Claire ma voisine (suite)
Le soir mĂȘme, Claire rendit visite Ă ma mĂšre pour lui expliquer que, dans 2 jours, elle devait aller dans la rĂ©sidence secondaire de ses parents situĂ©e Ă 50 km de chez nous afin dây accomplir quelques petits travaux de rĂ©novation et elle avait pensĂ©, si ma mĂšre Ă©tait dâaccord, et bien sĂ»r, moi aussi, (mais lĂ vous connaissez mon dĂ©vouement) que je lâaccompagne afin de lâaider. Cela lâarrangerait beaucoup et, pour moi, ça me ferait un peu de vacances puisque câest au bord de la mer.
Nous Ă©tions installĂ©s dans le salon, moi sur le fauteuil, ma mĂšre et Claire sur le canapĂ© en face. Ma mĂšre me demanda ce que jâen pensais : Je fis semblant de rĂ©flĂ©chir quelques instants, et, regardant dans la direction de Claire, je vis quâelle Ă©cartait lĂ©gĂšrement ses cuisses et mâoffrait ainsi une vue sur sa culotte toute rose ce qui, bien Ă©videmment, provoqua une Ă©rection. Je profitai de ma rĂ©flexion pour garder les yeux fixĂ©s sur lâentrejambe tant dĂ©sirĂ©e et cette salope (parce quâil nây a pas dâautre mot) jouait Ă ouvrir et fermer plus ou moins ses cuisses.
La gorge sĂšche, je rĂ©ussis quand mĂȘme Ă rĂ©pondre : « que je nâavais rien de prĂ©vu et que cela me ferait plaisir de rendre service et de profiter de la plage. Ma mĂšre dit quâelle allait en parler avec mon pĂšre, mais que, normalement, il nây avait pas de problĂšme , mais justement mon pĂšre arrivait et elle pourrait avoir sa rĂ©ponse tout de suite si elle avait 10 minutes.
- Oui bien sĂ»r, rĂ©pondit Claire, mais tu permets que jâutilise tes W.C. ? Oui, dit ma mĂšre, tu connais le chemin.
Claire Ă©tait donc au W.C. quand mon pĂšre entra dans lâappartement, aprĂšs les bonjours, ma mĂšre lui expliqua que Claire Ă©tait lĂ et quâelle avait besoin de moi.
Claire sortit des toilettes et reprit sa place sur le canapĂ© pour continuer Ă discuter avec mes parents. Mon pĂšre lui dit que lui aussi Ă©tait dâaccord , elle lui dit que ça lâarrangeait beaucoup et elle en profita pour ouvrir Ă nouveau ses cuisses ce qui me provoqua une dĂ©charge dans tout le corps car elle avait profitĂ© de sa visite aux toilettes pour enlever sa culotte et jâavais donc une vue splendide sur sa chatte en ticket. Nâen pouvant plus, je mâĂ©clipsai dans la salle de bains pour me soulager un peu, voire mĂȘme beaucoup, vu la quantitĂ© de sperme que jâĂ©jaculai au bout de quelques va-et-vient manuels sur ma queue raide au plus haut point.
Je revins au salon , Claire comprit trĂšs bien la raison de mon absence et me sourit dâun sourire qui vous Ă©lectrise toute la colonne vertĂ©brale. Puis elle se leva pour partir ; embrassa mes parents , et quand elle mâembrassa, elle me murmura au creux de lâoreille : « JâespĂšre que câĂ©tait bon rendez-vous aprĂšs-demain » et, profitant dâun angle de vue cachĂ© me caressa, avec sa main gauche, le sexe qui, bien sĂ»r, avait dĂ©jĂ rĂ©agi.
AprĂšs une journĂ©e dâattente insupportable, faite dâanxiĂ©tĂ©, de nervositĂ© et surtout dâimpatience, vint le matin tant attendu oĂč nous partĂźmes tous les deux dans sa voiture , aprĂšs dâinterminables adieux surtout avec mes parents, faits de recommandations afin que je nâembĂȘte pas Claire.
