Histoire courte
Histoire courte
Cela fait 22 ans que nous vivons ensembles. Ce matin tu es parti au boulot, moi je suis sans et je t’attends à la maison.
Aujourd’hui, j’ai pensé beaucoup à toi, et lorsque j’entends le bruit de la voiture arrivant dans le garage, tu as à juste le temps de poser ta veste avant que ma bouche se colle fougueusement à la tienne, ma langue prenant possession de ta bouche.
Le temps d’une respiration pour me dire que tu vas prendre ta douche. Tu montes à l’étage.
Je te rejoins. Tu es déjà nu dans la cabine, je vois ton corps que je connais par cœur à travers la vitre.
Je me glisse avec toi sous l’eau chaude. J’ai une envie irrésistible que tu me prennes par le haut, par le bas. Je m’agenouille, introduit dans ma bouche les 16 cm de ta verge épaisse. Je sens ton gland heurter mon palais, mes joues, ma langue. J’aime l’engloutir entièrement jusqu’à ce que mon visage se colle sur la rondeur de ton ventre. Je sens à quel moment tu vas éjaculer, me gaver de ton nectar que retiennent tes testicules gorgés que j’ai soupesés, mais ce soir, je m’arrête avant. Je me retourne, tu m’empales avec virilité, mon anus t’accueille avec un plaisir immédiat.
Mon excitation est telle que mon sexe est d’une raideur extrême, mes boules remontées au maximum que cela deviennent douloureux. Je te ressens dans mes entrailles, ta main saisit mon sexe, le masturbe au rythme de tes mouvements. Tu te colles à moi, marque un arrêt et je sens ton sperme m’envahir en même temps que mon éjaculat macule la faïence de la douche. Nous restons le temps que nos corps se détendent.
Nous avons passé la soirée lovés sur le canapé blottis l’un contre l’autre à la douceur des sonates de Beethoven. La nuit fut peuplée de rêves acidulés.
Cela fait 22 ans que nous vivons ensembles. Ce matin tu es parti au boulot, moi je suis sans et je t’attends à la maison.
Aujourd’hui, j’ai pensé beaucoup à toi, et lorsque j’entends le bruit de la voiture arrivant dans le garage, tu as à juste le temps de poser ta veste avant que ma bouche se colle fougueusement à la tienne, ma langue prenant possession de ta bouche.
Le temps d’une respiration pour me dire que tu vas prendre ta douche. Tu montes à l’étage.
Je te rejoins. Tu es déjà nu dans la cabine, je vois ton corps que je connais par cœur à travers la vitre.
Je me glisse avec toi sous l’eau chaude. J’ai une envie irrésistible que tu me prennes par le haut, par le bas. Je m’agenouille, introduit dans ma bouche les 16 cm de ta verge épaisse. Je sens ton gland heurter mon palais, mes joues, ma langue. J’aime l’engloutir entièrement jusqu’à ce que mon visage se colle sur la rondeur de ton ventre. Je sens à quel moment tu vas éjaculer, me gaver de ton nectar que retiennent tes testicules gorgés que j’ai soupesés, mais ce soir, je m’arrête avant. Je me retourne, tu m’empales avec virilité, mon anus t’accueille avec un plaisir immédiat.
Mon excitation est telle que mon sexe est d’une raideur extrême, mes boules remontées au maximum que cela deviennent douloureux. Je te ressens dans mes entrailles, ta main saisit mon sexe, le masturbe au rythme de tes mouvements. Tu te colles à moi, marque un arrêt et je sens ton sperme m’envahir en même temps que mon éjaculat macule la faïence de la douche. Nous restons le temps que nos corps se détendent.
Nous avons passé la soirée lovés sur le canapé blottis l’un contre l’autre à la douceur des sonates de Beethoven. La nuit fut peuplée de rêves acidulés.
9 years ago
J'aime aussi beaucoup Beethoven et le piano, j'adore me masturber en Ă©coutant Bach, Schumann, Debussy et bien d'autres....
Merci, Gaimago, pour tes histoires somptueusement Ă©rotiques !