Chantage
Ce soir câest la fĂȘte, vingt ans de mariage sans nuage, les enfants sont partis chez leurs amis et mon mari mâoffre le restaurant. Je suis allĂ©e faire quelques achats, une mini jupe en cuir rouge, un body transparent en dentelles ainsi quâun string ridiculement petit, un soutien gorge pigeonnant qui fait gonfler mes seins cache difficilement leurs pointes, ainsi que des bas. Le grand jeu quoi ! Vingt ans câest quelque chose et mon mari est adorableâŠ
Il aime tout ce qui touche au sexe alors que je suis moi-mĂȘme un peu coincĂ©e sur le sujet et jâai dĂ©cidĂ© pour notre anniversaire de lui faire plaisir.
Je suis BCBG, plutĂŽt jolie, pas trĂšs grande, svelte, des seins encore fermes et bien proportionnĂ©s, un fessier plutĂŽt coquin, un sexe bien lisse et rond, des jambes galbĂ©es et un visage dâange, câest ce quâon me dit en tout cas.
Nous sommes partis assez tĂŽt et sommes bien trop en avance pour le restaurant, mon Ă©poux qui dĂ©teste arriver en retard, prend souvent des marges trop importantes. Câest lâinverse pour moi qui suis toujours en retard. AprĂšs avoir roulĂ© un petit bout de temps sur des routes de campagne, temps pendant lequel il nâa cessĂ© de me caresser le cuisses et lâentre cuises mon compagnon aperçoit un petit bar, il ralentit et arrĂȘte notre voiture sur le parking situĂ© en face du bistrot. Il mâatt**** par
les Ă©paules et mâembrasse langoureusement.
« Je tâaime » me dit-il.
« Moi aussi comme au premier jour »
« Nous sommes en avance, je tâoffre lâapĂ©ritif ici » reprit-il
Il mâembrasse de nouveau et en relevant mon body, sort mes seins de mon soutien gorge. Il les caresse dĂ©licatement en sâattardant sur les pointes qui ne tardent pas Ă sâĂ©riger et durcir.
Puis il continue ses caresses en promenant sa main sur mon sexe qui continue de sâhumidifier tout doucement.. Il relĂšve mes jambes, mâenlĂšve le string et pose avec amour ses lĂšvres sur le mont de vĂ©nus pendant que ses mains se baladent sur mes fesses et titille mon anus avec un doigt. Il joue un peu avec mon clitoris de quelques coup de langues puis se relĂšve brusquement, me met une petite claque sur les fesses et me dit :
« Reste comme ça » en mettant mon slip dans la boite à gant.
« Allons voir ce petit bar, nous avons le temps et le resto nâest plus trĂšs loin, nous finirons cette discussion aprĂšs le dĂźner. » dit-il avec un large sourire coquin.
Il mâembrasse Ă nouveau et sort de la voiture.
Je remets de lâordre dans ma tenue vestimentaire, sort de la voiture et vois ce qui devait ĂȘtre le patron du bar sâĂ©loigner en hĂąte de la fenĂȘtre. A priori il nâavait rien ratĂ© du spectacle.
Peut-ĂȘtre Ă tort, je ne dis rien Ă mon mari qui nâavait pas lâair dâavoir remarquĂ© le voyeur dâautant quâil nâaime pas trop ce genre de situation. Le bonhomme nâavait peut-ĂȘtre pas tout vu et nâimporte comment, nous nâavions pas poussĂ© la chose trop loin. Et puis comme jâavais dĂ©cidĂ© ce soir dâĂȘtre coquine, et que bien sincĂšrement, jâĂ©tais dĂ©jĂ bien excitĂ©e des attouchements de mon amour, cela me donnait ma premiĂšre expĂ©rience dâexhibitionniste bien que ce fut involontaire.
Cela me choquait dâailleurs, beaucoup moins que jâaurais pu le penser.
