Rencontre familiale (ma cousine)
Rencontre familiale (ma cousine)
Une rencontre familiale du coté de mon père va avoir lieu bientôt. C’est une famille que je ne vois pas souvent vu la distance de mon lieu de résidence. L’occasion est parfaite pour rencontrer cousin et cousine.
Je trouve un chalet à louer sur le bord d’un lac à proximité du lieu de rencontre. Ce qui me donne 2 jours pour faire des activités nautiques. Une compétition empêche ma conjointe et mes enfants de m’accompagner.
Pendant le trajet, je texte ma cousine pour lui offrir de venir faire du paddle board avec moi. Grande sportive, elle accepte et me rejoint au chalet. 6 ou 7 ans s’était écoulé depuis la dernière fois qu’on s’était vu. On se textait souvent pour prendre des nouvelles, sans plus.
J’arrive au chalet, elle est déjà là, à m’attendre assis sur son paddle. Elle ne change pas, toujours aussi belle avec un corps parfait. Ses seins qu’elle avait fait refaire dans la vingtaine sont toujours aussi volumineux. Pour une femme de 47 ans, elle réussit à conserver une silhouette que bien des plus jeunes serait jalouse.
L’après-midi passe très vite. Dans son bikini, je ne manque pas une occasion de me rincer l’œil. Nous avons ouvert une bouteille de vin et fait un BBQ pour le souper. Dans la soirée sur le bord du feu, elle me parle beaucoup de sa dernière relation. Elle a de la difficulté à maintenir une relation à long terme. Sa vie est parsemée de relation amoureuse difficile autant avec des femmes et des hommes. Je l’écoute se vider le cœur, je crois que mon oreille attentive lui a fait du bien.
Elle s’approche de moi et me remercie. Un silence s’installe, elle se retourne et me demande si elle peut coucher au chalet. J’hésite un peu, mais, sa main sur mon genou me fait oublier tout le reste. J’accepte.
L’ambiance change, c’est plus une tension sexuelle qui s’installe. Elle me demande si je la trouvais belle. Je lui avoue l’avoir regardé souvent aujourd’hui. On doit perdre de la subtilité avec l’âge parce quel me dit qu’elle avait remarqué.
On entre dans le chalet et sans détour, en face de moi, elle me demande si je veux qu’elle me soulage. Aucun mot ne sort de ma bouche. Elle me pousse vers la chambre et je tombe sur le lit. Elle retire mon maillot de bain. Je suis maintenant nu devant ma cousine. Mon membre au repos ne réagit pas. Je suis mal à l’aise. Debout au bout du lit, elle retire son bas de maillot. Je regarde son entre jambe, je vois ses lèvres au travers du fin duvet bien coupé. Je commence à bander. Je relève la tête et elle me sourit. Je commence à te faire du l’effet cousin? Tu es belle cousine. Ses mains disparaissent dans son dos. Elle détache son haut et le retire en cachant ses seins avec ses bras. Je voyais quand même la rondeur de sa poitrine. Elle descend doucement ses bras et je pu enfin apercevoir ses magnifiques seins. Elle embarque sur le lit, en pleine érection devant ma cousine, je lui répète quel est belle. C’est la seule phrase qui sort de ma bouche. Elle me pousse les jambes vers moi et touche le bout de mon gland avec son doigt. Elle le descend lentement le long de mon membre. Elle me dit, belle érection, tu es dur. Elle commence lentement à me masturber.
