2. Premier jour chez Bernadette.
Je suis seule, ma femme est partie en weekend, « avec une amie » m’a-t-elle dit. N’empêche, je compte bien en profiter pour satisfaire mon besoin de souffrir. Elle m’a laissé une petite culotte bien sale, merci Maîtresse !
Avant de partir, Wanda m’a fait relire mon contrat à voix haute, et réaffirmer que je désirais plus que tout me soumettre à tous les points que j’avais imaginés.
Je n’ai pas compris pourquoi elle tenait à me faire répéter que je devais obéir à toute femme qui m’appellerait Solange. Ni pourquoi elle m’a fait préparer un sac avec mes jouets : godes, fouets, vêtements, etc.
– On ne sait jamais ce qui peut arriver, m’a-t-elle dit en riant !
Comme chaque matin, je suis levée à 5 h. Rasée, maquillée, coiffée de ma perruque, je mets ma tenue de boniche avec le petit tablier et mon plug, pour vivre ma vie de maso. Et donc en minijupe et chemisier, je prépare le café et prends mon petit déjeuner. Après avoir rangé et balayé, je vais dans le jardin pour ma promenade quotidienne. Le soleil est levé et la journée s’annonce belle.
Dans le fond, j’y laisse pousser de gros massifs de genévriers. Là je me déshabille, je retire ma petite jupe et mon chemisier que je pose sur la haie de clôture.
Puis ma petite culotte de dentelle dont je me fais une cagoule. En soutien-gorge, porte-jarretelles et bas nylon, je vais plus loin vers mes belles orties. Faisant bien attention de ne pas les piétiner, je m’avance dans les hautes tiges. Je m’y promène lentement, les jambes bien écartées afin de m’en faire caresser du haut des cuisses jusqu’au bas ventre. Là où elles sont particulièrement touffues, je serre les cuisses pour bien les sentir piquer mes fesses, ma bite et mes couilles. J’ai le gland, les couilles et les tétons en feu !
Quand j’en ai bien profité, je reviens vers les genévriers. Ma vue est toujours brouillée par la dentelle de ma petite culotte. Maintenant je me fais caresser par les touffes épineuses qui me piquent jusqu’à faire perler quelques gouttes de sang. Ma pose est grotesque car pour ne pas filer mes bas nylons, je me tiens semi-accroupie en me fouettant le sexe d’une branchette. Lors qu’enfin je suis satisfaite, je veux me rhabiller, je cherche où j’ai posé mes vêtements. Ne les trouvant pas, j’ôte la culotte de ma tête pour y voir mieux… et me trouve face à face avec ma voisine qui filme mon air ébahi par-dessus la clôture.
Il faut dire que je ne m’entendais pas avec cette femme. Elle mettait sa musique trop fort, ça m’embêtait. Je lui avais demandé de respecter mon voisinage mais c’est à peine si elle avait baissé le son. Depuis on était en froid.
– Ça fait quelques jours que je t’observe, petite salope, fait-elle en riant.
– Où sont mes vêtements ?
– Ils sont ici, viens les chercher !
Tant pis, je les abandonne et fais mine de partir.
– Et là , pas si vite. Je t’ai filmée, tu es parfaitement reconnaissable. Alors si tu ne veux pas que tout le quartier soit au courant, tu vas m’obéir. Compris Solange ?
Hein, elle sait mon nom d’esclave ?
– Je te connais, tu sais. Ta femme m’a fait des confidences. Elle m’a même montré des photos et des vidéos !
Ah bon, j’ignorais qu’elles se parlaient. Mais qu’elle leur ait dévoilé nos secrets, je ne peux pas le croire.
– C’est elle qui m’a dit ce que tu faisais au jardin.
En effet, j’avais avoué à ma Maîtresse que chaque matin, pour me mettre en forme avant de la servir, je m’offrais une petite séance dans les orties. Ça m’excitait et préparait ma peau pour recevoir son fouet. Donc c’est ma Maîtresse qui avait mis au point ce guet-apens avec Bernadette.
