Une mére et ses enfants 2
Sur le chemin du retour, ni elle ni moi ne disons un mot, elle honteuse, moi complètement anéantie, le plus dur sera encore d'affronter son père quand il rentrera de son travail.
Son père est un haut dirigeant d'une importante banque réputée dans tout le pays et les pays voisins. Il gagne très bien sa vie, ce qui me permet de ne pas travailler, le seul bémol à sa situation est que notre vie de couple s'en ressent, et notre vie sexuelle est un vrai désert.
Mais d'où pouvait venir à Vanessa cette envie folle de sexe ? Nous ne nous baladions jamais nus dans la maison, et nos rapports étaient très espacés (un à deux par mois) et quand les enfants étaient de sortie, non, vraiment, je ne comprenais pas son goût pour les sexe, je ne le saurais jamais.
Son père, de retour, je lui annonçai l'exclusion de Vanessa, mais il voulut en connaître la raison, ce qui le mit dans une rage folle. Il prit la décision de mettre notre fille dans un pensionnat, afin que personne ne connaisse la vraie raison de son exclusion, pour ne pas tacher la réputation de son entreprise. Il avait dans ses contacts un de ses clients qui dirigeait un établissement scolaire avec pensionnat, mais dans le pays voisin. Son client accepta de prendre Vanessa en cours d'année scolaire, mais il lui dit qu'elle ne pourra pas participer aux épreuves de fin d'année, et que son année serait perdue...
Mon mari l'envoya quand même, et Vanessa partit dès le lendemain après-midi, nous étions fin mars, et ne verrions notre fille qu'en juillet, le temps allait sembler bien long...
Vanessa ne comprenait pas trop pourquoi son père l'avait envoyée loin de la maison familiale, elle s'attendait plus à être surveillée nuit et jour, mais son père comprit vite qu'il fallait éloigner le problème afin de ne pas nuire au reste de la famille.
Elle comprit aussi que son année scolaire était fichue, et ne força pas sur les cours. Elle fut donc convoquée chez le directeur de l'établissement, son dossier scolaire l'avait suivi.
- Bonjour Vanessa, la salua le directeur, entre assieds-toi, je t'ai fait venir dans mon bureau pour discuter un peu avec toi. Tu sais déjà que ton année est fichue, mais regarde ce qui t'a suivi, tu sais ce que c'est ?
- Non murmura t-elle.
- Ceci est ton dossier scolaire, tu avais plutôt de bonnes notes, mais ceci fait tache dans ton dossier : Virée pour avoir pratiqué des fellations à beaucoup de garçons du lycée !
- Oui, mais comprenez, je découvre mon corps, et puis je trouvais le sperme tellement bon.
- "Trouvais" ? tu n'aimes plus ?
- Je n'ai jamais recommencé, j'ai eu la honte de ma vie.
- C'est pourtant une école mixte ici, il y a beaucoup de garçons.
- Je ne sais pas Monsieur, je ne sais plus.
- Je vais prendre ton éducation en main, crois-moi !
- Merci Monsieur.
- Ne me remercie pas tout de suite, tu va en baver, lève-toi, tiens-toi droite !
- ? ? ? ?
- On va commencer par le langage : comment appelle t-on ceci, lui dit-il en prenant ses seins à pleines mains.
- Ma poitrine, Monsieur, mes seins.
- Non, petite salope ! ce sont tes nichons, tes loches, tes mamelles ! ! ! répète le
- Mes... mes nichons... mes loches... mes mamelles.
Il ouvrit d'un coup sec son chemisier, arrachant les boutons, il lui serait impossible de le refermer après ça. Elle apparaissait devant lui, en soutien-gorge, chemisier grand ouvert, il lui arracha son soutien, ce qui fit danser ses nichons. Elle resta bouche bée, il s'amusait avec ses seins, ce qui les a fait pointer assez vite.
- Hummm salope, tu bandes des loches, tu aimes qu'on te touche les nichons, hein grosse pute, dis le !
- Oui j'aime qu'on joue avec mes seins, mais je suis une salope, pas une pute.
- On va voir ça, remonte ta jupe, et il lui arracha la culotte. Tu as raison, une pute ne mouille que quand elle voit du fric, toi tu as déjà la chatte trempée. Masturbe-toi devant moi salope, voila une fille de 14 ans cuisses écartées en train de se masturber devant un homme de 30 ans plus vieux qu'elle ! Fais-toi jouir salope, prends ton pied !
Ma petite eut un orgasme fulgurant.
- Mais regardez-moi ça, notre petite Vanessa est une femme fontaine, ma bite va entrer toute seule dans ta chatte !
Elle n'était pas encore remise de son orgasme qu'il lui pilonnait la chatte. Le sang s'écoula quand il transperça son hymen, il la lima un bon quart d'heure avant de se vider au fond de son ventre, il se retira et contempla la chatte de la fille, d'où coulait du sang et du sperme.
- Voilà Vanessa, en temps normal, on dirait que tu es passée de petite fille à femme, mais là on va dire que tu es passée de petite fille à salope, en effet, j'ai craché mon jus au fond de ton ventre, comme tu ne prends pas la pilule, tu sais ce que cela veut dire ?