« Bonsoir mâsieu-dames » nous lance tâil en matant ma poitrine gĂ©nĂ©reuse Ă peine cachĂ©e par le soutien-gorge sous le chemisier transparent, que jâexhibe volontairement, forte de ma premiĂšre expĂ©rience dâexib et de mon petit minou encore tout mouillĂ© ;
« Bienvenue chez « ROBERT », installez-vous, ce nâest pas la place qui manque » Le patron est seul avec ses deux dobermans, câest un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous fĂ©licite aprĂšs que lâon lui ait expliquĂ© le pourquoi de notre prĂ©sence. Nous nous installons, commandons nos boissons, trinquons Ă notre santĂ© et commençons Ă siroter nos verres tout en discutant de choses et dâautres et plus particuliĂšrement de ma tenue sexy que mon mari trouve tout Ă fait Ă son goĂ»t.
« Jâaimerai bien que tu tâhabilles toujours comme ça » me dit-il.
« On verra » répondis-je en lui attrapant la main au creux de la mienne.
La soirĂ©e sâannonçait bien et je me sentais dâhumeur charmante. JâĂ©tais vraiment heureuse et prĂȘte Ă tout, pour que mon Ă©poux le soit aussi.
Peu de temps aprĂšs, un groupe dâhommes arrive perturbant ainsi notre intimitĂ©. Ils sâinstallent Ă cotĂ© de nous, nous saluent, commandent plusieurs bouteilles dâalcool, discutent avec le patron quâils semblent connaĂźtre puis composent leurs cocktails eux mĂȘme dans un joyeux brouhaha.
Mon mari interpelle le patron et commande une seconde tournĂ©e, jâen profite pour tirer sur ma jupe qui dĂ©cidĂ©ment vraiment trĂšs courte, dĂ©couvre mes cuisses presque jusquâau sexe. Cela attire visiblement le regard du petit groupe dâĂ cĂŽtĂ©. Que lâon voit mes cuisses passe et mâexcite mĂȘme un peu, pour le sexe câest autre chose. De plus, je leur trouve un air pas trĂšs catholique malgrĂ© quâils soient rieurs et chahuteurs.
Voyant que je les regarde, lâun dâeux se lĂšve et vient discuter avec nous.
« JâespĂšre que nous ne vous dĂ©rangeons pas trop » nous dit-il en regardant furtivement ma poitrine.
Il sourit et nous prĂ©cise quâils sont lĂ pour enterrer la vie de garçon de lâun dâeux et sâexcuse du bruit occasionnĂ©.
Nous lui rĂ©pondons cordialement quâil nây a aucun problĂšme et que nous-mĂȘme sommes ici pour notre anniversaire de mariage, nous prĂ©cisons que nous leur laisserons la place libre rapidement pour aller au restaurant.
« Cela sera bientĂŽt au tour du futur mariĂ© de compter les annĂ©es de vie commune » nous dit lâun du groupe et il nous propose gentiment de trinquer avec eux.
Sans attendre mon avis mon Ă©poux accepte et nous levons tous nos verres au futur mariĂ© et Ă nous mĂȘme. Nous entamons une discussion courtoise avec ces hommes qui, somme toute, paraissent plutĂŽt sympathiques. Constatant nos verres vides, ils nous proposent de goĂ»ter Ă leur mixture et sans attendre notre rĂ©ponse le mĂȘme homme qui sâĂ©tait dĂ©placĂ© la premiĂšre fois, se lĂšve Ă nouveau et remplit nos verres.
Bien que fort en alcool leur cocktail est bon et nous commençons à philosopher sur le mariage, ses joies et ses contraintes.
Le temps passe et les verres se vident et se remplissent, mon mari regarde sa montre et me fait signe de la tĂȘte quâil est lâheure dây aller.
Constatant que nous nous prĂ©parons Ă partir, ils insistent pour nous offrir une derniĂšre tournĂ©e et joignant le geste Ă la parole, nous proposent de rĂ©unir nos tables. Nous souhaitions ĂȘtre tranquilles mais la troupe est joyeuse et nous avons envie de passer une bonne soirĂ©e, alors un peu dâanimation avant le dĂźner est la bienvenue et le restaurant attendra bien un peu.
