Un couple normal ou presque (9)

[Entre hommes] [travesti] [sodomie]

[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]

Sous le jet chaud je me nettoyais abondamment les fesses en espérant effacer ce qui venait de se passer. Mais je ne pouvais pas l’ignorer, je ne pouvais pas refuser le fait que si je n’avais pas joui c’était tout comme et que j’avais trouvé une jouissance différente en sentant son sexe en moi. Je refusais cette situation. En sortant de la douche j’irai lui dire que c’était une erreur, que la soirée était finie et que j’allais rentrer. Sortant de la douche, n’ayant rien d’autre à me mettre, je mis mon porte-jarretelles, mes bas, mon tanga et mon soutien-gorge que je jugeais bien inutile. Mince, j’avais oublié le reste de mes affaires. Me regardant dans la glace je me trouvais une mine affreuse, sans ma perruque et mon maquillage j’avais l’impression de ne ressemble à rien. Je décidais donc de me raser et de me maquiller avec le kit d’urgence présent dans la salle de bain. Je remis en place la perruque, la brossais pour lui redonner forme et, m’enveloppant d’une serviette, je sortis de la salle de bain. Il était allongé sur le lit, nu. « Tu veux des nouvelles de Sandrine ? » me demanda-t-il. « Oui, elle est partie ? ». Il me répondit que non et qu’à priori ils en avaient pour la nuit. « Désolé pour ce qui vient de se passer si tu n’étais pas consentant mais tu me plais Stéphane et j’ai vraiment aimé te faire l’amour ». Que dire à ça alors que j’avais accepté de venir dans cette chambre.

Je lui répondis que j’avais dit non et qu’il m’avait violé. Je savais que c’était faux mais je n’étais pas prêt à admettre que j’étais consentant et surtout que j’y avais pris du plaisir. Sans un mot je ramassais ma jupe, mon chemisier et ma veste et repartis dans la salle de bain. Je m’habillais et me regardais dans la glace, j’étais présentable.
Lorsque je reviens dans la chambre il était assis sur le lit, il avait enfilé son boxer et me tendait une coupe de champagne en disant.
- Vient boire un dernier verre s’il te plait, faisons la paix, je m’excuse si j’ai été trop loin, je t’assure que j’ai cru que tu étais consentant.
- Et bien je ne l’étais pas et maintenant j’ai envie de rentrer chez moi.
- Ok, tu veux que je te raccompagne, que j’appelle un taxi ?
- Non, je vais attendre Sandrine.
- Tu sais, je crois vraiment qu’ils en ont pour la nuit.
- Alors je vais appeler un taxi. Ce que je fis, il serait là dans une demi-heure.
- En attendant, viens prendre la flute de la paix.

J’acceptais le verre et m’assis sur le lit, loin de lui. Il se rapprocha de moi et me dit « trinquons Stéphane, à ce que tu veux ». Je trinquais avec lui, sans un mot en le regardant dans les yeux. Il avait un regard grave et anxieux, j’eu presque de la peine mais tentais de garder un air grave. « Bon, je vais me doucher » dit-il en posant son verre et il s’enferma dans la salle de bain. J’entendis l’eau couler et je l’imaginais nu sous la douche, une douce chaleur s’alluma dans mon bas ventre, je chassais cette image et fus sauver par le téléphone. Je venais de recevoir deux SMS, le premier du taxi qui m’indiquait avoir eu un léger accrochage et qu’il aurait une petite heure de retard, il pouvait demander un autre taxi si je voulais. Le second était de ma femme : « Mon chéri, j’espère que tu t’amuses autant que moi, je vais rester encore quelques heures je pense, ne m’attends pas. Bisous ».
J’ai vu rouge, je me dirigeais vers la porte pour aller chercher Sandrine et rentrer avec elle mais j’avais accepté le jeu, je ne pouvais pas revenir en arrière. J’envoyais un message au taxi pour lui indiquer que finalement j’annulais la course. Elle s’amusait et bien moi aussi j’allais m’amuser ! Au fur et à mesure que la colère montait en moi je sentais mes barrières tomber. Lorsque ma résolution fut prise, j’allais profiter de Sébastien, je me calmais immédiatement.

