Ma bite et Marion
Hummm la petite Marion... une ancienne stagiaire de ma boîte qui en a fait tourner des têtes ! 22 ans tout juste sortie de son école qui a vite échoué avec moi bien que pas volontaire au départ d'avoir un stadiaire dans les pattes pendant trois mois...
Mais bon... brune avec ce qui me semblait être une belle poitrine, un grand sourire, un petit cul rebondi comme je les aime... je me suis vite accoutumé à cela et je tentais de garder ma règle "pas de cul au bureau" !
Il faut dire que Marion ne m'aidait pas trop, chaque jour j'avais le droit à un défilé qui laissait découvrir petit à petit son superbe corps, elle sentait aussi divinement bon et me fixait droit dans les yeux quand je lui expliquait quelque chose... normal vous me diriez, j'étais son tuteur... mais dans mon esprit pervers, je commençais peut-être à lui plaire !... Au fil des jours, notre relation de travail se fit plus personnel, j'appris avec joie qu'elle venait de rompre avec son petit copain qui était le premier qu'elle avait eu, qu'elle venait aussi d'arriver à Paris et ne connaissait presque personne. Je l'a rassura en lui disant que Paris, c'était Paris et qu'il était impossible de s'y ennuyer.
Au bout d'un mois de petit rapprochement et de taquinerie parfois explicite de ma part, je l'invita à boire un verre un vendredi soir avec d'autres collègues, elle accepta.
Au bout de deux heures de discussions et de boissons, on se dit bon weekend et Marion pris le même métro que moi pour rentrer chez elle, à un moment dans la rame blindée, elle se colla à moi en se rattrapant et heurta de la main ma queue qui pensait a elle depuis des semaines... elle garda sa main là en me fixant des yeux, je tentais de ne pas bander pour ne pas l'effrayer, et elle commença à palper en souriant en coin... je pensa "et merde, j'y vais" et je l'embrassa, "J'ai envie de toi" me dit-elle, et moi donc !... Durant les 10 minutes qui suivit on se cala dans un coin de la rame et elle se cambra devant moi, ma queue entre ses fesses et à chaque mouvement du métro caressait de son cul ma bite... quel spectacle... quel trique... arrivés à sa station, je cacha tant bien que mal la bosse avec mon sac et je me calma pendant les 5 minutes de trajet jusqu'à chez elle.
Elle habitait une petite chambre de bonne, avec un petit clic clac qui me rappelait mes études, je l'a déshabilla et découvrit enfin ses seins entièrement, je les tétais comme un nourrisson avec sa mère, elle gloussa et gémit quand je glissa ma main dans son string pour faire coucou à sa chatte toute lisse...
De mon autre main, je défis ma ceinture et d'un habile mouvement me déshabilla d'un coup délivrant ma queue dure et droite comme un I, elle l'attrapa et me branla aussi, nous nous branlions mutuellement en nous embrassant et elle pris l’initiative de dire bonjour à mon gland en le gobant... Hummm voilà ma règle d'or était brisée, je me faisait sucer par une stagiaire... mais quelque chose allait pas, elle ne suçait pas divinement bien, je compris en me rappelant qu'elle n'avait eu qu'un seul gars avant et lui dit "fais attention avec tes dents, applique toi"... ce qu'elle fit comme avec le travail que je lui donnait la journée...
Elle y mit tout son cœur et s'excita en allant de plus en plus vite, je sentais que j'allais venir, lui demanda si elle voulait goûter mon sperme, "Hummm ok vas-y", je sorti ma queue et me branla sur sa langue, elle ouvrit en grand la bouche comme je lui dit et je gicla dans sa gorge d'épais coulis de sperme, ce spectacle m'excitait grave et je pinça longuement mon gland pour ne pas trop jouir d'un coup.
Je lui demanda si ça allait, "hmmmhmmm" me répondit-elle, je compris qu'elle voulait pas avaler et je l'a releva pour qu'elle recrache dans son évier. "Désolé mais je suis pas sûr d'aimer ça".... "Pas grave, je vais t'apprendre à aimer le jus des hommes" lui répondis-je avant de la coucher sur son lit et de lui arracher d'un coup violent son string.
Elle rigola et puis cria quand je glissa ma langue sur son clito gonflé, je l'a lécha comme un fou, insistant bien sur son petit bouton qui semblait si sensible chez elle... j'adorai ça, elle poussait de long râle et m'encourageait à continuer, elle dit que jamais son copain lui avait ça comme ça... tu m'étonne un gosse contre un pervers professionnel comme moi...