Mon mari semble ravi, la soirĂ©e commence bien, il raconte ses derniĂšres petites histoires assez salaces, nous Ă©coutons les leurs pendant quâils nous resservent au fur et Ă mesure que nous vidons nos verres. Nous nâavons pas lâhabitude de boire autant et commençons Ă avoir la tĂȘte qui tourne, Je me sens pour ma part sur un petit nuage, euphorique !
Je remarque Ă plusieurs occasions que des regards se portent sur mes seins et mes cuisses que je croise et dĂ©croise volontairement, jâai envie maintenant de continuer lâexhib commencĂ©e sur le parking et dâexciter ces hommes avant de partir.
« Nous allons vous laisser maintenant » leur dit mon mari qui nâa pas lâair dâaller trĂšs bien non plus.
« Attends cinq minutes » lui-dis je vais me refaire une beautĂ©. A vrai dire une petite envie mâoblige Ă avoir recours aux toilettes avant de partir. Je me lĂšve, tire sur ma jupe arrivĂ©e aux fesses, traverse en titubant lâarriĂšre salle, mâagrippe aux tables et chaise pour ne pas tomber et trouve les sanitaires.
Le patron du bar est en train de se laver les mains dans le lavabo.
« Vous vous trompez de WC » dit-il en mâindiquant ceux rĂ©servĂ©s aux femmes
« Oh excusez-moi, je suis un peu pompette et je commence voir trouble » dis-je en riant.
« Ce nâest pas bien grave mais les toilettes femmes ont une petite poubelle pour mettre ce que vous savez et surtout les toilettes hommes sont des WC turcs »
Je passe Ă cĂŽtĂ© de lui et il en profite pour me passer une main aux fesses sous ma jupe quâil malaxe avant que je mâĂ©chappe, entre et ferme la porte
« Les hommes sont vraiment des coquins » me dis-je en souriant et bizarrement pas choquĂ© par le comportement cavalier du patron. Je mâassieds ou plutĂŽt tombe maladroitement sur la cuvette des water et fait mon petit besoin⊠à cĂŽtĂ©, sur le sol.
« Houlala, je suis vraiment pompette » dis-je
Je profite malgrĂ© tout de ce moment dâintimitĂ© pour me remettre un peu de rouge Ă lĂšvres et surtout rĂ©ajuster mes seins dans les balconnets qui ont bien du mal Ă accomplir leur mission. Cela explique les yeux fixĂ©s sur ma poitrine durant lâapĂ©ritif. Mais vu mon Ă©tat, moi qui suis plutĂŽt rĂ©servĂ©e dâhabitude, souris avec une pointe de fiertĂ© Ă lâattention que lâon me porte. Je ressors dâautoritĂ© un sein du soutien gorge et sort dans la partie commune pour trouver une serpilliĂšre pour essuyer par terre et aussi me laver les mains.
Le patron est toujours lĂ .
« Je ne vous ai pas choquée ? » me dit il.
« Non, non mais jâai fait des petites bĂȘtises » lui dis-je en montrant le plancher autour du bidet.
« Auriez-vous quelque chose pour essuyer ? »
« Prenez du papier essuie-mains, il ne faut pas laisser cet endroit dans cet état » me répondit-il sÚchement.
Et me voilĂ Ă quatre pattes en train dâessuyer ma maladresse.
PrĂ©textant mâaider le patron se met Ă cotĂ© de moi, sâaccroupit puis passe sa main par derriĂšre jusquâĂ la fente de mon sexe quâil caresse. Il introduit quelques doigts et titille le clitoris qui commence Ă sâĂ©riger.
Je sens mon sexe redevenir humide et jâĂ©carte les jambes machinalement tout en finissant dâĂ©ponger le sol.
