Chantage à double visage
Il gara la voiture devant son immeuble. Il coupa le contact et la regarda. Ils se sourirent. Après bien des embûches, ils avaient enfin réussi à s’organiser une escapade tous les deux loin de leur conjoint respectif pour passer à l’abri de tout regard indiscret un moment ensemble. Cela n’avait pas été simple et il avait fallu inventer une excuse avec soin mais ils y étaient arrivés. Ils allaient passer l’après midi ensemble chez lui car femme et enfants étaient en Franche Comté dans la famille. Ils s’installèrent une fois dans l’appartement sur le canapé pour prendre l’apéritif. Puis ils passèrent à table et dégustèrent l’excellent repas qu’il avait préparé pour elle. Bizarrement, pendant tout le repas, elle lui parla de ce que serait leur vie ensemble. Elle n’arrêtait pas d’étendre la jambe pour lui caresser la bite avec son pied. Une fois le dessert pris, elle se colla immédiatement après contre lui et l’embrassa langoureusement. Elle lui caressa l’entrejambe lui indiquant ainsi sans équivoque ce qu’elle désirait immédiatement. Il remonta ses mains le long de ses fesses, souleva la jupe et eut la surprise de découvrir qu’elle avait déjà mis son plug argenté dans son cul. Il lui sourit. Elle l’entraîna sur le lit. Ils se déshabillèrent.
Elle lui dit :
« J’ai envie de pimenter les choses aujourd’hui. Puis-je te mettre des menottes aux poignets pendant que je te sucerai. »
« Fait donc ma chère »
Elle lui installa les menottes Puis, nue, elle monta sur le lit et se déhancha devant lui, lui offrant une vue des plus obscènes sur son intimité. Elle se pencha vers lui, le regarda dans les yeux puis avala son gland. Elle enfonçait sa queue au plus profond de sa bouche et commença les va et vient.…. Mais au moment où il allait jouir, elle s'arrêta net. Elle le regarda et lui cracha sur le gland. Puis elle remonta délicatement le long de son torse jusqu’à son cou.
Elle lui dit :
« Tu m’appartiens ».
Elle se planta devant lui, jouant avec la clé et lui dit :
« Tu dois prendre une décision avant que je te libère. J’en ai marre de tes promesses et de tes changements permanents d’avis. Promet moi que tu vas quitter ta femme et venir avec moi »
La panique se lut sur son visage :
« Mais je ne peux pas. Tu sais bien. Les enfants sont petits. Ils ne comprendraient pas. Et puis, elle est trop fragile. Non, non. Je ne peux pas ».
« Je m’en doutais. Bon alors écoute moi bien. J’en ai assez. Si tu ne veux pas que je me venge en disant tout à ta pauvre femme, tu vas devoir acheter mon silence. »
« Mais ??? »
« Il n’y a pas de mais. C’est 5000 euros ou je lui dis tout de ta double vie »
« Bon d’accord. Mais je t’en supplie ne dit rien »
Un sourire satisfait éclaira son visage. Elle le détacha. Il s’assit à la table. Il prit son chéquier, écrivit et lui tendit. D’un geste de triomphe, elle s’en empara et le lut. Mais immédiatement son visage passa de la satisfaction à l’angoisse. A la place de son nom, il avait écrit : Gauthier ADUMALAFAIRE suivi d'une adresse mail "[email protected]". C'était le nom et les coordonnées mails de son mec.
De colère, elle déchira le chèque. Elle venait de comprendre. Il lui dit :
« Et oui, ma chère. Il y a bien longtemps que j’avais prévu ce que tu pourrais faire par déception. Tu as pris le visage du chantage. Tu vas maintenant découvrir le mien. Je t’ai tendu un piège en te proposant ce séjour et tu viens de tomber dedans. Maintenant regarde. »
Il prit son ordinateur portable, l’alluma et mit une clé usb. Il cliqua sur un dossier. Elle découvrit toutes une séries de photos prises à son insu. Elle ne reconnaissait que trop bien les scènes de leurs jeux. Il ouvrit sa boite mail, tapa l’adresse "[email protected]".
