Une mére et ses enfants 11

Je devais me rendre au bureau du directeur pour gérer mon transfert vers le centre, je toquai a la porte et il me fit rentrer aussi vite.

- Ah voila Marie qui vient régler les dernières choses avant son départ !
- Je vous avoue que je ne sais pas comment cela se passe !
- C'est très simple, voici tous tes effets personnels à ton arrivée.

Je reconnus mes habits en lambeaux et mes papiers d'identité, je ne pouvais vraiment plus mettre ces habits, ils étaient déchirés de partout.

- Excusez-moi, mais je ne peux plus mettre ces habits-là !
- Il y a une boutique où tu peux acheter des fringues, mais ce n'est pas gratuit !
- J’ai droit à la prime de sortie ! Lui dis-je.
- Oui, vu le peu de temps que tu as passé ici, elle s'élève à 50 euros, va faire un tour dans la boutique !

J’ai fait vite fait un tour dans les rayons, mais bien entendu, rien n’était dans mes prix, il y avait, cependant, un joli ensemble très strict qui me plaisait beaucoup, mais il était affiché à 150 euros.

- Il te plaît ?
- Oui, beaucoup, mais il n'est pas dans mon budget !
- Regarde dans tes affaires, tu as, peut-être laissé trainer de l'argent !

Je me suis précipitée vers mon porte-monnaie et, effectivement, 40 euro s’y trouvaient, hélas, il me manquait toujours 60 euros.

- Tu veux que je t'aide ? Me dit le directeur.
- Comment ?
– C’est très simple, tu restes ici une heure avec moi et je te file l'argent qui te manque !
- Vous voulez me baiser ?
- Oui, mais fais le compte, 60 euros l'heure, ce n'est pas mal !

Depuis mon arrivée ici, tout le monde avez profité de mon corps, alors, si cela pouvait me servir pour une fois...

- OK, je reste avec vous !
- Très bien, viens près de moi, à genoux, sors ma bite !

Je m’approchai de lui et fît comme il me l'avait demandé, je lui sortis la queue et la regardai longtemps.

- FOUS-LA EN BOUCHE, SALOPE, SUCE-MOI !

Je posai mes lèvres sur son gland et l’embouchai, je le sentis bander dans ma bouche, avec les petits coups de langue que je donnais sur son gland, une fois bien dur, il poussa sur ma tête et me l’enfonça dans la gorge.

- Suce bien, salope, masse-moi les couilles, hummmm, oui aspire bien !

Sa jouissance ne fut pas longue à venir, tant le traitement que je lui appliquais lui faisait de l'effet, je voulus me retirer, mais il me bloqua la tête, et s’enfonça au plus profond de ma gorge, ses jets était tellement puissants que je les sentais atterrir directement dans mon estomac, moi qui avait toujours refusé à mon mari d'avaler sa semence, je trouvai le gout de son sperme pas si dégoûtant que ça.

Je lui ai nettoyé la queue et même sucé les couilles où son jus avait coulé un peu, sa queue ramollissait et il me fît me relever.

- Une pipe, même si tu es douée, ne vaut pas 60 euros, tu sais, je me doutais que tu n'aurais pas assez d'argent, j'ai donc pris un viagra et je vais te sauter pendant 1 heure non stop.

Le salaud, il avait prévu le coup.

- Fous-toi a poil, écarte les cuisses, je vais m’occuper de ta chatte !

il vint me faire un cunni d'enfer, je ne crois pas en avoir déjà eu un si bon, il savait se servir de sa langue. Une fois bien mouillée, il me pénétra, sa bite remplissait bien ma chatte, mais je l'attrapai par le fesses pour le faire finir plus profondément en moi. Je commençais à mouiller comme une folle et lui, me limait la chatte avec force pendant au moi 20 min avant de cracher son sperme dans mes entrailles. J’avais joui 3 fois lors de cette baise, 20 min seulement s'étaient passées et je lui appartenais encore pour 40 min, il débanda et j‘entrepris de lui nettoyer le sexe avec ma bouche, saloperie de viagra ! Voila qu’il rebandait (information véridique, car déjà testée sur plusieurs clients).

- Je vais te défoncer le cul comme une bonne pute, maintenant !
- NON, SVP, PAS PAR LÀ, JE SUIS VIERGE DE CE CÔTÉ-LÀ !
- Eh bien, y a un début a tout, puis vu comme tu es mouillée, ça va rentrer tout seul, détend toi !

il posa son gland sur mon œillet et fit rentrer sa queue de toute sa longueur, mais doucement, il se planta bien au fond et attendit quelques minutes que la douleur s'estompe, puis commença son va-et-vient, je n'en revenais pas, une nouvelle sensation, pas trop désagréable, mais je préférais les rapports vaginaux quand-même.

J’aimais cette sensation, si bien que je n’ai pas vu l’heure passer, il m avait sodomisée pendant 45 min avant de se répandre dans mes boyaux, il se retira et je lui nettoyai la bite. Une nouvelle fois, il bandait encore, mais je lui fis remarquer que son temps était passé, il me jeta les 60 euros et me dit d aller chercher les habits dans la boutique.

