Le petit chaperon rouge. Version erotique

Jour de sirocco, l’air est irrespirable je décide d’aller chercher un peu d’air frais dans les bois en montagne. J’ai revêtu une petite robe d’été rouge à bretelles, des bas à grosse maille et des escarpins plats assortis. Je me gare dans un chemin sous les arbres dans la pinède de Tamadaba. On est en mai, hors saison il n’y a personne. Je me promène un peu quand il me prend une envie de pisser, comme je suis seule, je relève ma robe, écarte ma petite culotte et sors ma queue pour pisser debout. Pendant que je pisse j’entends un craquement de branche sèche, en réalité je ne suis pas seule, je vois un mec en short et torse nu, il a sorti sa queue du short et il est en train de se branler en me regardant. Surprise je m’inquiète un peu mais il n’a pas l’air dangereux, sans me démonter je lui souris en disant ;

-Désolée, je pensais être seule, tu m’as surprise.

-Tu es le petit chaperon rouge, dit-il en espagnol mêlé de mots anglais en riant sans arrêter de se masturber.

-Oui, j’espère que tu n’es pas le grand méchant loup, dis-je en riant entrant en son jeu réalisant que je suis vêtue tout en rouge.

-Si, je suis le loup et j’ai bien envie de te manger, répond-t-il en s’approchant.

-Tu crois que tu pourrais me manger toute entière ?

-En commençant par ce bon morceau, répond-t-il en s’approchant et tendant sa main vers ma bite que par la surprise j’ai laissée hors de ma culotte.

Il se met à me masturber me faisant bander aussitôt, c’est un bel homme qui doit avoir entre 70 et 75ans, mince, type vieux hippy les cheveux blancs longs attachés en queue de cheval, il a de beaux yeux bleus et il est bien conservé avec une belle bite encore bien raide pour son âge. Excitée par sa caresse je la prends en main et le masturbe aussi, on se caresse un bon moment en frottant nos bites.

-Je vais te manger jolie petit chaperon rouge, dit-il en s’agenouillant pour me sucer. Après un bon moment profitant de la douceur de ses lèvres coulissant délicieusement sur ma queue et continuant dans le rôle du petit chaperon je lui dis en riant ;

-Je ne pensais pas que ce serait si bon de se faire dévorer par le grand méchant loup, continue, mère grand peut attendre.

-Mère grand n’est pas très loin et elle doit être toute excitée de nous voir faire. Mère grand tu es là ? dit-il en se relevant avec un grand sourire.

-Oui, je suis là, répond une voix féminine derrière un bosquet.

Surprise je reste sans réagir, il me prend par la main et m’entraine derrière le bosquet où je vois une femme à peu près du même âge, des cheveux blonds blanc longs et bouclés tombent sur ses épaules encadrant un visage encore joli avec de grands yeux gris vert, elle est vêtue d’un paréo, elle ne doit rien porter dessous. Elle est encore super bien foutue, très mince pour ne pas dire maigre et assez grande, les tétons de ses petits seins pointent à travers la soie du paréo, elle est au milieu d’un campement avec une tente et un vieux fourgon aménagé en camping-car, elle s’approche de moi et pose un baiser sur mes lèvres puis dit ;

-Tu es belle ma petite, c’est gentil de venir rendre visite à la grand-mère. N’ait pas peur du loup, il ne te fera aucun mal, je l’ai bien apprivoisé.

Ma bite toujours hors de ma culotte et encore dure de la pipe de son mari fait une bosse sous ma robe, elle la caresse à travers le tissu en disant ;

-C’est rare de voir une fille avec un joli morceau comme ça entre les jambes mais ça me plait.