« Maintenant écoute moi bien. Tu es à ma merci. C’est à toi de m’obéir désormais et de faire tout ce que je te commanderai ou je lui envoie tout. Ma petite chienne obéissante, tu m’appartiens totalement en tant qu’esclave. Finis nos jeux. Je sui désormais réellement ton Seigneur et Maître. Approuve de la tête si tu as compris ce que je viens de dire »
Elle compris, se résigna et acquiesça de la tête. Il prit donc un feutre rouge et lui inscrivit sur le corps le mot : ESCLAVE I
« Alors viens à mes pieds. Couchée, comme une bonne chienne obéissante que tu dois être désormais. »
Il se leva et ouvrit sa valise. Il en sortit un collier avec une chaîne, une cravache, une cagoule et un ball gag. Elle comprit alors qu'elle était piégée depuis le début.
Il la pris par les cheveux et la plaqua au sol.
« Baise mes pieds ».
Il la remonta en la tirant par les cheveux. Puis il lui mit le collier et les menottes. Puis il la fit s’agenouiller.
« Tu as commencé quelque chose tout à l’heure. Montre à ton Seigneur et Maître que tu es une bonne suceuse. Tu as intérêt à être convaincante. Si tu ne me satisfait pas, j’envoie le mail».
Paniquée, elle s’exécuta avec vigueur. Elle enfonça sa queue au plus profond de sa bouche. Soudain, il la repoussa et éjacula sur le sol:
« Nettoie ma semence et que tes mains soient propre petite chienne»
Elle s’enduisit le visage du sperme de son Seigneur et Maître.
« Mais c’est que tu es toute sale. Viens que je te lave de ton péché envers moi »
Il la traîna avec la laisse jusque dans les wc. Il lui ordonna de se mettre la tête sur le bord de la cuvette. Elle fût prise par un petit sursaut à l’idée de ce qui allait lui arriver. Le liquide chaud arriva sur son visage puis ruissela le long de son corps. Elle fût surprise de ne pas être plus rebutée par le goût de ce fluide qui l’avilissait. Bizarrement elle se sentait bien ainsi traitée. À sa place. Elle du lécher la dernière goutte d’urine sur le pénis de son Maître.
Il la nettoie délicatement. Puis il lui mit la laisse dans la bouche et l’amena à 4 pattes jusqu’à la chambre en la traînant par les cheveux. Il lui entrava les pieds avec des menottes.
« Apportez-moi à boire et une clope à 4 pattes. Si tu fait tomber une chose tu vas sentir la douceur de ma cravache. »
Elle s’exécuta. Il alluma une clope puis alla chercher une feuille dans son blouson.
« Pour que tu comprennes bien ce que tu es devenue pour moi, tu va me lire ça à haute voix »
Il lui tendit la feuille. Elle la parcouru et lui dit :
« Non je refuse »
« Comment ça tu refuses petite chienne ? Tu mérites une punition. »
Il se leva et prit la cravache. Un premier coup tomba sur sa fesse gauche, puis une autre. Les coups était adroits, un coup dur, un coup plus doux. Un coup sur les fesses, puis sur les cuisses. Il magnait très bien ces outils. Les fesses devinrent rouges. Elle lui dit :
« Arrêtez, arrêtez mon Seigneur et Maitre. C’est d’accord »
Il lui tendit le texte. Elle lut à haute voix :
« Je ne suis qu’une pute bonne qu’à me faire baiser par tous les trous. Je suis une chienne qui ouvre les cuisses pour être bourrée à la moindre demande. Je suis une cochonne, un trou bon à remplir, une bouche qui attend de recevoir votre semence. J’aime avoir votre foutre sur mon visage car c’est pour moi une récompense que j’ai bien fait mon travail d’esclave soumise. Je suis une salope qui ne refuse jamais de se faire enculer car je suis votre objet au service de votre plaisir, votre chienne dressée à vous servir et à se faire baiser par vous quand vous le voulez mon seigneur et maître. »
Saisissant la laisse, il la fit mettre débout. Il lui écarta les fesses. Il joua quelques instants avec le plug avant de l’enlever. Il lui renifla alors le trou du cul.
