Une mére et ses enfants 5
LE RETOUR DE VANESSA
Vanessa arriva à la maison vers les 18 heures, nous l'attendions sur le devant de la porte d entrée, et même son père semblait ravi de la revoir, il déchanta bien vite lorsqu'elle descendit du bus, et qu'il la vit de profil, il est rentré furieux dans la maison, moi, j étais au bord des larmes, ma petite fille chérie avait un ventre bien rond, nul doute possible, elle a été engrossée.
Vanessa nous fit la bise, à moi et à son frère, et est partie courageusement affronter sont père, nous l'avons suivie car nous savions que cela tournerait à l'orage...
- Qui t'a fait cet enfant ?
- Papa, je suis enceinte de six mois, et c'est une fille.
- Ce n'était pas ma question, qui est le père ?
- Je ne sais pas.
- QUOI ? TU VEUX DIRE QUE TU NE SAIS PAS QUI T'A DEPUCELÉ ET MISE EN CLOQUE ?
- Il ne m'a pas dépuclée, enfin je ne crois pas...
- EXPLIQUE-TOI, VANESSA.
- Ce jour-là, j'ai couché avec plusieurs hommes.
- COMBIEN ?
- 80 ou 90 garçons peut-être...
- QUOI ? À TON AGE? MADEMOISELLE FAIT DÉJÀ DES GANG BANG ?
Vanessa poussée par les hormone de femme enceinte répondit à son père.
- OUI PAPA, ET J'AIME SA, J'AIME LA BITE, TOUS LES MECS DE L'ECOLE ME SONT PASSÉS DESSUS ET PLUSIEURS FOIS, TU VEUX SAVOIR COMBIEN ÇA FAIT, 300 MECS, PAPA !
Son père resta sans voix, Vanessa ne s'arrêta pas là, elle arracha son haut, puis sa jupe, nous ouvrions grand les yeux.
- OUI ! VOUS VOYEZ BIEN, FINI LES SOUTIENS-GORGE, FINI LES CULOTTES, JE VEUX AVOIR MES MAMELLES EN LIBERTÉ ET LA CHATTE À L'AIR.
Elle exhibait sa chatte devant son père et lui dit.
- VAS-Y, MATE MA FENTE DE SALOPE, REGARDE COMME ELLE MOUILLE, VOIS COMME ELLE EST OUVERTE.
Elle renversa mon mari sur le canapé, et lui colla sa chatte sur la bouche.
- Vas-y, papa bouffe-la-moi, j'ai pas eu ma dose de sexe aujourd hui, je vais te sucer pour connaître le goût de ton jus.
Mon mari ne pouvait plus bouger, elle maintenait sa tête entre ses cuisses, et plaquait son minou sur sa bouche ; comme pour pouvoir respirer un peu, il commença à lui devorer la chatte, tandis que Vanessa lui sortit la bite et l'emboucha.
Le spectacle était irréel, comment son père pouvait bander, cela devait être surement mécanique, (bien qu'avec vous messieurs, on ne sait jamais vraiment).
Vanessa innonda le visage de son papa avec sa cyprine, mon mari venait de la faire jouir. Elle continua sa pipe, et quand son père voulut se retirer, elle enfonça sa queue jusqu'à la garde, et il n'eut d'autre choix que de se vider les couilles dans son estomac.
Epuisés tous les deux par leur jouissance, le ton se calma, mon mari envoya notre fils dans sa chambre.
- Vanessa, je suis désolé, je n'ai pas pu me retenir d'ejaculer.
- T'inquiète pas, papa, je suis accro au sperme, j'avale à chaque pipe.
- Ta mére refuse d'avaler, et, je dois dire, que j'ai grandement apprécié, ce qui l'est moins, c'est que ce soit dans la bouche de ma fille.
- C'est vrai, maman ?, tu n'avales pas ? tu ne sais pas ce que tu rates, mais attends, dis-moi.