Elle prend les bretelles de ma robe, les dégage de mes épaules en douceur et la laisse tomber à mes pieds puis elle dénoue son paréo qu’elle laisse tomber aussi. Effectivement elle était bien nue dessous. Il y a un grand tapis au sol sur un épais matelas de mousse et de feuilles mortes, elle me fait m’étendre dessus, pendant ce temps son mari c’est foutu à poil aussi et se caresse en nous regardant. Elle s’allonge contre moi, sa peau bronzée un peu détendue est douce et chaude, ses petits seins pendent un peu mais ses tétons assez gros pointent encore droit, elle dégrafe mon soutif et me l’enlève avec délicatesse pour frotter ses seins contre les miens, j’aime la douceur de cette femme, elle m‘excite énormément. Son mari c’est assis nu près de nous, elle le masturbe pendant qu’elle se frotte contre moi, je bande très dur. Sa langue et ses lèvres jouent avec mes petits tétons puis descendent sur mon ventre, j’en profite pour caresser ses petits seins, leur peau est très douce, je joue à faire rouler ses tétons érigés entre mes doigts, elle continue à descendre en se retournant, ses lèvres dansent autour de ma bite sa langue joue avec mes boules, j’ai envie de sentir ses lèvres coulisser sur ma bite mais elle fait durer le plaisir. En rampant pour descendre sur mon ventre elle a sa chatte à hauteur de mon visage et à portée de ma main, ses lèvres vaginales sont grandes et un peu décharnées, son pubis est bien épilé, je tends la main pour la caresser, mes doigts écartent ses lèvres pour glisser à l’intérieur, c’est à ce moment que je sens ses lèvres humides enserrer mon gland, mon doigt explore son vagin, il est un peu sec j’y vais délicatement, il est doux et chaud, je frotte un peu son point G avant de remonter jusqu’à son clitoris, assez gros pour ce corps décharné. Pendant ce temps ses lèvres pompent délicieusement ma bite, mon doigt l’excite, sans arrêter de me sucer elle vient à califourchon sur moi pour un délicieux 69, je prends ses grandes lèvres une après l’autre pour les sucer en les étirant puis ma langue s’enfonce dans sa chatte ouverte, je lèche longuement les parois de sa cavité puis remonte jusqu’à son clitoris.

La position me donne une vue magnifique sur son cul, ses fesses ont la peau un peu détendue mais dans ces positions écartées, avec sa petite rosace étirée elles sont très érotiques et excitantes, elles attirent à son homme qui pourtant doit bien les connaitre. Pendant que je suce son clitoris il se met à lui lécher l’anus, sans arrêter de me sucer elle pousse des gloussements de plaisir et se trémousse en donnant des coups de bassin, peu après elle a un puissant orgasme. Elle me suce encore plus voracement et parvient à me faire jouir copieusement dans sa bouche. Elle se relève et la bouche pleine de mon sperme elle roule une pelle à son mari avant de dire ;

-Je vais faire un thé au gingembre pour prendre des forces avant de continuer à faire l’amour.

Elle disparait dans le fourgon, son mari caresse mes petits seins et mes fesses, il est toujours très excité et bande dur, je m’assois sur le tapis et prends sa bite pour la sucer, elle est à peu près comme la mienne tant en longueur qu’en grosseur avec un joli gland bien dessiné, je le suce goulument, il finit par jouir dans ma bouche peu après que sa femme soit sortie avec le thé et des biscuits. Pendant la pause prenant le thé assis par terre à poil, on se raconte nos vies, (La mienne ceux qui suivent mes billets la connaissent). Eux sont suédois, lui s’appelle Nils et a 74ans et elle Selma de 72ans. Leur vie m’a plu et je comprends pourquoi ils sont si agréables aujourd’hui.

-J’ai connu à Nils quand j’avais 16ans il était beau comme un dieu viking, toutes les filles étaient folles de lui mais c’est moi qui l’ai eu. Dit-elle toute fière.

-Ce que tu ne dis pas c’est que tu m‘as eu parce que tu étais la plus belle de toutes, c’est pas pour rien que tu as été 1ere dauphine de Miss Suède à18 ans.

-Depuis on ne s’est plus jamais séparé, les W-E on mettait un matelas dans un fourgon de son père et on allait à un fjord ou à un lac et on faisait l’amour toute la journée, un jour on a connu une communauté de hippies, on a fumé de l’herbe et bu un peu trop, Nils a eu une aventure avec une des filles, jalouse je suis allée me coucher seule, dans la nuit il est venu avec elle et elle a fait l’amour avec moi, ça a été la première et la dernière fois que j’ai été jalouse, depuis on a toujours pratiqué l’amour libre, la vie des hippies nous plaisait, plus tard son père lui a offert un Combi quand il a terminé ses études, on est parti en vacance pour un mois dans le sud de la France à Katmandou où il y avait une grande communauté hippy et on y est resté 3ans faisant l’amour librement avec les uns et les autres, en 1969 on est allé à Woodstock, une expérience extraordinaire, là des hippies espagnoles nous ont parlé d’Ibiza, on y a vécu 20ans avant de venir ici. On a toujours vécu heureux dans des fourgons et nous voilà aujourd’hui ici avec toi, la vie est belle.