La seconde main Ă©carte les lĂšvres de mon sexe pendant que la premiĂšre laisse mon clitoris, il est Ă genoux derriĂšre moi et guide sa verge Ă lâentrĂ©e de mon intimitĂ©.
Dans un sursaut de luciditĂ©, sentant le gland Ă©carter les lĂšvres de mon sexe et avant quâil puisse sây introduire, je me relĂšve et sors des toilettes sans quâil ait le temps de me retenir.
En sortant, je mâaperçois que cinq des hommes ont quittĂ© la table commune, ils se sont attablĂ©s et discutent dans cette arriĂšre salle toujours autour de plusieurs bouteilles dâalcool, je vois de mĂȘme mon mari de dos qui parle et continue de boire avec les 2 autres de la troupe. Alors que je me dirige le plus rapidement possible ce qui est un euphĂ©misme vu mon Ă©tat, vers ma table, toujours en titubant et en me tenant, lâun des cinq hommes mâinterpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre mon mari et partir au restaurant afin de donner quelques conseils fĂ©minins avertis au futur mariĂ©.
Devinant mon hĂ©sitation et sans attendre ma rĂ©ponse le plus costaud de la bande mâatt**** rapidement par le bras et me demande de mâasseoir. Forte de lâexpĂ©rience des WC, jâhĂ©site Ă rester ne sachant si je peux leur faire confiance mais la main ferme, mon Ă©quilibre prĂ©caire, mon esprit embrouillĂ© et lâenvie de ne pas passer pour une sainte-nitouche ont raison de mes rĂ©ticences. Les autres chaises Ă©tant toutes retournĂ©es sur les tables ce galant homme mâinstalle donc sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en me tenant par la taille.
« Cela ne vous gĂȘne pas jâespĂšre » finit-il par me dire. Il plaisante un peu, me sert Ă boire, dĂ©tend lâatmosphĂšre et se prĂ©sente en me faisant un large sourire.
« Moi câest Denis »
« Moi câest Annie » rĂ©pondis-je en rigolant, oubliant promptement lâĂ©pisode qui vient de mâarriver.
Nous discutons des femmes en général, surtout de moi, et abordons les conseils au futur marié notamment sur la fidélité qui ne doit jamais trahie en me donnant en exemple avec fierté⊠toujours en sirotant le cocktail.
« Mon verre doit ĂȘtre magique, je nâarrĂȘte pas de boire et il est toujours aussi rempli » dis-je en mâesclaffant.
Jâai chaud mais me sens bien avec toujours la vue sur mon mari de dos. Je suis bien calĂ©e, les deux cuisses Ă©cartĂ©es autour du genou (qui nâarrĂȘte pas de bouger) avec la main droite de mon chevalier servant qui a lĂąchĂ© la taille pour la fesse droite (quâil caresse doucement) afin que je ne glisse pas. Je sens des petits frissons me parcourir le corps.
« Vous avez une poitrine superbe » me dit le plus jeune en face de moi. Je baisse la tĂȘte et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet et darde fiĂšrement sa pointe sous lâĂ©toffe transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de remettre le tĂ©ton rĂ©calcitrant Ă sa place, mais avant que jâaie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener Ă bien la remise en place, Denis me prĂ©cĂšde et passe la sienne sous le body.
« Laissez je vais faire »
Je suis de plus en plus gĂȘnĂ©e et mes joues virent Ă lâĂ©carlate « Euh⊠beu ». Je bafouille et att**** vainement le bras de Denis qui a sorti le sein complĂštement, le soupĂšse, le caresse dĂ©licatement et titille la pointe. Absolument pas perturbĂ©, il me complimente sur ma poitrine, sort le second sein qui subit le mĂȘme traitement.
« Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques, laissez-les respirer, on voyait déjà presque tout avant, alors un peu plus ! »
Peu convaincue par lâargumentation, je me redresse dâun coup mais ma tĂȘte me tourne de plus en plus et Denis me ratt**** in-extremis mâĂ©vitant de tomber, il me prend la taille Ă deux mains et me remet en position stable sur sa jambe.