« Je vois que tu es prête. Mets le ball gag sur ta bouche, le god dans ta chatte et le plug dans ta chatte. Je vais explorer ton cul comme j’adore le faire.»
Il lui ordonna de se mettre en position fesses relevées. Il mit sa bite entre les fesses et commença à se branler. Cela l’excita comme une folle. Elle sera les fesses pour emprisonner la bite de son Seigneur et Maître, signe évident qu’elle voulait qu’il lui ramone le cul. Il vérifia alors encore avec le manche de la cravache qu’elle était suffisamment dilatée. Puis il plaça sa bite contre l’anus. Dès qu’elle le senti, elle écarta de ses deux mains ses fesses au maximum. Elle se mit à faire des allers retours sur sa bite. A chaque retour, elle faisait claquer ses fesses contre les cuisses de son SM. D’un coup il se retira, la retourna en la tirant par les cheveux. Il retira son préservatif et lui ordonna de joindre les mains comme une coupelle. Il jouit avec force.
« Tu t’es bien comporter pendant que je t’enculai. Tu mérites cette récompense. Regarde moi et fait de ma semence ce que tu veux »
Elle le regarda dans les yeux et s’étala son sperme sur son visage.
Il se leva. Il prit deux cigarettes et lui en alluma une. Puis il dit :
« Est-ce que tu as bien compris ce que tu devais être désormais ? »
« Oui mon Seigneur et Maître. Je suis votre esclave, votre petite chienne obéissante »
« Bien. Je vois que tu as compris. Mais avant que tu sois sûre que je n’enverrai pas le mail aujourd’hui, tu vas devoir tirer dans cette boite à punition deux cartes et effectuer ce qui est écrit dessus »
A sa grande surprise, elle fut excitée par l’idée. Elle commençait dans sa tête à aimer ce qu’elle était devenue. Elle lui dit :
« Oui mon Seigneur et Maître. Plaise à mon Seigneur et Maître de me punir »
Il ouvrit la boite à punitions et étala les cartes défis. Elle en choisit deux et lui tendit. Il retourna les cartes et acquiesça.
Il lui rendit les cartes et lui ordonna de les lire à haute voix. Elle commença à exécuter aussitôt ses punitions. Pendant toute la durée de celle-ci, il la motiva en utilisant sa cravache.
Une fois terminé, il dit :
« Tu n’en as terminé qu’avec la première partie de ton chantage. Pour que je te remette la clé usb, tu devras m’accompagner quelque part où tu sera ma propriété. Ce sera la clé de ta délivrance. »
Elle le regarda dans les yeux et lui dit :
« Oui, mon Seigneur et Maître. Faite de moi ce que vous voudrez. »
Elle lui dit :
« J’ai envie de pimenter les choses aujourd’hui. Puis-je te mettre des menottes aux poignets pendant que je te sucerai. »
« Fait donc ma chère »
Elle lui installa les menottes Puis, nue, elle monta sur le lit et se déhancha devant lui, lui offrant une vue des plus obscènes sur son intimité. Elle se pencha vers lui, le regarda dans les yeux puis avala son gland. Elle enfonçait sa queue au plus profond de sa bouche et commença les va et vient.…. Mais au moment où il allait jouir, elle s'arrêta net. Elle le regarda et lui cracha sur le gland. Puis elle remonta délicatement le long de son torse jusqu’à son cou.
Elle lui dit :
« Tu m’appartiens ».
Elle se planta devant lui, jouant avec la clé et lui dit :
« Tu dois prendre une décision avant que je te libère. J’en ai marre de tes promesses et de tes changements permanents d’avis. Promet moi que tu vas quitter ta femme et venir avec moi »
La panique se lut sur son visage :
« Mais je ne peux pas. Tu sais bien. Les enfants sont petits. Ils ne comprendraient pas. Et puis, elle est trop fragile. Non, non. Je ne peux pas ».
