Du virtuel au réel... (Part 2)
Elle m'entraine dans le couloir en me tenant par la main. Ma tension commence à baisser, je tergiverse. Moi ? en train de faire une chose comme ça, non non... Impossible, je la stope dans son élan en m'arrêtant brusquement dans les escaliers qui descendent vers les toilettes...
- Attends, j'peux pas faire ça, on ne se connait pas et y'a pleins de monde ici...
- T'inquiète pas ça va aller, et puis tu ne peux pas me laisser comme ça... me dit-elle en me regardant avec des yeux de chien battu.
Que dois-je faire, la suivre ou lui proposer autre chose, j'ai envie d'elle mais pas ici, je ne suis pas encore assez libérée pour ça.
- Allons chez moi, ma voiture n'est pas loin et on sera plus tranquille...
Après quelques secondes à se regarder, elle comprend que je ne peux pas aller plus loin ici et me dit "dépêchons nous, allons vite chez toi"
On se hâte à pas très pressés. On se tient toujours la main, la plupart des gens à l'éxtérieur nous regarde, surtout les hommes, sûrement étonnés de voir deux aussi jolies filles main dans la main...
On arrive à ma voiture en deux fois moins de temps qu'il ne m'en a fallu pour arriver au cinéma il y a 45 minutes. J'appuie sur ma clé et la centralisation de ma Golf se débloque. Elle se jette litteralement sur son siège pour me montrer qu'elle est vraiment pressée. J'essaie de me dépêcher à mon tour mais ce n'est pas vraiment dans ma nature et j'en deviens maladroite. Je n'arrive pas à insérer mes clés dans le contact de ma voiture, les échapant même à mes pieds. C'est ce moment qu'elle choisit pour me lâcher un petit :
- Tu étais beaucoup plus douée quand il s'agissait de mon entrejambe...
Rien que cette phrase me fait replonger dans une envie de sexe exaltante et irréprescible. Je dois l'embrasser, maintenant. Je me jette sur elle, assez brutalement, l'embrasse langoureusement. Elle se laisse faire, pose même une de ses mains sur ma poitrine. Je la sens chaude, brûlante sous mes baiser, ses mains froides commencent à passer sous mon pull. Elle frôle mes seins après avoir remonter mon soutien-gorge au dessus de mes tétons. La froideur associée à la douceur de ses mains féminines me rendent folle... Elle me pince le tétons droit et le frôle avec ses ongles manucurés que je n'ai cessé de regarder depuis que nous sommes ensemble. Les mains d'une femme peuvent, à elles seulent me rendre dingue et le simple fait qu'elles soient sur moi, sans même les voirs puisque sous mon pull, me donnent des frissons et des vapeurs, tout à la fois, d'un extrême à l'autre.
Nous continuons à nous embrasser quand un bruit nous ramène à la réalité. Deux jeunes hommes sont en train de nous observer et l'un d'eux vient de frapper à la porte passager.
Couverte de honte, pour ma part, je tente tant bien que mal de me rhabiller pendant que Sarah me prie de partir très vite. Je ratrappe mes clés, mets le contact et essaie d'y aller le plus rapidement possible. Les deux garçons ont un grand sourire et nous siffle en nous faisant des gestes ostensibles même après notre départ. Je les vois dans mon rétro.
Nous mettons un certains temps à nous en remettre, elle me dit que je devrais en rire mais ceci est impossible pour moi. La honte est vraiment trop présente. Il faut vite que je rentre chez moi. Que je ne sois rien qu'à elle, et elle, rien qu'à moi.
Elle me prie de me détendre mais je n'y arrive toujours pas.
- J'ai le truc qui va te détendre, regarde moi...
Je m'arrête au feu rouge. Elle saisit une de mes mains et la glisse à l'intérieur de son décolleté... Je ne dis aucun mot mais mon visage doit traduire mon émotion. Je suis au bord de l'explosion. Ses seins sont comme je l'imaginais, fermes et galbés, un régal. Son téton est dressé et ne demande qu'à être frôlé, mordu, lécher... En tout cas c'est ce qu'il me dirait si il parlait, j'en suis sûre.
Il faut vite que ce feu passe au vert sinon mon boxer n'arrivera jamais à retenir ce flot de cyprine qui est en train de s'abattre entre mes cuisses...
Je ne comprends plus rien à ce que je fais, je conduis mais mon esprit est ailleurs. Mon esprit est dans ce décolleté, entre ces jambes, sous ce string... Partout sauf sur la route. Elle le sait, elle le voit, elle en joue. Elle se caresse discrètement en me regardant, pas forcément son vagin mais surtout sa poitrine, laissant parfois apparaitre un de ses tétons rosés, pointant assez haut. L'oréole parfaitement ronde et marquée.
Elle ne se prive pas non plus pour passer sa main sur mes cuisses, me les pinçant assez fortement par endroit, sur mon aine et près de mes lèvres...
On arrive enfin chez moi et j'ai beaucoup de mal à me lever, le plaisir et l'envie m'en retiennent, je sens mon corps chavirer, mes jambes tremblent et mon bas ventre me fait souffrir d'envie. Je Lui indique l'entrée de ma petite maison, elle traverse le jardin devant moi et je peux voir ses superbes fesses rebondir à chaque pas. Tout chez elle est une torture psychologique, elle est parfaite...
Je passe devant elle et introduit les clés dans la serrure de ma porte d'entrée, le double tour est enlevé, je la laisse à nouveau passer devant moi...
Elle s'arrête juste devant la porte avant même que j'ai pu me retourner après avoir refermer la porte derrière moi, elle me plaque, face contre le mur...
