Mes Débuts (3)
Je suis passé à la douche pour me nettoyer les fesses que je sentais sales du sperme écoulé avant de regagner mon poste équipage et me coucher. Je me suis endormi comme une masse, très fatigué de ma journée et surtout de ma soirée……
Le lendemain matin, dès la sonnerie du branlebas, les questions m’ont assaillies. Qu’ai-je fait ? Suis-je pédé ? Es ce que ça se voit ? ???
Toilette, petit-déjeuner, corvées puis prise de service pour 24h m’ont un peu distrait et empêché de trop y penser. Néanmoins, dès que mon esprit avait cinq minutes de repos, je me posais et reposais des questions auxquelles je n’avais pas de réponse…
L’une d’elle était : es ce que je vais revoir Mohamed le lendemain après-midi ? je me disais que non, que je ne pouvais pas faire cela, qu’il fallait que je stoppe immédiatement cette relation, que je n’étais pas un homosexuel ; si ça se savait, qu’es ce que j’allais devenir ???? A cette époque, la Royale ne plaisantait pas avec cette « « maladie » » !!!! j’étais bon pour une révocation de mon contrat, passage par la case prison puis la porte (et pas la grande) !!!
Mais …. Mais…. A de rares moments, le naïf, l’inexpérimenté que j’étais se souvenait des émotions qu’il avait ressenties dans les bras de ce marocain, des plaisirs perçus au contact de son sexe. D’ailleurs mon cul, très sensible, me le rappelait de temps à autre !!!
Le lendemain arriva assez vite sans que je n’aie trouvé des réponses claires et définitives à mes interrogations. La matinée était réservée à de menus travaux à bord et je bénéficiais d’une autorisation de sortie à partir de 14h.
Lors du déjeuner, j’ai pris la décision que je resterai sur le porte-avions car je ne pouvais vraiment pas poursuivre sur le chemin emprunté l’autre soir. Non, vraiment je n’irais certainement pas rejoindre ce monsieur !
Enfin… Non…. Non…. Oui mais… J’en avais quand même très envie… j’y vais, j’y vais pas….
Le bâtiment de guerre, en raison de sa taille, était amarré tout au bout d’une jetée qui devait mesurer 1 ou 2km de long à l’entrée du port.
Vers 13h30 je suis monté sur le pont d’envol pour avoir une vue sur tout le quai. Je n’ai pas vu la voiture de Mohamed. Je me suis dit qu’il avait oublié ou qu’il n’avait plus envie de moi étant donné qu’il avait eu ce qu’il voulait… Content ? déçu ?... Les deux Commandant ! Je me suis assis sur une caisse, profitant d’un doux soleil qui filtrait à travers un voile de nuages.
Soudain au loin, j’ai aperçu sa voiture qui arrivait… Moi, qui deux secondes avant me posais mille questions, j’ai bondi, dévalé les échelles pour arriver dans mon poste, me changer en quatrième vitesse et me rendre à l’endroit où les permissionnaires étaient inspectés avant de sortir. J’avais le cœur qui battait la chamade ! Adieu controverses, problèmes existentiels et autres vaines interrogations !!!! Adieu peurs, angoisses et autres craintes… je voulais le rejoindre et vivre des émotions fortes, je voulais qu’il me fasse découvrir ces choses du sexe que je ne connaissais pas, que je ne m’imaginais même pas avant de le rencontrer !
D’un pas pressé j’ai descendu la coupée et me suis dirigé vers sa voiture dans laquelle il était resté. Il m’a fait signe de monter à ses côtés, ce que j’ai fait sans hésiter. Après un bref bonjour, il a pris la direction de la ville.
Une fois que nous nous sommes éloignés du bateau, il a mis sa main sur le haut de ma cuisse et m’a demandé comment j’allais, si j’étais heureux de le retrouver. Contrairement au jour de notre rencontre, je n’ai pas enlevé sa dextre et lui ai répondu que oui j’étais très heureux. Il m’indiqua qu’il allait me faire visiter la ville.
