Mansion of luxury
Il arriva comme convenu, la chercher a coin de la rue, presque Ă l'heure.
Il remarqua qu'elle s'était un peu pomponnée et surtout lorsqu'elle s'installa sur le siège il découvrit son entre jambe alors caché par le long manteau, une paire de bas nylon dessinant magnifiquement ses courbes. il sentit l'envie de la prendre soudain dans la voiture, ici même en plein milieu de la rue.
Mais il se ravisa, il avait d'autre projet pour elle.
-"ou va t’ont?" lui dit-elle
-"tu verra...c'est une surprise"
-"j'aime bien les surprises...les grosses surprise" lui répondit-elle d'un ton trop langoureux avant d'éclater de rire.
Le trajet les fit sortir de la ville, puis a travers champs, enfin il bifurqua sur un petit chemin menant Ă un bois.
-"mmmmh.... en forêt? déjà fait...." lui dit-elle en faisant la moue
Il la regarda dans les yeux avec son sourire malicieux.
-"pas tout a fait" répond-il
Après une centaine de mètres, elle aperçus la grille en fer forgé d'un domaine privé. De l'autre coté une allée en gravillon blanc menait jusqu'à un vieux manoir de la fin du 19ème, typiquement british. Une autre voiture était déjà stationnée a coté et sur le perron de la porte d'entré en haut des escaliers les attendaient un homme et une femme habillés en livrés de domestiques.
Quant ils sortir de la voiture, l'homme vint prendre les clef et s’occupât de récupérer un sac de voyage dans le coffre, la soubrette, elle vint faire une petite courbette face au couple d'amants.
-"Gina, préparez nous un thé et ensuite vous irez arranger la grande chambre ouest. Nicolas, Veuillez porter mes accessoires dans la chambre également et ensuite vous préparerez un repas pour ce soir."
Les deux domestiques s'activèrent promptement, comme si tous cela était normal.
-"Wouah! je suis impressionnée! tu as mis le paquet dit-elle, qui sont ces gens?"
-"Ils sont ce que tu leur demande d'être. Tes servants, tes accessoires, ton chien, ta chienne, ton maitre ou ta maitresse et caetera... cela te dérange?"
-" du moments qu'ils nous laisse tranquille plus tard lui dit elle en caressant son sexe à travers le pantalon, cela ne me dérange pas."
-" je crois que tu n'a pas encore bien compris qui je suis. c'est moi qui vais décider si ils nous dérangeront ou non, si ils te baiseront ou non. répondit-il en l’empoignant par les cheveux a l'arrière du crane et lui tirant la tête en arrière il lui glissa à l'oreille; ce weekend tu va jouir, jouir, jouir et encore jouir jusqu’à en avoir mal, jusqu’à ce que le monde autour de toi devienne tout blanc, jusqu’à ce que tu sente ton corps t'abandonner.
Il lui mordit un seins à travers son chemisier, juste au niveaux du piercing de son téton, et il l'entendit gémir un peu avant de la relâcher.
Elle le regardât à la fois effrayée et excitée.
-"allons un boire un thé pour commencer"
Ils pénétrèrent dans la vieille demeure, les meubles, les boiseries ainsi que les tapisseries étaient d'époque, il y avait une odeur de ces choses anciennes.
Quant ils rentrèrent dans le petits salon, ils furent assaillis par la quantité de bibelots et de cadre accrochés au murs. Des toiles de femmes nues dans le style de l'époque, des objets à la fonction inconnues de formes phalliques posé sur les meubles.
La soubrette, vint leur prendre leur manteaux. il se rendit compte que la jupe de son amante lui moulait bien le cul et le mettait en valeur. Quelle croupe, il rêvait déjà de la chevaucher par derrière et d’administrer de belles fessées sur ce cul rose pâle et de le voir devenir rouge et l'entendre gémir a chaque coup.
Mais il s'assit les jambes crisé pour restreindre une érection naissante et d'un geste invita son amante a faire de même dans le petit fauteuil en face lui.
Il sentit le sang lui monter au visage quand il vit à son entre jambe qu'elle ne portait pas de culotte, il devina quelques instant son abricot rasé surmonté d'un "ticket de métro".
Il ne pouvait plus retenir son désir, il bandait dur et croiser les jambes lui faisait mal, Il se réinstalla comme un homme sur de sa virilité les jambes écarté, dévoilant ainsi une belle bosse sous son pantalon.
Elle remarqua le sexe tendu de son compagnon et réprima un petit sourire de satisfaction, elle savait qu'elle lui faisait de l'effet. elle décida d'en rajouter une couche, elle fit un geste pour rabattre une partie de sa chevelure en arrière pour dévoiler ainsi sa nuque et se tint droite pour gonfler sa poitrine déjà bien serrée dans ce chemisier qu’elle avait choisit une taille en dessous pour bien la mouler et dévoiler la forme de ses seins.
Il la regarda se mettre à son avantage et apprécia la formes de ses courbes.
La soubrette leur apporta un thé ainsi qu'un petit pot de lait, du sucre et quelques pâtisseries orientales.
