Les commerciaux

C’est une des espĂšces d’hommes que je chasse. Il y a l’artisan, dans son fourgon souvent blanc, qui entre deux chantiers, vient se faire sucer et m’encule souvent vigoureusement. Et il y a le commercial,dans la belle voiture de fonction, plus Ă©lĂ©gant dans sa tenue, qui aime tout autant les sucettes, et ne dĂ©daigne pas “un bon cul”, au dĂ©tour de sa route, comme je l’ai souvent entendu.
Si Lundi j’i subi les assauts brutaux -mais agrĂ©ables- d’un des premiers, mardi et mercredi ont Ă©tĂ© dĂ©volus au seconds.
Mardi aprĂ©s-midi donc, comme convenu, Ă  peine sortie de chez le vĂ©tĂ©rinaire avec mon chat, je m'apprĂȘte pour recevoir J
 qui est venu il y a 15 jours et qui veut se montrer plus Ă  la hauteur. Ma foi? Je n’ai rien de mieux Ă  faire que d’enfiler ma belle lingerie rouge sous ma nouvelle robe moulante assortie: Ohlala! Dans le miroir, quel scandale! Mes formes minces sont soulignĂ©es, on voit dĂ©passer mes jarretelles
 ouf! quel engin!
Dans la pĂ©nombre, j’en suis presque contrariĂ©e: mais tu le vois, au moins, tout ce rouge? On m’assure que oui. Toujours aussi grand, toujours aussi timide en rĂ©el, alors qu’il Ă©tait si entreprenant en virtuel, typique de sa gĂ©nĂ©ration! Afin d’éviter le dĂ©ut de dĂ©bandade de la derniĂšre fois, on s’est mis d’accord: contournant l’obstacle de la capote, je caresse doucement son sexe, chuchotant dans la demi-obscuritĂ©, volets clos sur le soleil de printemps. rapidement, j’ai l’affaire bien en main: jolie, courbĂ©e, raide et rasĂ©e de frais rien que pour moi! J’enfile le prĂ©servatif, grimpe sur le lit, et en avant! Directement dans mon cul! LĂ , oui, ça fonctionne! Je sens son sexe m’ouvrir, se loger en moi, Ă©carter ma chatte en la pĂ©nĂ©trant. Oui, oui, c’est bon, encule-moi, mon chou, tu vois, tu y es arrivĂ©! Bravo! Allez, maintenant, mets-m’en un coup, dĂ©monte-moi, j’aime me faire baiser, comme ça, seule chez moi un mardi aprem par un homme de passage! Ah, quel dommage qu’il ne sache plus parler, lorsqu’il me sodomise ainsi! Dans le silence, on n’entend que le tintement des anneaux de mon collier de chienne, qui s’entrechoquent avec mes grands crĂ©oles, alors c’est moi qui alimente la conversation: vas-y, Ă©carte-moi la chatte! Il est comment, hein, mon petit cul? Continue, continue, j’aime sentir tes boules qui tapent contre mes fesses! Il m’enfile bien, mon corps encaisse volontiers ses coups de reins, mais, il n’y a pas Ă  dire, le savoir-faire, la conversation et l’énorme tige de mon mec me manquent beaucoup! Alors: on change? je te monte dessus? Okay, pas mal, je replonge sa tige dans mes fesses, commence Ă  lui donner les coups de reins qui font craquer mon mec, je caresse ma queue, dĂ©jĂ  bien raide, sur son ventre: aĂŻe, erreur stratĂ©gique! On perd ses moyens? Encore un qui a du mal Ă  tout assumer? Eh oui, mĂȘme en lui remontant dessus Ă  l’envers, les couleurs sont abaissĂ©es, tout redescend! Dommage, mais pas catastrophique: je redescends Ă  son chevet, passe un peu de gel sur mes mains, et, de tous mes doigts, je me mets en devoir de ranimer la flamme. Les effets de mes caressent se font aussitĂŽt sentir, des couilles au gland, mes chatteries refont dresser le bel engin, que je masturbe avec un plaisir non dissimulĂ©: ah c’est beau, ah, j’adore faire ça! Le spectacle me plaĂźt tellement que je plonge ma criniĂšre blonde entre ses jambes, et lĂšche ses boules rasĂ©es avec voluptĂ©.
Le résultat ne se fait pas attendre: il se redresse, se lÚve devant moi, et inonde mon visage de sa semence, en soupirant!
Son dĂ©part se fait sans tambours ni trompettes, les belles phrases reprendront dĂšs qu’il sera loin: comment comprendre les hommes? J’n suis pourtant un aussi, non? Mais d’un genre diffĂ©rent: devant le miroir tripartite de la coiffeuse, je m’installe confortablement, mon grand sextoy bien en place en moi, appuyant juste lĂ  oĂč il faut. FascinĂ©e une fois de plus par son reflet, cette grande Narcisse blonde en lingerie rouge caresse longuement son Ă©rection sous mes eux, se travaillant le cul, alors que du sperme sĂšche encore sur sa joue. Du sperme? Oui, et je vois brutalement le mien couler, alors que le plaisir enfin me submerge.


Le lendemain, 13h30. je n’attendais rien. J’étais allongĂ© sur mon lit, en mec, regardant vaguement les messages sur mon site favori, quand soudain tout s’enchaĂźne: il n’a pas pu s'arrĂȘter chez moi hier, j’étais occupĂ©e. Mais le voilĂ  qui me propose de faire une pause coquine sur son chemin! Ce grand Breton est descendu de Bordeaux Ă  Tarbes, et remonte aujourd’hui vers Villefranche-de-Rouergue! Quel kilomĂ©trage! Et moi, je ne peux qu’accepter: oui, mon chou, viens me voir. Je serai prĂȘte.
