Une mére et ses enfant 12
Je suis arrivée très tôt au centre de rééducation, il avait été précisé que la matinée serait consacrée aux explications de ce centre.
Tous les nouveaux arrivants devaient se présenter dans une grande salle, je fus surprise par le nombre, nous étions une cinquantaine.
La directrice est venue nous accueillir dans cette immense pièce.
- Bonjour à tous, vous pensez tous savoir pourquoi vous êtes ici ?
- Oui... Répondaient-ils tous en cœur.
- Eh bien non en réalité. Les hommes, vous allez tellement vous servir de vos bites, qu'en sortant d'ici, vous aurez du mal à bander normalement. Vous mesdames, c'est le contraire, nous allons multiplier votre désir sexuel à tel point que vous ne penserez plus qu'à cela, vous voudrez toujours une, voire plusieurs bites dans vos chattes ! Maintenant, je veux que chacun se tienne à côté d'un partenaire du sexe opposé. Comme il y a plus d'hommes que de femmes cette fois-ci, certaines vont avoir plusieurs mâles à leur côté.
Je me retrouvais avec 3 hommes.
- Très bien, maintenant tout le monde à poil !
Avec le peu d'habits que nous portions, nous nous sommes vite tous retrouvés nus.
- Messieurs, faites honneur à ces dames, montrez leurs vos queues en érection, masturbez-vous devant elles, et mesdames, aidez-les, faites pointer vos nichons, et mouillez vos chattes de petites salopes, branlez-vous le clito !
Je commençais à me toucher la fente, les trois bites molles autour de moi commençaient à se redresser, et quelques instants plus tard, j'avais trois bites tendues.
- Continuez de vous branler, mais je ne veux pas voir de sperme à terre, utilisez les bouches de vos salopes pour décharger !
J'avalais le jus de mes trois partenaires, l'un après l'autre, vu la quantité, ils n'avaient pas déchargé depuis un moment. Ensuite nous fûmes tous conduits dans une autre pièce, ou était entreposé tout un matériel digne d'un donjon. Je fus allongée sur le dos, et mes jambes attachées à des chaînes descendant du plafond, bien écartées évidemment, les hommes se firent attacher dos au mur, un infirmier arriva avec plusieurs seringues.
- Pour toi traitement spécial, les doses sont doublées !
Il prit mes tétons, et les fît rouler entre ses doigts, la réaction ne se fit par attendre et je pointais. Il prit une seringue, et injecta le produit dans mes tétons, puis s'attaqua à faire sortir mon clitoris, une fois que celui-ci commença à sortir du capuchon, il y planta une seringue aussitôt.
- Je viens de t'administrer un puissant aphrodisiaque, dans dix minutes, tu vas mouiller comme jamais, une vraie fontaine, et tu supplieras pour qu'on te baise.
Les hommes eurent droit aussi à la piqure, et j'ai vu leurs queues se redresser d'un seul coup.
On vînt ensuite nous placer un bandeau sur les yeux, l'infirmier avait dit vrai, je sentais ma chatte s'ouvrir, et se liquéfier totalement, je ne crois pas avoir déjà tant mouillé, mais à part les hommes et moi-même dans cette pièce, il n'y avait plus personne, et nous étions tous attachés.
Un peu plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir, je commençai alors à hurler :
- BAISEZ-MOI, DEFONCEZ MA SALOPE DE CHATTE, JE VOUS L'OFFRE, SAUTEZ-MOI COMME UNE GROSSE PUTE !
Je reçu une bite demi-molle dans la bouche, et je l'ai vite faite durcir pour qu'elle me prenne. Une fois bien dur, l'homme présenta son gland à l'entrée de ma chatte, Juste ce contact me fit jouir, et il enfonça toute la longueur dans ma chatte, il me lima dix minutes, je jouissais à chaque poussée expulsant des jets de cyprine.
Je sentis sa semence se répandre au plus profond de ma chatte, ce qui me fît jouir une énième fois.
L’homme se retira de ma chatte béante, dont je sentais le trop-plein de sperme et de cyprine s'écouler, et vint près de ma figure me retirer le bandeau...
Et là, horreur, cet homme qui m'avait faite jouir pendant plus de dix minutes, n'était rien d'autre que mon fils, mon fils m'avait faite jouir comme une folle, jamais je n'avais joui comme cela...
je vis mon fils débander, mais avec l'aphrodisiaque, ma chatte réclamait encore, je le repris en bouche pour le refaire durcir...
Une fois bien dur, je le regardais dans les yeux et, lui dis:
- Prends ta pute de mère par le trou que tu veux, fais de moi ta salope, baise-moi comme la dernière des salopes.
J'espère que ce récit vous plaît, pour mon part, j'étais nue en l'écrivant, je me suis doigté la chatte jusqu'à jouir 4 fois, avec mon plug dans mon cul.
