Je rends compte à ma mère de mon cou

- Alors ma chérie, tes cours se sont bien passés ?
- Oui, très bien.
A peine avais-je fait quelques pas que la douleur que je ressentais devint si vive que j'avais peine à me soutenir. Je faisais des contorsions horribles. Ma mère s'en aperçut :
- Qu'as-tu, me dit-elle, ma puce ? Tu te sens mal ?
J'eus beau dire que ce n'était rien, les femmes sont naturellement curieuses : elle me fit mille questions qui me jetèrent dans un embarras qui ne lui échappa point.
- C'est en rapport avec ton cours d'éducation sexuelle d'aujourd'hui ? Viens dans la salle de bain, nous serons plus tranquille pour discuter de ça entre femmes.
Après quelques discours vague, je lui rendis compte de la mise en pratique du cours.
- Ne t'en fais pas ma puce, c'est normal d'être curieuse. Tu as besoin de découvrir, d'expérimenter, et c'est mon rôle de mère d'être à tes côtés pour t'aider et te soutenir.
Comment vont tes chères parties affligées ?
- J'ai encore un peu mal à l'intérieur de mon sexe. Je sens que je ne peux plus y mettre mes doigts sans que ça me fasse souffrir.
- Je pense qu'il faut tu te laisse reposer ton vagin un temps. Nous irons voir ensemble la gynécologue. En attendant, je vais te montrer comment te faire plaisir sans mal ?
Tiens, on va prendre deux petites bassines et on va commencer par se raser la minette toute les deux. Voilà pour toi, un rasoir neuf. La mousse à raser est ici.
On était assise l'une en face de l'autre sur le rebord de la baignoire, toutes deux en tenue d'Eve. J'écartais les cuisses de mon mieux et m'attachait à examiner cette partie qui nous fait femme. Imitant les gestes experts de ma mère, ma petite fente fût débarrassée de ses poils en peu de temps et sans mal.
- C'est parfait ma chérie. Elle est très belle comme ça. Fais-moi voir maintenant. Ecarte tes lèvres et passe ton doigt le long de ton vagin en partant du bas.
J'entrouvris mes lèvres et en remontant le long de la fente, une petite éminence que j'y rencontrai me causa un tressaillement.
- Ce n'est rien mon ange. Le clitoris est très sensible. Ne le touche pas directement mais plutôt à travers le capuchon. Je vais te montrer comment le caresser. Le clitoris n'aime pas qu'on aborde directement son gland : il faut le caresser à travers son capuchon, au-dessus ou sur le côté.

- Ma chère maman, je n'en puis plus ! Un peu plus vite, donne-moi donc ta petite langue, je t'en prie ! Ah !
Pour éteindre le feu qui me dévorait pendant que ma fille jouissait sous l'action de ma langue, j'eus recours à mon petit exercice ordinaire. J'enfonçai mon doigt à mon tour. Une légère douleur que je ressentis ne m'arrêta pas, je poussai de toute ma force et je parvins au comble de la volupté.
Published by MarieJeanbi
8 years ago
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