-Et pourquoi Nils m’a abordé dans le bois ?

-On t’a entendu arriver en voiture, il a regardé qui s'était et m‘a dit c’est une jolie femme habillée toute en rouge on dirait le petit chaperon a-t-il plaisanté puis quand il t’a vu relever ta robe pour uriner ça l’a excité, “c’est une travestie, elle est super bandante” m’a-t-il dit puis il s’est approché pour te voir mieux, j’ai vu qu’il se caressait j’ai pensé tant mieux comme ça il sera excité pour me faire l’amour. Puis quand j’ai vu que tu lui parlais et qu’il s’approchait de toi, le connaissant j’ai pensé “il va se la faire, aucune ne lui résiste et j’espère qu’elle va se laisser amener ici pour la partager avec moi” j’étais très excitée ça fait longtemps que l’on n’a plus rencontré personne et tous les deux seuls à notre âge le sexe devient monotone. Et grâce à toi je viens d’avoir un premier orgasme comme ça faisait longtemps que je n’avais plus. Et j’en veux d’autres dit-elle en me caressant la bite.

-Ça tombe bien car moi aussi j’aime faire l’amour avec vous, tu es une femme si douce et Nils à une queue délicieuse. Dis-je en m’allongeant sur la couche avec ma bite déjà bien raide.

Aussitôt elle vient se frotter sur moi, les grandes lèvres de son sexe caressent le mien, elle bouge son bassin d’avant en arrière pressant ma queue sur mon ventre jusqu’à la laisser échapper entre ses fesses avant de se relever un peu pour la reprendre entre ses grandes lèvres, c’est très excitant, elle le fait plusieurs fois puis d’un mouvement précis elle s’empale sur ma bite. Pendant la pause elle a mis du gel lubrifiant car son vagin est bien plus humide qu’avant, elle me chevauche faisant danser ses petits seins que je prends dans mes mains pour jouer avec ses tétons très dures. Elle est belle faisant l’amour avec autant de plaisir et sans pudeur, c’est vrai qu’elle devait être superbe à 18ans. Nils vient lui mettre sa queue dans la bouche pendant qu’elle continue sa chevauché infatigable. C’est bon, on veut tous les trois faire durer ce délicieux moment, Nils change de position et vient me mettre sa bite entre les lèvres, Selma en profite pour se relever un peu et guider ma queue jusqu’à son petit trou, avec habilité elle la fait entrer dans ce petit paradis, d’abord juste le gland plusieurs fois puis elle descend peu à peu, je sens mon gland ouvrir ce tunnel étroit jusqu’au fond quand elle reprend sa chevauchée, lentement ma queue laboure ses entrailles, je la regarde, elle y prend beaucoup de plaisir, j’aime sa sensualité quand elle fait l’amour. Au bout d’un moment elle dit en souriant ;

-J’en peux plus ces longues chevauchées ne sont plus de mon âge, à toi de travailler un peu. Elle s’allonge sur le dos relève ses jambes écartées qu’elle retient avec ses bras pour m’offrir sa chatte et son cul en position de l’enclume, je la pénètre dans la chatte, je lui fais mettre ses chevilles sur mes épaules pour qu’elle soit plus confortable, dans cette position la pénétration est profonde et le plaisir intense, je la lime en caressant ses petits seins, j’ai noté qu’elle aime ça, ses tétons sont très sensibles. Nils en profite pour me caresser les fesses et ma petite rondelle, il essaye de la lécher mais avec mes mouvements de bassin pour baiser sa femme c’est difficile, il finit par cracher dessus pour me mettre un doigt dans le cul, son doigtage me donne encore plus de plaisir, je sens qu’il a envie de m’enculer, j’aimerais bien moi aussi mais la position est trop acrobatique. Je continue à pilonner la chatte de Selma, dans cette position ma bite est bien en contact avec son clitoris qu’elle frotte en permanence, je le sens très dur et ses gémissements sont la preuve qu’elle y prend beaucoup de plaisir et moi aussi, peu à peu je la sens venir, son souffle court et ses gémissements qui se transforment en râle sont signes que l’orgasme est proche, j’accélère les coups de reins, je la baise maintenant à un rythme endiablé, je sais que je ne pourrais pas tenir très longtemps comme ça sans jouir, je résiste, elle pousse un cri “Ouiii”, je me lâche et jouis avec elle, nos corps en transe ont des spasmes violents, mon sperme gicle à chacun d’eux, quatre-cinq fois, je ne sais pas je suis étourdi par le plaisir.

