à la sauvette, en cachette et en silence
Je m’échappe du travail, attrape au vol mes affaires de fille, et redémarre en trombe pour la ville où Alex de V. m’a encore donné rdv, discrètement, cohabitation avec ses voisins de l’étage oblige. C’est son fantasme, et j’y cède bien volontiers: aujourd’hui je reprends le chemin de l’école! Malgré le temps qui a passé, me voilà en tenue de collégienne, ou d’étudiante, soyons réaliste, d’un pensionnat de jeunes mauvaises filles pas très sage! La jupe à carreaux est courte, le ceinturon de cuir noir serre bien ma taille fine, mon petit top noir fait ressortir mes seins. Et dessous: mon magnifique nouveau porte-jarretelles rouge, à six attaches, qui est assorti à mon soutif et à mon string. Dès que je passe la porte pour entrer dans la chambre ses mains se posent sur moi, et caressent mes bas nylon qui l’obsèdent! Ma main cherche son sexe, je souris en sentant sa taille, sa rideur, son épaisseur: oui, oui, je suis venue pour ça. Sa main trouve le mien, l’extrait de mon string rouge, et, en experte, le flatte doucement. Je bande dans la main de cet homme! Alors, sans honte, j’empoigne son énorme verge, et me mets moi aussi à le masturber. Le spectacle de nos deux queues dressées, de nos mains qui coulissent sur nos tiges, lui le mec viril aux cheveux courts, moi la blonde en tenue de petite cochonne est somptueux, mais je ne peux plus me retenir: je me mets à genoux devant lui.
Nos fellations sont passionnées. La dureté, la chaleur, le diamètre de son engin m'excitent, mes lèvres montent et descendent le long de sa hampe. Lui me tient la tête, introduit son gland dans ma bouche, soupire alors que je m’abîme dans mes délices de fellatrice. Il n’est pas en reste: assis sur le lit, il lèche mon sexe dressé, me suce voluptueusement, et je caresse sa nuque musclée, ses courts cheveux drus, alors qu’il taille une pipe à sa grande éudinte blonde…
Il s’allonge: à son chevet, je le reprends langoureusement en bouche. Elle est toujours aussi longue, aussi grosse, aussi chaude. Et lui touche toujours aussi bien la trique brûlante qui trône entre mes jarretelles. Je n’y tiens plus: je grimpe sur le lit, me mets tête-bêche au-dessus de lui, et , sans effort, laisse glisser sa queue raide de me lèvres jusqu’au fond de ma gorge. J’avale, j’avale tout. Lorsque je m’arrête, c’est avec ravissement que je sens mon rouge se poser sur la peau tendre de ses boules.Je l’ai prise entière: je me fige, le libère, et repars en apnée, le Grand Rose, peut-être alors que sa bouche me travaille sans interruptions, et que ses mains ne se lassent plus de caresser le nylon de mes bas! C’est un de mes plus beaux soixante-neuf, Couple improbable, la grande étudiante blonde qui plonge sa tête entre les jambes de ce jeune homme musclé, viril. Et lui, le visage perdu dans mes dentelles, qui caresse de sa langue mon érection. Je me redresse un peu, reprends mon souffle, explore sa tige de mes doigts fins. Les caressent sur la grosse veine, le frein, le gland l’affolent, il est obligé de m’arrêter.
Baise-moi la chatte, mon chou, j’ai trop envie que tu m’encules avec t grosse bite! En voilà du langage! De quoi se faire punir! Mais non, en guise de punition, le voilà qui introduit son sexe au creux de mes fesses, ouvre mon anus, et m’investit, doux et ferme, comme j’aime,alors que ses mains fortes enserrent mes chevilles. Ah putan que c’est bon de se faire enfiler, mon chou, vas-y, mets-la moi, encule-moi! J’ai beau chuchoter, mes mots, et les ondulations de mon corps qui se cambre, qui va à la rencontre de sa verge montrent sans honte mon excitation. Oui, continue, enfile-moi, enfile-moi, j’adore ta grosse bite! Ses mains maintenant se posent sur mes fesses, sa queue me pénètre, va, vient, est impérieuse et conquérante. Touche, touche entre mes jambes comme je bande quand tu m’encules! Il ne dit rien, je parle pour deux, à voix basse, soucieuse malgré mon trouble montant de ne pas alarmer les Autres, ces inconnus, famille, amis, voisins, qui partagent la maison avec lui. Et qui sont loin de se douter que dans la chambre du rez-de-chaussée, en ce moment, dans un grand soupir, il cesse de résister et éjacule bien planté au fond de mon cul. Vas-y mon chou, jouis, jouis, mais ne te retire surtout pas, car moi aussi, moi aussi, je sens le plaisir monter. Je fais encore jouer mon anus le long de ta tige, et enfin, c’est mon tour: j’éjacule prise en levrette par cet homme, en silence, heureuse et libre dans la lumière du soleil de mars que laissent passer les persiennes closes. On se quitte silencieux et souriants. La salle de bains, glaciale, sonne le retour à une réalité plus prosaïque. Passé le portail, sac sur l’épaule, mon message lui dit tout: “ personne ne m’a vue. Tu as été fantastique. j’ai joui comme une folle. A bientôt.”