« Pour les seins, cela restera notre petit secret » me murmure tâil Ă lâoreille en y plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe tout en continuant de me peloter par dessus lâĂ©toffe. Je suis dĂ©concertĂ©e, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire, rĂ©pond en bĂ©gayant « Bon dâacâŠdâaccord, mais câest tout » et je reprend mon verre.
« Ne craignez rien votre mari est lĂ , nous lâavons prĂ©venu que nous vous dirions au revoir avant que vous ne partiez, il est dâaccord ! »
Denis me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Je sens sa main qui me caresse de nouveau la fesse mais sous ma jupe, il lâa relevĂ©e lorsquâil mâa attrapĂ©e et a dĂ©voilĂ© ainsi, mon intimitĂ© et les autres hommes regarde mon minou avec insistance je sens dĂ©jĂ une douce chaleur envahir Ă nouveau mon bas ventre.
« Nâest-ce pas quâelle est belle » dit-il Ă ses amis
« Câest sĂ»r » rĂ©pondent en coeur ses camarades.
« Je dois y aller maintenant, on doit partir au restaurant »
« Câest dommage » me dit Denis » on est bien ensemble.
La main gauche de Denis lĂąche ma poitrine pour venir pĂ©trir mon sexe trempĂ©, jâĂ©carte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tache. Il passe lentement son doigt entre les deux lĂšvres mouillĂ©es et caresse le clitoris dĂ©jĂ sensibilisĂ© par les doigts du patron, mes yeux se ferment et je me laisse aller et appuie mon dos sur son torse.
Une main vient Ă nouveau caresser un tĂ©ton, jâentrouvre les yeux et vois le plus jeune de la troupe Ă cotĂ© de moi, il relĂšve le body et pĂ©trit ma poitrine Ă deux mains. Denis mâembrasse Ă pleine bouche, un autre larron sâagenouille devant moi dit : « Elle est toute Ă©pilĂ©e cette petite salope, jâadore ça ! » Et il commence Ă me brouter le minou avec vigueur.
Denis enlĂšve sa main de mon sexe et me malaxe les fesses, la langue explore lâentrĂ©e de mon intimitĂ© complĂštement trempĂ©e et joue aussi avec mon clitoris et mon anus, mes seins passent dans toutes les mains.
Dans un sursaut de luciditĂ©, je tente une nouvelle fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper cet enchaĂźnement que je ne voulais pas. En vain les mains qui mâenserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance sans prĂ©sumer de ma capacitĂ© Ă tenir debout seule et ma folle envie de me faire pĂ©nĂ©trer. Je regarde dans la direction de mon mari pour chercher de lâaide mais ne le vois plus.
« Non, sâil vous plait laissez-moi ». Ces paroles Ă peine terminĂ©e, le brouteur de minou se retire, Denis me soulĂšve un peu ajuste son sexe avec une main sur lâentrĂ©e du mien, me relĂąche et mâenfile dâun seul coup, je sens son gros membre chaud envahir ce qui nâavait appartenu quâĂ mon mari et lĂąche un rĂąle de plaisir.
JâĂ©carte les jambes au maximum et me laisse aller, jâatt**** la bouche de Denis pour sentir sa langue contre la mienne. Les autres enlĂšvent leur pantalon et sâapprochent. On mâatt**** par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche. Je le suce avec vigueur.
Dâautres verges entourent ma bouche et je suce tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en mĂȘme temps.
Denis sâapplique Ă me faire des suçons dans le coup et un autre sur la poitrine.
MalgrĂ© moi je sens le dĂ©sir monter de plus en plus et continue Ă sucer et branler plusieurs verges avec passion pendant que Denis me lime comme un malade et pendant que les autres me caressent tout le corps. Luc, je crois que câest son prĂ©nom, va et vient lentement puis accĂ©lĂšre et Ă©jacule dans ma bouche, jâavale toute la semence avec dĂ©lectation lui suçant la derniĂšre goutte jusquâĂ la retombĂ©e du sexe.