Je sais que je vais enfin y passer, et je n'attends que ça...
- Attends, j'peux pas faire ça, on ne se connait pas et y'a pleins de monde ici...
- T'inquiète pas ça va aller, et puis tu ne peux pas me laisser comme ça... me dit-elle en me regardant avec des yeux de chien battu.
Que dois-je faire, la suivre ou lui proposer autre chose, j'ai envie d'elle mais pas ici, je ne suis pas encore assez libérée pour ça.
- Allons chez moi, ma voiture n'est pas loin et on sera plus tranquille...
Après quelques secondes à se regarder, elle comprend que je ne peux pas aller plus loin ici et me dit "dépêchons nous, allons vite chez toi"
On se hâte à pas très pressés. On se tient toujours la main, la plupart des gens à l'éxtérieur nous regarde, surtout les hommes, sûrement étonnés de voir deux aussi jolies filles main dans la main...
On arrive à ma voiture en deux fois moins de temps qu'il ne m'en a fallu pour arriver au cinéma il y a 45 minutes. J'appuie sur ma clé et la centralisation de ma Golf se débloque. Elle se jette litteralement sur son siège pour me montrer qu'elle est vraiment pressée. J'essaie de me dépêcher à mon tour mais ce n'est pas vraiment dans ma nature et j'en deviens maladroite. Je n'arrive pas à insérer mes clés dans le contact de ma voiture, les échapant même à mes pieds. C'est ce moment qu'elle choisit pour me lâcher un petit :
- Tu étais beaucoup plus douée quand il s'agissait de mon entrejambe...
Rien que cette phrase me fait replonger dans une envie de sexe exaltante et irréprescible. Je dois l'embrasser, maintenant. Je me jette sur elle, assez brutalement, l'embrasse langoureusement. Elle se laisse faire, pose même une de ses mains sur ma poitrine. Je la sens chaude, brûlante sous mes baiser, ses mains froides commencent à passer sous mon pull. Elle frôle mes seins après avoir remonter mon soutien-gorge au dessus de mes tétons. La froideur associée à la douceur de ses mains féminines me rendent folle... Elle me pince le tétons droit et le frôle avec ses ongles manucurés que je n'ai cessé de regarder depuis que nous sommes ensemble. Les mains d'une femme peuvent, à elles seulent me rendre dingue et le simple fait qu'elles soient sur moi, sans même les voirs puisque sous mon pull, me donnent des frissons et des vapeurs, tout à la fois, d'un extrême à l'autre.
Nous continuons à nous embrasser quand un bruit nous ramène à la réalité. Deux jeunes hommes sont en train de nous observer et l'un d'eux vient de frapper à la porte passager.
Couverte de honte, pour ma part, je tente tant bien que mal de me rhabiller pendant que Sarah me prie de partir très vite. Je ratrappe mes clés, mets le contact et essaie d'y aller le plus rapidement possible. Les deux garçons ont un grand sourire et nous siffle en nous faisant des gestes ostensibles même après notre départ. Je les vois dans mon rétro.
Nous mettons un certains temps à nous en remettre, elle me dit que je devrais en rire mais ceci est impossible pour moi. La honte est vraiment trop présente. Il faut vite que je rentre chez moi. Que je ne sois rien qu'à elle, et elle, rien qu'à moi.
Elle me prie de me détendre mais je n'y arrive toujours pas.
- J'ai le truc qui va te détendre, regarde moi...
Je m'arrête au feu rouge. Elle saisit une de mes mains et la glisse à l'intérieur de son décolleté... Je ne dis aucun mot mais mon visage doit traduire mon émotion. Je suis au bord de l'explosion. Ses seins sont comme je l'imaginais, fermes et galbés, un régal. Son téton est dressé et ne demande qu'à être frôlé, mordu, lécher... En tout cas c'est ce qu'il me dirait si il parlait, j'en suis sûre.
Il faut vite que ce feu passe au vert sinon mon boxer n'arrivera jamais à retenir ce flot de cyprine qui est en train de s'abattre entre mes cuisses...
Je ne comprends plus rien à ce que je fais, je conduis mais mon esprit est ailleurs. Mon esprit est dans ce décolleté, entre ces jambes, sous ce string... Partout sauf sur la route. Elle le sait, elle le voit, elle en joue. Elle se caresse discrètement en me regardant, pas forcément son vagin mais surtout sa poitrine, laissant parfois apparaitre un de ses tétons rosés, pointant assez haut. L'oréole parfaitement ronde et marquée.
Elle ne se prive pas non plus pour passer sa main sur mes cuisses, me les pinçant assez fortement par endroit, sur mon aine et près de mes lèvres...
On arrive enfin chez moi et j'ai beaucoup de mal à me lever, le plaisir et l'envie m'en retiennent, je sens mon corps chavirer, mes jambes tremblent et mon bas ventre me fait souffrir d'envie. Je Lui indique l'entrée de ma petite maison, elle traverse le jardin devant moi et je peux voir ses superbes fesses rebondir à chaque pas. Tout chez elle est une torture psychologique, elle est parfaite...
Je passe devant elle et introduit les clés dans la serrure de ma porte d'entrée, le double tour est enlevé, je la laisse à nouveau passer devant moi...
Elle s'arrête juste devant la porte avant même que j'ai pu me retourner après avoir refermer la porte derrière moi, elle me plaque, face contre le mur...
Je sais que je vais enfin y passer, et je n'attends que ça...
10 years ago
Vite la suite...
C'est trop excitant !!!
vivement la suite de ce délicieux récit...
Vivement la suite
Une excitation rare m'envahi en te lisant.
Ton récit est une pure merveille, vraiment.
Merci