pas au mot.
Je vois son visage s’adoucir et alors il me dit OK que ça ira pour cette fois, qu’après tout on est pas encore Maître / Soumise n’ayant pas signé de contrat encore ensemble, et moi me disant pourquoi il me parle de contrat.
Dans la voiture, il me demande alors que lui raconter ma soirée de sexe en détail, il n’actionne plus les œufs, je ne sais pas si je dois interpréter cela comme une punition.
On arrive enfin à l’adresse indiqué par le GPS, c’est une ferme perdu au milieu de la campagne Bruxelloise. Je vois la vieille maison toute éteinte et lui demande s’il y a quelqu’un qui y habite.
David : « Non j’ai eu les clés par une personne en gare de Paris, pendant le transfert de train, on s’est prêté nos domiciles pour le weekend. Elle te paraît vieille à l’extérieur mais l’intérieur est nickel d’après les photos que j’ai vus. »
Malgré tout je lui montre ma déception.
Valérie : « Je te fais confiance mais bon on est loin de tout, moi qui comptais te sortir dans des endroits branchés de Bruxelles, là c’est pas la joie que nous 2 perdus dans la nature. »
David : « Au moins tu pourras crier comme tu le désires ma Salope ! Tu ne connais pas encore tout le potentiel de cette maison, qu’aucun endroit branché de Bruxelles n’aurait pu t’offrir pour ce que je t’ai prévu et puis je n’ai jamais dit qu’on ne serait que 2 !!! »
Rien que ces derniers mots me donnent des picotements dans le bas-ventre, je sens alors qu’il a tout prévu de A à Z et que je dois me laisser aller et lui faire confiance. C’est bien ce genre de situation que je recherchais, un dominant qui sache me surprendre.
Galant, il prend mes affaires dans le coffre et nous rentrons dans cette ferme. En effet, l’intérieur est magnifique, on voit que des travaux ont été fait. Une immense pièce à vivre, belle cuisine moderne ouverte donnant sur un vaste séjour tout en longueur, avec une grande baie vitrée avec vue sur les sous-bois.
Mais je n’ai pas le temps de m’extasier devant la vue car dès que David pose nos sacs par terre, il me plaque avec force contre le mur du hall. Sa main couvre ma bouche, quand il soulève ma jupe au-dessus de mes fesses. Une grosse claque sur mon cul et il m’insulte d’avoir privilégié un plan cul nullissime à un ordre simple et puisque je mérite selon lui une leçon, il va m’enculer directement contre le mur. Je voudrais lui dire qu’excitée comme je suis j’en meurs d’envie mais sa main n’en empêche.
Retirant sans ménagement l’œuf vibrant de mon cul. Il constate que mon anus est bien dilaté, alors il s’enfonce d’un coup sec jusqu’aux couilles. Son mouvement brusque me plaque encore plus contre le mur, mes seins sont comprimés et il ne me ménage pas mais PUTAIN que j’aime ça, être parfois prise sans douceur comme une vulgaire traînée. Il me laboure le cul un long moment contre le mur, l’œuf vibrant dans ma chatte est au maximum, mes jambes ont du mal à me tenir debout tellement ma jouissance est intense. Ma chatte dégouline de mon jus en permanence.
Quand il se retire d’abord l’œuf de ma chatte puis sa bite de mon cul, un geyser inonde le sol. Me prenant par les cheveux, il m’oblige à lécher mon jus par terre et il revient me labourer le cul en posant son pied sur mon visage. Je suis sa CHOSE et cette humiliation me plait.
À sa respiration, je pressent qu’il va bientôt jouir. Il se retire de mon anus béant et m’offre son sexe luisant à sucer et nettoyer.
Son éjac arrive très vite et est assez intense. Une quantité de foutre s’échappe de ma bouche et coule de mon menton vers mes seins. Voyant que je suis surprise par sa quantité de foutre plus abondante que dans mes souvenirs, il me souris.
David : « Que crois-tu ! moi j’ai réellement fait abstinence depuis 10 jours donc j’avais de la réserve. »
La tension sexuelle s’amenuisant nous partons tous les 2 dans un fou rire.
Il me laisse reprendre mon souffle et me relève avec douceur. C’est ce mélange douceur / fermeté qui me fait craquer chez lui, ce n’est pas l’homme le plus beau qui m’est baisé mais il a une aura qui m’attire vers lui. Nous nous installons dans la maison, en effet sous ces airs rustiques, l’intérieur est superbe. Près de la cuisine se trouve une porte indiqué « cave » avec 3 gros verrous dessus. Intriguée j’essaye de l’ouvrir mais David m’en empêche.
David : « Ne touche pas aux verrous, c’est la partie interdite de cette ferme réservé aux Chiennes ultimes. »
Valérie : « Ben alors, c’est tout moi ça, j’ai pas le droit de voir ce qu’il y a dedans ? »
David : « Oh que si mais pas maintenant, ta soirée se passera dans cette pièce, mais on a un petit moment encore avant d’y aller, j’ai besoin de prendre une douche d’abord. »
Nous prenons possession de la plus grande chambre qui possède une salle de bain privative avec grande douche à l’italienne pour 2. David va se doucher mais il m’interdit de le rejoindre, je dois sentir la chienne qui vient de se faire baiser me dit-il. Dommage je l’aurai bien pompé sous la douche mais j’espère que ce n’est que partie remise.
Il se change et nous allons vers le salon où il me fait installé les jambes écartées sur le canapé. Voyant que je mouille encore, il m’autorise si je le souhaite à légèrement me caresser mais sans me faire jouir. Je dois l’écouter m’expliquer les règles du jeu.
David : « À partir de maintenant et pour tout le weekend, ton corps m’appartient. Je fais ce que je veux de toi et de lui. C’est moi qui décide avec qui tu baises que cela te plaise ou non. Tous les sévices corporels s’il y en a seront fait dans le but de te donner du plaisir et non de te faire souffrir. Aucune marque ne sera faite sur ton corps. Si à un moment tu sens que cela va trop loin et que tu veux tout arrêter il te faut un mot « clé » comme on dit. En prononçant ce mot, j’arrêterais tout instantanément. Je te laisse réfléchir au mot que tu veux choisir. »
Valérie : « Non ça ira pas besoin de mot clé, j’accepte tout de toi. »
David : « Non, Valérie, il t’en faut 1. C’est obligatoire, je ne serais pas seul et même si c’est moi qui veillerais à ta santé, il faut que je sache quand il faut tout cesser pour que tu ne sois pas en danger. »
Valérie : « Très bien, je pense à un mot qui devrait te plaire alors. »
David : « Ne choisis pas un mot classique que tu pourrais prononcer sans t’en rendre compte, style STOP. »
Valérie : « Non j’en ai 1 qui est rare. En hommage à notre première rencontre je choisis le mot : Arènes. »
Je le vois sourire en évoquant notre premier souvenir commun.
David : « Bien en attendant nos premiers invités, va nous préparer quelque chose à boire qu’on trinque à notre rencontre, j’ai des textos à envoyer. »
Passant devant lui, je me penche pour l’embrasser et fais exprès de tortiller du cul en me dirigeant vers la cuisine. Du champagne est au frais ainsi qu’une grande bouteille de Rhum arrangé, je lui demande ce qu’il préfère et me répond le Rhum. Il est corsé et je le sens réchauffer mon corps. Nos verres terminées David reçoit un premier texto, en le lisant il se lève.
David : « Viens, il est temps que je te fasse découvrir cette pièce qui t’intriguais. »
Je m’accroche à son bras car derrière la porte se trouve un étroit escalier, une bonne quinzaine de marches nous entrainent au sous-sol, pour le moment c’est une cave ordinaire mais il y a encore une autre porte avec code digital. Tapant le code, David ouvre et me laisse entrer la première. La pièce est dans le noir mais malgré qu’on soit en profondeur, il fait bon. Quand David appuie sur l’interrupteur, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un cri de surprise.
Si vous avais déjà vu des films BDSM avec des appareils de sévices, alors vous avez une idée de qui est devant moi, la pièce est immense et il y a des instruments de partout, certains que je connais, style croix St James, pilori…comme d’autres dont j’ignorais l’existence. Sur un mur complet est accroché de multiples martinet, fouet, cravaches, de toutes sortes de tailles et je suppose de dureté. Des menottes, des liens, des cordes, des poulies installées aux plafonds, rien ne manque.
J’en frissonne, je me pose malgré tout des questions me demandant si je ne suis pas folle de suivre David ; après tout personne ne sait que je suis ici. J’ai bien averti ma meilleure amie que j’allais chercher un français à la gare mais on devait aller chez moi. C’est là que je me dis que je ne le connais pas assez pour ce genre de plan, je l’avoue je commence à paniquer et je crois qu’il le sent et le vois dans mon attitude et dans mes yeux qui commencent à se brouiller.
David : « Je vois que cela te fais paniquer, je peux comprendre. Je te demande juste d’avoir confiance en moi, oui je sais on ne connaît à peine. On a beaucoup échanger sur ce sujet du BDSM pendant nos textos. Moi j’ai l’intime conviction que tu es prêtes pour cela, mais cela doit venir de toi. »
Je commence à prendre sur moi, c’est surtout le choc de voir ses engins en vrai qui me fait douter, mais depuis le temps que je fantasme sur certains.
Valérie : « Promets moi juste un truc. »
David : « Oui dis-moi. »
Valérie : « Je sais que tu as prévu pleins d’hommes pour me baiser, mais ne me laisse pas seul avec eux, soit toujours là. Je veux entendre parfois ta voix pour me rassurer. »
David me certifie qu’il ne me quittera pas d’un instant, je le crois sur parole alors je lui dis que je suis prête à m’abandonner à tous ses vices.
Première étape, il m’installe sur la croix St André, m’attache mains et pieds à l’aide de ceintures en cuirs. Puis il me pose un bandeau noir sur les yeux, mon sens de la vue est inactif. Ensuite il me mets aussi un casque sur les oreilles, pour le moment pas de musique, donc je l’entend me dire qu’il veut aussi me priver du sens de l’ouïe. Ainsi équipé il me donne un doigt à sucer et il me susurre à l’oreille.
David : « Jusqu’à ce que nos invités partent, je ne te toucherais plus de la soirée. Abandonne toi à la soumission, laisse toi faire pour ressentir un maximum de plaisir. Je vais sortir de la pièce et te laisser seule le temps d’aller accueillir nos hôtes, je reviendrai avec eux. Je serais là tout le temps, je te mets la musique pour que tu patientes un peu, ça peut prendre du temps avant que les premiers arrivent. Je pense que tu vas beaucoup aimer ce style de musique. »
Au début j’entend un léger bruit de fond comme un murmure mais rapidement j’identifie ce bruit, ce n’est pas un murmure mais une femme en train de prendre du plaisir. Ce salaud va me laisser le casque pour que j’entende une femme jouir, cela va me mettre ma chatte en folie.
Le temps d’attente privé de 2 de vos sens les plus élémentaires comme l’ouïe et la vue me parait interminable. Plus tard j’ai su que j’avais attendu à peine 20 minutes seules, j’aurai cru que cela faisait facilement 1h. En tout cas, en entendant en boucle cette Salope jouir, j’ai eu moi aussi un orgasme, sans même me toucher.
Je ne peux pas vous raconter comment sont arrivés les inconnus, juste vous rapporter ce que m’en a dit David plus tard.
Point de vue de David.
Je t’ai laissé seule dans cette pièce 20 minutes, j’avais été précis dans mes indications pour nos invités. Ce ne fût pas simple de recruter sur Internet étant donné que ce n’est pas mon pays Mais par l’intermédiaire du Maître de maison, celui-ci m’avait donné une liste d’une vingtaine d’hommes surs. J’ai pris contact avec chacun d’eux et sur 20, 15 m’ont promis de venir. Ne voulant pas faire venir les 15 en même temps, j’ai opté pour 3 groupes de 5, toi les yeux bandés, tu ne pourras pas te douter combien d’hommes te baiseront à la chaine. Chaque groupe de 5 avait 2 heures pour être avec toi. Donc en tout j’avais programmé une baise intense et hard de 6h en espérant que tu tiennes le coup. Quand je faisais remonter un groupe de 5 de la cave, j’accueillais l’autre groupe qui attendait sagement dehors. Chaque fois qu’un groupe en croisait un autre, il était super enthousiaste sur la bonne PUTE qu’il venait de baiser.