Après 10 minutes de lèche et 3 orgasmes, j'arrêta, la bouche pleine de bave et de mouille, elle me regardait l'air perdue, je lui laissa un peu de temps, le temps pour moi d'enfiler une capote, de la retourner en levrette et de l'embrocher d'un coup sec tellement sa chatte était lubrifiée par mes soins, je n'y allais pas par 4 chemins et la baisa comme un homme préhistorique, des coups secs et régulier, une main sur son cul écartant ses fesses et l'autre jouant avec un de ses tétons, elle n'était pas en reste et senti ses doigts jouer avec son clito... quelle petite salope, j'accéléra mes coups de reins, ça claquait dans l'air, je poussais de long râle tellement c'était intense, j'avais l'impression que sa chatte pompait littéralement ma bite, j'étais pris d'une frénésie de baise et après 5 ou 10 minutes, je ne sais plus trop, elle s'écroula ne tenant plus sur ses genoux...
Je l'a retourna, écarta ses cuisses, cabra ses jambes de façon à ce que je sois seul maître de la position et la baisa encore comme un taré, caressant son clito pendant que je tenais une cuisse en l'air, elle jouit encore une fois et je ne resta pas en reste car quelque coup de rein plus tard je gicla en fond d'elle dans la capote...
Je sorti ma queue, enleva la capote fit un nœud et la jeta par terre, je tenais ma queue qui ne débandait pas que je caressa sur les lèvres de sa chatte, je voulais la prendre encore mais je n'avais pas d'autres capotes... alors je me coucha à côté d'elle, elle n'en pouvait plus et je ne voulais pas rester là pour que les choses soient bien clairs, c'était uniquement du cul. "T'inquiète, j'avais trop envie, ça faisait longtemps et elle m'a dit que t'étais doué avec ta langue...." me dit-elle... et là je fis le fil de la soirée, elle parlait avec Caroline, la comptable et d'un coup je me souvins... on avait baiser comme des bêtes dans son bureau il y a 3 ans après son divorce et j'avais enfoui tout ça pour ne pas nuire à nos relations de travail... et j'avais décider d'une règle "pas de cul au bureau..."
Je rigola et lui fit un clin d’œil en lui disant qu'on allait voir un client demain après-midi... client qui n'était que ma bite :)
Je l'aida à faire son rapport de stage car le mois suivant elle n'appris pas grand chose à part comment satisfaire un homme avec sa bouche et à bien écarter son cul quand on l'enculait... mais c'est une autre histoire...
Mais bon... brune avec ce qui me semblait être une belle poitrine, un grand sourire, un petit cul rebondi comme je les aime... je me suis vite accoutumé à cela et je tentais de garder ma règle "pas de cul au bureau" !
Il faut dire que Marion ne m'aidait pas trop, chaque jour j'avais le droit à un défilé qui laissait découvrir petit à petit son superbe corps, elle sentait aussi divinement bon et me fixait droit dans les yeux quand je lui expliquait quelque chose... normal vous me diriez, j'étais son tuteur... mais dans mon esprit pervers, je commençais peut-être à lui plaire !... Au fil des jours, notre relation de travail se fit plus personnel, j'appris avec joie qu'elle venait de rompre avec son petit copain qui était le premier qu'elle avait eu, qu'elle venait aussi d'arriver à Paris et ne connaissait presque personne. Je l'a rassura en lui disant que Paris, c'était Paris et qu'il était impossible de s'y ennuyer.
Au bout d'un mois de petit rapprochement et de taquinerie parfois explicite de ma part, je l'invita à boire un verre un vendredi soir avec d'autres collègues, elle accepta.
Au bout de deux heures de discussions et de boissons, on se dit bon weekend et Marion pris le même métro que moi pour rentrer chez elle, à un moment dans la rame blindée, elle se colla à moi en se rattrapant et heurta de la main ma queue qui pensait a elle depuis des semaines... elle garda sa main là en me fixant des yeux, je tentais de ne pas bander pour ne pas l'effrayer, et elle commença à palper en souriant en coin... je pensa "et merde, j'y vais" et je l'embrassa, "J'ai envie de toi" me dit-elle, et moi donc !... Durant les 10 minutes qui suivit on se cala dans un coin de la rame et elle se cambra devant moi, ma queue entre ses fesses et à chaque mouvement du métro caressait de son cul ma bite... quel spectacle... quel trique... arrivés à sa station, je cacha tant bien que mal la bosse avec mon sac et je me calma pendant les 5 minutes de trajet jusqu'à chez elle.
