Une mére et ses enfants 3
Ils sortirent, ma fille seins nus, la chatte à l'air et se dirigèrent vers le gymnase des garçons de dernière année. Il n'y avait pas cours pour le moment, mais dans 15 minutes, les élèves arriveraient. Le directeur mit ma fille complètement à poil, l'attacha cuisses et jambes écartées, lui banda les yeux. Il inscrivit ensuite sur son ventre "vide couilles gratuit" avec une flèche désignant sa chatte.
- Je connais bien les garçons de mon établissement, ils ne résisteront pas, et vont te baiser à couilles rabattues, alors oui, tu vas peut-être tomber enceinte, mais on ne pourra pas dire qui est le père avec tous les élèves qui vont te passer dessus, même toi, tu ne sauras pas qui te baise, vu que tu as les yeux bandés. Je te laisse, ils vont bientôt arriver, bonne baise salope.
Le directeur l’avait donc laissée là, à poil, jambes et bras écartés, durant toute l'après-midi. Elle s’était fait violer pendant prés de 5 heures. Quand il alla la détacher, il comprit que son plan avait fonctionné, elle était couverte de sperme, de la tête aux pieds, plus une grosse flaque à ses pieds. Plus de 40 garçons l’avaient baisée pendant ces 5 heures. Elle n avait plus aucune force, ses nichons étaient tout mâchouillés, sa chatte était rouge et grande ouverte, cela fit bander le directeur qui entreprit de lui dépuceler l'anus et se vida dans ses intestins.
- Alors Vanessa, dis-moi ce que tu es maintenant.
- Une salope, monsieur le directeur.
- Ça t’a fait mouiller de te faire prendre comme ça ?
- Au début oui, mais très vite, j’ai eu très mal aux seins et au vagin (elle reçut une violente paire de claques).
- Je t’ai dit d’appeler comment tes attributs ?
- Mes nichons, mes mamelles, mes pis de vache.
- Très bien, et entre tes cuisses, nous n'avons pas encore discuté, mais qu’as-tu là ?
- Ma chatte, mon trou à bites, mon puits à vider les couilles.
- Très bien, tu apprends vite, serre tes cuisses, et pisse pour enlever le surplus de sperme sur tes jambes !
Sans force, anéantie, vaincue, elle s’exécuta.
- Très bien, mets-toi à genoux, je vais nettoyer moi-même le haut de ton corps avec ma pisse.
Il visa son visage, sa bouche et finit sur ses nichons.
- C’est vrai que tu es douée pour la pipe. Viens, fais-moi durcir avec ta bouche, puis suce-moi jusqu'à ce que j’éjacule, salope.
La pipe sembla durer une éternité à Vanessa, puis elle reçut directement les premières giclées dans sa gorge. Elle voulut se retirer, mais l’homme la força à le garder en bouche, elle continua de jouer avec sa langue sur le gland. Ce n'est qu'après qu’elle comprit. L’homme s’enfonça directement dans la gorge, et commença à uriner dans l’estomac de ma fille (la petite envie de pisser après l'éjaculation, n'est-ce pas, messieurs ?)
- Voilà, maintenant, tu rentres dans ta chambre, et repose-toi, demain matin tu passes à mon bureau, je devrais plutôt dire sous mon bureau, salope.
- Puis-je avoir le reste de mes habits, monsieur ?
- Non, tu y vas à poil.
Et il laissa seule Vanessa à poil, en emmenant ce qu’il restait des vêtements de ma fille. Pour rejoindre sa chambre, Vanessa devait descendre trois étages, traverser une cour, et regrimper 5 étages dans un autre bâtiment. Tous les garçons, ou presque, l’avaient déjà vue nue, mais là, toute l’école allait la voir, garçons et filles, car à cette heure-là, quasiment toute l’école se retrouvait dans la cour pour profiter de la douce chaleur du printemps, une humiliation en plus. Elle traversa donc la cour, nue, sous les insultes qui lui tombaient dessus. Tout y passa : "salope, garage à bites, vide- couilles, sac à sperme etc. Un groupe menaçant de filles s’en approcha et lui attrapèrent les bras et lui maintinrent les jambes écartées.