Donc je suis dans cette pièce, mes cuisses sont trempées de ma cyprine, avec le casque je n’entend pas les hommes arriver. David leur ordonne de garder pour le moment le silence tant que j’ai ce casque sur les oreilles.
Je sursaute quand soudain plusieurs mains s’installent instantanément sur mon corps, 2 me pétrissent les seins quand une fois giflé ma chatte, le salaud a tapé juste sur mon clito tout gonflée, ce qui m’a fait hurler plus par surprise que par douleur.
Une main m’enlève le casque, enfin soulagée de ne plus entendre cette Chienne la réclamer dans son cul !!! C’est la voix autoritaire de David que j’entends le premier.
David : « Comme promis, je suis dans la pièce. Tu vas garder ce masque sur tes yeux toute la séance, tu ne seras qui et combien d’hommes vont te baiser. Ils ont quasiment carte blanche pour te faire ce qu’ils veulent mais ils connaissent les limites que j’ai fixé et si tu veux stoppé ils connaissent le mot clé. »
Un des hommes prend la parole.
Inconnu 1 : « Alors c’est elle Val ta Pute belge !!! tu ne nous as pas menti, c’est une bombe. »
Les mains cessent de caresser mon corps, j’entends qu’on prend un des objets posés sur le mur d’en face. De ne rien voir décuple mon angoisse et en même temps mon envie.
David : « Pour commencer, c’est moi qui fait de fouetter tes seins et ta chatte avec ce tendre martinet. Ensuite chacun ira prendre l’instrument de son choix pour continuer ce traitement. On te retournera pour fouetter aussi ton beau p’tit cul ma Chienne Soumise. »
Valérie : « Tout ce qu’il vous plaira Monsieur. »
J’ai déjà subit des séances de fouet, même si ce fût rare, mais jamais attachée sans rien voir. Aussi je sursaute à chaque coup car je ne peux prévoir quand ceux-ci vont arriver. David y va malgré tout en douceur pour commencer quand il arrête, il reprécise à ses hommes qu’il ne veut pas de coup hyper violent, aucune marque ne doit paraître sur mon corps hormis de la rougeur intense.
Le suivant s’occupe de tapoter ma chatte et mon clito avec une cravache, je commence à miauler, me pinçant les lèvres pour ne pas trop crier fort. 2 autres s’occupent en même temps de me tordre mes nichons, y a t-il David dans le lot, j’en sais rien. Il m’a promis de juste regarder sans participer. Les coups sur mon clito deviennent de plus en plus intense, j’entends quelqu’un dire « à mon tour » et cette fois-ci j’ai droit à nouveau aux martinet sur mes tétons qui sont déjà hyper durs. On commence à me branler la chatte.
Inconnu 2 : « Cette Salope aime ce qu’on lui fait, je rentre 2 doigts sans forcer dans sa vulve tellement elle est trempée. Hein t’aimes ça petite garce ? »
Moi me sentant obligé de répondre car David m’avait briefé que si l’on me posait une question je devais répondre en les vouvoyant.
Valérie : « Oui j’aime qu’on me doigte la chatte, je suis toujours humide, continuez plus fort. »
Et là une grosse gifle sur mes seins.
Inconnu 2 : « T’es pas là pour demander quelque chose Pute. »
Du coup délaissant ma chatte, il s’empresse de me rentrer sa main dans ma bouche, il voudrait presque m’étouffer le con. Je bave sur sa main tellement il essaye de me la rentrer loin et on ressortant il me re gifle les seins et sans aucune préparation m’enfonce au plus profond son majeur dans mon cul.
Inconnu 2 : « Tiens Val ! prend le aussi dans le cul, vu qu’il est lui aussi bien dilaté. »
Je sens une autre main qui prend possession de ma chatte, tandis que des bouches sucent mes mamelons si durs. Il m’en faut peu pour avoir déjà un orgasme. Voyant cela, on me détache pour me faire retourner sur la croix et offrir mon dos et mon cul. La séance démarre que sur mon cul, il a du recevoir une bonne vingtaine de coup de martinet, je sens que mes fesses sont rouges intenses. Délaissant le fouet, un autre inconnu me claque le cul rougi avec ses mains.
Inconnu 3 : « Voilà comme il faut finir les bonne Salopes dans ton genre, le martinet est trop doux pour toi, goûte un peu à mes grandes mains. »
Il ne se retient pas le salaud et je pousse des cris à la fois de douleur et de plaisir, les 2 sont mélangés, quelques larmes coulent sur ma joue. Je sens que quelqu’un me les lèche et me susurre à l’oreille.
David : « Tu es sublime ainsi offerte ma belle Soumise. »
T’entendre sa voix me donne le sourire et me fait oublier un court instant que mes fesses me cuisent.
L’inconnu numéro 2 reprend les choses en main, je sens que c’est lui le chef de la meute, pour l’instant je ne saurais dire combien ils sont, j’imagine 4 en plus de David. Il me détache et me prend par les cheveux, obligeant à m’agenouiller, il m’attache les mains derrière le dos.
Inconnu 2 : « Ouvre grand ta bouche maintenant traînée et applique toi à nous faire bien durcir avec ta langue. »
Je perds la notion du temps, suçant, suçant, suçant. Mes mâchoires me font mal tellement la plupart me baisent la bouche, j’ai envie de respirer et de boire un verre. Je bave sur leur queue, tandis qu’ils continuent à jouer avec mes nibards. J’arrive toujours pas à savoir combien ils sont, pour moi les queues s’enchaînent à tour de rôle.
Dans un court instant de répit pour ma bouche, je réclame de l’eau et l’un de ses salauds me lancent directement un verre d’eau sur mon visage. Quelle humiliation !!! Mais je sens une main me donner un autre verre et une voie différente des autres toute timide me dire.
Inconnu 4 : « Tenez Madame, buvez. »
De suite l’inconnu 2 se moque de lui.
Inconnu 2 : « Et le puceau, tu oublies le Madame, c’est Pute Isa, Salope ou Chienne, t’es pas la pour lui faire la cours. »
Inconnu 4 : « Cela n’empêche pas d’être élégant, si elle a soif, pas besoin de lui en foutre plein la gueule, et puis t’inquiète le puceau à de quoi la faire couiner avec mon 20 cm, toi quand je vois la tienne, j’en doute !!! »
Sentant la tension dans l’air, David calme immédiatement l’assistance. Du coup le jeune (du moins je suppose d’après ce que j’ai entendu), m’att**** et me fait allonger sur lui. Il enfonce son sexe au plus profond de mes entrailles !!!! Waouh en effet belle longueur et ce salaud qui me lime comme un lapin infatigable. À peine sa grosse queue dans ma chatte, qu’une autre prend possession de ma bouche et je me retrouve avec dans chacune des mes mains 2 bites à devoir branler. Ils sont donc bien 4, du moins ce que je croyais car j’entends l’inconnu numéro 3 dire.
Inconnu 3 : « Putain les gars, pensez à moi, laissez m’en un peu aussi de cette Chienne, on est 5 quand même !!! »
Le jeune lui dit de venir le rejoindre pour me prendre en double vaginale.
Inconnu 4 : « Vu comme elle dégouline et que ma bite l’a bien élargie, ça rentrera facile. »
Pas moyen de leur dire qu’il a raison tellement ma bouche se fait démonter par une autre bite bien conséquente. Les 3 qui se font branler et sucer tournent à tour de rôle dans ma bouche et rapidement l’un d’eux de mets à jouir. Je le sens arriver quand il me plaque la tête contre ses couilles et gémit comme un gros porc. Je comprends que c’est l’inconnu 2 qui faisait le fanfaron.
Inconnu 2 : « Putain elle est trop bonne cette Pute Éva. »
Il en reste 4 à faire jouir, ceux qui prenaient ma chatte font l’échange avec ceux que je suçais. On me relève et me fait mettre à 4 pattes sur le sol pour une bonne levrette. Mais cette fois ci j’ai droit à une double classique, mon cul va être pris pour la première fois de la soirée, le mec qui ose enfin m’enculer est celui des 2 que je suçais qui possède la plus large. Vu la grosseur de son gland, il prend un max de précaution avant de me fourrer le cul. Il crache sur sa queue et sur ma rondelle, fais des cercles avec ses doigts autour de mon œillet, quand il me sent prête il a la délicatesse de me prévenir ainsi que son pote qui me défonce la chatte.
Inconnu 1 : « Attends mec, ne bouge pas. Et toi Val penche toi sur lui si tu veux que mon gland rentre en douceur. »
Je délaisse la queue que je suis en train de sucer et fais ma grosse Chienne.
Valérie : « Mais Putain vas-y encules moi fort au lieu de me faire languir avec ta grosse bite. »
Et oui je sais je suis douée pour allumer tous ses vicelards et ils savent me le rendre car à ses mots, il s’enfonce d’un coup sec dans mes entrailles me faisant pousser un cri quand ses couilles tapent fort sur mes fesses. Et moi qui continue à le narguer en lui disant d’y aller plus fort que j’aime quand c’est intense et bestial.
N'ayant pas le notion du temps je ne sais pas depuis combien de temps il me baise quand celui qui est dans ma chatte se retire en vitesse pour venir me juter sur le visage, vite rejoins par les 2 autres que je suçais. Par contre celui qui m’encule se régale toujours autant et le fait d’être seul lui fait encore plus accéléré ses coups de boutoirs dans mon cul. De mon côté, j’inonde le sol avec ma cyprine, vu que j’ai les mains enfin libre, je me branle pendant qu’il est dans mon cul et un orgasme intense me secoue, mes jambes tremblent légèrement, du coup mon enculeur se retire et m’envoie lui aussi la purée sur ma gueule déjà pleine de foutre.
J’entend qu’on est en train de prendre plein de photos de moi ainsi souillée. Je ne me sens pas humilier après tout je suis venue pour ça et je ne saurais jamais qui ils étaient.
Sans le savoir cela faisait quasiment 2 heures qu’ils étaient avec moi, ne rien voir vous fait perdre toute notion du temps. Je suis presque fatiguée mais je me doute que c’est loin d’être terminée.
Je m’allonge et m’accorde un court instant de répit, voyant qu’on me délaisse un peu. Je ne devine pas qu’entre temps, David vient de changer discrètement le groupe de 5 et que 5 nouveaux viennent d’entrer dans le sous-sol.
David m’ordonne de me relever et m’amène sur un autre machine. Je suis debout, mes mains et ma tête rentrent dans un trou. Je comprends qu’il m’installe dans un pilori, mais il est si grand que je suis sur la pointe des pieds et qu’il attache mes chevilles avec une corde.
Ma position est très inconfortable surtout que par rapport à mes pieds qui ne touchent presque pas le sol. À peine je suis installée qu’une queue prend possession de ma bouche. Je m’étouffe de surprise mais cet homme en à que faire. Je sens qu’un vibro ondule sur mon clito alors que je me fais doigter la chatte et le cul simultanément. Une voix que je n’avais pas entendu se manifeste. Mais combien sont-ils encore ?
Inconnu 6 : « T’as pas intérêt à me mordre la bite petite trainée sinon tes fesses vont plus que marqués. »
Je prends sa menace très au sérieux vu le ton autoritaire de sa voix. Malgré que sa queue ma baise la bouche jusqu’à ma glotte, j’arrive à le prendre en entier sans trop de mal, faut dire que les 5 mecs d’avant m’avaient bien préparés, aussi ça glisse presque tout seul.
Par contre pour ce qui est des doigts dans ma chatte, je sens que cela picote plus et pour cause y en a 1 qui compte me fister et me le fais bien savoir.
Inconnu 7 : « Avec une chatte inondée comme la tienne, cela va être un jeu d’enfant pour moi de te fister la chatte Salope de Val et qui sait peut-être que je fisterai ton cul si je te sens réceptive. »
J’ose juste marmonner non pas le cul, mais je ne sais pas s’il m’a entendu avec une bîte dans la bouche.