À SUIVRE.
Tous les nouveaux arrivants devaient se présenter dans une grande salle, je fus surprise par le nombre, nous étions une cinquantaine.
La directrice est venue nous accueillir dans cette immense pièce.
- Bonjour à tous, vous pensez tous savoir pourquoi vous êtes ici ?
- Oui... Répondaient-ils tous en cœur.
- Eh bien non en réalité. Les hommes, vous allez tellement vous servir de vos bites, qu'en sortant d'ici, vous aurez du mal à bander normalement. Vous mesdames, c'est le contraire, nous allons multiplier votre désir sexuel à tel point que vous ne penserez plus qu'à cela, vous voudrez toujours une, voire plusieurs bites dans vos chattes ! Maintenant, je veux que chacun se tienne à côté d'un partenaire du sexe opposé. Comme il y a plus d'hommes que de femmes cette fois-ci, certaines vont avoir plusieurs mâles à leur côté.
Je me retrouvais avec 3 hommes.
- Très bien, maintenant tout le monde à poil !
Avec le peu d'habits que nous portions, nous nous sommes vite tous retrouvés nus.
- Messieurs, faites honneur à ces dames, montrez leurs vos queues en érection, masturbez-vous devant elles, et mesdames, aidez-les, faites pointer vos nichons, et mouillez vos chattes de petites salopes, branlez-vous le clito !
Je commençais à me toucher la fente, les trois bites molles autour de moi commençaient à se redresser, et quelques instants plus tard, j'avais trois bites tendues.
- Continuez de vous branler, mais je ne veux pas voir de sperme à terre, utilisez les bouches de vos salopes pour décharger !
J'avalais le jus de mes trois partenaires, l'un après l'autre, vu la quantité, ils n'avaient pas déchargé depuis un moment. Ensuite nous fûmes tous conduits dans une autre pièce, ou était entreposé tout un matériel digne d'un donjon. Je fus allongée sur le dos, et mes jambes attachées à des chaînes descendant du plafond, bien écartées évidemment, les hommes se firent attacher dos au mur, un infirmier arriva avec plusieurs seringues.
- Pour toi traitement spécial, les doses sont doublées !
Il prit mes tétons, et les fît rouler entre ses doigts, la réaction ne se fit par attendre et je pointais. Il prit une seringue, et injecta le produit dans mes tétons, puis s'attaqua à faire sortir mon clitoris, une fois que celui-ci commença à sortir du capuchon, il y planta une seringue aussitôt.
- Je viens de t'administrer un puissant aphrodisiaque, dans dix minutes, tu vas mouiller comme jamais, une vraie fontaine, et tu supplieras pour qu'on te baise.
Les hommes eurent droit aussi à la piqure, et j'ai vu leurs queues se redresser d'un seul coup.
On vînt ensuite nous placer un bandeau sur les yeux, l'infirmier avait dit vrai, je sentais ma chatte s'ouvrir, et se liquéfier totalement, je ne crois pas avoir déjà tant mouillé, mais à part les hommes et moi-même dans cette pièce, il n'y avait plus personne, et nous étions tous attachés.
Un peu plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir, je commençai alors à hurler :
- BAISEZ-MOI, DEFONCEZ MA SALOPE DE CHATTE, JE VOUS L'OFFRE, SAUTEZ-MOI COMME UNE GROSSE PUTE !
Je reçu une bite demi-molle dans la bouche, et je l'ai vite faite durcir pour qu'elle me prenne. Une fois bien dur, l'homme présenta son gland à l'entrée de ma chatte, Juste ce contact me fit jouir, et il enfonça toute la longueur dans ma chatte, il me lima dix minutes, je jouissais à chaque poussée expulsant des jets de cyprine.
Je sentis sa semence se répandre au plus profond de ma chatte, ce qui me fît jouir une énième fois.
L’homme se retira de ma chatte béante, dont je sentais le trop-plein de sperme et de cyprine s'écouler, et vint près de ma figure me retirer le bandeau...
Et là, horreur, cet homme qui m'avait faite jouir pendant plus de dix minutes, n'était rien d'autre que mon fils, mon fils m'avait faite jouir comme une folle, jamais je n'avais joui comme cela...
je vis mon fils débander, mais avec l'aphrodisiaque, ma chatte réclamait encore, je le repris en bouche pour le refaire durcir...
Une fois bien dur, je le regardais dans les yeux et, lui dis:
- Prends ta pute de mère par le trou que tu veux, fais de moi ta salope, baise-moi comme la dernière des salopes.
J'espère que ce récit vous plaît, pour mon part, j'étais nue en l'écrivant, je me suis doigté la chatte jusqu'à jouir 4 fois, avec mon plug dans mon cul.
À SUIVRE.
5 years ago