Ne me demandez pas de vous décrire « Casa » j’en serais bien incapable aujourd’hui, cela fait bien trop longtemps et ma préoccupation n’était pas tellement d’ordre touristique. Néanmoins je me souviens qu’il m’a promené à pied dans les ruelles de la Médina à la sortie du port avant de se diriger en véhicule vers le centre de la ville par de jolies avenues avec peu de trafic. Mohamed laissait le plus souvent possible sa main sur ma jambe en me décrivant les lieux traversés.
Il prit ensuite la direction des plages que nous avons longées. Il y avait des hôtels, piscines, terrains de volleys, manèges le tout, m’a-t-il semblé, surtout fréquenté par des jeunes de type européen. D’ailleurs nous ne nous y sommes pas arrêtés. Nous roulions à allure lente en parlant très peu hormis les remarques sur les endroits où nous nous trouvions.
Il m’a demandé : « tu veux que l’on aille chez moi ? » - Ce à quoi je lui ai répondu affirmativement sans hésiter !
Mohamed a un peu accéléré et changé de direction. Il m’a dit à ce moment-là qu’il avait beaucoup pensé à moi et qu’il avait très envie de mon corps. Je n’ai pas répondu mais mon cœur s’est accéléré et j’avais comme un nœud à l’estomac.
L’après-midi touchait à sa fin quand nous sommes arrivés à son domicile. Comme la première fois il était vide et je ne me suis guère inquiété de savoir où était son épouse.
Une fois la porte repoussée il m’a serré dans ses bras et m’a embrassé, sa langue a envahi ma bouche. Il me caressait le dos et surtout mes fesses. Il sentait la sueur, une odeur de musc, pas très forte, agréable, excitante. De plus ses poils autour de la bouche me piquaient, irritaient ma peau. Je lui en fis la remarque et il m’indiqua que pour pouvoir me retrouver il avait travaillé de 6h à 13h ayant ainsi tout son après-midi de libre…
J’étais bien. Il m’a proposé du thé ce que j’ai accepté avec plaisir en m’asseyant dans le fauteuil pendant qu’il se rendait à la cuisine.
Il est rapidement revenu, nous avons bu notre verre de boisson puis il m’a demandé de le suivre en se dirigeant vers la chambre. Nouvelle étreinte, nouvelles caresses. Il me serrait fort contre lui et je sentais que sa virilité commençait à se réveiller. Je tremblais un peu, ne savais pas trop comment me comporter, j’hésitais. Un peu comme le jeune oisillon sur sa branche avant son premier envol… enfin j’imagine que cela se passe ainsi pour l’oiseau………
Mon amant pris rapidement la direction des opérations. Mon déshabillage, puis le sien, ne prirent surement pas plus de 5 minutes malgré quelques caresses et baisers furtifs échangés. Toujours debout nous nous sommes collés l’un à l’autre, parcourant nos corps avec nos mains. Je sentais sa queue entre nous, elle était déjà dure et me faisait très envie. Il a dû le sentir car il m’a demandé si je voulais le sucer. Sans lui répondre je me suis assis sur le lit, mon visage se trouvant ainsi à la bonne hauteur. Il a pris son sexe et l’a branlé lentement, le faisant encore durcir. Je le trouvais beau et je l’ai pris en main, caressé avant de l’amener à ma bouche. Je l’ai sucé, léché. Avec une main je le masturbais doucement et avec l’autre je soupesais ses couilles velues. Il me disait :» vas-y ma chérie, tu fais cela très bien, j’aime beaucoup ». Il a pris ma tête entre ses mains pour l’immobiliser et pénétrer ma bouche avec sa pine qui allait de plus en plus rapidement et de plus en plus profond dans ma gorge jusqu’à me donner des hauts le cœur ! J’essayais de le repousser, de la maintenir à une certaine distance pour qu’il n’aille pas si loin... mais rien n’y faisait. Il me tenait fortement, allait et venait comme il l’aurait fait dans un sexe féminin... jusqu’à ce que je l’entende grogner, dire des mots en arabe et que je sente dans ma bouche, ma gorge, des giclées de son sperme…j’ai tout avalé…. A ce moment-là il s’est calmé, m’a caressé la tête, a été plus doux et m’a demandé de bien le nettoyer ce que je me suis employé à faire avec un plaisir non dissimulé… Je lui ai rendu propre comme un sou neuf alors qu’il perdait un peu de sa vigueur.