Tandis qu’il fouille ma chatte en la fistant, le vicieux me pince fort le clito et sa langue me lèche le cul. Comment résister à un autre orgasme intense. Ayant de l’expérience il sent ma mouille arrivée, aussi il retire d’un coup sec et un geyser jailli de ma chatte béante.
Ce n’est pas la première fois que je suis fontaine mais là cela dépasse tout ce que j’avais déjà venue. Totalement inerte et épuisée physique que mentalement je demande grâce quand ma bouche baisée m’en laisse le temps. Aussi j’entend David parler.
David : « Tu veux arrêter et dire le mot clé ma belle Salope ? »
Valérie : « Non pas du tout, mais laissez moi récupérer un peu sinon je vais m’évanouir s’il vous plait Monsieur David. »
Aussi il ordonne aux mâles présents de m’accorder 10 minutes de pause. Par conséquent 10 minutes de rab leurs seront accordés sur l’horaire de départ prévu.
Je les entend se servir à boire et trinquer à ma santé, me traitant de tous les noms insultant. Comme je ne peux pas bouger je supplie David de pouvoir au moins reposer mes pieds sur le sol, il manipule la machine afin que je puisse poser pied à terre. Quel soulagement, j’avais des fourmis dans les 2 jambes à force de rester sur les orteils !!! Mon repos dans ce pilori fût de courte durée. Pour ne pas jouir trop vite l’un des hommes a émis une idée.
Inconnu 8 : « Les gars, on installe un minuteur et on la prend juste 1 minute, le premier dans sa chatte, le second dans son cul et on alterne, aussi quand reviendra notre tour vue que l’on est cinq, celui qui aura pris sa chatte visitera son cul. »
Inconnu 9 : « Bonne idée et ceux qui se savent résistant peuvent baiser sa bouche aussi en attendant leur tour. »
Ainsi je fus baisé un temps infini, eux avaient la possibilité de tenir la distance tandis que moi j’étais sollicité non stop. J’ai failli demander grâce à un moment donné et prononcer le mot clé, tellement j’étais épuisée autant physiquement que psychiquement. Finalement quand tous se sont senti à bout de forces, on m’a détaché du pilori, je me suis écroulée sur le sol et ces hommes en ont profiter pour me juter à tour de rôle sur tout le corps. Le dernier se finisse dans ma bouche, j’ai pour ordre de jouer avec son sperme et de le laisser couler le long de mon menton.
Une fois que ceux-ci se sont rhabillé, cette fois-ci je les entend partir. Depuis combien de temps je suis dans cette pièce, impossible à savoir alors que cela fait déjà quasiment 4 heures. Je suis comblée et je pense que la soirée est terminée aussi je me permet de parler à David.
Valérie : « Merci d’avoir réalisé mon fantasme, j’ai pris un pied incroyable, orgasme sur orgasme sans interruption quasiment. »
David : « Mais ce n’est pas fini ma Salope ! Il y en a encore qui attendent pour te baiser comme une Pute ! »
À mon visage, il doit deviner la surprise que j’éprouve.
Valérie : « David, je suis morte de fatigue ! Et j’ai plutôt maintenant envie de toi. »
David : « NON !!! Tu ne décides de rien, j’ai mis assez de temps pour organiser ceci pour renvoyer des mecs chez eux en leur ayant promis de baiser une bonne PUTE. »
Valérie : « Tu veux ma mort ou quoi !?!? je vais avoir la chatte et le cul inutilisable après tant de bites. »
David : « Tu sais ce qu’il te reste à faire, prononce le mot clé et c’est terminé mais ne me demande plus de t’organiser quelque chose après. »
J’hésite longuement, ma tête me dit de dire stop mais mon cœur veut ne pas le décevoir. Tiraillé je capitule mais lui demande une plus longue pause et qu’il m’enlève le bandeau tant que les hommes ne sont pas là.
David : « Tu as été tellement parfaite, que je t’accorde 1 demi-heure de repos. Je reviendrai remettre le bandeau avant que les derniers invités rentrent. Sois sage et profites-en pour te reposer. »
Au départ, je n’avais tellement plus de force que je me suis assise sans rien faire, même pas la force de nettoyer avec corps plein de foutre sec. Ensuite je me lève cherchant quelque chose pour me nettoyer un peu. Ma curiosité de Salope en chaleur me fait toucher tous les différents godes présents sur les murs. Par jeu je prends le plus gros, je n’avais jamais rien vu de tel en circonférence. Noir, ma main n’arrive même pas à en faire le tour complet. J’essaye de voir si je peux le prendre en bouche, mais je n’entends pas la porte s’ouvrir et David me découvrant en train de le me foutre dans la bouche.
David : « C’est comme cela que tu te reposes, Salope ?! »
Sursautant je lâche l’énorme gode.
David : « Tu me demandes du repos et tu oses sucer ceci, t’en as donc encore envie espèce de Pute. »
Valérie : « C’était juste de la curiosité, je t’assures que je suis épuisée. »
Il vient me faire taire en me giflant un nichon, immédiatement il me remet le bandeau et je l’entends amener une machine au centre de la pièce. Vu comme il me soulève et m’installe je comprend de suite de laquelle il s’agit, un autre genre de pilori qui m’avait extrêmement intrigué et excité.
Je suis sur le dos. Mes pieds, attachés à tes crochets, forment avec mes cuisses un parfait losange. Quelle pose indécente, mon cul est en position idéale pour se faire prendre.
J’entend le troisième groupe qui arrive et plusieurs sifflement retentit me voyant dans cette position. David les prévient que je dois rester dans cette position le temps qu’ils restent dans la pièce.
Je tremble car je me doute que ce groupe ci sera encore plus pervers que les 2 autres et pourtant je pense avoir tout subir.
Le premier qui s’approche me caresse les fesses, un long moment, je sais qu’il prépare quelque chose de moins doux. Cela ne tarde pas, il me donne des coups de badiane, je hurle au premier coup et pour me faire taire, on me tourne la tête et une queue fine me baise encore la bouche. Délaissant la badiane, je sens qu’il écrit quelque chose sur mes cuisses et mes fesses. Content de lui il appelle les autres pour voir ce qu’il a marqué.
Inconnu 11 : « CHIENNE ET PUTE À BAISER NON STOP, je pense que cela correspond bien à cette Salope. »
C’est la première fois qu’on marque ma peau, je suis humilié mais en même temps, je commence encore à mouiller et ce porc s’en rend compte en me pinçant le clito.
Inconnu 11 : « Et en plus ça l’a fait mouiller !!! pas vraie que t’es une grosse Salope Val ? »
Obligé de lui répondre et honteuse malgré tout, je leur réponds.
Val : « OUI ! je suis la Pute à David, baisez-moi fort. »
Cet homme ne se fait pas prier pour pilonner ma chatte, tout en me donnant de légères claques à mon clito.
Les autres, me biflent le visage avec leurs bites.
Je n’en sens que 3 sur mon visage, vu comme ils étaient 5 dans le premier et le second groupe, je me demande où se trouve le cinquième. Je ne vais pas tarder à le savoir et à le regretter.
Soudain j’entends une voix grave avec un accent étranger se manifester.
Inconnu 12 : « Poussez-vous, laissez-moi passer. »
Tous les mecs s’écartent, quand soudain un engin énorme se pose sur ma joue !!! Mais c’est quoi ce truc ? c’est encore plus gros que le gode que j’ai voulu sucer et là je sens que c’est fait de chair et d’os.
Inconnu 12 : « Alors blanchette, ton Maître m’a dit qu’elle gode tu voulais sucer en nous attendant, pourquoi te contenter d’une réplique car voici l’original. »
Je comprends à son accent et à ses mots que j’ai affaire à un black, mon Dieu que son sexe est énorme, ce n’est pas possible d’avoir un truc de ce genre. Tout un tas d’image se passe dans mon cerveau, il va m’écarteler comme jamais et je pris qu’il ne lui vienne pas l’idée de m’enculer.
Mais déjà il me tend son énorme gland au bord de mes lèvres, je peux à peine l’engloutir en ouvrant ma bouche au maximum de mes possibilités.
Je peux à peine engloutir à peine quoi 2 cm et lui qui ricane de me voir peiner à le prendre en bouche.
Inconnu 12 : « Alors cela te change de toutes les bites que tu as eu à sucer ce soir, petite Putain, je vais t’embrocher et tu ne pourras plus t’asseoir d’un moment, mais en attendant je laisse les 4 autres te baiser, je viendrai te finir. »
J’avoue que je frissonne de peur. Je vais passer le moment où les 4 m’ont prise. Ma bouche, ma chatte et mon cul ont encore une fois eu leur dose de pénétration intense et hard. Le black a attendu que les 4 jutent sur moi avant de s’approcher. Quand je l’entend me parler, je recommence à frissonner, je suis morte de fatigue, je suis prêt à prononcer le mot clé redoutant cette énorme enfin, mais aurais-je un jour une autre occasion de voir un tel engin ?
Inconnu 12 : « Tu trembles Val ? n’est crainte ton Maitre est là et je ne suis pas là pour te faire mal. Les autres se sont occupés de te dominer, ce n’est pas mon trip. Moi ce que j’adore c’est de défoncer tes Matures blanchettes de ton style et d’en faire de bonnes putes à black. J’ai un tas de pote à te présenter si un jour tu veux remettre cela en accord avec David si c’est lui ton Maître dominant. »
Valérie : « Vous allez me déchirer, cela fait des heures que je suis baisé, j’ai la chatte et le cul tous endolories. »
Inconnu 12 : « Vu comme tu mouilles sans arrêt, je ne me fais aucun souci concernant ta chatte, après tout vous êtes faites pour enfanter, alors mon cobra va rentrer même si tu le sentiras passer. »
Le salaud, me parler d’enfanter comme si les hommes savaient ce que c’est de se faire déchirer le vagin pendant l’accouchement et puis moi je n’ai pas de gosse, alors oui je sais qu’il va m’écarteler avec sa grosse queue.
Valérie : « David, s’il te plait, j’ai besoin de savoir que tu es là, donne-moi la main. »
David : « Si cela te rassure, j’arrive ma belle Salope. »
Il vient m’embrasser malgré le foutre que j’ai sur le corps, son baiser me fait du bien et sa présence me tranquillise.
Je sens la langue du black s’occuper de ma vulve, elle est hyper sensible. Si j’avais mes mains de libre, je l’aurais empêché de toucher à mon clito. Mais il est doué en cunni avec sa langue qui recouvre mon clito et mes lèvres en même temps. Il prend son temps et je sens qu’il se régale de me lécher, c’est différent des autres qui eux pensé plus à tirer leurs coups qu’à me donner du plaisir. Il alterne excellement sa langue et 3 gros doigts dans ma chatte. Un orgasme est en train de monter alors dans cette position inconfortable, j’essaye de trémousser un peu mes fesses.
Valérie : « Ne t’arrête pas s’il te plait ! fais-moi jouir avec ta grosse langue. »
Inconnu 12 : « David m’a dit que tu es une grosse juteuse, tu peux tout expulsé, moi je suis un grand buveur de cyprine. »
Ses mots ainsi et ses doigts fouineur me font immédiatement juter. J’expulse une telle quantité que je me pose la question si je ne pisse pas en même temps. Mais cela ne le semble pas le gêner et il approche sa bouche pour en avaler le plus possible.
Inconnu 13 : « Il est bon ton jus de Pute Léa, maintenant vu comme ta chatte est béante, ma queue va bien coulisser avec toute cette mouille. »
Moi j’ai honte car vu la quantité pas sûr que cela ne soit que de la cyprine.
Lentement centimètre par centimètre mais sans s’arrêter, il m’enfonce son pieu au plus profond de mes entrailles. Son rythme de baise est au départ lent mais voyant que malgré ma grimace je ne dis rien, il commence alors un baise hard et sauvage. Ses couilles claquent sur mon cul, à chaque butée je sursaute. C’en est trop pour moi, impossible de retenir mes cris de jouissances. On serait dans un appart, il faudrait me faire taire tellement les décibels sont fort. Je pisse en continue sur son corps et ça l’excite de me baiser et de me faire jouir autant.
Il sort son cobra tout dégoulinant et là je le sens qu’il veut forcer sur ma rondelle. Je me contracte car je sais que cette fois-ci je ne prendrais pas de plaisir et qu’il va me faire mal aussi je regarde David.