Elle se leva et se dirigea vers moi, et me fit tomber dans notre deuxiéme canapé, releva ma jupe, et glissa sa main dans ma culotte.
- Elle mouille, papa !
Elle me retourna devant mon mari, et, écartant bien mes cuisses lui dit :
- Regarde.
- Ma chérie, tu mouilles ?
- On va vérifier.
Elle m'arracha la culotte, et honteuse, je ne pouvais plus cacher mon excitation, tous mes poils étaient trempés, et mon clito bien sorti.
- Viens, papa, viens la sauter.
mon mari se présenta devant ma fille qui comprit très vite, elle le reprit en bouche pour le faire durcir, tout en finissant de déchirer mes vêtements de sa main libre, je me retrouvai assez vite à poil.
Une fois que mon mari banda assez, elle m'écarta les cuisses asser violemment et elle s'adressa a son père.
- Ce soir, ne la considère pas comme ta femme, c'est une pute, un trou à bite, défonce-la bien fort !
Elle inséra la bite de mon mari dans ma chatte, et vint se placer au-dessus de moi.
- Tu n'es rien ce soir, même pas ma mère, alors bouffe-moi la chatte, fais-moi jouir, salope !
Je commençai à lui lécher la chatte qui dégoulinait déjà.
Elle massait les couilles de mon mari pendant qu'il me baisait, et me bouffait le clito entre chaque coup de bite, mon mari malaxait les nichons de Vanessa, et, elle, elle guida mes mains vers son anus.
- Mets tes doigt dedans, salope !
Le croirez-vous, mais 4 doigts sont entrés comme dans du beurre, son cul avait vraiment l'habitude d'être visité...
Mais quelle journée, en un jour, j'ai sucé mon fils, mon mari a léché sa fille, elle l'a sucé, et on a fini par une baise entre parents et leur fille, où je ne suis qu une vulgaire chose à donner du plaisir, et un trou pour vider les couilles de mon mari...
Après cette soirée de sexe bestial entre 2 parents et leur fille, nous sommes tous partis nous coucher.
Vanessa arriva à la maison vers les 18 heures, nous l'attendions sur le devant de la porte d entrée, et même son père semblait ravi de la revoir, il déchanta bien vite lorsqu'elle descendit du bus, et qu'il la vit de profil, il est rentré furieux dans la maison, moi, j étais au bord des larmes, ma petite fille chérie avait un ventre bien rond, nul doute possible, elle a été engrossée.
Vanessa nous fit la bise, à moi et à son frère, et est partie courageusement affronter sont père, nous l'avons suivie car nous savions que cela tournerait à l'orage...
- Qui t'a fait cet enfant ?
- Papa, je suis enceinte de six mois, et c'est une fille.
- Ce n'était pas ma question, qui est le père ?
- Je ne sais pas.
- QUOI ? TU VEUX DIRE QUE TU NE SAIS PAS QUI T'A DEPUCELÉ ET MISE EN CLOQUE ?
- Il ne m'a pas dépuclée, enfin je ne crois pas...
- EXPLIQUE-TOI, VANESSA.
- Ce jour-là, j'ai couché avec plusieurs hommes.
- COMBIEN ?
- 80 ou 90 garçons peut-être...
- QUOI ? À TON AGE? MADEMOISELLE FAIT DÉJÀ DES GANG BANG ?
Vanessa poussée par les hormone de femme enceinte répondit à son père.
- OUI PAPA, ET J'AIME SA, J'AIME LA BITE, TOUS LES MECS DE L'ECOLE ME SONT PASSÉS DESSUS ET PLUSIEURS FOIS, TU VEUX SAVOIR COMBIEN ÇA FAIT, 300 MECS, PAPA !
Son père resta sans voix, Vanessa ne s'arrêta pas là, elle arracha son haut, puis sa jupe, nous ouvrions grand les yeux.
- OUI ! VOUS VOYEZ BIEN, FINI LES SOUTIENS-GORGE, FINI LES CULOTTES, JE VEUX AVOIR MES MAMELLES EN LIBERTÉ ET LA CHATTE À L'AIR.