C’est la première fois depuis une dizaine d’année que personne d’autre que moi a touché mon pénis. J’avais oublié la sensation d’une autre main masturbatoire. Elle arrête son vas et vient et se liche un doigt. Elle le présente à l’entrée de mon anus. Elle me regarde et me demande si je veux. Elle devait penser que c’était une première pour moi. Je parle pour la première fois depuis l’entrée dans la chambre. Je lui raconte que j’utilise dildo et stimulateur de prostate depuis longtemps. Elle avait de la difficulté à me croire. Elle pousse son doigt en moi et se rends vite compte que je ne mentais pas. Je relève les jambes encore un peu et elle trouve rapidement ma prostate. Elle aussi de son coté, elle n’était pas à sa première expérience et avait dû en faire jouir des hommes de cette façon. Elle reprit sa masturbation lentement pour que je ne jouisse pas trop vite. La vue de sa nudité près de moi m’excite. Souvent, je prends sa main pour qu’elle arrête de me toucher. Je suis aux anges avec son doigts qui me masse. Je ne pensais pas qu’un doigt pourrait avoir plus d’effet que tous mes jouets.
Elle compresse mes testicules et une bonne quantité de precum sort de mon gland. Elle le récupère et l’étends sur ses seins doucement. Ma cousine se touche devant moi. Elle ferme les yeux et sa main descend vers son entre jambe. Dans ma position, je ne vois pas, mais, elle arrête ses vas et vient en moi, sa respiration accélère et je vois son corps se raidir. Elle jouit !!! Je n’en crois pas me yeux, mon membre se raidit encore plus. Elle ne bouge pas pendant quelques minutes, ouvre les yeux a nouveau, me sourit et reprends ma queue entre ses doigts humides de cyprine et recommence sa masturbation.
Elle entre un deuxième doigt en moi et en me défiant du regard un troisième. Mon corps répond à ses stimulations. Ma respiration accélère, je suis au paradis. Je passerais le reste de ma vie à me faire doigter par ma cousine. Elle me dit que si elle aurait su que j’était ouvert sexuellement comme cela, elle aurait invité un de ses amis qui aurait apprécié mon petit trou vierge. Elle sent que mon pénis durci un peu plus. Pas besoin de dire quoi que ce soit, elle sait que je rêve de me faire sodomiser. D’une façon, je trouve dommage, mais d’une autre, je suis heureux d’être seul avec elle.
Au bout d’une vingtaine de minutes à profiter de son massage, une éjaculation prostatique arriva. Elle regarde mon gland couler de liquide. J’inonde mon bas ventre. Même moi, je suis étonné de la quantité habituellement plus réduite. J’ai des spasmes dans tout le corps. Je lui demande entre deux respirations de me faire jouir. Elle recommence à me masturber plus rapidement et j’explose entre ses doigts.
Plusieurs giclés sort de mon membre qui palpite et recouvre mon ventre. J’avais déjà eu des orgasmes puissants, mais celui-là est dans mon top 5. Elle me regarde, je suis en sueur, mon cœur bat rapidement. Elle retire doucement ses doigts de mon rectum et je peux enfin descendre mes jambes. Elle est étonnée de la quantité de sperme. Elle se lève et prends la boîte de mouchoir sur la table. Je lève le bras pour en utiliser, mais c’est elle qui me nettoie. Je la regarde, elle est attentive et douce. Elle me prend mon pénis qui débande doucement et essuie le sperme qui en coule. Son corps est a porté de mes mains. J’approche une main pour toucher à sa poitrine et je peux finalement caresser son corps. Mais la fatigue arrive vite. Je m’endors quelques minutes plus tard.
Le lendemain matin, je me réveille. Je suis confus, je me demande si c’est vraiment arriver. Je me retourne et je vois ma cousine sur le dos qui dors encore. J’observe son corps, ses seins fermes qui bougent suivant sa respiration. Je bande rapidement. Je me masturbe doucement en profitant du spectacle. Sans m’en rende compte, elle me regarde et me dit, liche moi SVP. Je fais le saut, pensant quel dormait encore.