– Je sais qu’elle est en weekend avec son amant. Ça t’étonne hein. Tu ne savais pas qu’elle avait un amant ? Et elle m’a demandé de m’occuper de toi, Solange. C’est ainsi qu’on t’appelle, petite pute ?
– Euh, oui Madame.
Je n’en reviens pas. Donc ma femme a un amant ? On en avait bien parlé mais comme de mon fantasme, il n’en était pas question dans la réalité. Enfin, pas encore, et pas en secret ! Et cette maudite voisine… Ah, cette fois je suis bien coincée,
– Elle m’a tout expliqué. Comment agir avec toi. Que tu es une parfaite femme de ménage, que tu as besoin d’être fouettée, etc.
– C’est incroyable, fais-je, abasourdie.
– Bon, maintenant ça suffit. Tu vas m’obéir. Compris ?
– Que voulez-vous ?
– Madame, s’il te plaît !
– Oui Madame.
– Pour commencer, prends ta culotte en bouche.
Elle a recommencé à filmer.
– Tu as une minute pour sonner à ma porte. Allez, tu peux mettre un peignoir.
Que faire, sinon obéir ? Ma tête est dans un état ! Surtout ne pas réfléchir. Et puis j’ai souvent demandé à Maîtresse d’être montrée, humiliée devant une autre femme. C’est pas du tout ainsi que je l’imaginais mais après tout pourquoi pas ? C’est bien ce que je voulais, tant pis pour moi. Mais l’amant, et en secret, quelle trahison, ça me reste en travers de la gorge.
J’enfile ma culotte et un léger peignoir pour sonner à sa porte. Elle me fait entrer, une badine à la main.
– Ote ton peignoir et ta culotte. À genoux, croise les mains à la nuque. Oh, tu es trop comique !
Elle s’assied, jambes croisées, son peignoir entrouvert jusqu’aux cuisses. Et surtout, je reconnais une de nos cravaches dans sa main.
Elle passe derrière moi, je l’entends uriner.
– Mets-toi à quatre pattes, il paraît que tu aimes ça alors tu vas laper ma pisse.
Je prends position.
– Jambes bien écartées, qu’on voie ton petit cul. Ah, tu as ton gode. Alors tu vas t’en masturber d’une main pendant que tu lapes.
Morte de honte, appuyée sur un coude, le nez dans la flaque, je passe l’autre bras derrière pour sortir mon gode et m’en masturber tout en lapant la pisse amère. Quand j’ai fini, je veux me relever.
– Mieux que ça, lèche bien le sol. Et mets tes deux bras allongés devant toi.
Elle m’envoie un formidable coup de pied dans les testicules. Je m’effondre.
– Allons, ne sois pas douillette, mais c’était trop tentant, fait-elle !
Elle me tire par l’oreille et me montre où sont rangés les produits d’entretien.
– Je veux un ménage impeccable.
Je m’active, prends un seau, la serpillière, je commence à lave le carrelage quand André, son mari, descend.
– Regarde chéri, voici Solange, notre nouvelle bonne à tout faire !
– Je vois ça.
– Dis bonjour, Solange !
– Bonjour Monsieur.
– On l’a pour le weekend, sa femme est partie avec son amant.
Elle me cravache les fesses.
– Allez, continue.
J’ai presque terminé quand Odile descend à son tour. Elle est en petite culotte et teeshirt court.
– Oh, c’est quoi ça ?
– Odile , nous avons une nouvelle boniche. Dis bonjour à Solange !
– Mais… bonjour Solange ! fait-elle en pouffant de rire. Elle m’a reconnu, c’est sûr.
– Bonjour Mademoiselle, dis-je piteusement. D’autant que je suis toujours en porte-jarretelles et soutien-gorge, sans culotte.
– Mais c’est le voisin !
La matinée s’annonce chaude. Bernadette retire son peignoir et ils s’installent sur la terrasse.
– Solange, prépare le café et sers-nous le petit déjeuner.
– Bien Madame.
De la cuisine, je les entends vaguement parler, du Cap d’Agde semble-t-il. Et de la petite taille de ma bite. Je reste debout, mal à l’aise tandis qu’ils achèvent le repas.