Sâensuivit un voyage dâune petite heure, pendant laquelle nous sommes, je crois tous les deux (pour moi câest sĂ»r) tendu, impatient et curieux de lâavenir qui nous attend. Cependant nous arrivons Ă nous parler et, notamment, je lui confirme (car elle sâen doutait fortement) quâelle mâavait drĂŽlement excitĂ© lâautre soir. Elle-mĂȘme me confie quâelle est trĂšs excitĂ©e depuis deux jours et quâelle nâarrĂȘte pas de penser Ă moi et quâelle sâest certainement masturbĂ©e plus de fois en deux jours quâen cinq ans dâabstinence sexuelle.
AprÚs avoir déchargé la voiture, nous nous trouvons enfin seuls dans la maison, et nous échangeons notre premier baiser.
Car elle mâavait bien prĂ©cisĂ© quâelle ne voulait pas quâon nous voit, et donc rester sages dans la voiture. Et alors lĂ , dâĂȘtre dans ses bras, câest vraiment divin, je suis chargĂ© Ă 100.000 volts, je sens cette langue en moi et jâessaie de suivre le rythme. Je commence Ă promener mes mains le long de ce corps tant dĂ©sirĂ© et je sens des formes qui me ravissent , rien Ă voir avec celles des filles de mon Ăąge que jâai pelotĂ©es jusquâĂ maintenant , câest ferme, voluptueux et surtout cela me procure un plaisir Ă©norme. Sentant notre excitation monter, elle me dit quâil vaut mieux finir de ranger et de vite prendre nos douches avant de passer Ă lâaction.
Câest donc Claire qui prend sa douche en premier pendant que je finis de ranger , elle en ressort en peignoir. Je prends sa place, je mâempresse de faire au plus vite et lorsque je suis en train de me rincer, Claire entre dans la salle de bains et me dit « je viens tâaider » elle entre nue dans la cabine, me demande de me retourner , elle commence Ă me frotter le dos avec ses mains, puis se colle Ă mon dos et, passant ses mains sous mon bras, me caresse le torse, les tĂ©tons, le ventre , je suis tĂ©tanisĂ©, jâai ses seins, si doux et si fermes Ă la fois, contre mon dos , ses mains qui me procurent un plaisir inconnu pour moi jusquâĂ ce jour, je sens son souffle dans le cou et sa bouche me couvre de baisers et me lĂšche le cou. Je ne suis pas aux anges mais carrĂ©ment au Paradis . Ma queue a immĂ©diatement rĂ©agi et est droite au maximum, jâattends avec impatience quâelle vienne sâen occuper et le lui dis : Elle me rĂ©pond : « Ne sois pas impatient, en amour on nâest pas pressĂ© et il faut profiter de tous les plaisirs. Elle me retourne, mâembrasse, commence Ă me faire des bises sur le torse, puis avec sa bouche prend un tĂ©ton, lâembrasse, le lĂšche, le suce, le titille avec sa langue et le mordille et lĂ , câest une dĂ©couverte pour moi, car je mâaperçois que câest une zone hyper sensible et mĂȘme jouissif. Devant elle, mon pĂ©nis devenu Ă©norme et qui commence Ă me faire mal, attend avec impatience quâon sâoccupe de lui , elle commence par quelques bises dessus, le lĂšche sur toute la longueur, le caresse et me dit « tu sais, Luc , tu as vraiment un sexe Ă©norme, je peux te dire , certes, je nâai pas eu beaucoup dâhommes dans ma vie, mais je nâen ai jamais vu de si gros » sur ce, elle le prend en bouche, mâenglobe le gland, me le calotte et me le dĂ©calotte avec ses dents, le titille avec sa langue, je sens son souffle chaud tout au long de ma colonne de chair, je suis tĂ©tanisĂ© par le plaisir et progressivement elle enfonce ma bite dans sa gorge et lâengloutit entiĂšrement , je sens sa glotte , elle marque un temps dâarrĂȘt, ne bouge plus pendant quelques secondes, puis commence des petits va-et-vient qui, au fur et Ă mesure, sâaccĂ©lĂšrent. Le plaisir monte Ă une vitesse vertigineuse et je sais que je ne vais pas rĂ©sister longtemps et le lui dis , elle continue encore plus fortement et dans un cri de bĂȘte sauvage ma queue se vide par un long jet de sperme, inonde sa bouche, son visage. Je suis lĂ , debout, en train de jouir comme jamais je ne lâavais fait, jâai les jambes coupĂ©es, qui flanchent et ne me portent plus. Je mâappuie sur la paroi et Claire vient mâembrasser avec mon foutre dans la bouche et mâen dĂ©pose dans la mienne , je goĂ»te pour la premiĂšre fois du sperme. Puis elle me dit « Finis de te rincer et rejoins-moi ».