Après m’être fait enculer lors de notre première rencontre, voilà que je venais de faire ma première pipe complète. Son sperme était chaud, un peu visqueux et pratiquement sans gout, juste un peu salé. Je me disais que ce n’était pas si désagréable !
Nous nous sommes allongés côte à côte sur le lit... j’étais sur le dos, les bras le long du corps et lui sur le flanc, contre moi, sa tête surélevée et soutenue pas une de ses mains. L’autre me caressait. Avec son pouce il parcourait mes lèvres, les ouvrant, pénétrant ma bouche. Il m’a dit : « tu sais que j’aime ta belle bouche ? Elle m’a donné beaucoup de plaisir. ». Il a ensuite parcouru mon corps, s’attardant sur mes seins, irritant les pointes avec un ongle avant de les prendre entre deux doigts, tirer dessus et les tordre légèrement, sans faire mal.
Dans notre position, son sexe au repos reposait dans ma main. J’en ai profité pour le caresser, le masturber en douceur, manipuler ses bourses. Sans vraiment chercher à l’exciter.
Mohamed poursuivait ses attouchements jusqu’à arriver à ma bite qui bandait légèrement. Il l’a prise entre deux doigts et l’a masturbée tout en douceur. Il découvrait et recouvrait alternativement mon gland… Puis il a pris mes couilles dans sa main, les a caressées puis serrées jusqu’à ce que je lui fasse remarquer qu’il me faisait mal.
« Excuse-moi ma Chérie » dit-il et il se redressa pour venir gober mon sexe décalotté… Sa bouche était chaude. Avec sa langue il parcourait ma tige ainsi que mes bourses. Elle s’aventurait aussi à l’entrée de mon sillon fessier. Je soulevais le bassin pour lui permettre d’aller plus loin…. Je bandais de plus en plus fort. J’avais très envie de lui mais aussi de jouir…
Il me fit basculer sur le ventre pour avoir accès à mes fesses qu’il ouvrit et permettre à sa langue de parcourir toute la raie. Sa langue titilla mon petit trou sur lequel il cracha. Sa langue pointue et dure insistait et obtint ce qu’elle cherchait : le libre accès à mon orifice. Que c’était bon de la sentir me pénétrer, entrer et sortir…. Un doigt suivi, puis un second et peut être un troisième car cela me faisait un peu mal.
Il a pris un tube de lubrifiant dans la table de nuit et en étala sur ma rondelle. Il me mit sur le flanc, me demanda de prendre la position du fœtus et se coucha derrière moi, contre moi, en épousant la forme de mon corps. Il guida son sexe redevenu bien dur vers sa cible… il poussa et la tête entra sans difficulté et sans même me faire mal ! Mon compagnon arrêta sa pénétration, me caressa, passa sa main devant moi pour prendre mon pénis et le branler…
Mohamed me disait des mots doux, m’embrassait dans le cou, me mordillait le lobe de l’oreille… tout en poussant sa tige en moi, sans précipitation. Quand j’ai senti ses poils pubiens contre mes fesses imberbes, j’ai su j’étais enculé à fond !
Cette présence étrangère me provoquait une certaine gêne, mais ce n’était pas douloureux. C’était juste bizarre. Après un moment d’attente, je pense pour que je puisse m’habituer, il a commencé ses mouvements d’avant – arrière toujours en douceur. Ayant déjà joui, il n’était pas pressé, il prenait son temps. J’appréciais de plus en plus. J’ai pris mon sexe légèrement bandé en main et ai commencé à le branler… un peu de liquide s’en écoulait….
Quand soudain j’ai entendu la porte d’entrée de la maison s’ouvrir et une voix d’homme appeler Mohamed… J’allais bondir hors du lit mais mon amant, plus prompt, m’enserra très fortement avec ses bras, passant même une jambe par-dessus les miennes, me gardant contre lui sa bite bien enfoncée dans mon conduit.
