Mon homme a fait de moi une pute

Mon homme est venu habiter chez moi. Il est devenu mon MaĂźtre. Je suis devenu sa «petite femme». Je le suis dans tous les sens du terme: Ă  la cuisine et au lit. Il a tous les droits sur moi comme les hommes ont des droits sur leur femme dans son pays. Ses dĂ©sirs sont prioritaires et impĂ©rieux. Depuis un mois, je morfle pas mal, car il m’humilie, me traite comme un esclave. Il est trĂšs exigeant pour la nourriture que je lui prĂ©pare et pour l’entretien de mon corps. J’ai beau ĂȘtre peu poilu, il exige que je sois Ă©pilĂ© intĂ©gralement. En arrivant chez moi, il a triĂ© mon linge de corps et a jetĂ© mes sous-vĂȘtements. Je reste tout le temps Ă  la maison a son service. Quand je vais faire les courses, je ne porte jamais de sous-vĂȘtement, comme une pute.

Comme l’exige mon MaĂźtre, j’ai le cul lavĂ© et graissĂ©. Des que mon Homme rentre je vais Ă  sa rencontre pour l’accueillir.. Je le dĂ©barrasse de ses affaires, je lui sers un thĂ©, je lui masse les pieds. Il n’a pas un mot pour moi. Il lit son courrier, passe un coup de fil.

— Penche-toi au-dessus de la table du salon! Lance-t-il.

D’un coup de rein, il entre en moi profondĂ©ment et il me besogne avec force.
Je n’ai pas le droit de me toucher sans autorisation.
Il me baise longuement et jouit dans mon cul.

Il va prendre une douche et je continue mes occupations.
Je termine le repas. Je suis humiliĂ© en permanence mais j’ai fini par accepter ma nouvelle vie.

Mon Homme a Ă©normĂ©ment de charisme et je peux tout accepter de lui. Le soir, pendant qu’il regarde la tĂ©lĂ©vision, je dois lui lĂ©cher les couilles, le pomper, encore offrir mon fion bien lubrifiĂ©. Remercier mon MaĂźtre est aussi une exigence. Comme tout bon MaĂźtre, il sait me surprendre et alterner les expĂ©riences douloureuses avec d’autres plus agrĂ©ables. Parfois, alors que je travaille dans la cuisine, il m’enlace, me roule une pelle bien baveuse, me pince les tĂ©tons, me fait hurler de plaisir.
Il a de gros besoins sexuels et me prend au moins trois fois par nuit. En un mois je suis devenu obsĂ©dĂ©e de sa grosse bite qui me laboure si bien le cul.. Il me dirige comme un clebard: un claquement de doigt, un mot et je suis Ă  lui. Je m’abandonne complĂštement lĂ  oĂč il le dĂ©sire.

Hier, mon homme Ă©tait accompagnĂ© d’un autre homme, plus jeune. Le mec n’avait rien d’un jeune voyou, bien au contraire... Il portait un costume trois piĂšces.

— Monsieur Thalid, je vous prĂ©sente ma petite femelle! Vous pouvez constater que je n’ai pas menti. Elle est bien excitante, n’est-ce pas?

L’autre m’a scrutĂ© de bas en haut, et a rĂ©pondu:

— Pas mal! Pour ce que je vois, ce sont Ă©videmment de belles promesses
 Faut voir Ă  l’usage!

J’écoutais sagement leurs commentaires en gardant bien la tĂȘte baissĂ©e et les bras derriĂšre le dos.

— Je vous comprends, M. Thalid! Sachez que celui qui me l’a vendu avait dĂ©jĂ  fait un excellent travail de dressage et que depuis plusieurs semaines j’ai commencĂ© un nouveau formatage. Pensez-vous qu’il pourrait convenir?

— On va voir ça!

MaĂźtre m’a donnĂ© l’ordre de servir un verre d’alcool Ă  notre invitĂ© et puis de me mettre en position de chienne.

Pendant que j’attendais à quatre pattes sur la table du living, mon Maütre a fait visiter l’appartement à M. Thalid.

J’étais toujours Ă  me demander qui Ă©tait cet homme. Lorsqu’ils sont revenus au salon, l’invitĂ© a enlevĂ© sa veste et s’est assis dans un fauteuil, face Ă  moi.