- SALOPE, tu as baisé avec mon mec tout à l’heure, ce con me la dit ! Mais ne t'inquiète pas, tu ne vas plus pouvoir t'en servir pendant un moment de ta chatte, sale pute !
Elle lui envoya un énorme coup de pied dans la chatte, puis un second encore plus fort, en visant le clitoris, puis ce fut au tour de toutes les fille du groupe de lui envoyer des coups de pied dans la chatte, ma fille hurla, pleura toutes les larmes de son corps tant la douleur était insupportable. Les filles la lâchèrent, elle tomba et se retrouva en boule au milieu de la cour à poil. Les garçons n’en perdirent pas une miette.
- PUTAIN, qu’est-ce qu’elles t’ont mis, regardez sa chatte est toute boursouflée, et son clito, il a triplé de volume !
Ils la mirent à genou, prirent les avant-bras. Elle comprit qu’ils voulaient encore abuser d’elle et les supplia.
- NON, JE VOUS EN PRIE, j’AI TROP MAL !
- T’inquiète, on ne va pas y toucher à ta chatte.
Elle regarda derrière elle, et vit une file de garçons se former derrière son cul. Une vive douleur la traversa, le premier venait de l’enculer à sec. Il lima ses boyaux jusqu’à se vider dans ses intestins, il fut vite remplacé par le second dans la file, et ainsi de suite. Une quinzaine de garçons la sodomisèrent, et se vidèrent en elle, elle perdit connaissance. Elle se réveilla à l’infirmerie dans une position particulière. L’infirmière lui expliqua bien vite.
- Vous voilà réveillée.
- Comment suis-je arrivée ici ? Et pourquoi cette position ?
- On vous a trouvée inanimée, après un rapide examen, il été clair que vous aviez eu des rapports sexuels violents, je ne comprendrai jamais que les filles aiment le sexe violent, enfin si vous, vous aimez...
(Si elle savait réellement).
- En ce qui concerne votre positon, nous avons dû soigner votre vagin, et ce n'était pas rien, pour ne pas trop vous faire souffrir, nous vous avons mis un fauteuil gynécologique, afin de vous laisser écartée, nous avons dû faire quelques points de suture à vos lèvres vaginales, et vous exciser la peau du clitoris.
- M’exciser ? Je ne comprends pas ?
- On vous a enlevé la peau du clitoris, cela sera gênant pour vous un certain temps, car il ne sera plus protégé, il sera toujours décalotté. Ce qui sera gênant, c’est qu’au moindre contact, avec une culotte, ou autre, vous serez excitée, et vous vous mettrez à lubrifier comme pour avoir un rapport, vous allez passer la nuit ici, reposez-vous.
Les images tournaient dans sa tête : "Mon clitoris toujours sorti, qui va m’exciter en permanence, moi qui suis déjà folle de sexe, je vais mouiller 24h sur 24". Le lendemain, le directeur passa la voir à l’infirmerie où il savait qu’elle se trouverait.
- Alors, ma chère Vanessa, on a eu des petit soucis ?
- Pourriez-vous me rendre un service ?
- Je t’écoute.
- Pourriez-vous me dire à quoi ressemble mon vagin maintenant ?
Elle vit son regard se glacer et une main se lever.
- MA CHATTE, MA CHATTE dites-moi comment elle est, reprend-elle très vite.
Il défit le drap qui recouvrait ses jambes et commenta le spectacle.
- Hé bien, là, tu ressembles à une salope prête à se faire saillir, tu n as plus de poils ni de duvet, tu es complètement lisse, tes lèvres sont bleues et boursouflées, et, humm, ton clito est énorme !
Il approcha son doigt du clitoris, Vanessa se rappela directement les paroles de l’infirmière, à peine le toucha-t-il, que Vanessa sentit sa mouille arriver. Il continua, et Vanessa jouit en fontaine.
- Tu as joui salope, à mon tour, je me fiche que tu aies mal, je vais te baiser.
Il la pilonna alors qu’elle souffrait le martyre, se vida en elle au bout de plus au moins 20 minutes, puis partit à sa journée. L’infirmière arriva pour lui faire sa toilette.
- Je vois que l’on a affaire à une cochonne.
- Pourquoi dites-vous ça ?