Le lendemain matin, dès la sonnerie du branlebas, les questions m’ont assaillies. Qu’ai-je fait ? Suis-je pédé ? Es ce que ça se voit ? ???
Toilette, petit-déjeuner, corvées puis prise de service pour 24h m’ont un peu distrait et empêché de trop y penser. Néanmoins, dès que mon esprit avait cinq minutes de repos, je me posais et reposais des questions auxquelles je n’avais pas de réponse…
L’une d’elle était : es ce que je vais revoir Mohamed le lendemain après-midi ? je me disais que non, que je ne pouvais pas faire cela, qu’il fallait que je stoppe immédiatement cette relation, que je n’étais pas un homosexuel ; si ça se savait, qu’es ce que j’allais devenir ???? A cette époque, la Royale ne plaisantait pas avec cette « « maladie » » !!!! j’étais bon pour une révocation de mon contrat, passage par la case prison puis la porte (et pas la grande) !!!
Mais …. Mais…. A de rares moments, le naïf, l’inexpérimenté que j’étais se souvenait des émotions qu’il avait ressenties dans les bras de ce marocain, des plaisirs perçus au contact de son sexe. D’ailleurs mon cul, très sensible, me le rappelait de temps à autre !!!
Le lendemain arriva assez vite sans que je n’aie trouvé des réponses claires et définitives à mes interrogations. La matinée était réservée à de menus travaux à bord et je bénéficiais d’une autorisation de sortie à partir de 14h.
Lors du déjeuner, j’ai pris la décision que je resterai sur le porte-avions car je ne pouvais vraiment pas poursuivre sur le chemin emprunté l’autre soir. Non, vraiment je n’irais certainement pas rejoindre ce monsieur !
Enfin… Non…. Non…. Oui mais… J’en avais quand même très envie… j’y vais, j’y vais pas….
Le bâtiment de guerre, en raison de sa taille, était amarré tout au bout d’une jetée qui devait mesurer 1 ou 2km de long à l’entrée du port.
Vers 13h30 je suis monté sur le pont d’envol pour avoir une vue sur tout le quai. Je n’ai pas vu la voiture de Mohamed. Je me suis dit qu’il avait oublié ou qu’il n’avait plus envie de moi étant donné qu’il avait eu ce qu’il voulait… Content ? déçu ?... Les deux Commandant ! Je me suis assis sur une caisse, profitant d’un doux soleil qui filtrait à travers un voile de nuages.
Soudain au loin, j’ai aperçu sa voiture qui arrivait… Moi, qui deux secondes avant me posais mille questions, j’ai bondi, dévalé les échelles pour arriver dans mon poste, me changer en quatrième vitesse et me rendre à l’endroit où les permissionnaires étaient inspectés avant de sortir. J’avais le cœur qui battait la chamade ! Adieu controverses, problèmes existentiels et autres vaines interrogations !!!! Adieu peurs, angoisses et autres craintes… je voulais le rejoindre et vivre des émotions fortes, je voulais qu’il me fasse découvrir ces choses du sexe que je ne connaissais pas, que je ne m’imaginais même pas avant de le rencontrer !
D’un pas pressé j’ai descendu la coupée et me suis dirigé vers sa voiture dans laquelle il était resté. Il m’a fait signe de monter à ses côtés, ce que j’ai fait sans hésiter. Après un bref bonjour, il a pris la direction de la ville.
Une fois que nous nous sommes éloignés du bateau, il a mis sa main sur le haut de ma cuisse et m’a demandé comment j’allais, si j’étais heureux de le retrouver. Contrairement au jour de notre rencontre, je n’ai pas enlevé sa dextre et lui ai répondu que oui j’étais très heureux. Il m’indiqua qu’il allait me faire visiter la ville.