- Oui répondit-elle.
- Eh bien, on va remédier à ça, suis-moi !
Son père est un haut dirigeant d'une importante banque réputée dans tout le pays et les pays voisins. Il gagne très bien sa vie, ce qui me permet de ne pas travailler, le seul bémol à sa situation est que notre vie de couple s'en ressent, et notre vie sexuelle est un vrai désert.
Mais d'où pouvait venir à Vanessa cette envie folle de sexe ? Nous ne nous baladions jamais nus dans la maison, et nos rapports étaient très espacés (un à deux par mois) et quand les enfants étaient de sortie, non, vraiment, je ne comprenais pas son goût pour les sexe, je ne le saurais jamais.
Son père, de retour, je lui annonçai l'exclusion de Vanessa, mais il voulut en connaître la raison, ce qui le mit dans une rage folle. Il prit la décision de mettre notre fille dans un pensionnat, afin que personne ne connaisse la vraie raison de son exclusion, pour ne pas tacher la réputation de son entreprise. Il avait dans ses contacts un de ses clients qui dirigeait un établissement scolaire avec pensionnat, mais dans le pays voisin. Son client accepta de prendre Vanessa en cours d'année scolaire, mais il lui dit qu'elle ne pourra pas participer aux épreuves de fin d'année, et que son année serait perdue...
Mon mari l'envoya quand même, et Vanessa partit dès le lendemain après-midi, nous étions fin mars, et ne verrions notre fille qu'en juillet, le temps allait sembler bien long...
Vanessa ne comprenait pas trop pourquoi son père l'avait envoyée loin de la maison familiale, elle s'attendait plus à être surveillée nuit et jour, mais son père comprit vite qu'il fallait éloigner le problème afin de ne pas nuire au reste de la famille.
Elle comprit aussi que son année scolaire était fichue, et ne força pas sur les cours. Elle fut donc convoquée chez le directeur de l'établissement, son dossier scolaire l'avait suivi.
- Bonjour Vanessa, la salua le directeur, entre assieds-toi, je t'ai fait venir dans mon bureau pour discuter un peu avec toi. Tu sais déjà que ton année est fichue, mais regarde ce qui t'a suivi, tu sais ce que c'est ?
- Non murmura t-elle.
- Ceci est ton dossier scolaire, tu avais plutôt de bonnes notes, mais ceci fait tache dans ton dossier : Virée pour avoir pratiqué des fellations à beaucoup de garçons du lycée !
- Oui, mais comprenez, je découvre mon corps, et puis je trouvais le sperme tellement bon.
- "Trouvais" ? tu n'aimes plus ?
- Je n'ai jamais recommencé, j'ai eu la honte de ma vie.
- C'est pourtant une école mixte ici, il y a beaucoup de garçons.
- Je ne sais pas Monsieur, je ne sais plus.
- Je vais prendre ton éducation en main, crois-moi !
- Merci Monsieur.
- Ne me remercie pas tout de suite, tu va en baver, lève-toi, tiens-toi droite !
- ? ? ? ?
- On va commencer par le langage : comment appelle t-on ceci, lui dit-il en prenant ses seins à pleines mains.
- Ma poitrine, Monsieur, mes seins.
- Non, petite salope ! ce sont tes nichons, tes loches, tes mamelles ! ! ! répète le
- Mes... mes nichons... mes loches... mes mamelles.
Il ouvrit d'un coup sec son chemisier, arrachant les boutons, il lui serait impossible de le refermer après ça. Elle apparaissait devant lui, en soutien-gorge, chemisier grand ouvert, il lui arracha son soutien, ce qui fit danser ses nichons. Elle resta bouche bée, il s'amusait avec ses seins, ce qui les a fait pointer assez vite.
- Hummm salope, tu bandes des loches, tu aimes qu'on te touche les nichons, hein grosse pute, dis le !
- Oui j'aime qu'on joue avec mes seins, mais je suis une salope, pas une pute.
- On va voir ça, remonte ta jupe, et il lui arracha la culotte. Tu as raison, une pute ne mouille que quand elle voit du fric, toi tu as déjà la chatte trempée. Masturbe-toi devant moi salope, voila une fille de 14 ans cuisses écartées en train de se masturber devant un homme de 30 ans plus vieux qu'elle ! Fais-toi jouir salope, prends ton pied !
Ma petite eut un orgasme fulgurant.
- Mais regardez-moi ça, notre petite Vanessa est une femme fontaine, ma bite va entrer toute seule dans ta chatte !
Elle n'était pas encore remise de son orgasme qu'il lui pilonnait la chatte. Le sang s'écoula quand il transperça son hymen, il la lima un bon quart d'heure avant de se vider au fond de son ventre, il se retira et contempla la chatte de la fille, d'où coulait du sang et du sperme.
- Voilà Vanessa, en temps normal, on dirait que tu es passée de petite fille à femme, mais là on va dire que tu es passée de petite fille à salope, en effet, j'ai craché mon jus au fond de ton ventre, comme tu ne prends pas la pilule, tu sais ce que cela veut dire ?
- Oui répondit-elle.
- Eh bien, on va remédier à ça, suis-moi !
5 years ago