– Pfff, qu’il est godiche, fait Odile . Mais pourquoi il s’habille en fille ?
– Tu te souviens, au Cap d’Agde on en a vu ainsi, dit André.
– Ouais, c’était marrant !
– Allez Solange, range le plateau. Puis tu rentres chez toi et tu attends aux cordes. Je sais que tu as besoin du fouet chaque matin.
Quand je suis partie, Odile demande :
– Tu vas vraiment la fouetter, maman ? Comme on a vu au Cap d’Agde ?
– Oui ma chérie. Sa femme me l’a demandé.
– Oh, je peux venir voir ? S’il te plaît maman !
– Non, c’est la première fois, mais plus tard peut-être. Par contre, André, je voudrais que tu boives un grand verre d’eau, je veux lui faire boire ta pisse.
Je me dépêche d’obéir. Donc, en plus, elle doit avoir la clé !
Dans le bureau, j’ai installé un dispositif. Deux manches de brosse percés de trous pour y passer de la corde. L’un pour mes chevilles écartées, l’autre suspendu pour mes poignets. Je suis donc offerte en croix, accessible de tous côtés. Lorsque j’ai glissé mes chevilles et mes poignets dans les nœuds coulants, je suis totalement incapable de me libérer seule. Faut-il que j’aie confiance !
Je dispose fouets, cravaches, pinces sur la table et me mets toute nue (sauf mes escarpins à talons aiguille pour augmenter l’inconfort). Après avoir mis mon masque sur les yeux, je me lie définitivement.
Le temps passe. Et j’attends.
Un début de panique m’envahit. Sait-elle au moins que je dépends totalement, là ?
– Solaaaange, petite pute, Maîtresse Bernadette est là à à , chantonne-t-elle gaiement ! Mais mais mais... on n’a pas mis ses pinces ? Oh la la, mais c’est très mal ça !
Elle fouille mon sac, y trouve les pinces à linge mais elle en choisit d’autres, les petites pinces métalliques dentées qui servent à pendre les tentures … Et elle a soin de pincer fortement pour faire entrer les dents dans la chair sensible.
– Ah, j’allais oublier. D’abord ta petite gâterie, hi hi hi ! Mais il faut bander pour ça ma chérie !
En effet, ma bite est ratatinée, misérable. Elle joue avec, peine perdue. Il faut préciser que j’avais appris à Wanda qu’après avoir éjaculé, toute mon excitation disparaissait et le fouet m’était alors bien plus pénible. Elle avait dû le lui expliquer.
– Peut-être ma culotte ?
Elle me met sa culotte toute chaude et humide sous le nez, elle sent délicieusement bon. J’ai un frémissement et je passe la langue.
– Ah, tu veux lécher ?
Elle me la met sur la bouche. Cette fois, ma bite se dresse légèrement. Bernadette s’active et très vite, je vais jouir. Elle prend sa culotte pour recueillir les quelques gouttes.
– Pout tantôt. Mais là , un verre de pisse, je sais que tu aimes ça.
J’entends le liquide remplir un verre puis on l’approche de mes lèvres.
– Avale, salope, c’est de la bonne pisse d’homme ! fait André.
La salope, elle a amené son mari. J’avale, tout y passe, c’est dégueulasse, chaud et puant.
– Qu’est-ce qu’on dit, femelle ?
– Merci Monsieur André.
Et tout de suite, c’est le fouet. Si Wanda a appris à frapper, je sens que Bernadette sait y faire. Elle s’acharne sur mes seins, peine perdue, les pinces sont trop bien accrochées. Furieuse, elle les arrache, ça me déchire. Je hurle. Elle me fait taire d’une forte paire de gifles.
– Et bien, je croyais que tu aimais souffrir ? Qu’est-ce qu’on dit ?
– Meri Madame Bernadette.
– Solange, tu as oublié tes pinces, je dois te punir pour ça. Tu le sais.
– Oui Madame Bernadette.
– Si j’entends la moindre plainte, je double la punition.
Elle a pris le long martinet et frappe durement mes couilles de bas en haut. Puis elle passe derrière moi pour atteindre ma bite et mon bas-ventre. Je parviens péniblement à retenir mes gémissements.