« Tâes vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise » me dit Luc pendant quâun autre prend sa place. Je sens Ă lâexplosion de chaleur qui envahit mon ventre que Denis vient de jouir Ă son tour jâĂ©carte les cuisses au maximum et lĂšve lĂ©gĂšrement les jambes afin de sentir au mieux lâhomme qui est en train de me violer.
Deux autres mâatt****nt, mâenlĂšvent body et soutien gorge, me mettent sur le ventre sur la table me lubrifie lâanus avec leur salive, ils commencent Ă forcer lâentrĂ©e avec leurs doigts et mâenculent Ă tour de rĂŽle en me pelotant les seins, câest la premiĂšre fois que cela mâarrive ; Mon mari a toujours voulu me possĂ©der par derriĂšre mais jâai toujours refusĂ©.
AprĂšs un dĂ©but franchement douloureux jâĂ©carte de plus en plus jambes et fesses afin que tous viennent remplir mon petit trou. On me retourne Ă nouveau et mes trois orifices sont pris en mĂȘme temps. Jamais je nâai joui autant. Je suis remplie de sperme et bizarrement je mâimagine comme une dinde farcie⊠au jus dâhomme.
Une fois que tous ont profitĂ© de moi, on me retourne de nouveau et mâattache Ă la table, les fesses en lâair et lâon mâintroduit un objet plutĂŽt volumineux dans la chatte.
« Ecoute poulette ton mari nâallait pas trĂšs bien, ce qui nâest pas anormal avec les somnifĂšres que nous avons mis dans sa boisson. Nous lâavons ramenĂ© Ă chez lui en lui expliquant que nous nous occuperons bien de toi et que nous te ramĂšnerons.
Pendant que tu tâĂ©clatais comme une bĂȘte jâai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal Ă faire croire Ă qui que ce soit que tu nâĂ©tais pas consentante. Alors on va continuer Ă sâamuser puis on te ramĂšnera chez toi, mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule et tu viendras une fois par semaine vider nos couilles » AprĂšs plusieurs aller-retour, le patron du bar que jâai plantĂ© aux toilettes et que je ne voyais plus arrive et me dit Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets Ă pleurer. Pas trĂšs longtemps car le patron sâempare dâune bouteille de biĂšre lâouvre et me lâenfonce dans lâanus dĂ©jĂ dilatĂ©.
Sous la poussĂ©e lâobjet enfoncĂ© dans mon vagin est expulsĂ©, drĂŽle de sensation que cette biĂšre froide qui envahit mes intestins.
Il sâapplique Ă de long va et vient, jâĂ©carte de nouveau les jambes au maximum, au dĂ©but pour limiter la souffrance, ensuite pour quâil puisse lâenfoncer complĂštement dans le cul, Ă chaque aller et retour la biĂšre gicle, puis il alterne avec mon sexe, jette la bouteille et me sodomise Ă son tour pendant que les autres rĂ©investissent ma bouche et me voila repartie avec un dĂ©sir fou que je ne peux rĂ©primer.
Bien que toujours saoule, lâeffet de lâalcool se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la rĂ©alitĂ© de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails.
Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne sâintĂ©resse de nouveau Ă moi. Maintenant jâai peur, jâai honte et nâose rien dire.
On recommence Ă me caresser dĂ©licatement lâentre jambes et les seins ; Broute minou repasse Ă lâaction et me lĂšche alternativement minou et anus.
Je constate que lâon ne cesse de me prendre en photo.
Les festivitĂ©s terminĂ©es, les deux compĂšres qui nâont pas participĂ© aux festivitĂ©s mâatt****nt sans mĂ©nagement et mâentraĂźnent nue Ă lâexception de mes bas, dans leur voiture.
