Petite histoire du soir: un restaurant
Petite histoire du soir: un restaurant
Nous sommes au restaurant. Nombreux ; une bonne quinzaine, comme Ă lâĂ©poque. DĂźner de retrouvailles.
Il est lĂ . Il est beau. Putain câquâil est beau.
Le repas est parfait. Ambiance festive, rires et bonne humeur. LâassemblĂ©e se dissipe, pause clope pour certains Ă lâextĂ©rieur. Je lui jette un regard entendu. Et me lĂšve pour aller aux toilettes.
Il se lĂšve Ă son tourâŠ
Je suis dans cette piĂšce, seule. Je nâai pas longtemps Ă attendre. La porte sâouvre, et mon cĆur fait un bond en le voyant.
Il ne dit pas un mot, se rue sur moi, mâembrassant avec une fougue trahissant la puissance de son dĂ©sir. Il me plaque contre le mur, pressant son corps contre le mien. Je sens sa queue contre mon bas-ventre, je mây frotte tant que je peux pour lui indiquer mon appĂ©tit. Il me dĂ©vore la bouche, semble vouloir mâaspirer. Il mâagrippe les cheveux tandis que je lui suce la langue.
Notre baiser ralentit, devient caresse. Nos lĂšvres se frĂŽlent, sâouvrent doucement pour laisser nos langues se titiller timidement. Mes mains descendent sur son torse, le caressant du plat de la main. Je les laisse plonger, allant cĂąliner ses fesses. Et je le replaque contre moi. Je veux de la brutalitĂ©. Il a compris.
Une de ses mains va chercher les miennes pour les tenir au dessus de ma tĂȘte. Je suis sans dĂ©fense, et jâaime ça. Son autre main vient passer sous ma jupe, tandis que ses lĂšvres lĂąchent les miennes pour embrasser mon cou, mon Ă©paule. Mon cĆur sâaccĂ©lĂšre quand je sens sa main se poser sur mon sexe. Elle ne sâembarrasse pas de ma culotte quâelle contourne pour laisser glisser son doigt dans ma fente mouillĂ©e. Je gĂ©mis sous ses intrusions, il agace mon clitoris du bout du doigt, au rythme des mouvements de bassin que je lui impose. Je veux le toucher, je veux le sentir en moi, je nây tiens plus.
Il revient me lĂ©cher les lĂšvres pendant quâil dĂ©tache son pantalon. Il att**** ma jambe, quâil soulĂšve, et pĂ©nĂštre en moi dâun geste brusque. Je laisse Ă©chapper un cri devant la v******e de lâassaut, ce qui le galvanise. Il cogne fort, encore et encore. Je le sens si bien, sa queue me comble toute entiĂšre, putain câest tellement bon. Jâai du mal Ă tenir, je chancelle sous ce plaisir grandissant ; il me soutient les fesses, et me lĂąche les mains, qui viennent se poser immĂ©diatement sur ses fesses pour accompagner son mouvement de va-et-vient, lui intimant mĂȘme lâordre dâaccĂ©lĂ©rer. Je nâen peux plus, mon corps se cambre dans un orgasme puissant. Il donne un dernier coup de rein, et pousse un rĂąle, alors que je sens quâil jouit en moi. Il mâenlace et je le serre fort contre moi, les lĂ©gĂšres ondulations de mon bassin finissant dâaccompagner nos orgasmes.
Il sâĂ©carte, me regarde en souriant. Remet son pantalon, et sort de la piĂšce, sans un mot. Me laissant seule, essoufflĂ©e. Le cĆur battant, le con palpitant. Sentant son foutre couler le long de ma cuisse.
Il mâavait manquĂ©.
Nous sommes au restaurant. Nombreux ; une bonne quinzaine, comme Ă lâĂ©poque. DĂźner de retrouvailles.
Il est lĂ . Il est beau. Putain câquâil est beau.
Le repas est parfait. Ambiance festive, rires et bonne humeur. LâassemblĂ©e se dissipe, pause clope pour certains Ă lâextĂ©rieur. Je lui jette un regard entendu. Et me lĂšve pour aller aux toilettes.
Il se lĂšve Ă son tourâŠ
Je suis dans cette piĂšce, seule. Je nâai pas longtemps Ă attendre. La porte sâouvre, et mon cĆur fait un bond en le voyant.
Il ne dit pas un mot, se rue sur moi, mâembrassant avec une fougue trahissant la puissance de son dĂ©sir. Il me plaque contre le mur, pressant son corps contre le mien. Je sens sa queue contre mon bas-ventre, je mây frotte tant que je peux pour lui indiquer mon appĂ©tit. Il me dĂ©vore la bouche, semble vouloir mâaspirer. Il mâagrippe les cheveux tandis que je lui suce la langue.
Notre baiser ralentit, devient caresse. Nos lĂšvres se frĂŽlent, sâouvrent doucement pour laisser nos langues se titiller timidement. Mes mains descendent sur son torse, le caressant du plat de la main. Je les laisse plonger, allant cĂąliner ses fesses. Et je le replaque contre moi. Je veux de la brutalitĂ©. Il a compris.
Une de ses mains va chercher les miennes pour les tenir au dessus de ma tĂȘte. Je suis sans dĂ©fense, et jâaime ça. Son autre main vient passer sous ma jupe, tandis que ses lĂšvres lĂąchent les miennes pour embrasser mon cou, mon Ă©paule. Mon cĆur sâaccĂ©lĂšre quand je sens sa main se poser sur mon sexe. Elle ne sâembarrasse pas de ma culotte quâelle contourne pour laisser glisser son doigt dans ma fente mouillĂ©e. Je gĂ©mis sous ses intrusions, il agace mon clitoris du bout du doigt, au rythme des mouvements de bassin que je lui impose. Je veux le toucher, je veux le sentir en moi, je nây tiens plus.
Il revient me lĂ©cher les lĂšvres pendant quâil dĂ©tache son pantalon. Il att**** ma jambe, quâil soulĂšve, et pĂ©nĂštre en moi dâun geste brusque. Je laisse Ă©chapper un cri devant la v******e de lâassaut, ce qui le galvanise. Il cogne fort, encore et encore. Je le sens si bien, sa queue me comble toute entiĂšre, putain câest tellement bon. Jâai du mal Ă tenir, je chancelle sous ce plaisir grandissant ; il me soutient les fesses, et me lĂąche les mains, qui viennent se poser immĂ©diatement sur ses fesses pour accompagner son mouvement de va-et-vient, lui intimant mĂȘme lâordre dâaccĂ©lĂ©rer. Je nâen peux plus, mon corps se cambre dans un orgasme puissant. Il donne un dernier coup de rein, et pousse un rĂąle, alors que je sens quâil jouit en moi. Il mâenlace et je le serre fort contre moi, les lĂ©gĂšres ondulations de mon bassin finissant dâaccompagner nos orgasmes.
Il sâĂ©carte, me regarde en souriant. Remet son pantalon, et sort de la piĂšce, sans un mot. Me laissant seule, essoufflĂ©e. Le cĆur battant, le con palpitant. Sentant son foutre couler le long de ma cuisse.
Il mâavait manquĂ©.
11 years ago