– C’est bien, ma chérie. Mais ta Maîtresse m’a bien recommandé de te faire de jolies traces.
Cette fois, c’est mon dos, des épaules aux flancs et aux cuisses avec le fouet mince, qui mord ma peau.
– Ça te suffit Solange ?
– Oui, merci infiniment Madame Bernadette.
Elle me libère enfin un poignet.
– Mets ta tenue de boniche et viens nous rejoindre.
Je peux enfin me regarder toute nue dans le grand miroir. C’est super, je suis marquée au rouge. J’ai dégusté mais qu’est-ce que c’était bon !
J’y retourne. Il est midi. Je prépare et sers leur repas. Puis je peux finir leurs restes.
– Quand tu as fini la vaisselle, rejoins-nous. Ne gardes que ton porte-jarretelles et tes mules.
Elle m’attend sur le palier. Odile sort de sa chambre en petite culotte.
– A genoux, jambes écartées, mains à la nuque.
Elle me fixe des pinces à linge aux tétons.
– On va faire la sieste. Tu ne bouges pas jusqu’à ce qu’on t’appelle. A moins que… tu veux t’amuser un peu, Odile ?
– Ah oui alors, fait la petite.
Bernadette lui chuchote une minute à l’oreille, Odile pouffe !
– Je peux, tu es sûre ?
– Oui, mais quand vous avez fini Solange reprend sa position.
Elle ferme sa porte. Odile s’approche.
– Dis donc, salope, tu as fini de regarder ma culotte ?
Elle me retourne une paire de gifles.
– Et mon pied dans tes couilles, c’est vrai que tu aimes ça ?
– Oui Mademoiselle, dis-je, sachant ce qui m’attend.
Effectivement, son pied me frappe entre les jambes. Mais elle n’a pas osé y mettre beaucoup de force. La voilà qui joue avec mes pinces, les tords, les arrache. Je gémis.
– C’est bon Solange ?
– Oui, merci beaucoup Mademoiselle.
En effet, ça me plaît énormément d’être le jouet de cette toute jeune fille. Elle regarde ma bite, je me demande si elle va y toucher. Mais elle rentre dans sa chambre. Une autre fois ?
J’attends, seule. Je repense à tout ce qui m’arrive aujourd’hui. Quelle idée géniale de ma Maîtresse de m’avoir livrée à nos voisins ! Mais que fait-elle maintenant avec un sale type ? Est-ce que je le connais ? Je suppose qu’elle ne va pas tarder à me présenter, peut-être même me livrer à lui, qui sait ?
Les heures passent, j’ai très mal aux genoux mais je n’ose pas bouger. Enfin :
– Solange !
Bernadette m’appelle. Elle est couchée, blottie dans les bras de son géant de mari.
– Tu as vu comme elle a une petite bite ?
– Je vois ça.
Je rougis.
– Et timide avec ça, fait-elle !
Ils terminent de faire l’amour, la couette tombée au pied du lit. Il se retire d’elle.
– Viens me nettoyer, fait-il d’un air narquois en me regardant dans les yeux.
– Oui Monsieur.
Il me plaque la tête et je dois prendre en bouche son énorme bite poisseuse puis lécher son sperme qui bave du vagin de Bernadette.
Ils sont fatigués. La matinée semble les avoir secoués. Après le souper, la soirée se passe calmement. En porte-jarretelles et soutien-gorge, je sers les bières et les chips puis attends leur bon plaisir. Ils se sont installés nus dans le canapé pour regarder la TV, la main entre les jambes l’un de l’autre, ils se passent mes vidéos,.
– Regarde sa femme. Tu vois que je n’y vais pas trop fort, fait Bernadette.
– J’en ai assez vu, fait Odile . Je vais voir Marc.
Je passe la nuit toute nue sur la carpette du palier. Je somnole quand Odile rentre, accompagnée.
– Regarde Marc, c’est l'esclave de ma mère dont je t’ai parlé.
– Ben je ne l’aurais pas cru ! Un esclave vraiment ?