Nous Ă©tions installĂ©s dans le salon, moi sur le fauteuil, ma mĂšre et Claire sur le canapĂ© en face. Ma mĂšre me demanda ce que jâen pensais : Je fis semblant de rĂ©flĂ©chir quelques instants, et, regardant dans la direction de Claire, je vis quâelle Ă©cartait lĂ©gĂšrement ses cuisses et mâoffrait ainsi une vue sur sa culotte toute rose ce qui, bien Ă©videmment, provoqua une Ă©rection. Je profitai de ma rĂ©flexion pour garder les yeux fixĂ©s sur lâentrejambe tant dĂ©sirĂ©e et cette salope (parce quâil nây a pas dâautre mot) jouait Ă ouvrir et fermer plus ou moins ses cuisses.
La gorge sĂšche, je rĂ©ussis quand mĂȘme Ă rĂ©pondre : « que je nâavais rien de prĂ©vu et que cela me ferait plaisir de rendre service et de profiter de la plage. Ma mĂšre dit quâelle allait en parler avec mon pĂšre, mais que, normalement, il nây avait pas de problĂšme , mais justement mon pĂšre arrivait et elle pourrait avoir sa rĂ©ponse tout de suite si elle avait 10 minutes.
- Oui bien sĂ»r, rĂ©pondit Claire, mais tu permets que jâutilise tes W.C. ? Oui, dit ma mĂšre, tu connais le chemin.
Claire Ă©tait donc au W.C. quand mon pĂšre entra dans lâappartement, aprĂšs les bonjours, ma mĂšre lui expliqua que Claire Ă©tait lĂ et quâelle avait besoin de moi.
Claire sortit des toilettes et reprit sa place sur le canapĂ© pour continuer Ă discuter avec mes parents. Mon pĂšre lui dit que lui aussi Ă©tait dâaccord , elle lui dit que ça lâarrangeait beaucoup et elle en profita pour ouvrir Ă nouveau ses cuisses ce qui me provoqua une dĂ©charge dans tout le corps car elle avait profitĂ© de sa visite aux toilettes pour enlever sa culotte et jâavais donc une vue splendide sur sa chatte en ticket. Nâen pouvant plus, je mâĂ©clipsai dans la salle de bains pour me soulager un peu, voire mĂȘme beaucoup, vu la quantitĂ© de sperme que jâĂ©jaculai au bout de quelques va-et-vient manuels sur ma queue raide au plus haut point.
Je revins au salon , Claire comprit trĂšs bien la raison de mon absence et me sourit dâun sourire qui vous Ă©lectrise toute la colonne vertĂ©brale. Puis elle se leva pour partir ; embrassa mes parents , et quand elle mâembrassa, elle me murmura au creux de lâoreille : « JâespĂšre que câĂ©tait bon rendez-vous aprĂšs-demain » et, profitant dâun angle de vue cachĂ© me caressa, avec sa main gauche, le sexe qui, bien sĂ»r, avait dĂ©jĂ rĂ©agi.
AprĂšs une journĂ©e dâattente insupportable, faite dâanxiĂ©tĂ©, de nervositĂ© et surtout dâimpatience, vint le matin tant attendu oĂč nous partĂźmes tous les deux dans sa voiture , aprĂšs dâinterminables adieux surtout avec mes parents, faits de recommandations afin que je nâembĂȘte pas Claire.
Sâensuivit un voyage dâune petite heure, pendant laquelle nous sommes, je crois tous les deux (pour moi câest sĂ»r) tendu, impatient et curieux de lâavenir qui nous attend. Cependant nous arrivons Ă nous parler et, notamment, je lui confirme (car elle sâen doutait fortement) quâelle mâavait drĂŽlement excitĂ© lâautre soir. Elle-mĂȘme me confie quâelle est trĂšs excitĂ©e depuis deux jours et quâelle nâarrĂȘte pas de penser Ă moi et quâelle sâest certainement masturbĂ©e plus de fois en deux jours quâen cinq ans dâabstinence sexuelle.
