Punition du 18.12.2014

Je me suis prĂ©sentĂ©e chez Maitresse DĂ©borah avec mes 9 capotes que j’avais obtenue aprĂšs ma matinĂ©e vidange !
Elle est venue m’ouvrir dans sa tenue de cuir noir, ses longs cheveux blonds tombant en cascade sur ses Ă©paules ! e me suis agenouillĂ©, j’ai baisĂ© ses escarpins noirs en guise de dĂ©votion et sans un mot j’ai sortit le petit sachet contenant mes trophĂ©es !
-« compte » a-t-elle dit !
- 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 !
-oĂč est le dixiĂšme ?
-Je n’ai pas pu
 »
Une gifle magistrale m’a coupĂ© la parole ! Ma maitresse a repris d’un ton calme et froid :
« tu as Ă©chouĂ©, tu savais que tu serais puni, tu vas donc ĂȘtre puni ! DĂ©shabille-toi entiĂšrement ! »
Je me suis mis nu, elle m’a attachĂ© en croix au sol et s’est reculĂ©e ! Elle a pris un lacet avec lequel elle a liĂ© mes bourses, puis s’est assise et s’est dĂ©chaussĂ©e. J’ai compris avec effroi ce qu’il allait se passer ! Elle s’est assise et a lacĂ© ses lourdes bottes qu’elle met lorsqu’elle corrige ses soumis ! Je l’ai vu une fois castrer littĂ©ralement un soumis avec ces bottes !
J’avais peur, je tremblais, je n’ai pu articuler qu’un pitoyable « pitiĂ© maitresse » avant qu’elle ne me ferme la bouche avec un bĂąillon boule !
Elle m’a caressĂ© la joue et a murmurĂ© a mon oreille : « Tu avais dix Ă©tuis Ă  ramener, tu n’en as ramenĂ© que neuf, je vais additionner les deux, ça te fera 19 coups ! J’espĂšre que tu rĂ©sisteras Ă  la punition ! »
Des larmes coulaient de mes joues, je l’ai vu se relever et se placer entre mes jambes grandes ouvertes ! Puis elle a pris son Ă©lan et a frappĂ©, un premier coup !, Horrible, j’ai cru mourir, puis un deuxiĂšme, un troisiĂšme ! Les coups s’enchainaient j’étais de plus en plus mal, je perdis connaissance au quinziĂšme ! A-t-elle encore frappĂ© ensuite ? Je ne sais pas quand je me suis rĂ©veillĂ©, j’étais dĂ©tachĂ©, mon bĂąillon enlevĂ©, j’avais vomi ! Mon bas ventre Ă©tait bleu, mes couilles dĂ©tachĂ©es pendaient lamentablement, noires et douloureuses !
« Nettoie » m’a-t-elle lancĂ© !
J’ai nettoyĂ©, je me suis rhabillĂ© et elle m’a congĂ©diĂ© d’un simple : « je te rappellerai » !
Revenir chez moi fut u supplice !
Depuis j’attends son appel, mes couilles vont mieux mais j’ai du mal a bander


Published by Pauline81
10 years ago
Comments
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enfileur
enfileur 10 years ago
j'ai déja dit a cette pute de pas abimer le matos!
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