Valérie : « David, Stop, pas son énorme engin dans mon cul, je vais avoir mal pendant plusieurs jours. »
David : « Tu sais alors comment l’en empêcher. »
Je crie le mot « ARENES » et là à son grand regret le black s’arrête instantanément. Malgré tout, il me fait la réflexion qu’il n’a pas joui et demande à ce qu’au moins je prenne son foutre sur mon visage.
En ayant dit ce mot, je sais que c’est moi maintenant qui est le contrôle de la situation, je peux lui refuser si l’envie m’en prend mais je suis trop curieuse de voir la quantité de sperme qu’il a avec ses grosses couilles.
Valérie : « D’accord ce sera le seul truc que j’autorise mais à 2 conditions. 1) vous me détachez et 2) Je n’avale pas si tu jouis dans ma bouche, je recrache tout sur mon corps et mes seins. »
Il accepte sans rechigner. Les 2 hommes me détachent, j’ai de nouveau les jambes endolories avec cette position aussi je prends mon temps pour me mettre à genoux afin de recevoir son jus. Je le branle et très rapidement il m’envoie une grande quantité de foutre avec rapport avec la grosseur de sa bite.
Une fois vidé, il se rhabille ainsi que les 4 autres hommes qui assistaient à ma prestation. Moi je m’écroule à bout de forces et je peux même dire que je me suis légèrement évanouie de ton d’émotion et de jouissance quasi non-stop.
Quand tout le monde est parti, je suis dans un demi-sommeil, David me soulève et péniblement monte les marches pour me porter à la douche. Là il est précautionneux et prends soin de me nettoyer tendrement. J’essaye d’émerger avec cette eau tiède qui apaise les rougissements de ma peau et de ma chatte si sensible. Après m’avoir rincé, il me porte toujours jusqu’à la chambre, là j’ai la force de lui dire.
Valérie : « Merci David, de m’avoir permis de vivre mon grand fantasme, laisse-moi te remercier et fais-moi l’amour avant d’éteindre. »
David : « Val, tu viens de te faire baiser intensément pendant 6 heure. Il est 4 h du mat, tu es trop morte, repose toi. À ton réveil, tu auras tout le temps pour me montrer ta reconnaissance, il faut que tu dormes maintenant. »
Je lui en suis reconnaissant car effectivement je suis KO et je m’endors immédiatement dans ses bras.
Quand je me réveille, le lit est vide. Déçu qu’il ne soit pas là mais regardant l’heure je constate qu’il est 18h et que je viens de dormir 14 h d’un trait. Moi qui ne suis pas une dormeuse, c’était vraiment la preuve que ma nuit fut intense. J’entends du bruit dans le salon, alors je me lève nue pour rejoindre David, je dois profiter de lui avant qu’il reparte malheureusement demain aprèm……
À suivre….où pas !!!
https://fr.xhamster.com/posts/10217486
Liste des personnages présents :
- David
- Valérie
- L’homme du parking
- Les participants du gangbang : groupe 1
- Les participants du gangbang : groupe 2
- Les participants du gangbang : groupe 3
Bonjour je m’appelle Valérie et je vis à Bruxelles. Je vous avais raconté précédemment ce qu’il m’est arrivé avec un inconnu pendant mes vacances en France à Nîmes l’été 2020.
J’avais omis de préciser que quand j’ai réglé ma note, le portier m’avait dit qu’un message m’attendait. Je me doute qu’il vient de mon inconnu. Sur celui-ci une adresse mail et simplement « si tu veux qu’on garde contact » et une signature « David ».
Je garde ce mot dans mon sac à main mais décide qu’il n’y aura pas de suite à cette nuit parfaite.
2 mois ont passé, ce que j’avais pris pour une certitude est fausse, je repense souvent à ce moment intense . Cette soirée et cet homme, dont je connais enfin le prénom, me hantent. Même si je ne m’ennuie pas sexuellement étant très active, multipliant les aventures autant avec les hommes qu’avec les femmes, l’attirance de cet homme dont il m’a avoué être Maître dominant et posséder 2 Soumises m’excite toujours par la pensée et certains soirs de solitude, je me branle en pensant à lui et à ce qu’il aurait pu faire de moi entre ses mains expertes.
Un soir de solitude m’étant fait poser un lapin par un connard, mon excitation est à son comble, je décide d’aller dans un club libertin, fouillant mon sac pour y prendre mes clés de voiture, ma main att**** le fameux mot de l’hôtel. Et là une pulsion soudaine me fait changer d’avis, avant de partir je vais lui envoyer un bref message, comme une bouteille à la mer.
« Alors Monsieur, vous ne m’avez pas laisser le temps de vous remercier pour notre nuit torride. Vous êtes toujours avec vos 2 soumises ? Je vous laisse, je pars me faire baiser dans un club. Votre Pute d’un soir. Valérie. »
J’ai décidé d’être bien provocante et vu mon mail il comprendra facilement que je vis en Belgique.
4h du mat, ma soirée fût presque un fiasco, heureusement que j’ai pu me régaler avec une sublime blonde bi, les hommes ont plus pensé à vider leurs couilles qu’à me donner du plaisir. J’ai la réflexion qu’il me faut trouver non pas un homme pour la vie mais un dominant qui sache comment m’amener dans mes derniers retranchements et qu’il me fasse vivre mes fantasmes en pensant qu’à mon plaisir.
Alors sortant du club, je ne peux attendre d’être devant mon ordi pour regarder si j’ai une réponse à mon mail, je sors mon téléphone et comme une idiote je saute de joie en voyant qu’il m’a répondu.
David : « Bonsoir ma belle Pute d’un soir, enfin tu me contactes, je n’attendais plus de tes nouvelles. Alors comme cela tu pars te faire baiser en club, j’espère que ta soirée va te combler…mais tu mérites sans doute mieux que ça, trouves-toi un homme dominant qui te fasse vivre tes désirs les plus fous et ne te contente pas du minimum. Tu as le potentiel pour être une Soumise épanouie. Moi oui j’ai toujours mes 2 soumises, mais c’est une autre histoire que je te développerais plus tard si tu veux. Contacte moi dans tu rentres de ta soirée pour me faire un compte rendu. Ton pseudo Maître du sud de la France. David. »
Putain le salaud, on dirait qu’il a lu dans mes pensées comme s’il avait été présent dans le club. Il a joint un fichier joint que j’ouvre en arrivant chez moi. Dessus, 3 photos de moi qu’il a prise lors de notre soirée, une dans les Arènes quand le portier m’a juté sur les seins et 2 à l’hôtel quand il m’avait attaché à la table. Pfff je mouille comme une pucelle en revivant ces moments et m’empresse de me caresser tout en lui répondant avec vice.
« Merci pour ces photos, je me caresse en même temps que je vous écris, mes doigts sont dégoulinant, dommage que vous ne soyez pas là pour y goûter. J’espère que vous aussi vous vous branlez souvent en les matant. »
Et là je lui envoie une photo de mon doigt tout mouillé sortant de ma chatte lisse. Il ne peut que constater combien mes lèvres sont rouges et toutes humides.
J’envoie le mail et patiente quelques minutes voir s’il me répond, mais comme il se fait tard, rien ne vient. Je pars alors me coucher en me faisant jouir une dernière fois en pensant à ce qu’il m’a dit de me trouver un homme dominant.
Le lendemain, sa réponse fut courte. Un numéro de téléphone et textote moi à n’importe quelle heure du jour et de la nuit.
Je ne vous raconterais pas la suite et je vais être brève, mais l’on a eu des échanges fréquent pour ne pas dire toute la journée, souvent érotiques voir même carrément porno, il me lançait des défis que je devais relever en lui envoyant la preuve par photo. J’ai même dû lui envoyer certains de mes strings souillées par la poste et en cadeau je recevais des dessous de plus en plus provocants.
Il n’a pas arrêter de me sonder sur mon désir d’appartenir à un « Maître » et à force de parler sans arrêt de cela, l’idée fait son chemin et je me sens prête à franchir le pas et être Soumise à une personne précise. Mais pour moi cette personne ne peut être que lui et je ne lui ai pas encore avoué.
Certains jours + de 200 textos ont pu été échangés, du matin au soir, on ne se lâchait pas, au boulot ma concentration baissait tandis que le fauteuil de mon bureau devenait de plus en plus trempe. J’ai souvent du aller bosser sans culotte avec comme défi de m’assoir les fesses directement en contact avec le cuir du fauteuil en relevant ma jupe. Il m’avait interdit de porter des jeans et des pantalons, chaque jour je devais lui envoyer une photo de moi arrivant au boulot pour lui monter mon obéissance.
Ces jeux nous amusaient et nous excitaient beaucoup mais en même temps, on était frustré car ce n’était que du virtuel. Alors un lundi soir de légère déprime, je l’appelle pour lui dire qu’il faut y mettre un terme, même si j’aime cela, il me faut +. Alors il me répond.
David : « Et si je monte te voir en train jusqu’à Bruxelles ? »
Valérie : « Tu ferais réellement cela ? »
David : « Bien sûr, cela fait 1 mois que je regarde comment faire, mais si je monte, je te veux en tant que ma Soumise et non pas pour un simple plan cul. »
Moi toute excitée : « OUI je veux aussi que tu sois mon Maître, ne serait-ce que pour quelques jours. »
David : « J’ai pas mal de congé à prendre, laisses-moi 10 jours le temps de m’organiser et de te préparer une surprise. J’arriverai le vendredi soir. »
Valérie : « Je viendrais te chercher à la gare et surtout ne réserve pas d’hôtel, je te veux chez moi. »
David : « J’accepte ton accueil à domicile alors, mais je ne veux pas t’y obliger. »
Valérie : « Non j’y tiens en fait, et comment veux tu que je me m’habille pour t’accueillir à la gare. »
David : « Tiens pour une fois, je te laisse le choix de la tenue, surprend-moi, tu peux être sage comme provocante, je te laisserais décider, je sais que tout me plaira de toute façon. Par contre une chose dont je tiens absolument et que je vérifierais chaque soir avant ma venue. »
Valérie : « Oui c’est quoi ? »
David : « Interdiction de baiser pendant ces 10 jours, fini tes clubs, fini tes plans culs à la sauvette, je te veux en grand manque sexuelle. »
Valérie : « Même pas avec une femme ??? ce soir je devais voir mon amie bi Céline. »
David : « Alors seulement ce soir et explique à Sophie que tu es stand-by pendant au moins 2 semaines. À moins que tu ne veuilles la mêler à nos jeux ? »
Un peu jalouse je lui rétorque : « Non, je vous veux pour moi seule. Plus tard qui sait pourquoi pas mais pour nos retrouvailles cela va me rendre jalouse de vous voir avec une autre !!! »
Les 10 jours avant son arrivée, nos échanges se font plus espacés, il me disait ne pas avoir de temps à me consacrer, trop de travail et trop de truc à programmer. Je sais qu’il fait cela pour me frustrer et me rendre en manque de lui et cela marche le salaud.
Il ne le sait pas mais avant-hier mercredi j’ai craqué, 10 jours d’abstinence !!!! il m’a prise pour une nonne, alors quand on a raccroché sous les coups de minuit, je suis ressortie vite me faire un plan régulier habitant pas loin. Rien de sensas mais me fallait de la bite, le mec surpris de mon appel car la dernière fois qu’on s’était vu, je lui avais gentiment dit que c’était la dernière. Mais comme il n’y avait que lui à proximité, j’en ai fait mon affaire. C’est toujours un mauvais coup mais au moins cela un peu comblé mon manque.
Enfin le jour est arrivé, vendredi 27 Novembre, son train arrive à la gare à 18h30.
J’ai choisi après une longue réflexion, changeant d’habits 4-5 fois, une tenue provocante. Jupe courte, bas, sans culotte, chemisier assez échancré sans soutif bien sûr, un maquillage bien prononcé que j’aime bien quand je fais la Putain, ongles et rouges à lèvres roses, paupières bleues. Comme chaussures de grosses rouges, avec des talons vertigineux.