- Tu mouilles encore et tu viens de te faire prendre par le directeur, son jus coule encore hors de ton minou.
Vanessa ne put répondre un seul mot, et l’infirmière commença son travail, la savonnant de partout mais en évitant sa chatte.
- Ce sera pour la fin avec les soins que je dois t’apporter.
- Tu as maintenant un joli minou de petite fille sans aucun poil, et un très joli clito.
Elle lui fit une douche vaginale, et lui désinfecta les points sur ses lèvres, mais d’un geste maladroit, le coton imbibé d'alcool frôla le clitoris décalotté. En un éclair, la chatte de Vanessa se liquéfia, elle expulsa même sa cyprine en jet, elle jouit sans discontinuer pendant 5 minutes, le temps que l’alcool s’évaporât de son clitoris.
- Humm, toi quand tu jouis, tu ne fais pas semblant, c’est incroyable, tu as joui avec le directeur, car je sais que c’est lui qui t’a baisée, il ne résiste pas à une femme nue, il m’a déjà fait des avances que j’ai repoussées ! Lui disait-elle en tournant autour d’elle.
Et tu sais pourquoi je refuse ses avances ? Car je suis attirée par les femmes, lui dit-elle en se déshabillant.
Elle était nue sous sa blouse. Elle grimpa sur le fauteuil, et plaça sa chatte sur la bouche de Vanessa. Elles firent des 69 une bonne partie de la matinée, puis Vanessa put regagner sa chambre, vêtue d’une blouse d’hôpital. Elle dormit jusqu’au lendemain.
Le directeur voulut savoir qui avait fait subir cela à ma fille, et convoqua toute l’école dans l’immense cour.
- Je sais que certains d’entre vous ont agressé Vanessa, dénoncez-vous, ou je vous promets une punition mémorable ! Personne ne se dénonça bien évidemment.
- Je me fous de votre âge, nous somme 450 dans cette école, 150 filles et 300 garçons. Nous allons surement battre un record, et organiser la plus grande partouze. TOUS à poil !
Personne ne bougea, les surveillants commencèrent à déshabiller les filles de force, les garçons suivirent. En moins de 5 minutes tout le monde était à poil. Il y avait de tout, des grosses poitrines, des filles rasées, d’autres à la toison bien fournie ; des petites bites, des grosses, bref un bel échantillon.
- Toutes les filles s’allongent où elles peuvent et chaque garçon baise chacune des filles, vous avez bien entendu, mesdemoiselles, à la fin de cette journée, vous aurez pris chacune 300 bites différentes dans vos chattes. Allez, top départ !
Et la gigantesque orgie commença, seule Vanessa n’y participa pas, mais le spectacle la faisait mouiller comme une folle... À la fin de la journée, les filles s’étaient donc pris 300 queues chacune et le directeur leur reposa la question : "Qui a fait cela à Vanessa". Toujours aucune réponse.
- Très bien, vous allez donc recommencer, mais les filles vous allez prendre trois garçons à la fois, par la bouche, la chatte, et le cul.
Et l’orgie recommença, Vanessa pensa devenir folle, elle crut que son clitoris aller exploser. À la fin de la seconde orgie, les filles n’en pouvant plus dénoncèrent leur amie.
- C’est DIANE Monsieur de Directeur, par pitié arrêtez !
Diane était une fille de prétencieuse sur les bords
- Diane, viens ici.
Diane dut se rendre prés du directeur et de Vanessa.
- Pourquoi as-tu fait ça à Vanessa ?
- Car mon mec avait couché avec, et je voulais punir son minou.
- Tu couches avec ton amis ?
- NON ! Il a déjà mis sa main dans ma culotte, mais j’ai toujours refusé plus.
- Voilà ce qui arrive, chère Diane, quand tu te refuses à un homme. Il va voir ailleurs. Tu veux donc dire que tu étais vierge avant aujourd’hui ?
- Oui, Monsieur.
- Hé bien, tu vas te souvenir longtemps de ton dépucelage, les 300 garçons du lycée te sont passés dessus, et plusieurs fois ! Maintenant, ta punition. Tu vas essayer de réparer le mal que tu as fait. Embrasse la chatte de Vanessa, lèche-la, fais-la jouir avec ta bouche, de plus, tu resteras jusqu’à la fin de l’année scolaire à poil, et seras la soumise de Vanessa.
