Une mére et ses enfants 10

je fus conduite dans le fourgon pénitencier, mais, à mon grand étonnement, le directeur est venu à l'arrière avec moi.

- Tu te crois sauvée car tu es innocente, je le sais, c'est pour cela que j'ai fabriqué les preuves contre toi !
- Pourquoi faites-vous cela ?
- Les parents qui laissent leurs enfants se prostituer me dégoutent !
- Je n'ai pas autorisé Vanessa à se prostituer !
- Non, c'est vrai, mais tu as fermé les yeux, tu l’as laissé faire et sous ton toit, c'est encore pire, avec les preuves que l'on a, le juge va te charger à mort !
- Que lui avez-vous dit ?
- Que tu n'étais qu'une salope qui ne pensait qu’au sexe, ta fille lui a dit que tu l'avais léchée et que tu avais sucé ton fils !

Mes enfants, la chair de ma chair, je ne crois pas qu’ils aient dit cela volontairement, mais me voilà dans de beaux draps, maintenant...

Le directeur ouvrit ma combinaison et plongea sa main dans ma culotte.

- Je vais te doigter, te faire mouiller dans ta culotte pendant les 45 min de route, arrivée au tribunal, tu auras les yeux tellement hagards, que le juge demandera pourquoi, je lui expliquerai que c'est à cause de ton esprit de salope et que tu ne penses qu'au sexe. Là-dessus, j’ouvrirai ta combinaison et il verra ta culotte trempée, pourquoi crois-tu qu'on t'a donné une culotte trop petite et de cette couleur ?
- Je ne sais pas !
- Car elle dessine bien ta chatte et devient plus foncée avec ta cyprine, sale pute !

Cela faisait à peine 5 min que mon bourreau me titillait le clitoris que je jouissais, cela était dû, sans doute, à mon abstinence en cellule.

- C'est bien, laisse-toi aller, salope, mouille comme une grosse pute que tu es !

Le salaud n'était sûrement pas à sa première femme qu’il conduisait au tribunal et, savait comment s'y prendre, je sentais ma chatte s'ouvrir et humidifier ma culotte, s’il avait continué comme ça, toute ma combinaison aurait été trempée, il m'avait fait jouir 12 fois sur la route, 12 fois en 45 minutes, devenais-je vraiment une salope qui n'aimait plus que le cul ?

Le directeur m'a maintenue tout le long de mon trajet, j'avais tellement joui dans ce fourgon, que j'étais incapable de me tenir droite, seule.

- Madame Marie..., vous comparaissez, aujourd'hui, pour prostitution infantile, attouchements sur la vulve de votre fille, fellation sur votre fils, exhibition, qu’avez-vous à dire pour votre défense ?

- Monsieur le Juge, je n'étais pas au courant que ma fille se prostituait !
- Vous alliez ouvrir la porte aux clients et vous voulez me faire croire que vous ne saviez rien !
- Je ne pensais pas à cela, Monsieur le Juge !
- Et pour l'i****te, vous n'étiez pas au courant non plus, vos enfants vous ont forcée, peut-être ?
- J’avoue Monsieur le Juge, je ne sais pas ce qui m'a pris !
- Très bien, vous avouez ?
- Oui, Monsieur le Juge, j avoue l'i****te !

C'est à ce moment-là que le directeur prit la parole :

- Monsieur le Juge, comme vous le savez, je dirige la prison, mais aussi, un centre de rééducation pour les délinquants sexuels !
- Oui, où voulez vous en venir ?
- Je pense que madame Marie a succombé à ses pulsions et je vous propose qu'elle passe un stage dans ce centre !

Le juge prit un temps pour réfléchir, puis prononça la sentence :

- Monsieur le directeur, combien vous faut-il de temps pour rééduquer cette femme ?
- 4 semaines en cours intensif, soit dix heures par jour !
- Très bien, madame..., je vous condamne à 1 mois dans le centre de rééducation, tous vos biens seront saisis, car ils proviennent de l'argent de la prostitution, vous partirez demain matin pour être rééduquée, monsieur le directeur verra avec vous s’il est en droit de vous donner la prime minime de 150 euros à chaque sortie d'un prisonnier, AFFAIRE CLASSÉE !

Moi, innocente, je venais de tout perdre, notre maison, nos voitures, tous mes biens, après ce mois dans le centre, je serai une SDF.

Je pleurai toute les larmes de mon corps sur le chemin du retour, le directeur s'adressa a moi :

- Tu vois, je gagne à chaque fois, tu vas rester parmi nous un mois de plus !
- Qu'allez-vous faire de moi dans ce centre ? Me désexualiser ?
- On t'expliquera tout cela demain, mais n'aie crainte, tu auras toujours du sexe, tu seras même beaucoup plus demandeuse qu’avant !

De retour à ma cellule, je vis Anne qui était en train de bouffer la chatte de Virginie, et un grand noir qui lui défonçait le cul, le gardien me poussa à l’intérieur et les 3 s'arrêtèrent.

- Oh, mais voilà notre petite Marie, ça n'a pas l'air d'avoir été comme tu le voulais au tribunal, regarde frangin, voilà la chatte que tu vas baiser maintenant, tu vas peut-être l'engrosser, qui sait ?

Le frère sortit du cul de sa sœur et je pus voir son sexe en érection, il était monstrueux, jamais ma chatte ne pourra l accepter sans se déchirer.

Il se mit face à moi et arracha tout mes vêtements, une fois de plus, je me retrouvai à poil devant une personne que je ne connaissais pas 5 min avant, il me poussa sur le lit et écarta mes cuisses en grand, il contempla ma chatte et, posant son immense gland juste devant mes lèvres, puis me regarda sans dire un mot.

Il entra la totalité de sa bite d’un coup sec dans ma chatte non lubrifiée, j’avais l'impression qu'on me dépucelait une deuxième fois, 34 cm étaient rentrés dans ma chatte, j avais l'impression que son gland avait forcé et pénétré mon utérus...

Il me baisa comme cela une vingtaine de minutes, puis rentra sa bite jusqu'aux couilles dans ma chatte, là, nul doute, il avait pénétré mon utérus, je sentis des jets de sperme brûlant le remplir.

Une fois les couilles vides, il se rhabilla et partit, sans un regard et sans un mot, me laissant là, avec l'impression d'avoir été écartelée…

À SUIVRE
Published by seblovesex
5 years ago
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