Une mére et ses enfants 9
Après avoir fait jouir Virginie un nombre incalculable de fois, elle se fit plus douce, elle aurait presque paru gentille, et se laissa aller à me raconter sa vie.
Elle était née en Afrique, et, avait 7 frères tous plus âgés qu'elle, sa mère, prostituée en Afrique, avait attrapé le VIH, la famille avait choisi d'emménager en France, où ils croyaient avoir de meilleurs traitements. Malheureusement, la maladie l'emporta deux ans après leur arrivée.
Elle étais devenue la seule et unique femme de la maison, devant remplacer sa mère à toutes les tâches, y compris sexuelles, son père la prenait pour sa femme, tant la ressemblance avec sa mère était frappante.
Elle n'avait que 11 ans quand son père lui pris son pucelage vaginal, et quelque mois plus tard, son pucelage anal.
Ne voulant pas que sa famille se disperse, son père lui avait demandé de s'occuper du pucelage des ses frères, pour lui, il était très important que ses garçons deviennent des hommes dans la chatte d'une fille qu'ils connaissaient parfaitement.
C est comme cela qu'en plus d'être la boniche de la maison, elle dut dépuceler tout ses frères, mais, cela ne s'arrêtait pas là, pour eux, une boniche doit aussi s'occuper du maintien en forme de leur bites.
À 11 ans, elle était devenue la boniche et la vide-couille de la maison.
Tous les soirs, pendant 8 ans, après s'être acquittée de ses tâches ménagères, elle passait de chambre en chambre, se faisant baiser par tous ses frères, et finissait bien sûr la nuit dans le lit de son père.
À 18 ans, elle s'était enfuie de la maison familiale, avait connu son premier amour, une fille très sympathique, très tendre, qui la réconforta du mieux qu'elle put, pour lui faire oublier ses années de viols répétés, voilà comment elle était devenue lesbienne.
Elle n'avait plus de contact qu'avec un seul de ses frères, qui pour son malheur, était devenu gardien dans la prison où elle était enfermée.
Il lui avait promis de ne rien dire au reste de la famille, en échange, bien sûr de relations sexuelles, lui et elle, avait conclu un pacte, il ne pourrait plus maintenant que l'enculer, à condition qu'une autre détenue lui bouffe la chatte en même temps, cela lui paraissait plus supportable de jouir avec une femme pendant qu'une grosse bite de black lui violait le cul.
Mais sa gentillesse ne dura pas, elle m'expliqua que dorénavant, c'était moi qui l'accepterais dans ma chatte, car d'après elle, j'avais vraiment le style que sont frère aimait, je me risquai à lui poser une question.
- Puis-je vous posez une question ?
- Vas-y me dit elle.
- Votre frère doit, suivant la rumeur avoir un sexe énorme.
- C'est exact, regarde mon trou de cul !
Elle se tourna et écarta ses fesses, je vis un anus distendu, son trou de cul ressemblait à une chatte qui a déjà vu des kilomètres de bites.
- La bite de mon frère mesure 34 cm pour 15 cm de circonférence. Me dit-elle
- Excusez-moi, vous voulez qu'il me baise, mais avec un engin pareil, je vais souffrir au début, mais après je vais jouir, et vous me l'avez interdit.
- Souffrir, ça oui, tu vas souffrir, mais jouir, jamais.
Je reçus immédiatement des énormes coups de pied dans les côtes !
- Voila, je viens de te froisser les côtes, peut-être même les casser, quand tu sentiras que tu vas jouir salope, tu appuiera sur tes côtes, la douleur fera retomber la jouissance immédiatement, et lui pourra finir de se vider les couilles dans ton ventre ! ! !
J'eus toutes les peines du monde à me redresser, mais un gardien venait d'entrer dans la cellule, un blanc, ce n'était donc, heureusement pour moi, pas son frère.
Il m'apportait des vêtements de prisonnier un peu plus élégants, puis me regarda.
- Tu as rendez-vous au tribunal, tu vas être jugée !
Je me voyais déjà ressortir libre de cet enfer, car vraiment, j'était innocente.
Le gardien devait sûrement lire dans mes pensées, car il me dit :
- Ne te réjouis pas trop vite, tu vas être conduite au tribunal par le directeur lui même, lui et le juge sont de très bons amis, si tu ne ressort pas libre du tribunal, prie pour revenir ici, car s'ils décident de t'envoyer au centre de rééducation...