Je fais exprès d’arriver en avance sur le quai pour voir le regard que les gens vont porter sur mon corps. Comme je me doutais certains hommes sont captivés par ma tenue, ne lâchant pas mon corps et mon cul des yeux. Il y a même 2 jeunes d’environ 20 ans qui tentent une approche mais je les repousse fermement en les narguant comme quoi je suis trop chère pour eux. Les autres hommes en couple qui osent me mater se font incendier par leurs femmes qui me jettent des regards furieux mais cela ne me touche pas. Il y a bien une nana qui m’a tendrement sourit en me croisant, si je n’avais pas eu à attendre David, j’en aurais fait mon repas du soir avec son mignon petit cul serré dans un short en jean raz la moule et ses 2 obus moulant son T-shirt arrivant au-dessus du nombril. Petite, cheveux très court, style garçon manqué, je reconnais en elle la lesbienne typique et en plus elle porte comme moi une chaînette à une cheville….
Mais je m’égare. J’ai réservé une petite surprise pour David car dans ma main je tiens 2 télécommandes. Avant de partir je me suis mise 2 œufs vibrants dans ma chatte et mon cul, là pour l’instant ils sont sur « off », j’espère qu’il comprendra tout de suite ce que veut dire ses télécommandes, en tout cas je le laisserai dans l’ignorance s’il ne trouve pas.
Le TGV en provenance de Montpellier rentre en gare, je suis surprise du nombre de personnes sur le quai qui attendent un passager. Ne m’ayant pas dit dans quel wagon il se trouve, j’attend à la rame du conducteur et vois passer 1 par 1 les gens sortant des wagons. Le train était visiblement complet, du monde passe devant moi depuis 2 minutes et je ne le vois toujours pas. Il ne reste quasiment plus personne qui descend, je me demande s’il ne m’a pas posé un gros lapin et s’il ne sait pas amusé de moi tout le temps qu’on a discuté quand soudain je l’aperçoit au fond à côté d’un grand black de 2 mètres style rugbyman. Ils se serrent la main et quand il se sépare, David me voit enfin. Un grand sourire s’affiche sur son visage, il ne porte qu’une petite valise avec lui. Un costard bleu foncé mais décontracté, pas de cravate. Arrivant à 10 cm de moi, il émet un sifflet, mais pas du style vulgaire.
David : « Waouh, quelle tenue pour un accueil en beauté, tu as du rameuter toute la gare dans cette tenue de Putain de haut-vol. »
Valérie : « Tu aimes alors, pas trop vulgaire ? »
David : « Non parfait ma Salope, juste ce qu’il faut. Allez viens ici j’ai trop envie de ta bouche dans la mienne. »
Ne faisant même pas attention aux mauvais regards des derniers voyageurs, nous nous lançons dans un baiser fougueux, il ne se gêne pas de peloter mon cul avec ses mains, constatant que je ne porte pas de culotte. Une fois nos bouches décollées je lui donne les 2 télécommandes en lui disant « cadeau ». Son sourire démoniaque à cet instant me fait comprendre qu’il sait de suite de quoi il s’agit. Il me demande juste laquelle sert pour mon vagin et laquelle pour mon anus.
Pour rejoindre ma voiture, située au niveau -4 du parking souterrain, on descend d’abord les escalators de la gare. Il ne tarde pas à actionner les 2 télécommandes en même temps. Mon corps se trémousse en sentant le début des légères vibrations des œufs. Dans l’ascenseur bondé qui rejoint le parking souterrain, on se place qu fond et il n’actionne que l’œuf de ma chatte mais déjà en position maximum. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas gémir. Arrivée au niveau -2, l’ascenseur s’arrête et la secousse de l’arrêt + le désir montant en moi fait que je bascule légèrement en avant touchant légèrement l’épaule d’un homme. Je m’excuse et lui en se retournant affirme pas de mal, mais il se gêne pas pour balader outre mesure sa main sur mes hanches.
David sourit de la situation. Nous voilà arrivés au -4, le parking est pour le moment désert, il ne reste plus que cet homme et nous, lui prenant à gauche et nous à droite. Je me dirige vers la voiture quand soudain j’entends David l’apostropher.
David : « Pardon Monsieur, je vous ai vu tout à l’heure peloter les hanches de ma femme. »
L’homme tout gêné bredouille des excuses, qu’il n’a pas fait exprès mais David a une bien meilleure idée pour lui.
David : « Ah non pas de mal, vous avez eu bien raison d’en profiter, c’est ma Soumise, d’ailleurs cela vous dirait d’en voir plus ? »
Outrée je proteste disant qu’on pourrait me demander mon avis et David d’une voix autoritaire m’ordonne de la fermer.
David : « T’as voulu que je sois ton dominant alors il faut assumer maintenant, laisses nous parler affaire entre homme. »
Se retournant vers lui, il lui dit qu’il peut venir voir de plus près mon corps, que je porte pas de culotte et que je vais lui montrer ma chatte toute épilée.
Il hésite ne sachant pas si on le fait marcher mais David m’ordonne de prendre appuie sur le capot de ma voiture et de soulever ma courte jupe et de lui exhiber mon sexe imberbe.
L’homme est bouche bée et il s’approche pour voir de plus près.
David : « Allez ma Salope, caresse toi devant nous. »
Je refuse mais David le salaud actionne alors les 2 œufs vibrants à son maximum. Impossible de résister à ses 2 objets et je me trémousse sentant le désir monté en moi. David diminue l’intensité et me redemande de me caresser. Envie de désir je lui obéis et le fixant intensément dans les yeux.
David : « Voyez comme c’est une bonne petite Putain. »
L’homme du parking : « Ah oui vous en avez de la chance, possible de la toucher ? »
David faisant semblant d’hésiter : « Je ne sais pas, qu’en dis-tu ma Soumise, il peut venir toucher ton clito gonflée ? »
Valérie : « Toi seul peux décider puisque je t’appartiens mais faites vite je sens que je vais jouir. »
David vient retirer l’œuf vibrant de ma chatte et me le donne à lécher et déclare à l’inconnu.
David : « Tu peux seulement la doigter, mais je te préviens elle est vite fontaine quand elle est excitée ainsi. »
L’homme du parking : « Merci j’adore les fontaines, je peux me mettre dessous pour qu’elle jute dans ma bouche ? »
David : « Si c’est ton délire, fais toi plaisir, mais presse toi pendant qu’on est seul. Et toi ma chérie, arrose lui sa bouche si tel est son envie pendant qu’il te branle. »
Je ne me suis pas gênée et lui en est mis plein la bouche, faut dire que bien excitée je suis une assez bonne juteuse et de voir cet homme sous ma jupe tendre la langue m’a mis le feu aux fesses, feu que d’ailleurs David attise avec mon œuf vibrant dans mon cul.
Une fois la chose fini, cet homme demande s’il peut se branler sur moi mais David le remballe lui disant qu’il en a eu largement assez et qu’il dégage vite.
Je réajuste ma jupe et rentre enfin dans l’auto après avoir mis la valise de David dans le coffre. Une fois au volant je lui demande si tout le weekend va être aussi surprenant que cet instant. Il en répond pas de suite et puis me dit.
David : « Oh ça, c’était de l’improvisation !!!! ce n’est rien à côté de ce qui t’attends, démarre je vais rentrer une adresse sur ton GPS. »
Valérie : « Pourquoi on ne va pas chez moi ? »
David : « Non !!! je t’ai dit t’avoir préparé quelque chose de spécial, faut pas trainer, il y a un peu de route, c’est hors de la ville. »
J’ai beau le questionner, il ne lâche rien sur cette surprise. Pendant qu’on est encore sur Bruxelles, il prend un malin plaisir à actionner les œufs à fond quand je suis à un feu rouge. 2 fois j’ai même loupé le feu vert m’attirant des tas de klaxons de gens énervés.
Le GPS indique que sortie de Bruxelles on en a encore pour 1 heure de route et à force d’actionner les œufs, j’ai une forte envie d’aller au petit coin. Je m’arrête donc en pleine nature pour vite uriner, David me regarde faire alors que ce salaud actionne encore l’œuf de mon cul. Et avant de remonter en voiture il me pose une question que je n’avais pas anticipée.
David : « Alors tu m’as bien obéi, 10 jours d’abstinences ? »
Et moi comme une conne, je détourne mais alors juste un poil la tête avec un tout petit moment d’hésitation et lui affirme que NON. Il a repéré ma gêne et ce court moment de silence coupable, il devine que je viens de lui mentir.
David : « Bon je vois que même un simple ordre basique, tu n’es pas capable de le tenir, comment veux-tu que ton Maître est confiance en toi ? »
Je prend de l’assurance et lui affirme qu’il ne connait pas ma vie et que moi j’ai besoin de bite alors oui avant-hier je me suis faite baisé et je lui mens en lui affirmant que ce fût un plan d’enfer.
David : « Très bien, content pour toi si c’est ce que tu désires, un plan cul basique. Reviens à la voiture, tu peux faire demi-tour et me laissez à la gare, je me débrouillerais pour trouver un hôtel où passer la nuit et rentrer en France demain. »
Tétanisée je ne bouge pas, je n’arrive pas à exprimer mes sentiments mais ce que je sais c’est qu’il est hors de question de le laisser partir. Alors je le supplie, lui disant que j’ai réellement essayé de tenir et que je m’en veux sincèrement d’avoir craqué et lui avoue finalement que c’était nul en plus, j’ai dit que c’était excellent pour le faire enrager. Retrouvant du courage, je lui dis.
Valérie : « De toute façon c’est moi qui est les clés, hors de question de faire marche arrière, il ne te reste que le Stop. »
Putain pourvue qu’il ne me prends pas au mot.
Je vois son visage s’adoucir et alors il me dit OK que ça ira pour cette fois, qu’après tout on est pas encore Maître / Soumise n’ayant pas signé de contrat encore ensemble, et moi me disant pourquoi il me parle de contrat.
Dans la voiture, il me demande alors que lui raconter ma soirée de sexe en détail, il n’actionne plus les œufs, je ne sais pas si je dois interpréter cela comme une punition.
On arrive enfin à l’adresse indiqué par le GPS, c’est une ferme perdu au milieu de la campagne Bruxelloise. Je vois la vieille maison toute éteinte et lui demande s’il y a quelqu’un qui y habite.
David : « Non j’ai eu les clés par une personne en gare de Paris, pendant le transfert de train, on s’est prêté nos domiciles pour le weekend. Elle te paraît vieille à l’extérieur mais l’intérieur est nickel d’après les photos que j’ai vus. »
Malgré tout je lui montre ma déception.
Valérie : « Je te fais confiance mais bon on est loin de tout, moi qui comptais te sortir dans des endroits branchés de Bruxelles, là c’est pas la joie que nous 2 perdus dans la nature. »
David : « Au moins tu pourras crier comme tu le désires ma Salope ! Tu ne connais pas encore tout le potentiel de cette maison, qu’aucun endroit branché de Bruxelles n’aurait pu t’offrir pour ce que je t’ai prévu et puis je n’ai jamais dit qu’on ne serait que 2 !!! »
Rien que ces derniers mots me donnent des picotements dans le bas-ventre, je sens alors qu’il a tout prévu de A à Z et que je dois me laisser aller et lui faire confiance. C’est bien ce genre de situation que je recherchais, un dominant qui sache me surprendre.
Galant, il prend mes affaires dans le coffre et nous rentrons dans cette ferme. En effet, l’intérieur est magnifique, on voit que des travaux ont été fait. Une immense pièce à vivre, belle cuisine moderne ouverte donnant sur un vaste séjour tout en longueur, avec une grande baie vitrée avec vue sur les sous-bois.
Mais je n’ai pas le temps de m’extasier devant la vue car dès que David pose nos sacs par terre, il me plaque avec force contre le mur du hall. Sa main couvre ma bouche, quand il soulève ma jupe au-dessus de mes fesses. Une grosse claque sur mon cul et il m’insulte d’avoir privilégié un plan cul nullissime à un ordre simple et puisque je mérite selon lui une leçon, il va m’enculer directement contre le mur. Je voudrais lui dire qu’excitée comme je suis j’en meurs d’envie mais sa main n’en empêche.