Elle exhibait sa chatte devant son père et lui dit.
- VAS-Y, MATE MA FENTE DE SALOPE, REGARDE COMME ELLE MOUILLE, VOIS COMME ELLE EST OUVERTE.
Elle renversa mon mari sur le canapé, et lui colla sa chatte sur la bouche.
- Vas-y, papa bouffe-la-moi, j'ai pas eu ma dose de sexe aujourd hui, je vais te sucer pour connaître le goût de ton jus.
Mon mari ne pouvait plus bouger, elle maintenait sa tête entre ses cuisses, et plaquait son minou sur sa bouche ; comme pour pouvoir respirer un peu, il commença à lui devorer la chatte, tandis que Vanessa lui sortit la bite et l'emboucha.
Le spectacle était irréel, comment son père pouvait bander, cela devait être surement mécanique, (bien qu'avec vous messieurs, on ne sait jamais vraiment).
Vanessa innonda le visage de son papa avec sa cyprine, mon mari venait de la faire jouir. Elle continua sa pipe, et quand son père voulut se retirer, elle enfonça sa queue jusqu'à la garde, et il n'eut d'autre choix que de se vider les couilles dans son estomac.
Epuisés tous les deux par leur jouissance, le ton se calma, mon mari envoya notre fils dans sa chambre.
- Vanessa, je suis désolé, je n'ai pas pu me retenir d'ejaculer.
- T'inquiète pas, papa, je suis accro au sperme, j'avale à chaque pipe.
- Ta mére refuse d'avaler, et, je dois dire, que j'ai grandement apprécié, ce qui l'est moins, c'est que ce soit dans la bouche de ma fille.
- C'est vrai, maman ?, tu n'avales pas ? tu ne sais pas ce que tu rates, mais attends, dis-moi.
Elle se leva et se dirigea vers moi, et me fit tomber dans notre deuxiéme canapé, releva ma jupe, et glissa sa main dans ma culotte.
- Elle mouille, papa !
Elle me retourna devant mon mari, et, écartant bien mes cuisses lui dit :
- Regarde.
- Ma chérie, tu mouilles ?
- On va vérifier.
Elle m'arracha la culotte, et honteuse, je ne pouvais plus cacher mon excitation, tous mes poils étaient trempés, et mon clito bien sorti.
- Viens, papa, viens la sauter.
mon mari se présenta devant ma fille qui comprit très vite, elle le reprit en bouche pour le faire durcir, tout en finissant de déchirer mes vêtements de sa main libre, je me retrouvai assez vite à poil.
Une fois que mon mari banda assez, elle m'écarta les cuisses asser violemment et elle s'adressa a son père.
- Ce soir, ne la considère pas comme ta femme, c'est une pute, un trou à bite, défonce-la bien fort !
Elle inséra la bite de mon mari dans ma chatte, et vint se placer au-dessus de moi.
- Tu n'es rien ce soir, même pas ma mère, alors bouffe-moi la chatte, fais-moi jouir, salope !
Je commençai à lui lécher la chatte qui dégoulinait déjà.
Elle massait les couilles de mon mari pendant qu'il me baisait, et me bouffait le clito entre chaque coup de bite, mon mari malaxait les nichons de Vanessa, et, elle, elle guida mes mains vers son anus.
- Mets tes doigt dedans, salope !
Le croirez-vous, mais 4 doigts sont entrés comme dans du beurre, son cul avait vraiment l'habitude d'être visité...
Mais quelle journée, en un jour, j'ai sucé mon fils, mon mari a léché sa fille, elle l'a sucé, et on a fini par une baise entre parents et leur fille, où je ne suis qu une vulgaire chose à donner du plaisir, et un trou pour vider les couilles de mon mari...
Après cette soirée de sexe bestial entre 2 parents et leur fille, nous sommes tous partis nous coucher.
5 years ago