Pour lui prouver, Odile me pose un pied sur les couilles.
– Ça alors !
Mais ils vont dans sa chambre, je les entends baiser.
A SUIVRE...
Avant de partir, Wanda m’a fait relire mon contrat à voix haute, et réaffirmer que je désirais plus que tout me soumettre à tous les points que j’avais imaginés.
Je n’ai pas compris pourquoi elle tenait à me faire répéter que je devais obéir à toute femme qui m’appellerait Solange. Ni pourquoi elle m’a fait préparer un sac avec mes jouets : godes, fouets, vêtements, etc.
– On ne sait jamais ce qui peut arriver, m’a-t-elle dit en riant !
Comme chaque matin, je suis levée à 5 h. Rasée, maquillée, coiffée de ma perruque, je mets ma tenue de boniche avec le petit tablier et mon plug, pour vivre ma vie de maso. Et donc en minijupe et chemisier, je prépare le café et prends mon petit déjeuner. Après avoir rangé et balayé, je vais dans le jardin pour ma promenade quotidienne. Le soleil est levé et la journée s’annonce belle.
Dans le fond, j’y laisse pousser de gros massifs de genévriers. Là je me déshabille, je retire ma petite jupe et mon chemisier que je pose sur la haie de clôture.
Puis ma petite culotte de dentelle dont je me fais une cagoule. En soutien-gorge, porte-jarretelles et bas nylon, je vais plus loin vers mes belles orties. Faisant bien attention de ne pas les piétiner, je m’avance dans les hautes tiges. Je m’y promène lentement, les jambes bien écartées afin de m’en faire caresser du haut des cuisses jusqu’au bas ventre. Là où elles sont particulièrement touffues, je serre les cuisses pour bien les sentir piquer mes fesses, ma bite et mes couilles. J’ai le gland, les couilles et les tétons en feu !
Quand j’en ai bien profité, je reviens vers les genévriers. Ma vue est toujours brouillée par la dentelle de ma petite culotte. Maintenant je me fais caresser par les touffes épineuses qui me piquent jusqu’à faire perler quelques gouttes de sang. Ma pose est grotesque car pour ne pas filer mes bas nylons, je me tiens semi-accroupie en me fouettant le sexe d’une branchette. Lors qu’enfin je suis satisfaite, je veux me rhabiller, je cherche où j’ai posé mes vêtements. Ne les trouvant pas, j’ôte la culotte de ma tête pour y voir mieux… et me trouve face à face avec ma voisine qui filme mon air ébahi par-dessus la clôture.
Il faut dire que je ne m’entendais pas avec cette femme. Elle mettait sa musique trop fort, ça m’embêtait. Je lui avais demandé de respecter mon voisinage mais c’est à peine si elle avait baissé le son. Depuis on était en froid.
– Ça fait quelques jours que je t’observe, petite salope, fait-elle en riant.
– Où sont mes vêtements ?
– Ils sont ici, viens les chercher !
Tant pis, je les abandonne et fais mine de partir.
– Et là , pas si vite. Je t’ai filmée, tu es parfaitement reconnaissable. Alors si tu ne veux pas que tout le quartier soit au courant, tu vas m’obéir. Compris Solange ?
Hein, elle sait mon nom d’esclave ?
– Je te connais, tu sais. Ta femme m’a fait des confidences. Elle m’a même montré des photos et des vidéos !
Ah bon, j’ignorais qu’elles se parlaient. Mais qu’elle leur ait dévoilé nos secrets, je ne peux pas le croire.
– C’est elle qui m’a dit ce que tu faisais au jardin.
En effet, j’avais avoué à ma Maîtresse que chaque matin, pour me mettre en forme avant de la servir, je m’offrais une petite séance dans les orties. Ça m’excitait et préparait ma peau pour recevoir son fouet. Donc c’est ma Maîtresse qui avait mis au point ce guet-apens avec Bernadette.
– Je sais qu’elle est en weekend avec son amant. Ça t’étonne hein. Tu ne savais pas qu’elle avait un amant ? Et elle m’a demandé de m’occuper de toi, Solange. C’est ainsi qu’on t’appelle, petite pute ?