Quelques kilomĂštres plus loin et nous arrivons sur un parking rĂ©putĂ© pour son activitĂ© sexuelle durant la nuit. Pendant tout le parcours celui qui Ă©tait montĂ© Ă lâarriĂšre du vĂ©hicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et câest excitĂ©e comme une chienne en chaleur que je suis offerte comme une putain.
Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, jâai eu le droit Ă tout, mĂȘme un collĂšgue de bureau vicelard Ă souhait qui mâa prise par devant et par derriĂšre avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme.
Il me pelotait dĂ©jĂ les fesses dĂ©s quâil le pouvait au bureau et ne sâen privera plus dĂ©sormais. La cerise sur le gĂąteau : Deux clochards mâont prise en mĂȘme temps Ă titre gracieux.
Suite Ă cela les deux hommes me raccompagnent chez moi.
Arrivés, ils vont voir si mon mari dort toujours. Dans notre lit, pas trÚs en forme dans un semi-sommeil à moitié shooté, à moitié conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il se fait déposer gentiment par terre.
« Boum ! » et les deux hommes investissent notre lit, ils mâatt****nt et me violent Ă leur tour, mâembrassant Ă pleine bouche, me pĂ©trissant sexe et seins, me pĂ©nĂ©trant encore et encore devant mon homme qui nous regarde lâair hĂ©bĂ©tĂ©. Ils mâobligent Ă me coucher sur lui, en faisant en mĂȘme temps une fellation Ă lâun de mes tortionnaires pendant que lâautre continue Ă prendre des photos, Ils mâenculent Ă tour de rĂŽle et pour finir en mâurinent dans la bouche pendant que je cris de jouissance.
« Bon Anniversaire de mariage chĂ©rie » me disent ils. « Tâes une baiseuse de premiĂšre », « A lâavenir, Ă©vite de te faire sucer le nougat devant les bars, ça tâĂ©vitera des ennuis », « Pour ton mari, tâinquiĂštes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se rappellera pas de tout, dĂ©brouilles-toi pour tâinventer une histoire »
Et ils disparurent.
Tout câest passĂ© comme ils me lâavaient dit, mon mari ne se rappelle plus de ce qui câest vraiment passĂ© aprĂšs le troisiĂšme verre, hormis un vilain cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui dans notre lit sans quâil puisse intervenir, mais ce nâĂ©tait heureusement quâun mauvais rĂȘve argumente tâil !
Je me rends rĂ©guliĂšrement au bar « chez ROBERT « ou je me fais dĂ©foncer tout aussi rĂ©guliĂšrement, bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes, fisting, hommes de couleurs, gang bang organisĂ©s, pipes aux clients sous la table et bien dâautres asservissements.
A chaque fois je récupÚre une photo.
« Quand tu auras rĂ©cupĂ©rĂ© toutes les photos tu seras libre poulette » me dit le patron, « A moins que tu nâaime ça »
Quant Ă mon collĂšgue de travail, il expĂ©rimente avec moi tout ce que sa femme nâaccepte pas. Je ne compte plus les fois quâil me prend dans les toilettes de lâentreprise parfois avec dâautres collĂšgues quâil a mis au courant. Il ne se passe plus un jour sans quâon me touche les fesses sous ma jupe, mĂȘme une collĂšgue lesbienne profite de la situation.
Ne pouvant ne me confier ni Ă mon mari ni Ă la police, je suis allĂ© voir un « psy » Je me suis confiĂ© Ă lui, lui ai narrĂ© mon aventure telle que je viens de le faire. Il mâa Ă©coutĂ©e, et mâa dĂ©clarĂ© quâil nâavait jamais entendu dâhistoire aussi bandante.
Il se rend maintenant réguliÚrement au bar « CHEZ ROBERT » et me baise à chaque occasion.
Mon mari nâest au courant de rien, je lâaime toujours autant, lui aussi mĂȘme sâil se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilitĂ© sexuelle.
10 years ago
encore !!!