Lorsqu’elle posa le plateau sur la table basse, elle vient se placer devant la femme et s'inclina pour poser son fardeau, de façon à ce qu'elle voit sous sa petite jupe de soubrette.
Elle vit que celle si avait un cul magnifique et ne portait pas de culotte non plus, entre ses jambes serrée on pouvait voir un peu ses lèvres bien ferme et rebondies dépasser. Puis la soubrette se redressa et se tourna face à la femme pour lui adresser la parole.
-"Monsieur m'a chargé de vous satisfaire pendant que vous prendrez le thé, si toutefois je ne suis pas assez habile avec ma langue, vous pouvez me congédier."
La soubrette s'agenouilla et posa ses mais sur les genoux de la femme pour lui écarter les jambes. Elle glissa sa tête contre le sexe de la femme et débuta avec des baisers et de doux mordillement de ses lèvres.
Il regarda son amante stupéfaite, mais se laissant faire timidement. Il vit qu'elle perdit toute résistance lorsque la soubrette commença a fouiller de sa langue entre ses lèvres pour jouer avec le piercing de son capuchon ainsi que son clitoris. Elle soupira un grand coup et ses mains vinrent s'agripper au molletonné des accoudoir du fauteuils en cuir.
Il la vint se cabrer de plaisir et jeter sa tête en arrière...puis un cour instant après il l'entendit pousser un petit cris de plaisir.
-"Allons ma chère! retenez vous un peu! gardez votre tenu et buvons notre thé avant qu'ils refroidisse."
Elle fit un effort incroyable, pour se redresser et saisir la tasse qu'il lui tendait. Sa main tremblante porta jusqu’à sa bouche entre ouverte un peu de la boisson chaude, mais elle manqua de s'étouffer alors qu'elle sentit un furieux coup de langue venir fouiller le début de son vagin et remonter en appuyant fort jusqu'à son clitoris. Sa respiration saccadée et rapide l’empêchait de boire correctement, mais elle se força.
Elle tendit la tasse à son amant, les yeux à demi fermé presque au bord des larmes, et à peine l'eut il saisi qu'elle explosa ne pouvant plus se retenir. Elle cria d'un long râle de plaisir et jeta son corps en arrière dans le fauteuils, sa poitrine gonflée de désir fit céder un bouton du chemisier, ses doigts se plantant dans le dos de la soubrette manquant de lui arracher ses vêtements auraient probablement labourée la chaire si elle avait été nue. Ses jambes se serrèrent autour du visage de la pauvre soubrette et cette dernière sentit le jus de son éjaculation lui couler sur la bouche et le menton.
Quand elle relâcha enfin sa prise, se souffle haletant, la soubrette se releva et demanda d'un ton courtois et polis:
-"Cela vous convient-il madame ou bien dois-je continuer?"
Elle ne pu répondre tellement l'extase parcourant on corps était présente. Le souffle irrégulier, elle se caressait les seins au travers de son chemisier et aussi le long de son entre jambe, le temps de redescendre et reprendre une respiration correcte. Elle sentait ses battement de cœur s'apaiser et le sourd bruit du sang dans ses tempes s'estomper.
Lorsqu’elle baissa la tête, elle se rendit compte qu'elle avait inondé le fauteuil de son jus, mais aussi un peu le tapis a ses pieds.
Elle regarda son amant et lui dit le souffle encore un peu cour:
-"Viens me baiser"
-"pas tout de suite. Nous allons monter"
Il se leva et fit un signe à la soubrette de débarrasser et nettoyer. Il prit son amante par la main et l'incita a se lever et le suivre.
Ils passèrent un long couloir, puis gravirent une belle montée d'escalier en bois gravée, encore un couloir puis une chambre.... immense, remplie de tapis et au milieu un grand lit a baldaquin entouré de quatre grands miroirs sur pieds.
Nicolas le domestique les attendait.
-"Bien Nicolas, faites ce qu'il y a Ă faire"
Le domestique s’approcha d'elle et la dirigea vers le lit. Il commença a déboutonner le chemisier, mais elle tressaillit et se recula un peu.
-"laisse toi faire! sinon je ne te baise pas!"
Elle fit un pas en avant et pris sur elle pur se détendre. Le domestique fut délicat et la déshabilla complément, sauf les bas lorsqu'il vit l'amant faire un signe négatif de la tête.
-"Attache la"
Nicolas, s’exécuta et incita la femme a venir s'agenouiller sur le bord du lit. Il prit une corde de coton et commença a lui lier un poignet, sans trop serrer et l'attacha à un des montants du baldaquin, il fit de même avec l'autre main et ensuite il incita la femme à écarter les jambes.
Il passa la cordes autour de ses cuisses, fit quelques nœuds revint le long des ses mollets puis fit de même que pour les mains en la liant au montant du lit.
Elle était en train de s’observer dans les miroirs, toute excitée par la vue de se voir ainsi attachée et encore chaude de la séance de coup de langue de la soubrette.
Il vient derrière elle, lui empoigna un seins en lui pinçant le téton, se son autre main il fourra un doigts dans sa chatte humide et lui mordit la nuque ne même temps sans réelle délicatesse. Elle gémit
-"le weekend ne fais que commencer"
12 years ago