Quand nos corps s’apaisent je me retire pour la libérer, elle reste étendue jambes ouvertes complètement épuisée, mon sperme coule de sa chatte, à genoux entre ses cuisses je me penche pour le lécher, pendant que je me délecte de ce breuvage j’ai le cul en l’air, Nils qui n’attendait que ça vient derrière moi et je sens son gland chatouiller ma rondelle, j’écarte les fesses pour l’accueillir en moi, il me pénètre avec délicatesse, c’est bon de sentir sa queue s’enfoncer lentement dans ma chatte anale, il me baise en douceur faisant aller et venir sa grande bite sur toute sa longueur, retirant son gland jusqu’entre mes sphincters pour mieux la renfoncer toute entière, sa femme le regarde faire en souriant et lui dit ;

-Tu te régales mon cochon, j’ai su que t’avez envie de te la faire dès que je l’ai vue relever sa robe pour pisser, je te connais les travesties ont toujours été ton faible.

-C’est vrai et toi tu adores que je les partage avec toi vieille cochonne, lui répond-t-il avec le sourire en continuant de me limer délicieusement.

La chatte de Selma est maintenant bien propre, je l’ai nettoyée avec ma langue jusqu’au fond, pour plus de plaisir je contracte mes muscles fessiers enserrant la queue qui va et vient en moi ce qui finalement le fait jouir peu après, sentir son sperme se répandre dans mes entrailles est toujours un moment agréable. Après avoir repris nos esprits je réalise d’un coup qu’il est déjà plus de 20 heures et que j’ai deux bonnes heures de route sur des petites routes de montagne, je leur dis à regret que je dois partir car je n’aime pas trop conduire de nuit. Nils me dit ;

-Et pourquoi tu veux partir, tu n’es pas bien ici avec nous ?

-Si trop bien, c’est pour ça que je suis restée si longtemps mais je ne vais pas gêner.

-Tu ne gênes pas du tout, quand il y a pour deux il y a pour trois et le château est petit mais on a un grand lit, répond Selma en souriant.

-Va chercher ta voiture, mets-la ici à côté du fourgon et reste avec nous, tu ne risques rien rajoute Nils.

Je me sens si bien avec eux que je ne me fais pas prier pour accepter ;

-D’accord, en venant je me suis arrêtée acheter un fromage, une bonne bouteille de vin de l’ile et une de “Ronmiel” on va les déguster ensemble. Dis-je en les sortant de mon coffre.

-On va prendre une douche avant de manger, dit Selma en m’entrainant derrière le fourgon où il y a un réservoir d’eau sur une remorque.

Se doucher à poil en plein air est un luxe agréable, surtout en se caressant tous les trois. Puis un petit repas improvisé pendant lequel je leur demande de quoi ils ont vécu.

-On travaillait au besoin dans l’hôtellerie, comme je parle cinq langues et Nils trois on n’a jamais eu de difficultés pour trouver des emplois saisonniers. Dit Selma.

Plus je parle avec eux plus j’apprécie leur style de vie simple, sans superflus mais heureux. Après le repas Nils prend sa guitare et se met à fredonner des chansons des années 60-70. Selma se met à danser nue sous les rayons de la lune, je la rejoins moi aussi seulement vêtue de mes bas “filets de pêche”, nos peaux se frôlent, nos corps se touchent sensuellement, on se caresse au rythme de la mélodie, c’est très excitant. Nils voyant le désir monter en nous entonne “Night in white satin”, Selma se colle à moi, ses bras se nouent autour de mon cou, mes mains se posent sur ses fesses je sens ses tétons durs frotter ma poitrine, elle me tend ses lèvres, nos langues se cherchent et s’enroulent l’une à l’autre en un long baiser passionné, ma bite se raidit passant entre ses cuisses, on bouge nos bassins sexe contre sexe, la hampe de ma queue coulisse entre ses grandes lèvres vaginales, mon gland allant jusqu’à caresser sa petite rosace avant de revenir à l’entrée de sa vulve, au bout d’un moment elle incline un peu plus son bassin, mon gland s’engage et pénètre dans sa chatte, on fait l’amour debout en dansant.

C’est très sensuel, tendre et érotique, on danse longuement comme ça ma queue plantée en elle bougeant dans sa vulve au rythme lent des slows langoureux qu’enchaine Nils visiblement excité de nous voir faire l’amour collées une à l’autre, je vois sa bite raide sous la guitare. J’aurais aimé passer toute la nuit comme ça mais la fatigue nous gagne et il faut dormir un peu. Nils sort le matelas du fourgon en disant ;

-Avec cette chaleur on dormira mieux à la belle étoile.

