Dans la cabine d'essayage,
Dans la cabine d'essayage,
C'Ă©tait la pĂ©riode des soldes de juillet et le temps Ă©tait lourd. En sortant du travail, pour oublier le stress des rĂ©unions professionnelles et les innombrables appels tĂ©lĂ©phoniques, j'avais dĂ©cidĂ© d'acheter quelques vĂȘtements. Ayant choisi une jupe et une robe lĂ©gĂšre, je me rendis dans l'espace des cabines d'essayage. Un employĂ© antillais s'occupait de donner un carton numĂ©rotĂ© Ă chacun des clients voulant essayer un vĂȘtement.
Lorsqu'il me tendit mon carton numĂ©rotĂ©, il me glissa un regard brĂ»lant. Une fois dans ma cabine, je commençai Ă me dĂ©shabiller pour essayer la robe. Tout Ă coup le rideau de ma cabine est tirĂ© et l'employĂ© antillais entre dans ma cabine. J'allais ouvrir la bouche pour protester. Il me plaqua sa main droite sur la bouche en me disant "Salope, tu me mets le feu aux couilles", puis aprĂšs m'avoir arrachĂ© mon soutien gorge et baissĂ© mon slip, il me colle Ă la paroi de la cabine et m'embrasse brutalement, goulument..sa langue fouille rudement ma bouche. Puis d'un geste rapide il sort son Ă©norme verge au gland impressionnant ; posant sa main puissante sur le haut de ma tĂȘte et m'oblige Ă m'accroupir...Et il me jette : " Connasse, tu es chaude, je le vois dans tes yeux et dans ta dĂ©marche, tu aimes la bite, alors suce moi !" Et en une poussĂ©e il m'enfourne sa pine dans la bouche. Il la fait coulisser. Je dois dire que bien qu'humiliĂ©e, j'aimais avoir cette pine au gland dĂ©mesurĂ©e dans la bouche...j'Ă©touffais.
Puis il me releva, me retourna, me dit de prendre appui contre la paroi de la cabine. Il m'Ă©carta les cuisses sans mĂ©nagement. Il me pĂ©nĂ©tra d'une seule poussĂ©e...excitĂ©e par cette situation, il n'eut aucune peine Ă entrer en moi...Il me rendait folle...J'allais crier de plaisir...Il plaqua sa main sur ma bouche et murmura Ă mon oreille " Salope ! tu veux me faire perdre mon boulot ! Ferme ta gueule pendant que je te baise !" Il continua Ă aller et venir dans ma chatte. Puis, il sortit sa grosse bite puis me l'enfila aussi sec dans le cul ! Sa main se plaqua encore plus durement contre ma bouche car je gĂ©missais...il m'encula Ă fond. J'avais mal...mais quel plaisir...son sexe Ă©norme fouillait mes entrailles ! J'avais envie de hurler de douleur et de plaisir en mĂȘme temps !!! Puis je sentis un liquide chaud inonder mon cul, puis couler sur mes cuisses...il me força, encore une fois, Ă m'agenouiller et je dus sucer son sexe qui avait l'odeur de mon cul..Il Ă©tait excitĂ© de m'avoir humiliĂ©e "Connasse, ne te plains pas, je sais que tu aimes ça !", puis il m'embrassa une nouvelle fois. Il arrangea sa tenue et sortit de la cabine. J'avais mal Ă mon cul qui Ă©tait plein de son foutre, j'avais Ă©tĂ© humiliĂ©e...mais j'avais aimĂ© ça. Je m'essuyais le minou et le cul avec mon slip, me rhabillait et sortis de la cabine. J'avais l'impression que tout le monde me regardait. Une fois chez moi, je m'allongeait et me caressait un long moment en pensant Ă mon "violeur"...et je m'endormis avec son odeur collĂ©e Ă la peau.
C'Ă©tait la pĂ©riode des soldes de juillet et le temps Ă©tait lourd. En sortant du travail, pour oublier le stress des rĂ©unions professionnelles et les innombrables appels tĂ©lĂ©phoniques, j'avais dĂ©cidĂ© d'acheter quelques vĂȘtements. Ayant choisi une jupe et une robe lĂ©gĂšre, je me rendis dans l'espace des cabines d'essayage. Un employĂ© antillais s'occupait de donner un carton numĂ©rotĂ© Ă chacun des clients voulant essayer un vĂȘtement.
Lorsqu'il me tendit mon carton numĂ©rotĂ©, il me glissa un regard brĂ»lant. Une fois dans ma cabine, je commençai Ă me dĂ©shabiller pour essayer la robe. Tout Ă coup le rideau de ma cabine est tirĂ© et l'employĂ© antillais entre dans ma cabine. J'allais ouvrir la bouche pour protester. Il me plaqua sa main droite sur la bouche en me disant "Salope, tu me mets le feu aux couilles", puis aprĂšs m'avoir arrachĂ© mon soutien gorge et baissĂ© mon slip, il me colle Ă la paroi de la cabine et m'embrasse brutalement, goulument..sa langue fouille rudement ma bouche. Puis d'un geste rapide il sort son Ă©norme verge au gland impressionnant ; posant sa main puissante sur le haut de ma tĂȘte et m'oblige Ă m'accroupir...Et il me jette : " Connasse, tu es chaude, je le vois dans tes yeux et dans ta dĂ©marche, tu aimes la bite, alors suce moi !" Et en une poussĂ©e il m'enfourne sa pine dans la bouche. Il la fait coulisser. Je dois dire que bien qu'humiliĂ©e, j'aimais avoir cette pine au gland dĂ©mesurĂ©e dans la bouche...j'Ă©touffais.
Puis il me releva, me retourna, me dit de prendre appui contre la paroi de la cabine. Il m'Ă©carta les cuisses sans mĂ©nagement. Il me pĂ©nĂ©tra d'une seule poussĂ©e...excitĂ©e par cette situation, il n'eut aucune peine Ă entrer en moi...Il me rendait folle...J'allais crier de plaisir...Il plaqua sa main sur ma bouche et murmura Ă mon oreille " Salope ! tu veux me faire perdre mon boulot ! Ferme ta gueule pendant que je te baise !" Il continua Ă aller et venir dans ma chatte. Puis, il sortit sa grosse bite puis me l'enfila aussi sec dans le cul ! Sa main se plaqua encore plus durement contre ma bouche car je gĂ©missais...il m'encula Ă fond. J'avais mal...mais quel plaisir...son sexe Ă©norme fouillait mes entrailles ! J'avais envie de hurler de douleur et de plaisir en mĂȘme temps !!! Puis je sentis un liquide chaud inonder mon cul, puis couler sur mes cuisses...il me força, encore une fois, Ă m'agenouiller et je dus sucer son sexe qui avait l'odeur de mon cul..Il Ă©tait excitĂ© de m'avoir humiliĂ©e "Connasse, ne te plains pas, je sais que tu aimes ça !", puis il m'embrassa une nouvelle fois. Il arrangea sa tenue et sortit de la cabine. J'avais mal Ă mon cul qui Ă©tait plein de son foutre, j'avais Ă©tĂ© humiliĂ©e...mais j'avais aimĂ© ça. Je m'essuyais le minou et le cul avec mon slip, me rhabillait et sortis de la cabine. J'avais l'impression que tout le monde me regardait. Une fois chez moi, je m'allongeait et me caressait un long moment en pensant Ă mon "violeur"...et je m'endormis avec son odeur collĂ©e Ă la peau.
12 years ago
Bisous partout ...
je changerai bien de métier pour te servir mieux!
j'ai trop envie d ete prendre
dans une cabine moi aussi