– Euh, oui Madame.
Je n’en reviens pas. Donc ma femme a un amant ? On en avait bien parlé mais comme de mon fantasme, il n’en était pas question dans la réalité. Enfin, pas encore, et pas en secret ! Et cette maudite voisine… Ah, cette fois je suis bien coincée,
– Elle m’a tout expliqué. Comment agir avec toi. Que tu es une parfaite femme de ménage, que tu as besoin d’être fouettée, etc.
– C’est incroyable, fais-je, abasourdie.
– Bon, maintenant ça suffit. Tu vas m’obéir. Compris ?
– Que voulez-vous ?
– Madame, s’il te plaît !
– Oui Madame.
– Pour commencer, prends ta culotte en bouche.
Elle a recommencé à filmer.
– Tu as une minute pour sonner à ma porte. Allez, tu peux mettre un peignoir.
Que faire, sinon obéir ? Ma tête est dans un état ! Surtout ne pas réfléchir. Et puis j’ai souvent demandé à Maîtresse d’être montrée, humiliée devant une autre femme. C’est pas du tout ainsi que je l’imaginais mais après tout pourquoi pas ? C’est bien ce que je voulais, tant pis pour moi. Mais l’amant, et en secret, quelle trahison, ça me reste en travers de la gorge.
J’enfile ma culotte et un léger peignoir pour sonner à sa porte. Elle me fait entrer, une badine à la main.
– Ote ton peignoir et ta culotte. À genoux, croise les mains à la nuque. Oh, tu es trop comique !
Elle s’assied, jambes croisées, son peignoir entrouvert jusqu’aux cuisses. Et surtout, je reconnais une de nos cravaches dans sa main.
Elle passe derrière moi, je l’entends uriner.
– Mets-toi à quatre pattes, il paraît que tu aimes ça alors tu vas laper ma pisse.
Je prends position.
– Jambes bien écartées, qu’on voie ton petit cul. Ah, tu as ton gode. Alors tu vas t’en masturber d’une main pendant que tu lapes.
Morte de honte, appuyée sur un coude, le nez dans la flaque, je passe l’autre bras derrière pour sortir mon gode et m’en masturber tout en lapant la pisse amère. Quand j’ai fini, je veux me relever.
– Mieux que ça, lèche bien le sol. Et mets tes deux bras allongés devant toi.
Elle m’envoie un formidable coup de pied dans les testicules. Je m’effondre.
– Allons, ne sois pas douillette, mais c’était trop tentant, fait-elle !
Elle me tire par l’oreille et me montre où sont rangés les produits d’entretien.
– Je veux un ménage impeccable.
Je m’active, prends un seau, la serpillière, je commence à lave le carrelage quand André, son mari, descend.
– Regarde chéri, voici Solange, notre nouvelle bonne à tout faire !
– Je vois ça.
– Dis bonjour, Solange !
– Bonjour Monsieur.
– On l’a pour le weekend, sa femme est partie avec son amant.
Elle me cravache les fesses.
– Allez, continue.
J’ai presque terminé quand Odile descend à son tour. Elle est en petite culotte et teeshirt court.
– Oh, c’est quoi ça ?
– Odile , nous avons une nouvelle boniche. Dis bonjour à Solange !
– Mais… bonjour Solange ! fait-elle en pouffant de rire. Elle m’a reconnu, c’est sûr.
– Bonjour Mademoiselle, dis-je piteusement. D’autant que je suis toujours en porte-jarretelles et soutien-gorge, sans culotte.
– Mais c’est le voisin !
La matinée s’annonce chaude. Bernadette retire son peignoir et ils s’installent sur la terrasse.
– Solange, prépare le café et sers-nous le petit déjeuner.
– Bien Madame.
De la cuisine, je les entends vaguement parler, du Cap d’Agde semble-t-il. Et de la petite taille de ma bite. Je reste debout, mal à l’aise tandis qu’ils achèvent le repas.
– Pfff, qu’il est godiche, fait Odile . Mais pourquoi il s’habille en fille ?
– Tu te souviens, au Cap d’Agde on en a vu ainsi, dit André.