AprÚs avoir déchargé la voiture, nous nous trouvons enfin seuls dans la maison, et nous échangeons notre premier baiser.
Car elle mâavait bien prĂ©cisĂ© quâelle ne voulait pas quâon nous voit, et donc rester sages dans la voiture. Et alors lĂ , dâĂȘtre dans ses bras, câest vraiment divin, je suis chargĂ© Ă 100.000 volts, je sens cette langue en moi et jâessaie de suivre le rythme. Je commence Ă promener mes mains le long de ce corps tant dĂ©sirĂ© et je sens des formes qui me ravissent , rien Ă voir avec celles des filles de mon Ăąge que jâai pelotĂ©es jusquâĂ maintenant , câest ferme, voluptueux et surtout cela me procure un plaisir Ă©norme. Sentant notre excitation monter, elle me dit quâil vaut mieux finir de ranger et de vite prendre nos douches avant de passer Ă lâaction.
Câest donc Claire qui prend sa douche en premier pendant que je finis de ranger , elle en ressort en peignoir. Je prends sa place, je mâempresse de faire au plus vite et lorsque je suis en train de me rincer, Claire entre dans la salle de bains et me dit « je viens tâaider » elle entre nue dans la cabine, me demande de me retourner , elle commence Ă me frotter le dos avec ses mains, puis se colle Ă mon dos et, passant ses mains sous mon bras, me caresse le torse, les tĂ©tons, le ventre , je suis tĂ©tanisĂ©, jâai ses seins, si doux et si fermes Ă la fois, contre mon dos , ses mains qui me procurent un plaisir inconnu pour moi jusquâĂ ce jour, je sens son souffle dans le cou et sa bouche me couvre de baisers et me lĂšche le cou. Je ne suis pas aux anges mais carrĂ©ment au Paradis . Ma queue a immĂ©diatement rĂ©agi et est droite au maximum, jâattends avec impatience quâelle vienne sâen occuper et le lui dis : Elle me rĂ©pond : « Ne sois pas impatient, en amour on nâest pas pressĂ© et il faut profiter de tous les plaisirs. Elle me retourne, mâembrasse, commence Ă me faire des bises sur le torse, puis avec sa bouche prend un tĂ©ton, lâembrasse, le lĂšche, le suce, le titille avec sa langue et le mordille et lĂ , câest une dĂ©couverte pour moi, car je mâaperçois que câest une zone hyper sensible et mĂȘme jouissif. Devant elle, mon pĂ©nis devenu Ă©norme et qui commence Ă me faire mal, attend avec impatience quâon sâoccupe de lui , elle commence par quelques bises dessus, le lĂšche sur toute la longueur, le caresse et me dit « tu sais, Luc , tu as vraiment un sexe Ă©norme, je peux te dire , certes, je nâai pas eu beaucoup dâhommes dans ma vie, mais je nâen ai jamais vu de si gros » sur ce, elle le prend en bouche, mâenglobe le gland, me le calotte et me le dĂ©calotte avec ses dents, le titille avec sa langue, je sens son souffle chaud tout au long de ma colonne de chair, je suis tĂ©tanisĂ© par le plaisir et progressivement elle enfonce ma bite dans sa gorge et lâengloutit entiĂšrement , je sens sa glotte , elle marque un temps dâarrĂȘt, ne bouge plus pendant quelques secondes, puis commence des petits va-et-vient qui, au fur et Ă mesure, sâaccĂ©lĂšrent. Le plaisir monte Ă une vitesse vertigineuse et je sais que je ne vais pas rĂ©sister longtemps et le lui dis , elle continue encore plus fortement et dans un cri de bĂȘte sauvage ma queue se vide par un long jet de sperme, inonde sa bouche, son visage. Je suis lĂ , debout, en train de jouir comme jamais je ne lâavais fait, jâai les jambes coupĂ©es, qui flanchent et ne me portent plus. Je mâappuie sur la paroi et Claire vient mâembrasser avec mon foutre dans la bouche et mâen dĂ©pose dans la mienne , je goĂ»te pour la premiĂšre fois du sperme. Puis elle me dit « Finis de te rincer et rejoins-moi ».
10 years ago