« Je m’en doutais. Bon alors écoute moi bien. J’en ai assez. Si tu ne veux pas que je me venge en disant tout à ta pauvre femme, tu vas devoir acheter mon silence. »
« Mais ??? »
« Il n’y a pas de mais. C’est 5000 euros ou je lui dis tout de ta double vie »
« Bon d’accord. Mais je t’en supplie ne dit rien »
Un sourire satisfait éclaira son visage. Elle le détacha. Il s’assit à la table. Il prit son chéquier, écrivit et lui tendit. D’un geste de triomphe, elle s’en empara et le lut. Mais immédiatement son visage passa de la satisfaction à l’angoisse. A la place de son nom, il avait écrit : Gauthier ADUMALAFAIRE suivi d'une adresse mail "[email protected]". C'était le nom et les coordonnées mails de son mec.
De colère, elle déchira le chèque. Elle venait de comprendre. Il lui dit :
« Et oui, ma chère. Il y a bien longtemps que j’avais prévu ce que tu pourrais faire par déception. Tu as pris le visage du chantage. Tu vas maintenant découvrir le mien. Je t’ai tendu un piège en te proposant ce séjour et tu viens de tomber dedans. Maintenant regarde. »
Il prit son ordinateur portable, l’alluma et mit une clé usb. Il cliqua sur un dossier. Elle découvrit toutes une séries de photos prises à son insu. Elle ne reconnaissait que trop bien les scènes de leurs jeux. Il ouvrit sa boite mail, tapa l’adresse "[email protected]".
« Maintenant écoute moi bien. Tu es à ma merci. C’est à toi de m’obéir désormais et de faire tout ce que je te commanderai ou je lui envoie tout. Ma petite chienne obéissante, tu m’appartiens totalement en tant qu’esclave. Finis nos jeux. Je sui désormais réellement ton Seigneur et Maître. Approuve de la tête si tu as compris ce que je viens de dire »
Elle compris, se résigna et acquiesça de la tête. Il prit donc un feutre rouge et lui inscrivit sur le corps le mot : ESCLAVE I
« Alors viens à mes pieds. Couchée, comme une bonne chienne obéissante que tu dois être désormais. »
Il se leva et ouvrit sa valise. Il en sortit un collier avec une chaîne, une cravache, une cagoule et un ball gag. Elle comprit alors qu'elle était piégée depuis le début.
Il la pris par les cheveux et la plaqua au sol.
« Baise mes pieds ».
Il la remonta en la tirant par les cheveux. Puis il lui mit le collier et les menottes. Puis il la fit s’agenouiller.
« Tu as commencé quelque chose tout à l’heure. Montre à ton Seigneur et Maître que tu es une bonne suceuse. Tu as intérêt à être convaincante. Si tu ne me satisfait pas, j’envoie le mail».
Paniquée, elle s’exécuta avec vigueur. Elle enfonça sa queue au plus profond de sa bouche. Soudain, il la repoussa et éjacula sur le sol:
« Nettoie ma semence et que tes mains soient propre petite chienne»
Elle s’enduisit le visage du sperme de son Seigneur et Maître.
« Mais c’est que tu es toute sale. Viens que je te lave de ton péché envers moi »
Il la traîna avec la laisse jusque dans les wc. Il lui ordonna de se mettre la tête sur le bord de la cuvette. Elle fût prise par un petit sursaut à l’idée de ce qui allait lui arriver. Le liquide chaud arriva sur son visage puis ruissela le long de son corps. Elle fût surprise de ne pas être plus rebutée par le goût de ce fluide qui l’avilissait. Bizarrement elle se sentait bien ainsi traitée. À sa place. Elle du lécher la dernière goutte d’urine sur le pénis de son Maître.
Il la nettoie délicatement. Puis il lui mit la laisse dans la bouche et l’amena à 4 pattes jusqu’à la chambre en la traînant par les cheveux. Il lui entrava les pieds avec des menottes.
« Apportez-moi à boire et une clope à 4 pattes. Si tu fait tomber une chose tu vas sentir la douceur de ma cravache. »
Elle s’exécuta. Il alluma une clope puis alla chercher une feuille dans son blouson.