Occasion Ă  saisir, de remettre mon beau porte-jarretelles noir sous ma jupe Ă  carreaux noirs et blancs, et ce petit top noir Ă  manches longues, qui met bien mes seins en valeur. CoiffĂ©e, maquillĂ©e, je n’ai plus qu’à me poster devant la porte, scruter la route et attendre mon amant encore inconnu. j’adore ces moments de tension, quand tout est possible, et j’ajuste ma tenue nerveusement pendant qu’il s’empĂȘtre dans les chemins de ma campagne.
Enfin le voilĂ : grand, trĂšs grand, bien bĂąti, brun, mĂąchoire carrĂ©e, une belle chemise balance, un jean bien rempli, Dans la pĂ©nombre oĂč il m’a rejointe, je laisse ses mains toucher mon corps, mes jambes, mes hanches, mes seins, me voilĂ  caressĂ©e comme une femme: j’adore! A genoux, je dĂ©fais le pantalon, extrait un sexe chaud, rasĂ©, pas Ă©norme, mais qui, incontestablement, est dressĂ© pour moi. Ma langue se pose sous le gland. Mes lĂšvres viennent l’embrasser. Ma bouche coulisse lentement et descend le long de la hampe chaude. Jusqu’au bout, jusqu’à la racine. il soupire, et me le dit: tu es une salope, toi, hein, tu aimes ça, la bite?
Non j’aime pas, j’adore ça, lui dis-je, mes lĂšvres maquillĂ©es enduites de ma salive, alors que de ma langue, je caresse son gland, sa tige. mes lĂšvres sont partout sur son sexe, je caresse ses grandes cuisses musclĂ©es, puis je recommence, Ă  genoux, Ă  sucer ma 150Ăšme bite!Je ne peux plus m’arrĂȘter: j’adore ces rdv imprĂ©vus, Ă  l’arrache, oĂč on se dĂ©couvre une alchimie fugace mais dĂ©licieuse. OĂč je peux ĂȘtre mon autre moi, Joana la suceuse, Joana celle qui encaisse des bites, Joana qui fait bander les mecs et qui aime les faire bander! Alors je lĂšche, alors je suce, je saisis ses grosses boules lisses Ă  pleines mains, et il doit mettre un terme Ă  ma passion, car vraiment je me perds lorsque je pratique la fellation.
Mais bien sĂ»r que je vais ouvrir mon cul pour toi, mon chou. Regarde, je remonte ma jupe, Ă©carte mon string noir, et je t’offre ma chatte. Sans hĂ©sitation, sa queue raide m’écarte et plonge en moi. Une claque vient faire vibrer la peau de mes fesses, alors que son sexe entre et sort de moi. Oui, oui! J’adore ça! Elle est pas mal, cette fessĂ©e qui accompagne ma sodomie, mĂȘme si je la voudrais un tout petit peu plus forte? Mais il est dit que seul mon mec sait me claquer les fesses comme il faut quand il m’encule! Au moins celui-ci sait-il me parler pendant qu’il me baise! Ses mains me tiennent par les hanches, sa queue plonge en moi, et il me le dit: tu es vraiment une petite salope, une petite pute, ça se voit que tu aimes la bite! Oui, j’adore ça, j’aime me faire enculer, allez, mets-la moi. Ressors, puis pĂ©nĂštre moi encore? que je sente ta verge qui m’ouvre et me prend, jupe relevĂ©e, en levrette au bord du lit. Ma tige gonfle, se redresse, se tend, je sens le plaisir monter. Pleine d’espoir, je me le dis: celui-ci sera-t-il capable de m’amener au plaisir? Il me sodomise bien, ferme mais pas brutal, continue Ă  faire claquer la peau de mes fesses, un vrai dominateur, je sens la chaleur monter entre mes cuisses, avec ravissement
 Las! Le voilĂ  qui se retire, se plante Ă  cĂŽtĂ© du lit: viens prendre tout mon jus, salope!
Et moi, Ă  genoux, folle d’excitation, je relĂšve mon top noir, lui prĂ©sente mes seins, regarde, mon chou, et je m’entends, horrifiĂ©e, lui dire: vas-y, vas-y, mets-moi du sperme plein la gueule, je veux ton foutre, donne-moi ton jus, oh oui, oh c’est bon, j’aime le sperme! Sa semence chaude s'Ă©tale sur ma peau, coule jusqu’au sol, alors que je ne peux penser Ă  rien d’autre.
Je le laisse repartir, un peu déçue, quand mĂȘme, et je me mets devant le miroir de la salle de bains, pour finir de contempler mes formes fĂ©minines, ma tenue sexy, et regarder mes doigts courir le long de ma tige dressĂ©e. Je manque mĂȘme d’éjaculer. Mais non, ces plaisirs solitaires ne me suffisent plus.
Quelques heures plus tard, les rĂŽles sont inversĂ©s. Sur le lit, je vois ma verge plonger et replonger dans le cul magnifique de ma compagne. On sait se toucher, on sait se parler, et le plaisir qui m’emporte est bien plus fort que tout ce que ces mecs auraient pu me donner!
Published by joan323232
6 days ago
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