Retirant sans ménagement l’œuf vibrant de mon cul. Il constate que mon anus est bien dilaté, alors il s’enfonce d’un coup sec jusqu’aux couilles. Son mouvement brusque me plaque encore plus contre le mur, mes seins sont comprimés et il ne me ménage pas mais PUTAIN que j’aime ça, être parfois prise sans douceur comme une vulgaire traînée. Il me laboure le cul un long moment contre le mur, l’œuf vibrant dans ma chatte est au maximum, mes jambes ont du mal à me tenir debout tellement ma jouissance est intense. Ma chatte dégouline de mon jus en permanence.
Quand il se retire d’abord l’œuf de ma chatte puis sa bite de mon cul, un geyser inonde le sol. Me prenant par les cheveux, il m’oblige à lécher mon jus par terre et il revient me labourer le cul en posant son pied sur mon visage. Je suis sa CHOSE et cette humiliation me plait.
À sa respiration, je pressent qu’il va bientôt jouir. Il se retire de mon anus béant et m’offre son sexe luisant à sucer et nettoyer.
Son éjac arrive très vite et est assez intense. Une quantité de foutre s’échappe de ma bouche et coule de mon menton vers mes seins. Voyant que je suis surprise par sa quantité de foutre plus abondante que dans mes souvenirs, il me souris.
David : « Que crois-tu ! moi j’ai réellement fait abstinence depuis 10 jours donc j’avais de la réserve. »
La tension sexuelle s’amenuisant nous partons tous les 2 dans un fou rire.
Il me laisse reprendre mon souffle et me relève avec douceur. C’est ce mélange douceur / fermeté qui me fait craquer chez lui, ce n’est pas l’homme le plus beau qui m’est baisé mais il a une aura qui m’attire vers lui. Nous nous installons dans la maison, en effet sous ces airs rustiques, l’intérieur est superbe. Près de la cuisine se trouve une porte indiqué « cave » avec 3 gros verrous dessus. Intriguée j’essaye de l’ouvrir mais David m’en empêche.
David : « Ne touche pas aux verrous, c’est la partie interdite de cette ferme réservé aux Chiennes ultimes. »
Valérie : « Ben alors, c’est tout moi ça, j’ai pas le droit de voir ce qu’il y a dedans ? »
David : « Oh que si mais pas maintenant, ta soirée se passera dans cette pièce, mais on a un petit moment encore avant d’y aller, j’ai besoin de prendre une douche d’abord. »
Nous prenons possession de la plus grande chambre qui possède une salle de bain privative avec grande douche à l’italienne pour 2. David va se doucher mais il m’interdit de le rejoindre, je dois sentir la chienne qui vient de se faire baiser me dit-il. Dommage je l’aurai bien pompé sous la douche mais j’espère que ce n’est que partie remise.
Il se change et nous allons vers le salon où il me fait installé les jambes écartées sur le canapé. Voyant que je mouille encore, il m’autorise si je le souhaite à légèrement me caresser mais sans me faire jouir. Je dois l’écouter m’expliquer les règles du jeu.
David : « À partir de maintenant et pour tout le weekend, ton corps m’appartient. Je fais ce que je veux de toi et de lui. C’est moi qui décide avec qui tu baises que cela te plaise ou non. Tous les sévices corporels s’il y en a seront fait dans le but de te donner du plaisir et non de te faire souffrir. Aucune marque ne sera faite sur ton corps. Si à un moment tu sens que cela va trop loin et que tu veux tout arrêter il te faut un mot « clé » comme on dit. En prononçant ce mot, j’arrêterais tout instantanément. Je te laisse réfléchir au mot que tu veux choisir. »
Valérie : « Non ça ira pas besoin de mot clé, j’accepte tout de toi. »
David : « Non, Valérie, il t’en faut 1. C’est obligatoire, je ne serais pas seul et même si c’est moi qui veillerais à ta santé, il faut que je sache quand il faut tout cesser pour que tu ne sois pas en danger. »
Valérie : « Très bien, je pense à un mot qui devrait te plaire alors. »
David : « Ne choisis pas un mot classique que tu pourrais prononcer sans t’en rendre compte, style STOP. »
Valérie : « Non j’en ai 1 qui est rare. En hommage à notre première rencontre je choisis le mot : Arènes. »
Je le vois sourire en évoquant notre premier souvenir commun.
David : « Bien en attendant nos premiers invités, va nous préparer quelque chose à boire qu’on trinque à notre rencontre, j’ai des textos à envoyer. »
Passant devant lui, je me penche pour l’embrasser et fais exprès de tortiller du cul en me dirigeant vers la cuisine. Du champagne est au frais ainsi qu’une grande bouteille de Rhum arrangé, je lui demande ce qu’il préfère et me répond le Rhum. Il est corsé et je le sens réchauffer mon corps. Nos verres terminées David reçoit un premier texto, en le lisant il se lève.
David : « Viens, il est temps que je te fasse découvrir cette pièce qui t’intriguais. »
Je m’accroche à son bras car derrière la porte se trouve un étroit escalier, une bonne quinzaine de marches nous entrainent au sous-sol, pour le moment c’est une cave ordinaire mais il y a encore une autre porte avec code digital. Tapant le code, David ouvre et me laisse entrer la première. La pièce est dans le noir mais malgré qu’on soit en profondeur, il fait bon. Quand David appuie sur l’interrupteur, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un cri de surprise.
Si vous avais déjà vu des films BDSM avec des appareils de sévices, alors vous avez une idée de qui est devant moi, la pièce est immense et il y a des instruments de partout, certains que je connais, style croix St James, pilori…comme d’autres dont j’ignorais l’existence. Sur un mur complet est accroché de multiples martinet, fouet, cravaches, de toutes sortes de tailles et je suppose de dureté. Des menottes, des liens, des cordes, des poulies installées aux plafonds, rien ne manque.
J’en frissonne, je me pose malgré tout des questions me demandant si je ne suis pas folle de suivre David ; après tout personne ne sait que je suis ici. J’ai bien averti ma meilleure amie que j’allais chercher un français à la gare mais on devait aller chez moi. C’est là que je me dis que je ne le connais pas assez pour ce genre de plan, je l’avoue je commence à paniquer et je crois qu’il le sent et le vois dans mon attitude et dans mes yeux qui commencent à se brouiller.
David : « Je vois que cela te fais paniquer, je peux comprendre. Je te demande juste d’avoir confiance en moi, oui je sais on ne connaît à peine. On a beaucoup échanger sur ce sujet du BDSM pendant nos textos. Moi j’ai l’intime conviction que tu es prêtes pour cela, mais cela doit venir de toi. »
Je commence à prendre sur moi, c’est surtout le choc de voir ses engins en vrai qui me fait douter, mais depuis le temps que je fantasme sur certains.
Valérie : « Promets moi juste un truc. »
David : « Oui dis-moi. »
Valérie : « Je sais que tu as prévu pleins d’hommes pour me baiser, mais ne me laisse pas seul avec eux, soit toujours là. Je veux entendre parfois ta voix pour me rassurer. »
David me certifie qu’il ne me quittera pas d’un instant, je le crois sur parole alors je lui dis que je suis prête à m’abandonner à tous ses vices.
Première étape, il m’installe sur la croix St André, m’attache mains et pieds à l’aide de ceintures en cuirs. Puis il me pose un bandeau noir sur les yeux, mon sens de la vue est inactif. Ensuite il me mets aussi un casque sur les oreilles, pour le moment pas de musique, donc je l’entend me dire qu’il veut aussi me priver du sens de l’ouïe. Ainsi équipé il me donne un doigt à sucer et il me susurre à l’oreille.
David : « Jusqu’à ce que nos invités partent, je ne te toucherais plus de la soirée. Abandonne toi à la soumission, laisse toi faire pour ressentir un maximum de plaisir. Je vais sortir de la pièce et te laisser seule le temps d’aller accueillir nos hôtes, je reviendrai avec eux. Je serais là tout le temps, je te mets la musique pour que tu patientes un peu, ça peut prendre du temps avant que les premiers arrivent. Je pense que tu vas beaucoup aimer ce style de musique. »
Au début j’entend un léger bruit de fond comme un murmure mais rapidement j’identifie ce bruit, ce n’est pas un murmure mais une femme en train de prendre du plaisir. Ce salaud va me laisser le casque pour que j’entende une femme jouir, cela va me mettre ma chatte en folie.
Le temps d’attente privé de 2 de vos sens les plus élémentaires comme l’ouïe et la vue me parait interminable. Plus tard j’ai su que j’avais attendu à peine 20 minutes seules, j’aurai cru que cela faisait facilement 1h. En tout cas, en entendant en boucle cette Salope jouir, j’ai eu moi aussi un orgasme, sans même me toucher.
Je ne peux pas vous raconter comment sont arrivés les inconnus, juste vous rapporter ce que m’en a dit David plus tard.
Point de vue de David.
Je t’ai laissé seule dans cette pièce 20 minutes, j’avais été précis dans mes indications pour nos invités. Ce ne fût pas simple de recruter sur Internet étant donné que ce n’est pas mon pays Mais par l’intermédiaire du Maître de maison, celui-ci m’avait donné une liste d’une vingtaine d’hommes surs. J’ai pris contact avec chacun d’eux et sur 20, 15 m’ont promis de venir. Ne voulant pas faire venir les 15 en même temps, j’ai opté pour 3 groupes de 5, toi les yeux bandés, tu ne pourras pas te douter combien d’hommes te baiseront à la chaine. Chaque groupe de 5 avait 2 heures pour être avec toi. Donc en tout j’avais programmé une baise intense et hard de 6h en espérant que tu tiennes le coup. Quand je faisais remonter un groupe de 5 de la cave, j’accueillais l’autre groupe qui attendait sagement dehors. Chaque fois qu’un groupe en croisait un autre, il était super enthousiaste sur la bonne PUTE qu’il venait de baiser.
Donc je suis dans cette pièce, mes cuisses sont trempées de ma cyprine, avec le casque je n’entend pas les hommes arriver. David leur ordonne de garder pour le moment le silence tant que j’ai ce casque sur les oreilles.
Je sursaute quand soudain plusieurs mains s’installent instantanément sur mon corps, 2 me pétrissent les seins quand une fois giflé ma chatte, le salaud a tapé juste sur mon clito tout gonflée, ce qui m’a fait hurler plus par surprise que par douleur.
Une main m’enlève le casque, enfin soulagée de ne plus entendre cette Chienne la réclamer dans son cul !!! C’est la voix autoritaire de David que j’entends le premier.
David : « Comme promis, je suis dans la pièce. Tu vas garder ce masque sur tes yeux toute la séance, tu ne seras qui et combien d’hommes vont te baiser. Ils ont quasiment carte blanche pour te faire ce qu’ils veulent mais ils connaissent les limites que j’ai fixé et si tu veux stoppé ils connaissent le mot clé. »
Un des hommes prend la parole.
Inconnu 1 : « Alors c’est elle Val ta Pute belge !!! tu ne nous as pas menti, c’est une bombe. »
Les mains cessent de caresser mon corps, j’entends qu’on prend un des objets posés sur le mur d’en face. De ne rien voir décuple mon angoisse et en même temps mon envie.
David : « Pour commencer, c’est moi qui fait de fouetter tes seins et ta chatte avec ce tendre martinet. Ensuite chacun ira prendre l’instrument de son choix pour continuer ce traitement. On te retournera pour fouetter aussi ton beau p’tit cul ma Chienne Soumise. »
Valérie : « Tout ce qu’il vous plaira Monsieur. »
J’ai déjà subit des séances de fouet, même si ce fût rare, mais jamais attachée sans rien voir. Aussi je sursaute à chaque coup car je ne peux prévoir quand ceux-ci vont arriver. David y va malgré tout en douceur pour commencer quand il arrête, il reprécise à ses hommes qu’il ne veut pas de coup hyper violent, aucune marque ne doit paraître sur mon corps hormis de la rougeur intense.
Le suivant s’occupe de tapoter ma chatte et mon clito avec une cravache, je commence à miauler, me pinçant les lèvres pour ne pas trop crier fort. 2 autres s’occupent en même temps de me tordre mes nichons, y a t-il David dans le lot, j’en sais rien. Il m’a promis de juste regarder sans participer. Les coups sur mon clito deviennent de plus en plus intense, j’entends quelqu’un dire « à mon tour » et cette fois-ci j’ai droit à nouveau aux martinet sur mes tétons qui sont déjà hyper durs. On commence à me branler la chatte.