« Pour que tu comprennes bien ce que tu es devenue pour moi, tu va me lire ça à haute voix »
Il lui tendit la feuille. Elle la parcouru et lui dit :
« Non je refuse »
« Comment ça tu refuses petite chienne ? Tu mérites une punition. »
Il se leva et prit la cravache. Un premier coup tomba sur sa fesse gauche, puis une autre. Les coups était adroits, un coup dur, un coup plus doux. Un coup sur les fesses, puis sur les cuisses. Il magnait très bien ces outils. Les fesses devinrent rouges. Elle lui dit :
« Arrêtez, arrêtez mon Seigneur et Maitre. C’est d’accord »
Il lui tendit le texte. Elle lut à haute voix :
« Je ne suis qu’une pute bonne qu’à me faire baiser par tous les trous. Je suis une chienne qui ouvre les cuisses pour être bourrée à la moindre demande. Je suis une cochonne, un trou bon à remplir, une bouche qui attend de recevoir votre semence. J’aime avoir votre foutre sur mon visage car c’est pour moi une récompense que j’ai bien fait mon travail d’esclave soumise. Je suis une salope qui ne refuse jamais de se faire enculer car je suis votre objet au service de votre plaisir, votre chienne dressée à vous servir et à se faire baiser par vous quand vous le voulez mon seigneur et maître. »
Saisissant la laisse, il la fit mettre débout. Il lui écarta les fesses. Il joua quelques instants avec le plug avant de l’enlever. Il lui renifla alors le trou du cul.
« Je vois que tu es prête. Mets le ball gag sur ta bouche, le god dans ta chatte et le plug dans ta chatte. Je vais explorer ton cul comme j’adore le faire.»
Il lui ordonna de se mettre en position fesses relevées. Il mit sa bite entre les fesses et commença à se branler. Cela l’excita comme une folle. Elle sera les fesses pour emprisonner la bite de son Seigneur et Maître, signe évident qu’elle voulait qu’il lui ramone le cul. Il vérifia alors encore avec le manche de la cravache qu’elle était suffisamment dilatée. Puis il plaça sa bite contre l’anus. Dès qu’elle le senti, elle écarta de ses deux mains ses fesses au maximum. Elle se mit à faire des allers retours sur sa bite. A chaque retour, elle faisait claquer ses fesses contre les cuisses de son SM. D’un coup il se retira, la retourna en la tirant par les cheveux. Il retira son préservatif et lui ordonna de joindre les mains comme une coupelle. Il jouit avec force.
« Tu t’es bien comporter pendant que je t’enculai. Tu mérites cette récompense. Regarde moi et fait de ma semence ce que tu veux »
Elle le regarda dans les yeux et s’étala son sperme sur son visage.
Il se leva. Il prit deux cigarettes et lui en alluma une. Puis il dit :
« Est-ce que tu as bien compris ce que tu devais être désormais ? »
« Oui mon Seigneur et Maître. Je suis votre esclave, votre petite chienne obéissante »
« Bien. Je vois que tu as compris. Mais avant que tu sois sûre que je n’enverrai pas le mail aujourd’hui, tu vas devoir tirer dans cette boite à punition deux cartes et effectuer ce qui est écrit dessus »
A sa grande surprise, elle fut excitée par l’idée. Elle commençait dans sa tête à aimer ce qu’elle était devenue. Elle lui dit :
« Oui mon Seigneur et Maître. Plaise à mon Seigneur et Maître de me punir »
Il ouvrit la boite à punitions et étala les cartes défis. Elle en choisit deux et lui tendit. Il retourna les cartes et acquiesça.
Il lui rendit les cartes et lui ordonna de les lire à haute voix. Elle commença à exécuter aussitôt ses punitions. Pendant toute la durée de celle-ci, il la motiva en utilisant sa cravache.
Une fois terminé, il dit :
« Tu n’en as terminé qu’avec la première partie de ton chantage. Pour que je te remette la clé usb, tu devras m’accompagner quelque part où tu sera ma propriété. Ce sera la clé de ta délivrance. »
Elle le regarda dans les yeux et lui dit :
« Oui, mon Seigneur et Maître. Faite de moi ce que vous voudrez. »
8 years ago