Elle écarte les jambes et je me glisse entre ses elles. Une décennie que j’avais vu une vulve d’aussi près. Je sors ma langue et je la glisse sur ses lèvres qui s’humidifie rapidement. Je fis de mon mieux pour lui faire un cunnilingus respectable. Avec 3 trois doigts qui fouillait l’intérieur de sa vulve, elle eut un orgasme. Elle prends ma tête et la pousse entre ses jambes et je sentis chaque spasme de son orgasme. Mes doigts deviennent humides et elle m’éjacula sur le visage. Sans être une femme fontaine, une quantité probablement équivalente a deux éjaculations sortit de sa vulve. Son corps se relaxe et je pu relever ma tête. Je remonte doucement vers ses seins. Finalement, je peux licher ses mamelons et masser sa poitrine. Je lève la tête et je remonte un peu. Mon gland humide entre en contact avec sa vulve. Je suis à une poussé de la pénétrer. On se regarde, hésitant à franchir cette barrière. Ma tête ne contrôle plus rien. Elle me demande si j’ai des condoms. Je pousse toujours un peu plus. Je sens la chaleur de son vagin sur mon gland. Je glisse mon membre sur ses lèvres. Elle me résonne et me demande de jouir entre ses seins. Un peu déçu de l’offre. Mais d’un autre côté, c’est une chose que je n’avais jamais fait.
Je me relève et regarde son entre jambe humide et j’obéis en plaçant place mon pénis entre ses seins. Elle les prend et serre mon membre au centre. Je fais de lent vas et vient, sur le bord de jouir, je veux en profiter pleinement. Elle sort la langue et j’approche mon gland. Elle le liche. La scène est surréaliste pour mon cerveau. Je ne réussis pas à tenir longtemps. Je l’informe que je vais éjaculer et elle serre encore plus. Je jouis entre ses seins. Je vois mon sperme sortir en dessous de son menton et couler le long de son cou. Elle relevé sa tête, ouvre sa bouche et entre mon gland sensible entre ses lèvres. Elle liche le sperme qui recouvre mon gland. Elle me pousse pour se dégager et vient m’embrasser.
Nous avons pris une douche ensemble. Nous avons parcouru de nos mains nos corps pour profiter du dernier moment. La rencontre de famille eu lieu comme si rien ne s’était passé. Je souhaite ardemment renouveler cette expérience un jour.
Par Monti2003
Une rencontre familiale du coté de mon père va avoir lieu bientôt. C’est une famille que je ne vois pas souvent vu la distance de mon lieu de résidence. L’occasion est parfaite pour rencontrer cousin et cousine.
Je trouve un chalet à louer sur le bord d’un lac à proximité du lieu de rencontre. Ce qui me donne 2 jours pour faire des activités nautiques. Une compétition empêche ma conjointe et mes enfants de m’accompagner.
Pendant le trajet, je texte ma cousine pour lui offrir de venir faire du paddle board avec moi. Grande sportive, elle accepte et me rejoint au chalet. 6 ou 7 ans s’était écoulé depuis la dernière fois qu’on s’était vu. On se textait souvent pour prendre des nouvelles, sans plus.
J’arrive au chalet, elle est déjà là, à m’attendre assis sur son paddle. Elle ne change pas, toujours aussi belle avec un corps parfait. Ses seins qu’elle avait fait refaire dans la vingtaine sont toujours aussi volumineux. Pour une femme de 47 ans, elle réussit à conserver une silhouette que bien des plus jeunes serait jalouse.
L’après-midi passe très vite. Dans son bikini, je ne manque pas une occasion de me rincer l’œil. Nous avons ouvert une bouteille de vin et fait un BBQ pour le souper. Dans la soirée sur le bord du feu, elle me parle beaucoup de sa dernière relation. Elle a de la difficulté à maintenir une relation à long terme. Sa vie est parsemée de relation amoureuse difficile autant avec des femmes et des hommes. Je l’écoute se vider le cœur, je crois que mon oreille attentive lui a fait du bien.
Elle s’approche de moi et me remercie. Un silence s’installe, elle se retourne et me demande si elle peut coucher au chalet. J’hésite un peu, mais, sa main sur mon genou me fait oublier tout le reste. J’accepte.
