Un peu plus sur moi

C’est à 13 ans que ma vie sexuelle a démarré… très vite.

Avantage, le VIH n’existait pas. Inconvénient, ce n’était certainement pas dans la famille très catholique dont j’étais issue que j’allais expliquer que je voulais des préservatifs.
C’est donc à l’internat en province que j’ai eu mes premiers rapports… lesbiens.

Langues et doigts furent mes premiers instruments de plaisir, les jupettes étaient faciles à relever, les culottes à baisser, et deux de mes amies et moi étions sans doute les plus chaudes de l’école, car chaque jour nous nous donnions mutuellement du plaisir un peu n’importe où quand l’occasion se présentait. J’en ai gardé un enthousiasme certain pour le sexe féminin. Mais très vite les garçons nous ont intéressées.

Ma première relation sexuelle sérieuse fut une sodomie dans les toilettes (bizarrement communes aux deux sexes dans cet internat), après de nombreuses fellations dont une bonne dizaine des garçons de l’école étaient très friands (nos réputations de salopes étaient faites depuis longtemps).

La sodomie offre le gros avantage de ne pas risquer de tomber enceinte, déjà réglée à 13 ans, c’était mon angoisse majeure. J’ai eu la chance d’avoir affaire à un garçon très doux, et j’en ai tiré du plaisir dès la première fois (nous avions déjà joué avec nos petits trous entre copines).

La vraie révélation fut la découverte de la poire à lavement qu’une copine avait volé chez sa grand-mère. N’ayant plus la crainte d’accidents ( ce qui était une grosse source de gène pour moi), me faire prendre par le petit trou est très vite devenu une de mes activités favorites même si je n’ai découvert le bonheur du gel lubrifiant que plus tard. À 14 ans il m’est arrivé de me faire sodomiser par 2 garçons différents dans la journée… Ce plaisir de la sodomie ne m’a plus jamais quitté. Ceci ayant régulièrement lieu dans les toilettes de l’école, mon goût avéré pour les odeurs d’urine vient sans doute de là.

Cela va sans doute vous étonner, mais j’ai attendu d’avoir 17 ans avant qu’une queue ne pénètre ma chatte (avec préservatif), déjà à cet âge j’avais arrêté de compter le nombre de garçons m’ayant sodomisée.

Fin d’internat, très bonne élève, avec des études se passant le mieux du monde, j’ai eu l’autorisation de sortir un peu plus, notamment le week-end (j’habitais alors chez mes parents), vers l’âge de 18 ans. C’est aussi à cette époque que nous avons déménagé sur Paris, une vie de sexe lubrique s’est alors ouverte à moi.

Étudiante modèle la semaine, j’étais déjà la pire des dépravées le week-end. Sous prétexte d’aller dormir chez une amie, nous sortions elle et moi (c’est toujours une très bonne amie et nous pratiquons encore ensemble). Issue d’une famille très libre d’esprit et avec les moyens financiers élevés, elle bénéficiait d’un deux-pièces dans Paris rien que pour elle.
Je ne me souviens même plus du nombre d’orgies auxquelles j’ai pu participer chez elle. 10 garçons pour nous deux étaient la norme. Pendant 3 ans, j’ai pu faire défiler dans mon cul et ma chatte un nombre de bites incalculable.

À 21 ans, je rencontre un homme de 40 ans. Voiture de sport, des billets pleins les poches, il me fait vivre la grande vie, mais aussi ses perversions. C’est indéniablement lui qui m’a fait découvrir le plaisir de la soumission sexuelle à plusieurs hommes. Je suis jeune et jolie, j’ai la fraîcheur qui convient à cet homme, des seins et des fesses fermes, un joli minois, il prend plaisir à m’exhiber dans des soirées très libertines, je suis son jouet. J’en tire pour ma part énormément de plaisir, la sodomie restant une de mes pratiques favorites, je ne compte pas le nombre des « amis », de son âge ou plus, à qui il fait profiter de mes petites fesses rebondies. Lui comme moi y trouvons notre compte. À l’époque, offrir mon petit trou à 4 hommes ne me paraît pas cher payé pour un dîner dans un très grand restaurant.

Je découvre avec lui les boîtes échangistes. Il m’y exhibe comme un trophée. Assoiffée de sexe, je m’offre à n’importe qui, les hommes entre 50 et 60 ans se délectent particulièrement de mon côté juvénile. J’apprécie leur gentillesse, leurs égards, leurs bites qui me donnent beaucoup de plaisir quand ils m’enculent. Je suis très souvent la star des grandes alcôves ou 7 ou 8 d’entre eux s’occupent alternativement ou ensemble de mon fondement.

Je finis plutôt brillamment mes études, ma vie sexuelle intense ne mollit pas. Soirées privées, clubs libertins, liberté des années 80, je suis de toutes les partouzes auxquelles on m’invite, ni mon carnet de bal ni mon carnet de bites ne désemplissent. Mon ami mûr me traîne toujours plus loin dans des pratiques perverses, les lieux plus glauques (mais avec des personnes du beau monde), les baises en public et à la chaîne s’enchaînent.

Je rencontre mon mari à 25 ans dans une boîte très coquine, c’est le coup de foudre. Il est plus jeune que mes prétendants habituels, il est beau, intelligent, mais surtout il a cette capacité à me faire vivre les moments de dépravation les plus fous en me traitant comme une princesse par ailleurs (ce qu’il fait toujours).

Brillant ingénieur, il met à mon service ses fantastiques capacités d’organisation pour me faire vivre les aventures les plus incroyables de vices et de perversité, en sachant gérer les moindres détails. Mon goût pour le sexe en groupe, les plans glauques, les bains de pisse, la sodomie est systématiquement satisfait à la moindre de ses initiatives.

Près de 30 ans plus tard, personne n’a pu me détourner de lui, sa queue me fait toujours autant d’effet, comme sa langue (hummmm, sa langue...) ou ses doigts. J’aime le voir profiter des courbes et des envies des autres femmes, il aime me voir avilie dans la fange et la débauche que j’affectionne tant, lors de rencontres lubriques et obscènes, je l’aime.

Patricia