Inconnu 2 : « Cette Salope aime ce qu’on lui fait, je rentre 2 doigts sans forcer dans sa vulve tellement elle est trempée. Hein t’aimes ça petite garce ? »
Moi me sentant obligé de répondre car David m’avait briefé que si l’on me posait une question je devais répondre en les vouvoyant.
Valérie : « Oui j’aime qu’on me doigte la chatte, je suis toujours humide, continuez plus fort. »
Et là une grosse gifle sur mes seins.
Inconnu 2 : « T’es pas là pour demander quelque chose Pute. »
Du coup délaissant ma chatte, il s’empresse de me rentrer sa main dans ma bouche, il voudrait presque m’étouffer le con. Je bave sur sa main tellement il essaye de me la rentrer loin et on ressortant il me re gifle les seins et sans aucune préparation m’enfonce au plus profond son majeur dans mon cul.
Inconnu 2 : « Tiens Val ! prend le aussi dans le cul, vu qu’il est lui aussi bien dilaté. »
Je sens une autre main qui prend possession de ma chatte, tandis que des bouches sucent mes mamelons si durs. Il m’en faut peu pour avoir déjà un orgasme. Voyant cela, on me détache pour me faire retourner sur la croix et offrir mon dos et mon cul. La séance démarre que sur mon cul, il a du recevoir une bonne vingtaine de coup de martinet, je sens que mes fesses sont rouges intenses. Délaissant le fouet, un autre inconnu me claque le cul rougi avec ses mains.
Inconnu 3 : « Voilà comme il faut finir les bonne Salopes dans ton genre, le martinet est trop doux pour toi, goûte un peu à mes grandes mains. »
Il ne se retient pas le salaud et je pousse des cris à la fois de douleur et de plaisir, les 2 sont mélangés, quelques larmes coulent sur ma joue. Je sens que quelqu’un me les lèche et me susurre à l’oreille.
David : « Tu es sublime ainsi offerte ma belle Soumise. »
T’entendre sa voix me donne le sourire et me fait oublier un court instant que mes fesses me cuisent.
L’inconnu numéro 2 reprend les choses en main, je sens que c’est lui le chef de la meute, pour l’instant je ne saurais dire combien ils sont, j’imagine 4 en plus de David. Il me détache et me prend par les cheveux, obligeant à m’agenouiller, il m’attache les mains derrière le dos.
Inconnu 2 : « Ouvre grand ta bouche maintenant traînée et applique toi à nous faire bien durcir avec ta langue. »
Je perds la notion du temps, suçant, suçant, suçant. Mes mâchoires me font mal tellement la plupart me baisent la bouche, j’ai envie de respirer et de boire un verre. Je bave sur leur queue, tandis qu’ils continuent à jouer avec mes nibards. J’arrive toujours pas à savoir combien ils sont, pour moi les queues s’enchaînent à tour de rôle.
Dans un court instant de répit pour ma bouche, je réclame de l’eau et l’un de ses salauds me lancent directement un verre d’eau sur mon visage. Quelle humiliation !!! Mais je sens une main me donner un autre verre et une voie différente des autres toute timide me dire.
Inconnu 4 : « Tenez Madame, buvez. »
De suite l’inconnu 2 se moque de lui.
Inconnu 2 : « Et le puceau, tu oublies le Madame, c’est Pute Isa, Salope ou Chienne, t’es pas la pour lui faire la cours. »
Inconnu 4 : « Cela n’empêche pas d’être élégant, si elle a soif, pas besoin de lui en foutre plein la gueule, et puis t’inquiète le puceau à de quoi la faire couiner avec mon 20 cm, toi quand je vois la tienne, j’en doute !!! »
Sentant la tension dans l’air, David calme immédiatement l’assistance. Du coup le jeune (du moins je suppose d’après ce que j’ai entendu), m’att**** et me fait allonger sur lui. Il enfonce son sexe au plus profond de mes entrailles !!!! Waouh en effet belle longueur et ce salaud qui me lime comme un lapin infatigable. À peine sa grosse queue dans ma chatte, qu’une autre prend possession de ma bouche et je me retrouve avec dans chacune des mes mains 2 bites à devoir branler. Ils sont donc bien 4, du moins ce que je croyais car j’entends l’inconnu numéro 3 dire.
Inconnu 3 : « Putain les gars, pensez à moi, laissez m’en un peu aussi de cette Chienne, on est 5 quand même !!! »
Le jeune lui dit de venir le rejoindre pour me prendre en double vaginale.
Inconnu 4 : « Vu comme elle dégouline et que ma bite l’a bien élargie, ça rentrera facile. »
Pas moyen de leur dire qu’il a raison tellement ma bouche se fait démonter par une autre bite bien conséquente. Les 3 qui se font branler et sucer tournent à tour de rôle dans ma bouche et rapidement l’un d’eux de mets à jouir. Je le sens arriver quand il me plaque la tête contre ses couilles et gémit comme un gros porc. Je comprends que c’est l’inconnu 2 qui faisait le fanfaron.
Inconnu 2 : « Putain elle est trop bonne cette Pute Éva. »
Il en reste 4 à faire jouir, ceux qui prenaient ma chatte font l’échange avec ceux que je suçais. On me relève et me fait mettre à 4 pattes sur le sol pour une bonne levrette. Mais cette fois ci j’ai droit à une double classique, mon cul va être pris pour la première fois de la soirée, le mec qui ose enfin m’enculer est celui des 2 que je suçais qui possède la plus large. Vu la grosseur de son gland, il prend un max de précaution avant de me fourrer le cul. Il crache sur sa queue et sur ma rondelle, fais des cercles avec ses doigts autour de mon œillet, quand il me sent prête il a la délicatesse de me prévenir ainsi que son pote qui me défonce la chatte.
Inconnu 1 : « Attends mec, ne bouge pas. Et toi Val penche toi sur lui si tu veux que mon gland rentre en douceur. »
Je délaisse la queue que je suis en train de sucer et fais ma grosse Chienne.
Valérie : « Mais Putain vas-y encules moi fort au lieu de me faire languir avec ta grosse bite. »
Et oui je sais je suis douée pour allumer tous ses vicelards et ils savent me le rendre car à ses mots, il s’enfonce d’un coup sec dans mes entrailles me faisant pousser un cri quand ses couilles tapent fort sur mes fesses. Et moi qui continue à le narguer en lui disant d’y aller plus fort que j’aime quand c’est intense et bestial.
N'ayant pas le notion du temps je ne sais pas depuis combien de temps il me baise quand celui qui est dans ma chatte se retire en vitesse pour venir me juter sur le visage, vite rejoins par les 2 autres que je suçais. Par contre celui qui m’encule se régale toujours autant et le fait d’être seul lui fait encore plus accéléré ses coups de boutoirs dans mon cul. De mon côté, j’inonde le sol avec ma cyprine, vu que j’ai les mains enfin libre, je me branle pendant qu’il est dans mon cul et un orgasme intense me secoue, mes jambes tremblent légèrement, du coup mon enculeur se retire et m’envoie lui aussi la purée sur ma gueule déjà pleine de foutre.
J’entend qu’on est en train de prendre plein de photos de moi ainsi souillée. Je ne me sens pas humilier après tout je suis venue pour ça et je ne saurais jamais qui ils étaient.
Sans le savoir cela faisait quasiment 2 heures qu’ils étaient avec moi, ne rien voir vous fait perdre toute notion du temps. Je suis presque fatiguée mais je me doute que c’est loin d’être terminée.
Je m’allonge et m’accorde un court instant de répit, voyant qu’on me délaisse un peu. Je ne devine pas qu’entre temps, David vient de changer discrètement le groupe de 5 et que 5 nouveaux viennent d’entrer dans le sous-sol.
David m’ordonne de me relever et m’amène sur un autre machine. Je suis debout, mes mains et ma tête rentrent dans un trou. Je comprends qu’il m’installe dans un pilori, mais il est si grand que je suis sur la pointe des pieds et qu’il attache mes chevilles avec une corde.
Ma position est très inconfortable surtout que par rapport à mes pieds qui ne touchent presque pas le sol. À peine je suis installée qu’une queue prend possession de ma bouche. Je m’étouffe de surprise mais cet homme en à que faire. Je sens qu’un vibro ondule sur mon clito alors que je me fais doigter la chatte et le cul simultanément. Une voix que je n’avais pas entendu se manifeste. Mais combien sont-ils encore ?
Inconnu 6 : « T’as pas intérêt à me mordre la bite petite trainée sinon tes fesses vont plus que marqués. »
Je prends sa menace très au sérieux vu le ton autoritaire de sa voix. Malgré que sa queue ma baise la bouche jusqu’à ma glotte, j’arrive à le prendre en entier sans trop de mal, faut dire que les 5 mecs d’avant m’avaient bien préparés, aussi ça glisse presque tout seul.
Par contre pour ce qui est des doigts dans ma chatte, je sens que cela picote plus et pour cause y en a 1 qui compte me fister et me le fais bien savoir.
Inconnu 7 : « Avec une chatte inondée comme la tienne, cela va être un jeu d’enfant pour moi de te fister la chatte Salope de Val et qui sait peut-être que je fisterai ton cul si je te sens réceptive. »
J’ose juste marmonner non pas le cul, mais je ne sais pas s’il m’a entendu avec une bîte dans la bouche.
Tandis qu’il fouille ma chatte en la fistant, le vicieux me pince fort le clito et sa langue me lèche le cul. Comment résister à un autre orgasme intense. Ayant de l’expérience il sent ma mouille arrivée, aussi il retire d’un coup sec et un geyser jailli de ma chatte béante.
Ce n’est pas la première fois que je suis fontaine mais là cela dépasse tout ce que j’avais déjà venue. Totalement inerte et épuisée physique que mentalement je demande grâce quand ma bouche baisée m’en laisse le temps. Aussi j’entend David parler.
David : « Tu veux arrêter et dire le mot clé ma belle Salope ? »
Valérie : « Non pas du tout, mais laissez moi récupérer un peu sinon je vais m’évanouir s’il vous plait Monsieur David. »
Aussi il ordonne aux mâles présents de m’accorder 10 minutes de pause. Par conséquent 10 minutes de rab leurs seront accordés sur l’horaire de départ prévu.
Je les entend se servir à boire et trinquer à ma santé, me traitant de tous les noms insultant. Comme je ne peux pas bouger je supplie David de pouvoir au moins reposer mes pieds sur le sol, il manipule la machine afin que je puisse poser pied à terre. Quel soulagement, j’avais des fourmis dans les 2 jambes à force de rester sur les orteils !!! Mon repos dans ce pilori fût de courte durée. Pour ne pas jouir trop vite l’un des hommes a émis une idée.
Inconnu 8 : « Les gars, on installe un minuteur et on la prend juste 1 minute, le premier dans sa chatte, le second dans son cul et on alterne, aussi quand reviendra notre tour vue que l’on est cinq, celui qui aura pris sa chatte visitera son cul. »
Inconnu 9 : « Bonne idée et ceux qui se savent résistant peuvent baiser sa bouche aussi en attendant leur tour. »
Ainsi je fus baisé un temps infini, eux avaient la possibilité de tenir la distance tandis que moi j’étais sollicité non stop. J’ai failli demander grâce à un moment donné et prononcer le mot clé, tellement j’étais épuisée autant physiquement que psychiquement. Finalement quand tous se sont senti à bout de forces, on m’a détaché du pilori, je me suis écroulée sur le sol et ces hommes en ont profiter pour me juter à tour de rôle sur tout le corps. Le dernier se finisse dans ma bouche, j’ai pour ordre de jouer avec son sperme et de le laisser couler le long de mon menton.
Une fois que ceux-ci se sont rhabillé, cette fois-ci je les entend partir. Depuis combien de temps je suis dans cette pièce, impossible à savoir alors que cela fait déjà quasiment 4 heures. Je suis comblée et je pense que la soirée est terminée aussi je me permet de parler à David.
Valérie : « Merci d’avoir réalisé mon fantasme, j’ai pris un pied incroyable, orgasme sur orgasme sans interruption quasiment. »
David : « Mais ce n’est pas fini ma Salope ! Il y en a encore qui attendent pour te baiser comme une Pute ! »
À mon visage, il doit deviner la surprise que j’éprouve.