Nos fellations sont passionnées. La dureté, la chaleur, le diamètre de son engin m'excitent, mes lèvres montent et descendent le long de sa hampe. Lui me tient la tête, introduit son gland dans ma bouche, soupire alors que je m’abîme dans mes délices de fellatrice. Il n’est pas en reste: assis sur le lit, il lèche mon sexe dressé, me suce voluptueusement, et je caresse sa nuque musclée, ses courts cheveux drus, alors qu’il taille une pipe à sa grande éudinte blonde…
Il s’allonge: à son chevet, je le reprends langoureusement en bouche. Elle est toujours aussi longue, aussi grosse, aussi chaude. Et lui touche toujours aussi bien la trique brûlante qui trône entre mes jarretelles. Je n’y tiens plus: je grimpe sur le lit, me mets tête-bêche au-dessus de lui, et , sans effort, laisse glisser sa queue raide de me lèvres jusqu’au fond de ma gorge. J’avale, j’avale tout. Lorsque je m’arrête, c’est avec ravissement que je sens mon rouge se poser sur la peau tendre de ses boules.Je l’ai prise entière: je me fige, le libère, et repars en apnée, le Grand Rose, peut-être alors que sa bouche me travaille sans interruptions, et que ses mains ne se lassent plus de caresser le nylon de mes bas! C’est un de mes plus beaux soixante-neuf, Couple improbable, la grande étudiante blonde qui plonge sa tête entre les jambes de ce jeune homme musclé, viril. Et lui, le visage perdu dans mes dentelles, qui caresse de sa langue mon érection. Je me redresse un peu, reprends mon souffle, explore sa tige de mes doigts fins. Les caressent sur la grosse veine, le frein, le gland l’affolent, il est obligé de m’arrêter.
Baise-moi la chatte, mon chou, j’ai trop envie que tu m’encules avec t grosse bite! En voilà du langage! De quoi se faire punir! Mais non, en guise de punition, le voilà qui introduit son sexe au creux de mes fesses, ouvre mon anus, et m’investit, doux et ferme, comme j’aime,alors que ses mains fortes enserrent mes chevilles. Ah putan que c’est bon de se faire enfiler, mon chou, vas-y, mets-la moi, encule-moi! J’ai beau chuchoter, mes mots, et les ondulations de mon corps qui se cambre, qui va à la rencontre de sa verge montrent sans honte mon excitation. Oui, continue, enfile-moi, enfile-moi, j’adore ta grosse bite! Ses mains maintenant se posent sur mes fesses, sa queue me pénètre, va, vient, est impérieuse et conquérante. Touche, touche entre mes jambes comme je bande quand tu m’encules! Il ne dit rien, je parle pour deux, à voix basse, soucieuse malgré mon trouble montant de ne pas alarmer les Autres, ces inconnus, famille, amis, voisins, qui partagent la maison avec lui. Et qui sont loin de se douter que dans la chambre du rez-de-chaussée, en ce moment, dans un grand soupir, il cesse de résister et éjacule bien planté au fond de mon cul. Vas-y mon chou, jouis, jouis, mais ne te retire surtout pas, car moi aussi, moi aussi, je sens le plaisir monter. Je fais encore jouer mon anus le long de ta tige, et enfin, c’est mon tour: j’éjacule prise en levrette par cet homme, en silence, heureuse et libre dans la lumière du soleil de mars que laissent passer les persiennes closes. On se quitte silencieux et souriants. La salle de bains, glaciale, sonne le retour à une réalité plus prosaïque. Passé le portail, sac sur l’épaule, mon message lui dit tout: “ personne ne m’a vue. Tu as été fantastique. j’ai joui comme une folle. A bientôt.”
7 days ago