L’ambiance change, c’est plus une tension sexuelle qui s’installe. Elle me demande si je la trouvais belle. Je lui avoue l’avoir regardé souvent aujourd’hui. On doit perdre de la subtilité avec l’âge parce quel me dit qu’elle avait remarqué.
On entre dans le chalet et sans détour, en face de moi, elle me demande si je veux qu’elle me soulage. Aucun mot ne sort de ma bouche. Elle me pousse vers la chambre et je tombe sur le lit. Elle retire mon maillot de bain. Je suis maintenant nu devant ma cousine. Mon membre au repos ne réagit pas. Je suis mal à l’aise. Debout au bout du lit, elle retire son bas de maillot. Je regarde son entre jambe, je vois ses lèvres au travers du fin duvet bien coupé. Je commence à bander. Je relève la tête et elle me sourit. Je commence à te faire du l’effet cousin? Tu es belle cousine. Ses mains disparaissent dans son dos. Elle détache son haut et le retire en cachant ses seins avec ses bras. Je voyais quand même la rondeur de sa poitrine. Elle descend doucement ses bras et je pu enfin apercevoir ses magnifiques seins. Elle embarque sur le lit, en pleine érection devant ma cousine, je lui répète quel est belle. C’est la seule phrase qui sort de ma bouche. Elle me pousse les jambes vers moi et touche le bout de mon gland avec son doigt. Elle le descend lentement le long de mon membre. Elle me dit, belle érection, tu es dur. Elle commence lentement à me masturber.
C’est la première fois depuis une dizaine d’année que personne d’autre que moi a touché mon pénis. J’avais oublié la sensation d’une autre main masturbatoire. Elle arrête son vas et vient et se liche un doigt. Elle le présente à l’entrée de mon anus. Elle me regarde et me demande si je veux. Elle devait penser que c’était une première pour moi. Je parle pour la première fois depuis l’entrée dans la chambre. Je lui raconte que j’utilise dildo et stimulateur de prostate depuis longtemps. Elle avait de la difficulté à me croire. Elle pousse son doigt en moi et se rends vite compte que je ne mentais pas. Je relève les jambes encore un peu et elle trouve rapidement ma prostate. Elle aussi de son coté, elle n’était pas à sa première expérience et avait dû en faire jouir des hommes de cette façon. Elle reprit sa masturbation lentement pour que je ne jouisse pas trop vite. La vue de sa nudité près de moi m’excite. Souvent, je prends sa main pour qu’elle arrête de me toucher. Je suis aux anges avec son doigts qui me masse. Je ne pensais pas qu’un doigt pourrait avoir plus d’effet que tous mes jouets.
Elle compresse mes testicules et une bonne quantité de precum sort de mon gland. Elle le récupère et l’étends sur ses seins doucement. Ma cousine se touche devant moi. Elle ferme les yeux et sa main descend vers son entre jambe. Dans ma position, je ne vois pas, mais, elle arrête ses vas et vient en moi, sa respiration accélère et je vois son corps se raidir. Elle jouit !!! Je n’en crois pas me yeux, mon membre se raidit encore plus. Elle ne bouge pas pendant quelques minutes, ouvre les yeux a nouveau, me sourit et reprends ma queue entre ses doigts humides de cyprine et recommence sa masturbation.
Elle entre un deuxième doigt en moi et en me défiant du regard un troisième. Mon corps répond à ses stimulations. Ma respiration accélère, je suis au paradis. Je passerais le reste de ma vie à me faire doigter par ma cousine. Elle me dit que si elle aurait su que j’était ouvert sexuellement comme cela, elle aurait invité un de ses amis qui aurait apprécié mon petit trou vierge. Elle sent que mon pénis durci un peu plus. Pas besoin de dire quoi que ce soit, elle sait que je rêve de me faire sodomiser. D’une façon, je trouve dommage, mais d’une autre, je suis heureux d’être seul avec elle.