Elle était née en Afrique, et, avait 7 frères tous plus âgés qu'elle, sa mère, prostituée en Afrique, avait attrapé le VIH, la famille avait choisi d'emménager en France, où ils croyaient avoir de meilleurs traitements. Malheureusement, la maladie l'emporta deux ans après leur arrivée.
Elle étais devenue la seule et unique femme de la maison, devant remplacer sa mère à toutes les tâches, y compris sexuelles, son père la prenait pour sa femme, tant la ressemblance avec sa mère était frappante.
Elle n'avait que 11 ans quand son père lui pris son pucelage vaginal, et quelque mois plus tard, son pucelage anal.
Ne voulant pas que sa famille se disperse, son père lui avait demandé de s'occuper du pucelage des ses frères, pour lui, il était très important que ses garçons deviennent des hommes dans la chatte d'une fille qu'ils connaissaient parfaitement.
C est comme cela qu'en plus d'être la boniche de la maison, elle dut dépuceler tout ses frères, mais, cela ne s'arrêtait pas là, pour eux, une boniche doit aussi s'occuper du maintien en forme de leur bites.
À 11 ans, elle était devenue la boniche et la vide-couille de la maison.
Tous les soirs, pendant 8 ans, après s'être acquittée de ses tâches ménagères, elle passait de chambre en chambre, se faisant baiser par tous ses frères, et finissait bien sûr la nuit dans le lit de son père.
À 18 ans, elle s'était enfuie de la maison familiale, avait connu son premier amour, une fille très sympathique, très tendre, qui la réconforta du mieux qu'elle put, pour lui faire oublier ses années de viols répétés, voilà comment elle était devenue lesbienne.
Elle n'avait plus de contact qu'avec un seul de ses frères, qui pour son malheur, était devenu gardien dans la prison où elle était enfermée.
Il lui avait promis de ne rien dire au reste de la famille, en échange, bien sûr de relations sexuelles, lui et elle, avait conclu un pacte, il ne pourrait plus maintenant que l'enculer, à condition qu'une autre détenue lui bouffe la chatte en même temps, cela lui paraissait plus supportable de jouir avec une femme pendant qu'une grosse bite de black lui violait le cul.
Mais sa gentillesse ne dura pas, elle m'expliqua que dorénavant, c'était moi qui l'accepterais dans ma chatte, car d'après elle, j'avais vraiment le style que sont frère aimait, je me risquai à lui poser une question.
- Puis-je vous posez une question ?
- Vas-y me dit elle.
- Votre frère doit, suivant la rumeur avoir un sexe énorme.
- C'est exact, regarde mon trou de cul !
Elle se tourna et écarta ses fesses, je vis un anus distendu, son trou de cul ressemblait à une chatte qui a déjà vu des kilomètres de bites.
- La bite de mon frère mesure 34 cm pour 15 cm de circonférence. Me dit-elle
- Excusez-moi, vous voulez qu'il me baise, mais avec un engin pareil, je vais souffrir au début, mais après je vais jouir, et vous me l'avez interdit.
- Souffrir, ça oui, tu vas souffrir, mais jouir, jamais.
Je reçus immédiatement des énormes coups de pied dans les côtes !
- Voila, je viens de te froisser les côtes, peut-être même les casser, quand tu sentiras que tu vas jouir salope, tu appuiera sur tes côtes, la douleur fera retomber la jouissance immédiatement, et lui pourra finir de se vider les couilles dans ton ventre ! ! !
J'eus toutes les peines du monde à me redresser, mais un gardien venait d'entrer dans la cellule, un blanc, ce n'était donc, heureusement pour moi, pas son frère.
Il m'apportait des vêtements de prisonnier un peu plus élégants, puis me regarda.
- Tu as rendez-vous au tribunal, tu vas être jugée !
Je me voyais déjà ressortir libre de cet enfer, car vraiment, j'était innocente.
Le gardien devait sûrement lire dans mes pensées, car il me dit :
- Ne te réjouis pas trop vite, tu vas être conduite au tribunal par le directeur lui même, lui et le juge sont de très bons amis, si tu ne ressort pas libre du tribunal, prie pour revenir ici, car s'ils décident de t'envoyer au centre de rééducation...
5 years ago