Toute l’école se retira, chacun dans sa chambre, mais toutes les filles boitaient, elles eurent mal un certain temps.
- Je connais bien les garçons de mon établissement, ils ne résisteront pas, et vont te baiser à couilles rabattues, alors oui, tu vas peut-être tomber enceinte, mais on ne pourra pas dire qui est le père avec tous les élèves qui vont te passer dessus, même toi, tu ne sauras pas qui te baise, vu que tu as les yeux bandés. Je te laisse, ils vont bientôt arriver, bonne baise salope.
Le directeur l’avait donc laissée là, à poil, jambes et bras écartés, durant toute l'après-midi. Elle s’était fait violer pendant prés de 5 heures. Quand il alla la détacher, il comprit que son plan avait fonctionné, elle était couverte de sperme, de la tête aux pieds, plus une grosse flaque à ses pieds. Plus de 40 garçons l’avaient baisée pendant ces 5 heures. Elle n avait plus aucune force, ses nichons étaient tout mâchouillés, sa chatte était rouge et grande ouverte, cela fit bander le directeur qui entreprit de lui dépuceler l'anus et se vida dans ses intestins.
- Alors Vanessa, dis-moi ce que tu es maintenant.
- Une salope, monsieur le directeur.
- Ça t’a fait mouiller de te faire prendre comme ça ?
- Au début oui, mais très vite, j’ai eu très mal aux seins et au vagin (elle reçut une violente paire de claques).
- Je t’ai dit d’appeler comment tes attributs ?
- Mes nichons, mes mamelles, mes pis de vache.
- Très bien, et entre tes cuisses, nous n'avons pas encore discuté, mais qu’as-tu là ?
- Ma chatte, mon trou à bites, mon puits à vider les couilles.
- Très bien, tu apprends vite, serre tes cuisses, et pisse pour enlever le surplus de sperme sur tes jambes !
Sans force, anéantie, vaincue, elle s’exécuta.
- Très bien, mets-toi à genoux, je vais nettoyer moi-même le haut de ton corps avec ma pisse.
Il visa son visage, sa bouche et finit sur ses nichons.
- C’est vrai que tu es douée pour la pipe. Viens, fais-moi durcir avec ta bouche, puis suce-moi jusqu'à ce que j’éjacule, salope.
La pipe sembla durer une éternité à Vanessa, puis elle reçut directement les premières giclées dans sa gorge. Elle voulut se retirer, mais l’homme la força à le garder en bouche, elle continua de jouer avec sa langue sur le gland. Ce n'est qu'après qu’elle comprit. L’homme s’enfonça directement dans la gorge, et commença à uriner dans l’estomac de ma fille (la petite envie de pisser après l'éjaculation, n'est-ce pas, messieurs ?)
- Voilà, maintenant, tu rentres dans ta chambre, et repose-toi, demain matin tu passes à mon bureau, je devrais plutôt dire sous mon bureau, salope.
- Puis-je avoir le reste de mes habits, monsieur ?
- Non, tu y vas à poil.
Et il laissa seule Vanessa à poil, en emmenant ce qu’il restait des vêtements de ma fille. Pour rejoindre sa chambre, Vanessa devait descendre trois étages, traverser une cour, et regrimper 5 étages dans un autre bâtiment. Tous les garçons, ou presque, l’avaient déjà vue nue, mais là, toute l’école allait la voir, garçons et filles, car à cette heure-là, quasiment toute l’école se retrouvait dans la cour pour profiter de la douce chaleur du printemps, une humiliation en plus. Elle traversa donc la cour, nue, sous les insultes qui lui tombaient dessus. Tout y passa : "salope, garage à bites, vide- couilles, sac à sperme etc. Un groupe menaçant de filles s’en approcha et lui attrapèrent les bras et lui maintinrent les jambes écartées.
- SALOPE, tu as baisé avec mon mec tout à l’heure, ce con me la dit ! Mais ne t'inquiète pas, tu ne vas plus pouvoir t'en servir pendant un moment de ta chatte, sale pute !