Au bout d’une vingtaine de minutes à profiter de son massage, une éjaculation prostatique arriva. Elle regarde mon gland couler de liquide. J’inonde mon bas ventre. Même moi, je suis étonné de la quantité habituellement plus réduite. J’ai des spasmes dans tout le corps. Je lui demande entre deux respirations de me faire jouir. Elle recommence à me masturber plus rapidement et j’explose entre ses doigts.
Plusieurs giclés sort de mon membre qui palpite et recouvre mon ventre. J’avais déjà eu des orgasmes puissants, mais celui-là est dans mon top 5. Elle me regarde, je suis en sueur, mon cœur bat rapidement. Elle retire doucement ses doigts de mon rectum et je peux enfin descendre mes jambes. Elle est étonnée de la quantité de sperme. Elle se lève et prends la boîte de mouchoir sur la table. Je lève le bras pour en utiliser, mais c’est elle qui me nettoie. Je la regarde, elle est attentive et douce. Elle me prend mon pénis qui débande doucement et essuie le sperme qui en coule. Son corps est a porté de mes mains. J’approche une main pour toucher à sa poitrine et je peux finalement caresser son corps. Mais la fatigue arrive vite. Je m’endors quelques minutes plus tard.
Le lendemain matin, je me réveille. Je suis confus, je me demande si c’est vraiment arriver. Je me retourne et je vois ma cousine sur le dos qui dors encore. J’observe son corps, ses seins fermes qui bougent suivant sa respiration. Je bande rapidement. Je me masturbe doucement en profitant du spectacle. Sans m’en rende compte, elle me regarde et me dit, liche moi SVP. Je fais le saut, pensant quel dormait encore.
Elle écarte les jambes et je me glisse entre ses elles. Une décennie que j’avais vu une vulve d’aussi près. Je sors ma langue et je la glisse sur ses lèvres qui s’humidifie rapidement. Je fis de mon mieux pour lui faire un cunnilingus respectable. Avec 3 trois doigts qui fouillait l’intérieur de sa vulve, elle eut un orgasme. Elle prends ma tête et la pousse entre ses jambes et je sentis chaque spasme de son orgasme. Mes doigts deviennent humides et elle m’éjacula sur le visage. Sans être une femme fontaine, une quantité probablement équivalente a deux éjaculations sortit de sa vulve. Son corps se relaxe et je pu relever ma tête. Je remonte doucement vers ses seins. Finalement, je peux licher ses mamelons et masser sa poitrine. Je lève la tête et je remonte un peu. Mon gland humide entre en contact avec sa vulve. Je suis à une poussé de la pénétrer. On se regarde, hésitant à franchir cette barrière. Ma tête ne contrôle plus rien. Elle me demande si j’ai des condoms. Je pousse toujours un peu plus. Je sens la chaleur de son vagin sur mon gland. Je glisse mon membre sur ses lèvres. Elle me résonne et me demande de jouir entre ses seins. Un peu déçu de l’offre. Mais d’un autre côté, c’est une chose que je n’avais jamais fait.
Je me relève et regarde son entre jambe humide et j’obéis en plaçant place mon pénis entre ses seins. Elle les prend et serre mon membre au centre. Je fais de lent vas et vient, sur le bord de jouir, je veux en profiter pleinement. Elle sort la langue et j’approche mon gland. Elle le liche. La scène est surréaliste pour mon cerveau. Je ne réussis pas à tenir longtemps. Je l’informe que je vais éjaculer et elle serre encore plus. Je jouis entre ses seins. Je vois mon sperme sortir en dessous de son menton et couler le long de son cou. Elle relevé sa tête, ouvre sa bouche et entre mon gland sensible entre ses lèvres. Elle liche le sperme qui recouvre mon gland. Elle me pousse pour se dégager et vient m’embrasser.
Nous avons pris une douche ensemble. Nous avons parcouru de nos mains nos corps pour profiter du dernier moment. La rencontre de famille eu lieu comme si rien ne s’était passé. Je souhaite ardemment renouveler cette expérience un jour.
Par Monti2003
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