Le Masque de Justine
Le masque de Justine câest lâhistoire incroyable et vraie dâun Ă©crivain amĂ©ricain, William Seabrook, qui toute sa vie a eu des jeunes femmes soumises consentantes attachĂ©es chez lui.
Il faisait des expériences extrasensorielles et paranormales en les masquant et les tenant attachées avec des chaßnes.
Extrait :
« Man Ray, qui est aussi un admirateur de Sade et un fĂ©tichiste, raconte quâun soir Seabrook lui demanda de venir sâoccuper dâune prostituĂ©e quâil avait enchaĂźnĂ©e dans son appartement Ă Paris et quâil avait rĂ©munĂ©rĂ©e pour ĂȘtre une esclave soumise et rester attachĂ©e. Ray explique que Seabrook ne la battait pas mais simplement passait des heures Ă la regarder ainsi attachĂ©e en buvant du whisky.
Avec le recul on sâĂ©tonne de lâincroyable libertĂ© de Seabrook qui nâhĂ©site pas Ă lui confier quâil a toujours eu le dĂ©sir de torturer des femmes de façon plus ou moins bĂ©gnine. Et lorsquâĂ Paris dans son luxueux duplex Ă lâhĂŽtel il reçoit la presse en compagnie de sa charmante Ă©pouse, alors que la jeune femme est attachĂ©e par des chaĂźnes Ă une poutre de lâappartement, il la dĂ©crit aux journalistes comme une sorte de « mascotte ». On a de la peine Ă imaginer ça aujourdâhui.
âŠ
Le masque couvrait la tĂȘte entiĂšre de Justine, suivant tous les contours de son visage, et, quand il Ă©tait lacĂ© serrĂ©, il sâadaptait doucement et Ă©troitement comme une seconde peau. La seule ouverture Ă©tait une fente pour la bouche, qui suivait les lignes de ses lĂšvres et Ă travers laquelle elle apprit vite Ă respirer, profondĂ©ment et rĂ©guliĂšrement.
Mais maintenant que cela Ă©tait fait, et quâelle commençait Ă le porter, elle traversa des pĂ©riodes oĂč elle en eut peur et le dĂ©testa, parce qu'il accomplissait, comme elle le dit, trop complĂštement, les choses que nous avions espĂ©rĂ©es.
âŠ
Souvent, arrivĂ©e prĂšs de la panique, elle ne pouvait pas dire du tout si jâĂ©tais lĂ ou si quelqu'un Ă©tait dans la chambre, si je pouvais ĂȘtre juste Ă cĂŽtĂ© d'elle, ou si jâĂ©tais parti et lâavait laissĂ©e totalement seule. CâĂ©tait comme retourner, disait-elle, « dans la matrice du temps ». Et câĂ©tait plus que ce qu'elle avait nĂ©gociĂ©. »
Le Masque de Justine de William Seabrook, est une histoire incroyable, elle est sur amazon.
Il y a des photos du masque dans ma gallerie.
allura
Il faisait des expériences extrasensorielles et paranormales en les masquant et les tenant attachées avec des chaßnes.
Extrait :
« Man Ray, qui est aussi un admirateur de Sade et un fĂ©tichiste, raconte quâun soir Seabrook lui demanda de venir sâoccuper dâune prostituĂ©e quâil avait enchaĂźnĂ©e dans son appartement Ă Paris et quâil avait rĂ©munĂ©rĂ©e pour ĂȘtre une esclave soumise et rester attachĂ©e. Ray explique que Seabrook ne la battait pas mais simplement passait des heures Ă la regarder ainsi attachĂ©e en buvant du whisky.
Avec le recul on sâĂ©tonne de lâincroyable libertĂ© de Seabrook qui nâhĂ©site pas Ă lui confier quâil a toujours eu le dĂ©sir de torturer des femmes de façon plus ou moins bĂ©gnine. Et lorsquâĂ Paris dans son luxueux duplex Ă lâhĂŽtel il reçoit la presse en compagnie de sa charmante Ă©pouse, alors que la jeune femme est attachĂ©e par des chaĂźnes Ă une poutre de lâappartement, il la dĂ©crit aux journalistes comme une sorte de « mascotte ». On a de la peine Ă imaginer ça aujourdâhui.
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Le masque couvrait la tĂȘte entiĂšre de Justine, suivant tous les contours de son visage, et, quand il Ă©tait lacĂ© serrĂ©, il sâadaptait doucement et Ă©troitement comme une seconde peau. La seule ouverture Ă©tait une fente pour la bouche, qui suivait les lignes de ses lĂšvres et Ă travers laquelle elle apprit vite Ă respirer, profondĂ©ment et rĂ©guliĂšrement.
Mais maintenant que cela Ă©tait fait, et quâelle commençait Ă le porter, elle traversa des pĂ©riodes oĂč elle en eut peur et le dĂ©testa, parce qu'il accomplissait, comme elle le dit, trop complĂštement, les choses que nous avions espĂ©rĂ©es.
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Souvent, arrivĂ©e prĂšs de la panique, elle ne pouvait pas dire du tout si jâĂ©tais lĂ ou si quelqu'un Ă©tait dans la chambre, si je pouvais ĂȘtre juste Ă cĂŽtĂ© d'elle, ou si jâĂ©tais parti et lâavait laissĂ©e totalement seule. CâĂ©tait comme retourner, disait-elle, « dans la matrice du temps ». Et câĂ©tait plus que ce qu'elle avait nĂ©gociĂ©. »
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Il y a des photos du masque dans ma gallerie.
allura
8 years ago
Pascal