Ne me demandez pas de vous décrire « Casa » j’en serais bien incapable aujourd’hui, cela fait bien trop longtemps et ma préoccupation n’était pas tellement d’ordre touristique. Néanmoins je me souviens qu’il m’a promené à pied dans les ruelles de la Médina à la sortie du port avant de se diriger en véhicule vers le centre de la ville par de jolies avenues avec peu de trafic. Mohamed laissait le plus souvent possible sa main sur ma jambe en me décrivant les lieux traversés.
Il prit ensuite la direction des plages que nous avons longées. Il y avait des hôtels, piscines, terrains de volleys, manèges le tout, m’a-t-il semblé, surtout fréquenté par des jeunes de type européen. D’ailleurs nous ne nous y sommes pas arrêtés. Nous roulions à allure lente en parlant très peu hormis les remarques sur les endroits où nous nous trouvions.
Il m’a demandé : « tu veux que l’on aille chez moi ? » - Ce à quoi je lui ai répondu affirmativement sans hésiter !
Mohamed a un peu accéléré et changé de direction. Il m’a dit à ce moment-là qu’il avait beaucoup pensé à moi et qu’il avait très envie de mon corps. Je n’ai pas répondu mais mon cœur s’est accéléré et j’avais comme un nœud à l’estomac.
L’après-midi touchait à sa fin quand nous sommes arrivés à son domicile. Comme la première fois il était vide et je ne me suis guère inquiété de savoir où était son épouse.
Une fois la porte repoussée il m’a serré dans ses bras et m’a embrassé, sa langue a envahi ma bouche. Il me caressait le dos et surtout mes fesses. Il sentait la sueur, une odeur de musc, pas très forte, agréable, excitante. De plus ses poils autour de la bouche me piquaient, irritaient ma peau. Je lui en fis la remarque et il m’indiqua que pour pouvoir me retrouver il avait travaillé de 6h à 13h ayant ainsi tout son après-midi de libre…
J’étais bien. Il m’a proposé du thé ce que j’ai accepté avec plaisir en m’asseyant dans le fauteuil pendant qu’il se rendait à la cuisine.
Il est rapidement revenu, nous avons bu notre verre de boisson puis il m’a demandé de le suivre en se dirigeant vers la chambre. Nouvelle étreinte, nouvelles caresses. Il me serrait fort contre lui et je sentais que sa virilité commençait à se réveiller. Je tremblais un peu, ne savais pas trop comment me comporter, j’hésitais. Un peu comme le jeune oisillon sur sa branche avant son premier envol… enfin j’imagine que cela se passe ainsi pour l’oiseau………
Mon amant pris rapidement la direction des opérations. Mon déshabillage, puis le sien, ne prirent surement pas plus de 5 minutes malgré quelques caresses et baisers furtifs échangés. Toujours debout nous nous sommes collés l’un à l’autre, parcourant nos corps avec nos mains. Je sentais sa queue entre nous, elle était déjà dure et me faisait très envie. Il a dû le sentir car il m’a demandé si je voulais le sucer. Sans lui répondre je me suis assis sur le lit, mon visage se trouvant ainsi à la bonne hauteur. Il a pris son sexe et l’a branlé lentement, le faisant encore durcir. Je le trouvais beau et je l’ai pris en main, caressé avant de l’amener à ma bouche. Je l’ai sucé, léché. Avec une main je le masturbais doucement et avec l’autre je soupesais ses couilles velues. Il me disait :» vas-y ma chérie, tu fais cela très bien, j’aime beaucoup ». Il a pris ma tête entre ses mains pour l’immobiliser et pénétrer ma bouche avec sa pine qui allait de plus en plus rapidement et de plus en plus profond dans ma gorge jusqu’à me donner des hauts le cœur ! J’essayais de le repousser, de la maintenir à une certaine distance pour qu’il n’aille pas si loin... mais rien n’y faisait. Il me tenait fortement, allait et venait comme il l’aurait fait dans un sexe féminin... jusqu’à ce que je l’entende grogner, dire des mots en arabe et que je sente dans ma bouche, ma gorge, des giclées de son sperme…j’ai tout avalé…. A ce moment-là il s’est calmé, m’a caressé la tête, a été plus doux et m’a demandé de bien le nettoyer ce que je me suis employé à faire avec un plaisir non dissimulé… Je lui ai rendu propre comme un sou neuf alors qu’il perdait un peu de sa vigueur.