L’eau de la douche ne coulait plus, j’enlevais rapidement ma jupe et ma veste et m’assis sur le lit. Lorsqu’il sorti de la salle de bain, uniquement vêtu de son boxer je le trouvais beau. Je vis de la surprise dans son regard et je lui fis signe de venir s’assoir à coté de moi. Je lui pris alors le visage entre mes mains et l’approchais du mien, nos lèvres se trouvèrent. Je sentis sa langue timide venir cherche la mienne et lorsqu’elles se trouvèrent notre baiser devient passionné. Sans que nos bouches se quittent je le fis basculer sur le dos et m’allongeais sur lui. Je commençais à onduler doucement du bassin et je ne tardais pas à sentir sa queue gonfler et frotter contre la mienne qui était dans le même état. Son baisé se fit plus passionné et je sentis son souffle s’accélérer. Alors, je passais une main entre nous, libérais son sexe du boxer et l’enserrais en faisant quelques mouvements de la main avant de le placer entre mes fesses. Le sentant entre mes fesses je repris mes ondulations et je le sentais glisser dans mon sillon, affolant mon œillet tout juste protégé par la ficelle de mon tanga. Ses mains se posèrent sur mes fesses, et elles accompagnèrent le rythme de mes déhanchés. Son bassin commença à aller et venir, nos bouches se séparèrent, nous avions le souffle court, proche du halètement. Quand ses coups de reins devinrent plus forts, que ces mains forçaient sur mes fesses alors que son sexe tentait de se frayer un chemin dans ma grotte, je me relevais et me jetais sur sa queue que j’avalais intégralement tandis qu’il poussait un râle de plaisir.
Je sentis mes muqueuses s’activer et je commençais à le faire aller et venir, ma main enserrant son sexe, tendant sa peau à chaque descente, suivait le rythme de ma bouche. Je le lâchais parfois pour le parcourir et le titiller du bout de la langue. Il a commencé à imprimer des mouvements de va et vient à son bassin, c’était comme s’il me baisait la bouche. Son souffle se fit plus cour, ses mouvements plus insistants et je compris qu’il allait jouir mais ce n’était pas ce que j’avais en tête.

Je le libérais, je remontais sur lui à califourchon, s’écartait mon tanga, positionnait son sexe à l’entrée de ma grotte. Nos yeux se soudèrent, il m’agrippa alors las hanches les poussant vers le bas tandis que son bassin se soulevait et que son sexe forçait à l’entrée de mon cul. Abondamment lubrifié par ma salive il me pénétra d’un coup et je me trouvais assis sur lui, son membre entièrement en moi, s’était profond et je lâchais un « Ohhh ! » de satisfaction. Nos regards ne s’étaient pas quittés et je me penchais vers lui pour l’embrasser. Se mouvements le fit bouger en moi transformant le brasier qu’ait mon bas ventre en volcan. Notre baiser était passionné et il commença à aller et venir en moi. Je me redressais et montais et descendais au rythme des assauts de ce pieu de chaire qui faisait mon bonheur. La chambre n’était plus que gémissements et râles. Ses mains sur mes haches se firent plus ferment, ses assauts plus rapides et alors qu’il était au plus profond de moi je le sentis se raidir et jouir en moi. Je frissonnais de la tête aux pieds dans un orgasme sans éjaculation. Je m’allongeais sur lui, le gardant en moi et nous échangeâmes un tendre baiser.
게시자: thma69
1년 전
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yannemily 8달 전
Oui, ça mouille 
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babettevar 1년 전
C'est réellement un plaisir de lire cette saga
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