Elle lui envoya un énorme coup de pied dans la chatte, puis un second encore plus fort, en visant le clitoris, puis ce fut au tour de toutes les fille du groupe de lui envoyer des coups de pied dans la chatte, ma fille hurla, pleura toutes les larmes de son corps tant la douleur était insupportable. Les filles la lâchèrent, elle tomba et se retrouva en boule au milieu de la cour à poil. Les garçons n’en perdirent pas une miette.
- PUTAIN, qu’est-ce qu’elles t’ont mis, regardez sa chatte est toute boursouflée, et son clito, il a triplé de volume !
Ils la mirent à genou, prirent les avant-bras. Elle comprit qu’ils voulaient encore abuser d’elle et les supplia.
- NON, JE VOUS EN PRIE, j’AI TROP MAL !
- T’inquiète, on ne va pas y toucher à ta chatte.
Elle regarda derrière elle, et vit une file de garçons se former derrière son cul. Une vive douleur la traversa, le premier venait de l’enculer à sec. Il lima ses boyaux jusqu’à se vider dans ses intestins, il fut vite remplacé par le second dans la file, et ainsi de suite. Une quinzaine de garçons la sodomisèrent, et se vidèrent en elle, elle perdit connaissance. Elle se réveilla à l’infirmerie dans une position particulière. L’infirmière lui expliqua bien vite.
- Vous voilà réveillée.
- Comment suis-je arrivée ici ? Et pourquoi cette position ?
- On vous a trouvée inanimée, après un rapide examen, il été clair que vous aviez eu des rapports sexuels violents, je ne comprendrai jamais que les filles aiment le sexe violent, enfin si vous, vous aimez...
(Si elle savait réellement).
- En ce qui concerne votre positon, nous avons dû soigner votre vagin, et ce n'était pas rien, pour ne pas trop vous faire souffrir, nous vous avons mis un fauteuil gynécologique, afin de vous laisser écartée, nous avons dû faire quelques points de suture à vos lèvres vaginales, et vous exciser la peau du clitoris.
- M’exciser ? Je ne comprends pas ?
- On vous a enlevé la peau du clitoris, cela sera gênant pour vous un certain temps, car il ne sera plus protégé, il sera toujours décalotté. Ce qui sera gênant, c’est qu’au moindre contact, avec une culotte, ou autre, vous serez excitée, et vous vous mettrez à lubrifier comme pour avoir un rapport, vous allez passer la nuit ici, reposez-vous.
Les images tournaient dans sa tête : "Mon clitoris toujours sorti, qui va m’exciter en permanence, moi qui suis déjà folle de sexe, je vais mouiller 24h sur 24". Le lendemain, le directeur passa la voir à l’infirmerie où il savait qu’elle se trouverait.
- Alors, ma chère Vanessa, on a eu des petit soucis ?
- Pourriez-vous me rendre un service ?
- Je t’écoute.
- Pourriez-vous me dire à quoi ressemble mon vagin maintenant ?
Elle vit son regard se glacer et une main se lever.
- MA CHATTE, MA CHATTE dites-moi comment elle est, reprend-elle très vite.
Il défit le drap qui recouvrait ses jambes et commenta le spectacle.
- Hé bien, là, tu ressembles à une salope prête à se faire saillir, tu n as plus de poils ni de duvet, tu es complètement lisse, tes lèvres sont bleues et boursouflées, et, humm, ton clito est énorme !
Il approcha son doigt du clitoris, Vanessa se rappela directement les paroles de l’infirmière, à peine le toucha-t-il, que Vanessa sentit sa mouille arriver. Il continua, et Vanessa jouit en fontaine.
- Tu as joui salope, à mon tour, je me fiche que tu aies mal, je vais te baiser.
Il la pilonna alors qu’elle souffrait le martyre, se vida en elle au bout de plus au moins 20 minutes, puis partit à sa journée. L’infirmière arriva pour lui faire sa toilette.
- Je vois que l’on a affaire à une cochonne.
- Pourquoi dites-vous ça ?
- Tu mouilles encore et tu viens de te faire prendre par le directeur, son jus coule encore hors de ton minou.
Vanessa ne put répondre un seul mot, et l’infirmière commença son travail, la savonnant de partout mais en évitant sa chatte.