Valérie : « David, je suis morte de fatigue ! Et j’ai plutôt maintenant envie de toi. »
David : « NON !!! Tu ne décides de rien, j’ai mis assez de temps pour organiser ceci pour renvoyer des mecs chez eux en leur ayant promis de baiser une bonne PUTE. »
Valérie : « Tu veux ma mort ou quoi !?!? je vais avoir la chatte et le cul inutilisable après tant de bites. »
David : « Tu sais ce qu’il te reste à faire, prononce le mot clé et c’est terminé mais ne me demande plus de t’organiser quelque chose après. »
J’hésite longuement, ma tête me dit de dire stop mais mon cœur veut ne pas le décevoir. Tiraillé je capitule mais lui demande une plus longue pause et qu’il m’enlève le bandeau tant que les hommes ne sont pas là.
David : « Tu as été tellement parfaite, que je t’accorde 1 demi-heure de repos. Je reviendrai remettre le bandeau avant que les derniers invités rentrent. Sois sage et profites-en pour te reposer. »
Au départ, je n’avais tellement plus de force que je me suis assise sans rien faire, même pas la force de nettoyer avec corps plein de foutre sec. Ensuite je me lève cherchant quelque chose pour me nettoyer un peu. Ma curiosité de Salope en chaleur me fait toucher tous les différents godes présents sur les murs. Par jeu je prends le plus gros, je n’avais jamais rien vu de tel en circonférence. Noir, ma main n’arrive même pas à en faire le tour complet. J’essaye de voir si je peux le prendre en bouche, mais je n’entends pas la porte s’ouvrir et David me découvrant en train de le me foutre dans la bouche.
David : « C’est comme cela que tu te reposes, Salope ?! »
Sursautant je lâche l’énorme gode.
David : « Tu me demandes du repos et tu oses sucer ceci, t’en as donc encore envie espèce de Pute. »
Valérie : « C’était juste de la curiosité, je t’assures que je suis épuisée. »
Il vient me faire taire en me giflant un nichon, immédiatement il me remet le bandeau et je l’entends amener une machine au centre de la pièce. Vu comme il me soulève et m’installe je comprend de suite de laquelle il s’agit, un autre genre de pilori qui m’avait extrêmement intrigué et excité.
Je suis sur le dos. Mes pieds, attachés à tes crochets, forment avec mes cuisses un parfait losange. Quelle pose indécente, mon cul est en position idéale pour se faire prendre.
J’entend le troisième groupe qui arrive et plusieurs sifflement retentit me voyant dans cette position. David les prévient que je dois rester dans cette position le temps qu’ils restent dans la pièce.
Je tremble car je me doute que ce groupe ci sera encore plus pervers que les 2 autres et pourtant je pense avoir tout subir.
Le premier qui s’approche me caresse les fesses, un long moment, je sais qu’il prépare quelque chose de moins doux. Cela ne tarde pas, il me donne des coups de badiane, je hurle au premier coup et pour me faire taire, on me tourne la tête et une queue fine me baise encore la bouche. Délaissant la badiane, je sens qu’il écrit quelque chose sur mes cuisses et mes fesses. Content de lui il appelle les autres pour voir ce qu’il a marqué.
Inconnu 11 : « CHIENNE ET PUTE À BAISER NON STOP, je pense que cela correspond bien à cette Salope. »
C’est la première fois qu’on marque ma peau, je suis humilié mais en même temps, je commence encore à mouiller et ce porc s’en rend compte en me pinçant le clito.
Inconnu 11 : « Et en plus ça l’a fait mouiller !!! pas vraie que t’es une grosse Salope Val ? »
Obligé de lui répondre et honteuse malgré tout, je leur réponds.
Val : « OUI ! je suis la Pute à David, baisez-moi fort. »
Cet homme ne se fait pas prier pour pilonner ma chatte, tout en me donnant de légères claques à mon clito.
Les autres, me biflent le visage avec leurs bites.
Je n’en sens que 3 sur mon visage, vu comme ils étaient 5 dans le premier et le second groupe, je me demande où se trouve le cinquième. Je ne vais pas tarder à le savoir et à le regretter.
Soudain j’entends une voix grave avec un accent étranger se manifester.
Inconnu 12 : « Poussez-vous, laissez-moi passer. »
Tous les mecs s’écartent, quand soudain un engin énorme se pose sur ma joue !!! Mais c’est quoi ce truc ? c’est encore plus gros que le gode que j’ai voulu sucer et là je sens que c’est fait de chair et d’os.
Inconnu 12 : « Alors blanchette, ton Maître m’a dit qu’elle gode tu voulais sucer en nous attendant, pourquoi te contenter d’une réplique car voici l’original. »
Je comprends à son accent et à ses mots que j’ai affaire à un black, mon Dieu que son sexe est énorme, ce n’est pas possible d’avoir un truc de ce genre. Tout un tas d’image se passe dans mon cerveau, il va m’écarteler comme jamais et je pris qu’il ne lui vienne pas l’idée de m’enculer.
Mais déjà il me tend son énorme gland au bord de mes lèvres, je peux à peine l’engloutir en ouvrant ma bouche au maximum de mes possibilités.
Je peux à peine engloutir à peine quoi 2 cm et lui qui ricane de me voir peiner à le prendre en bouche.
Inconnu 12 : « Alors cela te change de toutes les bites que tu as eu à sucer ce soir, petite Putain, je vais t’embrocher et tu ne pourras plus t’asseoir d’un moment, mais en attendant je laisse les 4 autres te baiser, je viendrai te finir. »
J’avoue que je frissonne de peur. Je vais passer le moment où les 4 m’ont prise. Ma bouche, ma chatte et mon cul ont encore une fois eu leur dose de pénétration intense et hard. Le black a attendu que les 4 jutent sur moi avant de s’approcher. Quand je l’entend me parler, je recommence à frissonner, je suis morte de fatigue, je suis prêt à prononcer le mot clé redoutant cette énorme enfin, mais aurais-je un jour une autre occasion de voir un tel engin ?
Inconnu 12 : « Tu trembles Val ? n’est crainte ton Maitre est là et je ne suis pas là pour te faire mal. Les autres se sont occupés de te dominer, ce n’est pas mon trip. Moi ce que j’adore c’est de défoncer tes Matures blanchettes de ton style et d’en faire de bonnes putes à black. J’ai un tas de pote à te présenter si un jour tu veux remettre cela en accord avec David si c’est lui ton Maître dominant. »
Valérie : « Vous allez me déchirer, cela fait des heures que je suis baisé, j’ai la chatte et le cul tous endolories. »
Inconnu 12 : « Vu comme tu mouilles sans arrêt, je ne me fais aucun souci concernant ta chatte, après tout vous êtes faites pour enfanter, alors mon cobra va rentrer même si tu le sentiras passer. »
Le salaud, me parler d’enfanter comme si les hommes savaient ce que c’est de se faire déchirer le vagin pendant l’accouchement et puis moi je n’ai pas de gosse, alors oui je sais qu’il va m’écarteler avec sa grosse queue.
Valérie : « David, s’il te plait, j’ai besoin de savoir que tu es là, donne-moi la main. »
David : « Si cela te rassure, j’arrive ma belle Salope. »
Il vient m’embrasser malgré le foutre que j’ai sur le corps, son baiser me fait du bien et sa présence me tranquillise.
Je sens la langue du black s’occuper de ma vulve, elle est hyper sensible. Si j’avais mes mains de libre, je l’aurais empêché de toucher à mon clito. Mais il est doué en cunni avec sa langue qui recouvre mon clito et mes lèvres en même temps. Il prend son temps et je sens qu’il se régale de me lécher, c’est différent des autres qui eux pensé plus à tirer leurs coups qu’à me donner du plaisir. Il alterne excellement sa langue et 3 gros doigts dans ma chatte. Un orgasme est en train de monter alors dans cette position inconfortable, j’essaye de trémousser un peu mes fesses.
Valérie : « Ne t’arrête pas s’il te plait ! fais-moi jouir avec ta grosse langue. »
Inconnu 12 : « David m’a dit que tu es une grosse juteuse, tu peux tout expulsé, moi je suis un grand buveur de cyprine. »
Ses mots ainsi et ses doigts fouineur me font immédiatement juter. J’expulse une telle quantité que je me pose la question si je ne pisse pas en même temps. Mais cela ne le semble pas le gêner et il approche sa bouche pour en avaler le plus possible.
Inconnu 13 : « Il est bon ton jus de Pute Léa, maintenant vu comme ta chatte est béante, ma queue va bien coulisser avec toute cette mouille. »
Moi j’ai honte car vu la quantité pas sûr que cela ne soit que de la cyprine.
Lentement centimètre par centimètre mais sans s’arrêter, il m’enfonce son pieu au plus profond de mes entrailles. Son rythme de baise est au départ lent mais voyant que malgré ma grimace je ne dis rien, il commence alors un baise hard et sauvage. Ses couilles claquent sur mon cul, à chaque butée je sursaute. C’en est trop pour moi, impossible de retenir mes cris de jouissances. On serait dans un appart, il faudrait me faire taire tellement les décibels sont fort. Je pisse en continue sur son corps et ça l’excite de me baiser et de me faire jouir autant.
Il sort son cobra tout dégoulinant et là je le sens qu’il veut forcer sur ma rondelle. Je me contracte car je sais que cette fois-ci je ne prendrais pas de plaisir et qu’il va me faire mal aussi je regarde David.
Valérie : « David, Stop, pas son énorme engin dans mon cul, je vais avoir mal pendant plusieurs jours. »
David : « Tu sais alors comment l’en empêcher. »
Je crie le mot « ARENES » et là à son grand regret le black s’arrête instantanément. Malgré tout, il me fait la réflexion qu’il n’a pas joui et demande à ce qu’au moins je prenne son foutre sur mon visage.
En ayant dit ce mot, je sais que c’est moi maintenant qui est le contrôle de la situation, je peux lui refuser si l’envie m’en prend mais je suis trop curieuse de voir la quantité de sperme qu’il a avec ses grosses couilles.
Valérie : « D’accord ce sera le seul truc que j’autorise mais à 2 conditions. 1) vous me détachez et 2) Je n’avale pas si tu jouis dans ma bouche, je recrache tout sur mon corps et mes seins. »
Il accepte sans rechigner. Les 2 hommes me détachent, j’ai de nouveau les jambes endolories avec cette position aussi je prends mon temps pour me mettre à genoux afin de recevoir son jus. Je le branle et très rapidement il m’envoie une grande quantité de foutre avec rapport avec la grosseur de sa bite.
Une fois vidé, il se rhabille ainsi que les 4 autres hommes qui assistaient à ma prestation. Moi je m’écroule à bout de forces et je peux même dire que je me suis légèrement évanouie de ton d’émotion et de jouissance quasi non-stop.
Quand tout le monde est parti, je suis dans un demi-sommeil, David me soulève et péniblement monte les marches pour me porter à la douche. Là il est précautionneux et prends soin de me nettoyer tendrement. J’essaye d’émerger avec cette eau tiède qui apaise les rougissements de ma peau et de ma chatte si sensible. Après m’avoir rincé, il me porte toujours jusqu’à la chambre, là j’ai la force de lui dire.
Valérie : « Merci David, de m’avoir permis de vivre mon grand fantasme, laisse-moi te remercier et fais-moi l’amour avant d’éteindre. »
David : « Val, tu viens de te faire baiser intensément pendant 6 heure. Il est 4 h du mat, tu es trop morte, repose toi. À ton réveil, tu auras tout le temps pour me montrer ta reconnaissance, il faut que tu dormes maintenant. »
Je lui en suis reconnaissant car effectivement je suis KO et je m’endors immédiatement dans ses bras.
Quand je me réveille, le lit est vide. Déçu qu’il ne soit pas là mais regardant l’heure je constate qu’il est 18h et que je viens de dormir 14 h d’un trait. Moi qui ne suis pas une dormeuse, c’était vraiment la preuve que ma nuit fut intense. J’entends du bruit dans le salon, alors je me lève nue pour rejoindre David, je dois profiter de lui avant qu’il reparte malheureusement demain aprèm……
À suivre….où pas !!!
3 года назад