Elle habitait une petite chambre de bonne, avec un petit clic clac qui me rappelait mes études, je l'a déshabilla et découvrit enfin ses seins entièrement, je les tétais comme un nourrisson avec sa mère, elle gloussa et gémit quand je glissa ma main dans son string pour faire coucou à sa chatte toute lisse...
De mon autre main, je défis ma ceinture et d'un habile mouvement me déshabilla d'un coup délivrant ma queue dure et droite comme un I, elle l'attrapa et me branla aussi, nous nous branlions mutuellement en nous embrassant et elle pris l’initiative de dire bonjour à mon gland en le gobant... Hummm voilà ma règle d'or était brisée, je me faisait sucer par une stagiaire... mais quelque chose allait pas, elle ne suçait pas divinement bien, je compris en me rappelant qu'elle n'avait eu qu'un seul gars avant et lui dit "fais attention avec tes dents, applique toi"... ce qu'elle fit comme avec le travail que je lui donnait la journée...
Elle y mit tout son cœur et s'excita en allant de plus en plus vite, je sentais que j'allais venir, lui demanda si elle voulait goûter mon sperme, "Hummm ok vas-y", je sorti ma queue et me branla sur sa langue, elle ouvrit en grand la bouche comme je lui dit et je gicla dans sa gorge d'épais coulis de sperme, ce spectacle m'excitait grave et je pinça longuement mon gland pour ne pas trop jouir d'un coup.
Je lui demanda si ça allait, "hmmmhmmm" me répondit-elle, je compris qu'elle voulait pas avaler et je l'a releva pour qu'elle recrache dans son évier. "Désolé mais je suis pas sûr d'aimer ça".... "Pas grave, je vais t'apprendre à aimer le jus des hommes" lui répondis-je avant de la coucher sur son lit et de lui arracher d'un coup violent son string.
Elle rigola et puis cria quand je glissa ma langue sur son clito gonflé, je l'a lécha comme un fou, insistant bien sur son petit bouton qui semblait si sensible chez elle... j'adorai ça, elle poussait de long râle et m'encourageait à continuer, elle dit que jamais son copain lui avait ça comme ça... tu m'étonne un gosse contre un pervers professionnel comme moi...
Après 10 minutes de lèche et 3 orgasmes, j'arrêta, la bouche pleine de bave et de mouille, elle me regardait l'air perdue, je lui laissa un peu de temps, le temps pour moi d'enfiler une capote, de la retourner en levrette et de l'embrocher d'un coup sec tellement sa chatte était lubrifiée par mes soins, je n'y allais pas par 4 chemins et la baisa comme un homme préhistorique, des coups secs et régulier, une main sur son cul écartant ses fesses et l'autre jouant avec un de ses tétons, elle n'était pas en reste et senti ses doigts jouer avec son clito... quelle petite salope, j'accéléra mes coups de reins, ça claquait dans l'air, je poussais de long râle tellement c'était intense, j'avais l'impression que sa chatte pompait littéralement ma bite, j'étais pris d'une frénésie de baise et après 5 ou 10 minutes, je ne sais plus trop, elle s'écroula ne tenant plus sur ses genoux...
Je l'a retourna, écarta ses cuisses, cabra ses jambes de façon à ce que je sois seul maître de la position et la baisa encore comme un taré, caressant son clito pendant que je tenais une cuisse en l'air, elle jouit encore une fois et je ne resta pas en reste car quelque coup de rein plus tard je gicla en fond d'elle dans la capote...
Je sorti ma queue, enleva la capote fit un nœud et la jeta par terre, je tenais ma queue qui ne débandait pas que je caressa sur les lèvres de sa chatte, je voulais la prendre encore mais je n'avais pas d'autres capotes... alors je me coucha à côté d'elle, elle n'en pouvait plus et je ne voulais pas rester là pour que les choses soient bien clairs, c'était uniquement du cul. "T'inquiète, j'avais trop envie, ça faisait longtemps et elle m'a dit que t'étais doué avec ta langue...." me dit-elle... et là je fis le fil de la soirée, elle parlait avec Caroline, la comptable et d'un coup je me souvins... on avait baiser comme des bêtes dans son bureau il y a 3 ans après son divorce et j'avais enfoui tout ça pour ne pas nuire à nos relations de travail... et j'avais décider d'une règle "pas de cul au bureau..."
Je rigola et lui fit un clin d’œil en lui disant qu'on allait voir un client demain après-midi... client qui n'était que ma bite :)
Je l'aida à faire son rapport de stage car le mois suivant elle n'appris pas grand chose à part comment satisfaire un homme avec sa bouche et à bien écarter son cul quand on l'enculait... mais c'est une autre histoire...
5 years ago