-Tu crois qu'on ne risque rien ? Dis-je craintive.

-Non, il n’y a aucun risque et Vagabond veillera sur nous, dit-il en me montrant le chien couché sous le fourgon.

-Mets-toi au milieu rajoute Selma en me voyant pas rassurée.

On trouve le sommeil assez vite, fatigués par nos longues galipettes, tous les trois à poil sur ce grand lit. Au petit matin il fait un peu frais, instinctivement dans un demi sommeil je colle mon dos contre le torse de Nils qui passe son bras sur moi, sentir cette chaleur humaine contre ma peau nue est agréable, je pense que pour lui aussi car très vite je sens son sexe s’allonger et durcir contre mes fesses, en même temps sa main s’anime caressant tendrement mes petits seins excitant mes tétons. Je ne suis encore pas complètement réveillée mais lui si, je sens sa bite bien raide chercher le passage entre mes fesses, c’est vrai qu’hier il est resté sur sa faim pendant que Selma et moi faisions l’amour en dansant et qu’il bandait comme un âne.

On est dans la position de la cuillère, sa main a abandonné mes tétons pour venir caresser ma bite, instinctivement je lève un peu ma jambe gauche écartant mes fesses, aussitôt sa queue raide se positionne dans l’axe de mes sphincters forçant le passage très étroit pour s’enfoncer en moi. J’adore être réveillée comme ça, ça me rappelle le bon vieux temps quand je vivais avec Tania, elle aimait m’enculer pour me réveiller et j’y prenais toujours beaucoup de plaisir. Ce matin c’est tout aussi délicieux, sa bite est maintenant toute en moi et commence un doux va et vient pendant que ses doigts courent aussi sur ma queue qui s'est réveillée très vite et bande dur. J’accompagne son va et vient en bougeant mon bassin d’avant en arrière, cette position de la cuillère est très agréable, la pénétration est douce et profonde, son corps bien collé au mien seuls nos bassins bougent faisant aller et venir sa bite dans mon cul.

Selma dort toujours, nue à côté de nous sans savoir que son mari est en train de me baiser tendrement, elle est de dos à moi, sa jambe gauche repliée me laisse voir dans la pénombre son petit cul et sa chatte légèrement entrouverte, ça me donne envie de la caresser pour la faire participer à nos doux ébats. Je tends la main pour caresser ses fesses et son entrecuisse, sans se réveiller elle gémit et vient se coller à son tour contre moi, elle est toute fraiche, je l’enlace et ma main caresse ses seins, ses tétons déjà durcis par le froid s’érigent un peu plus entre mes doigts. Ma queue raide essaye de se frayer un passage entre ses cuisses jusqu’à sa chatte mais la main de Nils qui me branlait toujours dirige mon gland vers l’anus de sa femme, instinctivement elle écarte ses fesses et il pousse mon gland dans son cul avant de retirer sa main pour e laisser m’enfoncer lentement en elle. Peu à peu elle se réveille et commence à bouger son bassin à l’unisson avec le mien et celui de Nils qui va et vient toujours en moi à un rythme de plus en plus rapide.

On est maintenant les trois bien réveillés savourant ce plaisir matinal. Il me pilonne toujours plus fort en poussant des grognements me faisant aller et venir profondément entre les fesses de Selma qui gémit de plaisir, j’enfonce deux doigts dans sa chatte pour augmenter son plaisir en remontant sur son clitoris que je fais rouler entre mes doigts. C’est à ce moment que je sens le sperme de Nils gicler puissamment et copieusement au fond de mes entrailles, je ne tarderais pas à jouir aussi je résiste pour attendre Selma et jouir en même temps qu’elle atteint l’orgasme sous la caresse de mes doigts sur son clito et de ma bite qui inonde son cul. Quel délice se réveiller comme ça quand le soleil se lève après une nuit à a belle étoile.

Après une douche fraiche et un bon petit-déj je dois laisser mes nouveaux amis, ce n’est qu’un aurevoir car il y a une connexion entre nous qui va au-delà du sexe, je me sens en harmonie avec eux, j’aime leur simplicité, leur philosophie de la vie, de l’amour et du plaisir.

On reste en contact et se reverra souvent en différant sites au gré de leurs pérégrinations.