– Ouais, c’était marrant !
– Allez Solange, range le plateau. Puis tu rentres chez toi et tu attends aux cordes. Je sais que tu as besoin du fouet chaque matin.
Quand je suis partie, Odile demande :
– Tu vas vraiment la fouetter, maman ? Comme on a vu au Cap d’Agde ?
– Oui ma chérie. Sa femme me l’a demandé.
– Oh, je peux venir voir ? S’il te plaît maman !
– Non, c’est la première fois, mais plus tard peut-être. Par contre, André, je voudrais que tu boives un grand verre d’eau, je veux lui faire boire ta pisse.
Je me dépêche d’obéir. Donc, en plus, elle doit avoir la clé !
Dans le bureau, j’ai installé un dispositif. Deux manches de brosse percés de trous pour y passer de la corde. L’un pour mes chevilles écartées, l’autre suspendu pour mes poignets. Je suis donc offerte en croix, accessible de tous côtés. Lorsque j’ai glissé mes chevilles et mes poignets dans les nœuds coulants, je suis totalement incapable de me libérer seule. Faut-il que j’aie confiance !
Je dispose fouets, cravaches, pinces sur la table et me mets toute nue (sauf mes escarpins à talons aiguille pour augmenter l’inconfort). Après avoir mis mon masque sur les yeux, je me lie définitivement.
Le temps passe. Et j’attends.
Un début de panique m’envahit. Sait-elle au moins que je dépends totalement, là ?
– Solaaaange, petite pute, Maîtresse Bernadette est là à à , chantonne-t-elle gaiement ! Mais mais mais... on n’a pas mis ses pinces ? Oh la la, mais c’est très mal ça !
Elle fouille mon sac, y trouve les pinces à linge mais elle en choisit d’autres, les petites pinces métalliques dentées qui servent à pendre les tentures … Et elle a soin de pincer fortement pour faire entrer les dents dans la chair sensible.
– Ah, j’allais oublier. D’abord ta petite gâterie, hi hi hi ! Mais il faut bander pour ça ma chérie !
En effet, ma bite est ratatinée, misérable. Elle joue avec, peine perdue. Il faut préciser que j’avais appris à Wanda qu’après avoir éjaculé, toute mon excitation disparaissait et le fouet m’était alors bien plus pénible. Elle avait dû le lui expliquer.
– Peut-être ma culotte ?
Elle me met sa culotte toute chaude et humide sous le nez, elle sent délicieusement bon. J’ai un frémissement et je passe la langue.
– Ah, tu veux lécher ?
Elle me la met sur la bouche. Cette fois, ma bite se dresse légèrement. Bernadette s’active et très vite, je vais jouir. Elle prend sa culotte pour recueillir les quelques gouttes.
– Pout tantôt. Mais là , un verre de pisse, je sais que tu aimes ça.
J’entends le liquide remplir un verre puis on l’approche de mes lèvres.
– Avale, salope, c’est de la bonne pisse d’homme ! fait André.
La salope, elle a amené son mari. J’avale, tout y passe, c’est dégueulasse, chaud et puant.
– Qu’est-ce qu’on dit, femelle ?
– Merci Monsieur André.
Et tout de suite, c’est le fouet. Si Wanda a appris à frapper, je sens que Bernadette sait y faire. Elle s’acharne sur mes seins, peine perdue, les pinces sont trop bien accrochées. Furieuse, elle les arrache, ça me déchire. Je hurle. Elle me fait taire d’une forte paire de gifles.
– Et bien, je croyais que tu aimais souffrir ? Qu’est-ce qu’on dit ?
– Meri Madame Bernadette.
– Solange, tu as oublié tes pinces, je dois te punir pour ça. Tu le sais.
– Oui Madame Bernadette.
– Si j’entends la moindre plainte, je double la punition.
Elle a pris le long martinet et frappe durement mes couilles de bas en haut. Puis elle passe derrière moi pour atteindre ma bite et mon bas-ventre. Je parviens péniblement à retenir mes gémissements.
– C’est bien, ma chérie. Mais ta Maîtresse m’a bien recommandé de te faire de jolies traces.