- Ce sera pour la fin avec les soins que je dois t’apporter.
- Tu as maintenant un joli minou de petite fille sans aucun poil, et un très joli clito.
Elle lui fit une douche vaginale, et lui désinfecta les points sur ses lèvres, mais d’un geste maladroit, le coton imbibé d'alcool frôla le clitoris décalotté. En un éclair, la chatte de Vanessa se liquéfia, elle expulsa même sa cyprine en jet, elle jouit sans discontinuer pendant 5 minutes, le temps que l’alcool s’évaporât de son clitoris.
- Humm, toi quand tu jouis, tu ne fais pas semblant, c’est incroyable, tu as joui avec le directeur, car je sais que c’est lui qui t’a baisée, il ne résiste pas à une femme nue, il m’a déjà fait des avances que j’ai repoussées ! Lui disait-elle en tournant autour d’elle.
Et tu sais pourquoi je refuse ses avances ? Car je suis attirée par les femmes, lui dit-elle en se déshabillant.
Elle était nue sous sa blouse. Elle grimpa sur le fauteuil, et plaça sa chatte sur la bouche de Vanessa. Elles firent des 69 une bonne partie de la matinée, puis Vanessa put regagner sa chambre, vêtue d’une blouse d’hôpital. Elle dormit jusqu’au lendemain.
Le directeur voulut savoir qui avait fait subir cela à ma fille, et convoqua toute l’école dans l’immense cour.
- Je sais que certains d’entre vous ont agressé Vanessa, dénoncez-vous, ou je vous promets une punition mémorable ! Personne ne se dénonça bien évidemment.
- Je me fous de votre âge, nous somme 450 dans cette école, 150 filles et 300 garçons. Nous allons surement battre un record, et organiser la plus grande partouze. TOUS à poil !
Personne ne bougea, les surveillants commencèrent à déshabiller les filles de force, les garçons suivirent. En moins de 5 minutes tout le monde était à poil. Il y avait de tout, des grosses poitrines, des filles rasées, d’autres à la toison bien fournie ; des petites bites, des grosses, bref un bel échantillon.
- Toutes les filles s’allongent où elles peuvent et chaque garçon baise chacune des filles, vous avez bien entendu, mesdemoiselles, à la fin de cette journée, vous aurez pris chacune 300 bites différentes dans vos chattes. Allez, top départ !
Et la gigantesque orgie commença, seule Vanessa n’y participa pas, mais le spectacle la faisait mouiller comme une folle... À la fin de la journée, les filles s’étaient donc pris 300 queues chacune et le directeur leur reposa la question : "Qui a fait cela à Vanessa". Toujours aucune réponse.
- Très bien, vous allez donc recommencer, mais les filles vous allez prendre trois garçons à la fois, par la bouche, la chatte, et le cul.
Et l’orgie recommença, Vanessa pensa devenir folle, elle crut que son clitoris aller exploser. À la fin de la seconde orgie, les filles n’en pouvant plus dénoncèrent leur amie.
- C’est DIANE Monsieur de Directeur, par pitié arrêtez !
Diane était une fille de prétencieuse sur les bords
- Diane, viens ici.
Diane dut se rendre prés du directeur et de Vanessa.
- Pourquoi as-tu fait ça à Vanessa ?
- Car mon mec avait couché avec, et je voulais punir son minou.
- Tu couches avec ton amis ?
- NON ! Il a déjà mis sa main dans ma culotte, mais j’ai toujours refusé plus.
- Voilà ce qui arrive, chère Diane, quand tu te refuses à un homme. Il va voir ailleurs. Tu veux donc dire que tu étais vierge avant aujourd’hui ?
- Oui, Monsieur.
- Hé bien, tu vas te souvenir longtemps de ton dépucelage, les 300 garçons du lycée te sont passés dessus, et plusieurs fois ! Maintenant, ta punition. Tu vas essayer de réparer le mal que tu as fait. Embrasse la chatte de Vanessa, lèche-la, fais-la jouir avec ta bouche, de plus, tu resteras jusqu’à la fin de l’année scolaire à poil, et seras la soumise de Vanessa.
Toute l’école se retira, chacun dans sa chambre, mais toutes les filles boitaient, elles eurent mal un certain temps.
5 years ago