Après m’être fait enculer lors de notre première rencontre, voilà que je venais de faire ma première pipe complète. Son sperme était chaud, un peu visqueux et pratiquement sans gout, juste un peu salé. Je me disais que ce n’était pas si désagréable !
Nous nous sommes allongés côte à côte sur le lit... j’étais sur le dos, les bras le long du corps et lui sur le flanc, contre moi, sa tête surélevée et soutenue pas une de ses mains. L’autre me caressait. Avec son pouce il parcourait mes lèvres, les ouvrant, pénétrant ma bouche. Il m’a dit : « tu sais que j’aime ta belle bouche ? Elle m’a donné beaucoup de plaisir. ». Il a ensuite parcouru mon corps, s’attardant sur mes seins, irritant les pointes avec un ongle avant de les prendre entre deux doigts, tirer dessus et les tordre légèrement, sans faire mal.
Dans notre position, son sexe au repos reposait dans ma main. J’en ai profité pour le caresser, le masturber en douceur, manipuler ses bourses. Sans vraiment chercher à l’exciter.
Mohamed poursuivait ses attouchements jusqu’à arriver à ma bite qui bandait légèrement. Il l’a prise entre deux doigts et l’a masturbée tout en douceur. Il découvrait et recouvrait alternativement mon gland… Puis il a pris mes couilles dans sa main, les a caressées puis serrées jusqu’à ce que je lui fasse remarquer qu’il me faisait mal.
« Excuse-moi ma Chérie » dit-il et il se redressa pour venir gober mon sexe décalotté… Sa bouche était chaude. Avec sa langue il parcourait ma tige ainsi que mes bourses. Elle s’aventurait aussi à l’entrée de mon sillon fessier. Je soulevais le bassin pour lui permettre d’aller plus loin…. Je bandais de plus en plus fort. J’avais très envie de lui mais aussi de jouir…
Il me fit basculer sur le ventre pour avoir accès à mes fesses qu’il ouvrit et permettre à sa langue de parcourir toute la raie. Sa langue titilla mon petit trou sur lequel il cracha. Sa langue pointue et dure insistait et obtint ce qu’elle cherchait : le libre accès à mon orifice. Que c’était bon de la sentir me pénétrer, entrer et sortir…. Un doigt suivi, puis un second et peut être un troisième car cela me faisait un peu mal.
Il a pris un tube de lubrifiant dans la table de nuit et en étala sur ma rondelle. Il me mit sur le flanc, me demanda de prendre la position du fœtus et se coucha derrière moi, contre moi, en épousant la forme de mon corps. Il guida son sexe redevenu bien dur vers sa cible… il poussa et la tête entra sans difficulté et sans même me faire mal ! Mon compagnon arrêta sa pénétration, me caressa, passa sa main devant moi pour prendre mon pénis et le branler…
Mohamed me disait des mots doux, m’embrassait dans le cou, me mordillait le lobe de l’oreille… tout en poussant sa tige en moi, sans précipitation. Quand j’ai senti ses poils pubiens contre mes fesses imberbes, j’ai su j’étais enculé à fond !
Cette présence étrangère me provoquait une certaine gêne, mais ce n’était pas douloureux. C’était juste bizarre. Après un moment d’attente, je pense pour que je puisse m’habituer, il a commencé ses mouvements d’avant – arrière toujours en douceur. Ayant déjà joui, il n’était pas pressé, il prenait son temps. J’appréciais de plus en plus. J’ai pris mon sexe légèrement bandé en main et ai commencé à le branler… un peu de liquide s’en écoulait….
Quand soudain j’ai entendu la porte d’entrée de la maison s’ouvrir et une voix d’homme appeler Mohamed… J’allais bondir hors du lit mais mon amant, plus prompt, m’enserra très fortement avec ses bras, passant même une jambe par-dessus les miennes, me gardant contre lui sa bite bien enfoncée dans mon conduit.
4 años atrás