Cette fois, c’est mon dos, des épaules aux flancs et aux cuisses avec le fouet mince, qui mord ma peau.
– Ça te suffit Solange ?
– Oui, merci infiniment Madame Bernadette.
Elle me libère enfin un poignet.
– Mets ta tenue de boniche et viens nous rejoindre.
Je peux enfin me regarder toute nue dans le grand miroir. C’est super, je suis marquée au rouge. J’ai dégusté mais qu’est-ce que c’était bon !
J’y retourne. Il est midi. Je prépare et sers leur repas. Puis je peux finir leurs restes.
– Quand tu as fini la vaisselle, rejoins-nous. Ne gardes que ton porte-jarretelles et tes mules.
Elle m’attend sur le palier. Odile sort de sa chambre en petite culotte.
– A genoux, jambes écartées, mains à la nuque.
Elle me fixe des pinces à linge aux tétons.
– On va faire la sieste. Tu ne bouges pas jusqu’à ce qu’on t’appelle. A moins que… tu veux t’amuser un peu, Odile ?
– Ah oui alors, fait la petite.
Bernadette lui chuchote une minute à l’oreille, Odile pouffe !
– Je peux, tu es sûre ?
– Oui, mais quand vous avez fini Solange reprend sa position.
Elle ferme sa porte. Odile s’approche.
– Dis donc, salope, tu as fini de regarder ma culotte ?
Elle me retourne une paire de gifles.
– Et mon pied dans tes couilles, c’est vrai que tu aimes ça ?
– Oui Mademoiselle, dis-je, sachant ce qui m’attend.
Effectivement, son pied me frappe entre les jambes. Mais elle n’a pas osé y mettre beaucoup de force. La voilà qui joue avec mes pinces, les tords, les arrache. Je gémis.
– C’est bon Solange ?
– Oui, merci beaucoup Mademoiselle.
En effet, ça me plaît énormément d’être le jouet de cette toute jeune fille. Elle regarde ma bite, je me demande si elle va y toucher. Mais elle rentre dans sa chambre. Une autre fois ?
J’attends, seule. Je repense à tout ce qui m’arrive aujourd’hui. Quelle idée géniale de ma Maîtresse de m’avoir livrée à nos voisins ! Mais que fait-elle maintenant avec un sale type ? Est-ce que je le connais ? Je suppose qu’elle ne va pas tarder à me présenter, peut-être même me livrer à lui, qui sait ?
Les heures passent, j’ai très mal aux genoux mais je n’ose pas bouger. Enfin :
– Solange !
Bernadette m’appelle. Elle est couchée, blottie dans les bras de son géant de mari.
– Tu as vu comme elle a une petite bite ?
– Je vois ça.
Je rougis.
– Et timide avec ça, fait-elle !
Ils terminent de faire l’amour, la couette tombée au pied du lit. Il se retire d’elle.
– Viens me nettoyer, fait-il d’un air narquois en me regardant dans les yeux.
– Oui Monsieur.
Il me plaque la tête et je dois prendre en bouche son énorme bite poisseuse puis lécher son sperme qui bave du vagin de Bernadette.
Ils sont fatigués. La matinée semble les avoir secoués. Après le souper, la soirée se passe calmement. En porte-jarretelles et soutien-gorge, je sers les bières et les chips puis attends leur bon plaisir. Ils se sont installés nus dans le canapé pour regarder la TV, la main entre les jambes l’un de l’autre, ils se passent mes vidéos,.
– Regarde sa femme. Tu vois que je n’y vais pas trop fort, fait Bernadette.
– J’en ai assez vu, fait Odile . Je vais voir Marc.
Je passe la nuit toute nue sur la carpette du palier. Je somnole quand Odile rentre, accompagnée.
– Regarde Marc, c’est l'esclave de ma mère dont je t’ai parlé.
– Ben je ne l’aurais pas cru ! Un esclave vraiment ?
Pour lui prouver, Odile me pose un pied sur les couilles.
– Ça alors !
Mais ils vont dans sa chambre, je les entends baiser.
A SUIVRE...
5 years ago