— Allez, salope, montres Ă  notre invitĂ© ce dont tu es capable. Pompe-le, fais-lui une sucette digne de la pute que tu es.

— Oui, Maütre.

Je suis descendu de la table, toujours Ă  quatre pattes et je me suis installĂ© entre les cuisses ouvertes du jeune Arabe. En m’attaquant Ă  sa braguette, j’ai constatĂ© qu’il bandait dĂ©jĂ  bien. La chose que j’ai dĂ©couverte Ă©tait Ă©norme. Bien plus grosse que toutes les bites que j’avais connues jusqu’ici. J’ai eu comme un vertige.

— Allez, salope, ne te laisses pas impressionner par ma grosse saucisse. Suce-la à fond de gorge.

— Tu dois faire tout ce que notre invitĂ© dĂ©sire, a grognĂ© MaĂźtre . M. Thalid est assez aimable pour t’utiliser dans un de ses Ă©tablissements.

Comme si j’avais eu le moindre doute Ă  ce qui m’attendait. J’allais servir de pute dans un Ă©tablissement de M. Thalid. MaĂźtre allait-il me vendre Ă  nouveau ou plutĂŽt me louer? À genoux, je pompais le gros dard de l’Arabe. J’avais d’énormes difficultĂ©s Ă  le faire rentrer complĂštement dans ma bouche. Lorsqu’il butait au fond de ma gorge, j’en avais la nausĂ©e. Mais je faisais de mon mieux pour la rĂ©primer. Pendant que je pompais, MaĂźtre s’est positionnĂ© derriĂšre moi et m’a enculĂ© devant l’invitĂ©.

— Vous voyez comme il est rĂ©sistant? UtilisĂ© sans souci par devant et derriĂšre en mĂȘme temps. Je peux la limer des heures durant et il tiendra le coup...

— Bonne pute, c’est vrai!

— Un trou Ă©lastique et serrĂ©. Mais vous allez l’essayer vous-mĂȘme!

Ils Ă©taient lĂ  Ă  me besogner sauvagement et Ă  discuter de moi comme si de rien n’était. mon Maitre Ă©tait brutal et accĂ©lĂ©rait ses coups de boutoir comme pour prouver Ă  son client potentiel, que j’étais l’affaire du siĂšcle. L’autre m’obligeait Ă  prendre sa tige jusqu’à la glotte.

AprĂšs une bonne vingtaine de minutes, ils changĂšrent de position. J’étais un peu inquiete car la queue que je venais de pomper Ă©tait d’un calibre hors normes. Et dans mon cul, elle pouvait faire trĂšs mal. Elle Ă©tait trĂšs large, mais MaĂźtre me graissa un peu l’anus . La queue rentra sans problĂšme. M. Thalid s’installa doucement en moi et trouva rapidement un rythme dĂ©licieux.

— Vous avez raison, c’est vraiment une bonne chatte! Mes clients vont en raffoler et je sens que mon chiffre d’affaires va monter en flùche.

— Votre dĂ©cision?

— Je le prends. Deux jours par semaine
 Le vendredi et, peut-ĂȘtre, le mardi car c’est un jour creux et j’aimerais fidĂ©liser ma clientĂšle grĂące Ă  un «extra».

— Vous l’avez votre «extra»...

Mon regard croisa celui de MaĂźtre qui semblait fier et satisfait. Sa petite pute venait d’ĂȘtre engagĂ©e par un connaisseur en la matiĂšre.

L’invitĂ© me besogna longuement. Je constatais que cet homme raffinĂ© dans sa tenue l’était aussi dans sa façon de baiser. Mon cul se rĂ©galait
7 years ago
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aerosm
aerosm 1 year ago
quelle belle et exquise soumission .. j'attends la suite
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solange_duval 3 years ago
mon Maitre voudrais s'occuper de ton cul avec moi 
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cronictrav
cronictrav 6 years ago
bonne petite femelle ...!!!
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hornytvsophie
hornytvsophie 7 years ago
Super excitant ce récit ! à quand une suite ?
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Blacko34 7 years ago
Trop bandant ! Une sacrée chienne
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