- Reviens ici après tes achats, j'ai quelques papiers à te faire signer !

J’allai chercher mes habits et suis revenue dans ce bureau.

- Quels papiers dois-je signer ?
- Ceux qui confirment que tu as reçu ton jugement pour le centre, et celui là !

Je lus le deuxième papier sur lequel était inscrit : "Moi Marie, saine de corps et d'esprit, déclare être une pute !".

- Pourquoi voulez-vous que je signe ce papier là ?
- Parce que c'est ce que tu es !
- Pardon ? Je ne suis pas une pute !
- Ah non, et qu'est ce que tu viens de faire ?
- Je viens de coucher avec vous !
- Faux, tu m'as vendu ta bouche, ta chatte, et le pucelage de ton cul pour 60 euros, et tu me dis que tu n'es pas une pute ?

(C'est vrai, messieurs, quand on vous écarte les cuisses, si se n'est pas par désir sexuel, c'est parce qu’on désire quelque chose, nous sommes toute un peu putes dans le fond).

Machinalement, je signai le papier disant que j'étais une pute.

- Très bien, on va te préparer à devenir une pute au centre, mais on va un peu commencer ici !

– A POIL !

De peur qu’il ne m'arrache mes nouveaux vêtements, je me déshabillai, tandis qu'une infirmière se présenta dans la pièce, et elle me fit installer sur une table de gynéco

- Elle a des gros nichons, parfaits pour la branlette espagnol, ses tétons réagissent vite et ses loches se durcissent dès qu'elle pointe, son clito réagit, mais il n’est pas assez gros, nous améliorerons cela au centre, sa chatte, devrait s'ouvrir davantage pour permettre de voir son intérieur et il y'a beaucoup trop de poils.

Ils ligotèrent tous mes membres à ce fauteuil de gynéco, les cuisses bien écartées, bien sûr, et allèrent chercher de l'eau, du savon et des rasoirs.

"TONDUE, j'allais être TONDUE"

En quelques minutes, le rasoir fit son œuvre et laissa ma chatte aussi lisse qu'à ma naissance.

Le directeur s'approcha, tenant dans son dos un objet encore fumant et vint se placer entre mes jambes, devant mon pubis, désormais lisse comme un œuf, l'infirmière plaça ses mains sur mes yeux, mais je sentis une étrange chaleur près de mon bas-ventre, une très forte chaleur...

La seconde d'après, j'hurlai à pleins poumons, car cette chaleur était, maintenant, plantée fortement sur mon pubis. Il régnait une forte odeur de chair brûlée dans la pièce, l'infirmière vida un sceau d'eau glacée sur mon pubis et ma chatte.

Me libérant de mes liens, le directeur me plaça devant un miroir, je découvris ma chatte, j'avais vraiment une chatte de petite fille sans poil, mais sur mon pubis était inscrit le mot "PUTE" marqué au fer rouge, je pus me rhabiller, mais je ne supportais pas une culotte, momentanément.

Je demandai si je pouvais rendre visite à mon mari, avant de partir pour le centre.

- Mais quelle salope, je viens de la sauter pendant une heure 15 minutes et elle veut encore aller se faire mettre par son mari !
- Pas du tout, je l'aime, et je voudrais lui parler !
- OK, mais tu vas devoir aller dans sa cellule, ton mari a quelques difficultés à marcher depuis son arrivée !

Que lui avaient-ils fait, lui qui était toujours en pleine forme et qui avait, maintenant, du mal à se déplacer... ?

Je suivis un maton jusqu'à la cellule de mon mari, quel ne fut pas le choc, lorsque je rentrai, mon mari était à 4 pattes, nu, une bite black dans la bouche, une autre dans le cul et, sa bite à lui, dans la bouche de celui qu'il suçait. Cela devait faire un moment qu'ils étaient occupés, car ils jouirent quasi instantanément, ils se séparèrent de mon mari pour retourner dans leur couchette.

Je me précipitai sur mon mari en le serrant fort dans mes bras, il était en pleurs.

- Tu sais, chérie, j'ai dû leur promettre quelque chose !
- Quoi donc, mon amour ?
- DE te faire mettre nue, mais je ne dois pas te faire l'amour, je dois te sauter, si tu refuses, alors je devrais te violer, sinon, je leur servirai encore de punching ball !
- Pour toi, mon chéri, j'accepte, baise-moi, je ne veux pas qu'ils te fassent du mal !

Je me suis déshabillée, mon mari a adoré ma chatte toute lisse, il était allongé sur le dos, je l’ai chevauché et introduit sa bite dans ma chatte, je me démenai sur son pieu de chair et je ne vis pas les black bouger dans la cellule, ce n'est que quand je reçus un gland dans la bouche que je compris.

Le deuxième black se présenta à mon anus et me le pénétra sans douceur, tous mes trous étaient occupés par une queue, vu leur éjaculation pas très longtemps avant, ils me prirent par les 3 trous pendant plus de 2 heures, en échangeant leur place plusieurs fois


À SUIVRE
Published by seblovesex
5 years ago
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