De l'aube au crépuscule: 130
Je reçois une lettre de Madame. Toujours la même encre rouge. Mais, aux traits secs de son écriture, je la devine furieuse...
Bonjour la larve, je t'envoie la lettre que j'ai reçue ce matin et qui m'a mise dans une incroyable colère. Si je m'étais écoutée, au lieu de t'écrire, je serais venue ce matin pour te punir violemment. Le plus violemment possible. Puis je me suis ravisée en me disant que la cocue était peut-être là. Mais tu ne perds rien pour attendre. Quelle sorte de sous-mâle es-tu donc pour me manquer autant de respect ? Tu ne mérites même pas que je te crache à la gueule, mais sache que ma vengeance sera terrible.
Ma douce et belle Emma, je t'avoue que je ne m'attendais pas du tout à te voir m'amener ta soumise pour une épilation. Je sais que tu as beaucoup d'imagination, mais j'avais du mal à croire que tu dominais vraiment un mâle. Enfin, si on peut qualifier de mâle la limace que tu m'as apportée l'autre jour. Comme je te comprends, ma belle, que tu aies maintenant choisi d'avoir plusieurs amants. Cela fait maintenant plusieurs années que je te rends douce et lisse. Tu sais que tu es une des seules à qui je fais cela. Tu sais combien j'adore le faire et plus encore ce qui se passe après entre nous. Au début, tu m'avais dit que tu faisais cela pour un maître plus âgé que toi. Pour lui prouver ton appartenance. Mais quand j'ai vu cette pitoyable chose devant moi, j'ai eu pitié de toi. Evidemment, à l'époque, tu n'avais aucune expérience. Tu étais jeune. Tu me disais qu'il te faisait jouir à mort. Une amie infirmière me disait qu'elle détestait raser les hommes avant une opération.Qu'ils ne pouvaient presque pas s'empêcher de bander. C'était la première fois que j'épilais un mâle. Mon amie avait raison. J'avais à peine étalé la première couche de cire sur son pubis, que ta chose a eu une érection. Enfin, si on peut appeler ça comme ça. J'ai dû lui attacher bras et jambes sur la table pour qu'il ne me touche pas. Tu m'avais dit de mettre ton objet à l'épreuve, je ne l'aurais jamais fait pour une autre personne que toi, ma belle. Tu sais combien je n'aime pas les hommes. L'épreuve fut moins pénible que je le pensais. Cela a duré trois minutes à peine. J'ai à peine senti qu'il grossissait dans ma bouche. Je ne me suis même pas rendue compte qu'il avait giclé. Il n'y avait presque rien et, ce presque rien, je lui ai recraché sur la gueule comme tu dis. Je n'ai pas eu le courage de le faire dans sa bouche. La seule chose qui me plaisait, c'était de voir la honte de ton objet. C'était admirable.
Ma douce Emma, ma toute belle, je me réjouis de te voir le mois prochain pour te rendre encore plus douce. J'attends avec impatience ton pipi dans ma bouche. Tu sais combien j'adore cela...
Ce qui m'avait terrifié alors dans cette lettre, ce n'était pas d'avoir été pris dans un piège de Madame. C'était d'apprendre qu'elle était beaucoup moins discrète que je le croyais. À partir de ce moment-là, lorsque je croisais une de ses amies en ville et que son amie souriait, je me suis mis à penser qu'elles étaient toutes au courant. Qu'elles se racontaient toutes l'histoire de Sylvain, le travesti sinon impuissant, du moins un mâle incapable de donner le moindre plaisir à une femme...
Ce que je pensais être un grand secret devait être connu de toutes ses amies... Je me mis à trembler...
Bonjour la larve, je t'envoie la lettre que j'ai reçue ce matin et qui m'a mise dans une incroyable colère. Si je m'étais écoutée, au lieu de t'écrire, je serais venue ce matin pour te punir violemment. Le plus violemment possible. Puis je me suis ravisée en me disant que la cocue était peut-être là. Mais tu ne perds rien pour attendre. Quelle sorte de sous-mâle es-tu donc pour me manquer autant de respect ? Tu ne mérites même pas que je te crache à la gueule, mais sache que ma vengeance sera terrible.
Ma douce et belle Emma, je t'avoue que je ne m'attendais pas du tout à te voir m'amener ta soumise pour une épilation. Je sais que tu as beaucoup d'imagination, mais j'avais du mal à croire que tu dominais vraiment un mâle. Enfin, si on peut qualifier de mâle la limace que tu m'as apportée l'autre jour. Comme je te comprends, ma belle, que tu aies maintenant choisi d'avoir plusieurs amants. Cela fait maintenant plusieurs années que je te rends douce et lisse. Tu sais que tu es une des seules à qui je fais cela. Tu sais combien j'adore le faire et plus encore ce qui se passe après entre nous. Au début, tu m'avais dit que tu faisais cela pour un maître plus âgé que toi. Pour lui prouver ton appartenance. Mais quand j'ai vu cette pitoyable chose devant moi, j'ai eu pitié de toi. Evidemment, à l'époque, tu n'avais aucune expérience. Tu étais jeune. Tu me disais qu'il te faisait jouir à mort. Une amie infirmière me disait qu'elle détestait raser les hommes avant une opération.Qu'ils ne pouvaient presque pas s'empêcher de bander. C'était la première fois que j'épilais un mâle. Mon amie avait raison. J'avais à peine étalé la première couche de cire sur son pubis, que ta chose a eu une érection. Enfin, si on peut appeler ça comme ça. J'ai dû lui attacher bras et jambes sur la table pour qu'il ne me touche pas. Tu m'avais dit de mettre ton objet à l'épreuve, je ne l'aurais jamais fait pour une autre personne que toi, ma belle. Tu sais combien je n'aime pas les hommes. L'épreuve fut moins pénible que je le pensais. Cela a duré trois minutes à peine. J'ai à peine senti qu'il grossissait dans ma bouche. Je ne me suis même pas rendue compte qu'il avait giclé. Il n'y avait presque rien et, ce presque rien, je lui ai recraché sur la gueule comme tu dis. Je n'ai pas eu le courage de le faire dans sa bouche. La seule chose qui me plaisait, c'était de voir la honte de ton objet. C'était admirable.
Ma douce Emma, ma toute belle, je me réjouis de te voir le mois prochain pour te rendre encore plus douce. J'attends avec impatience ton pipi dans ma bouche. Tu sais combien j'adore cela...
Ce qui m'avait terrifié alors dans cette lettre, ce n'était pas d'avoir été pris dans un piège de Madame. C'était d'apprendre qu'elle était beaucoup moins discrète que je le croyais. À partir de ce moment-là, lorsque je croisais une de ses amies en ville et que son amie souriait, je me suis mis à penser qu'elles étaient toutes au courant. Qu'elles se racontaient toutes l'histoire de Sylvain, le travesti sinon impuissant, du moins un mâle incapable de donner le moindre plaisir à une femme...
Ce que je pensais être un grand secret devait être connu de toutes ses amies... Je me mis à trembler...
11 years ago