Passer des mots aux actes
Il me baratine depuis des jours, le rdv est arrĂȘtĂ©, bloquĂ©, mais⊠ma compagne va rentrer du travail et ne me laisse quâune heure libre en tout dĂ©but de matinĂ©e. A grands renforts de tractations nocturnes, je dĂ©croche le rdv pour 8h00. Propre, Ă la diĂšte, je mâapprĂȘte Ă recevoir un homme mature, amant confirmĂ© en consommĂ© du 3e sexe. Et lĂ : la surprise: il est venu de Toulouse ce matin, ce grand dĂ©butant. Jeune, trĂšs grand, brun, et dâune incroyable timiditĂ©. Je pense mĂȘme ĂȘtre sa premiĂšre âmauvaiseâ fille, tant il a insistĂ© sur les lumiĂšres tamisĂ©es, tant il veut sâen tenir aux chuchotements. Et sans surprise, moi qui mâattendais Ă un adepte expĂ©rimentĂ©, je me retrouve Ă genoux devant un grand jeune homme stressĂ©, Ă cajoler un sexe qui reste bien timide, malgrĂ© tous les trĂ©sors que je dĂ©ploie, de ma langue, de ma bouche, mes lĂšvres ou mes mains. Quoi? Tu renonces? Ah non !Je nâai pas sautĂ© mon petit dĂ©jeuner, fait venir un mec depuis 145 km pour le voir repartir la queue basse. Changement de programme: allonge-toi, jâenlĂšve cette capote, je rassure: dĂ©tends-toi, laisse-moi faire, de toutes façons jâadore ça. Et de mes doigts fins, de mes mains expĂ©rimentĂ©es, lentement mais sĂ»rement, je ranime la flamme. Le petit machin commence Ă gonfler, Ă se redresser timidement sous mes caresses, la hampe se dĂ©ploie, encore tendre. ma main coulisse avec souplesse le long de ce sexe qui sâĂ©rige enfin pour moi. VoilĂ ; ça y est, je suis en train de masturber de la main droite une belle tige raide et courbe, mon index gauche vient se poser sur le frein, mes autres doigts continuent leur besogne. je commente: mais que câest beau, jâadore ça, regarde comme tu bandes bien. Il y ajoute un peu de salive, profite en gĂ©missant de mon ouvrage, et⊠se redresse brusquement, sexe dressĂ© Ă la main, et arrose mon visage de larges jets de semence chaude. Ma queue, dans mon string, bien cachĂ©e, se raidit instantanĂ©ment: oui, je prends ma faciale. Et jâadore ça. Et je le laisse partir, des Ă©toiles dans les yeux. Quant Ă moi, il est plus que temps de tout ranger: dĂ©coiffĂ©e, dans mes atours de fille facile, le visage inondĂ© de sperme encore tiĂšde, je ne suis vraiment pas prĂ©sentable.
intermĂšde: je reçois mes deux porte-jarretelles neufs, et une jolie robe zippĂ©e ce jour-lĂ . Le soir, lors de mes deux heures de libre, alors que A., depuis son hĂŽtel, trouve le temps long, je fais lâessayage pour lui. Pour voir. Au bout de quelques photos, la validation arrive: il vient dâĂ©jaculer devant ma nouvelle tenue. La rouge, bien sĂ»r. Comme par hasard!
AprĂšs tant de timiditĂ© dans les gestes, je me mĂ©fie du rendez-vous du lendemain matin. Lui aussi sait Ă©crire de belles choses! Mais lorsque je le vois garer son cabriolet devant chez moi, je comprends que jâai affaire Ă un autre type de gibier. Plus ĂągĂ©, mais aussi plus sportif, cet homme fraĂźchement divorcĂ© semble bien dĂ©cidĂ© Ă essayer de nouvelles choses. TrĂšs cĂąlin, beau parleur, il me met Ă lâaise, et caresse ma peau comme celle de son ex-femme, sans doute. Je fonds. Seul bĂ©mol encore: entre ses jambes, lĂ aussi, lâĂ©motion et lâanxiĂ©tĂ© font des ravages. Je lĂšve les yeux au ciel, inspire, et me mets Ă ses genoux.
Bonne surprise: câest assez mou, certes, mais câest gros, câest imposant, et je comprends que jâai sans doute affaire Ă une de ces bites demi-molles qui peuvent aussi bien aller jusquâau bout des choses que les autres;
Je suce, je lĂšche, on caresse doucement mes longs cheveux dâor, on me trouve belle, on me le dit. On me trouve douĂ©e, aussi. Lâexcitation montant, jâai commencĂ© Ă dĂ©gager ma propre queue, dĂ©jĂ raidissante, de mon petit string rouge. Au rythme de ma bouche sur sa queue, je la caresse, innocemment, jusquâĂ voir ce macho enrouler sa main autour de ma tige. fascinĂ© par mon Ă©rection, qui se dresse entre mes jarretelles rouges, il mâastique doucement. ta main est chaude, mon chou. Tu me touches bien. TrĂšs bien. Tiens, regarde, câest ce que tu veux, je pense. je suis sĂ»re que ton ex-femme ne tâa jamais b
mis une telle tige sous le nez, lui dis-je en souriant. Et voilĂ mon visiteur qui part Ă lâaventure, dĂ©couvrant Ă son tour le plaisir de sucer une queue.
En levrette au bord du lit, la question sâimpose: entrera? Entrera pas? Premier essai ratĂ©: peu importe, mon chou, je me tourne et, toujours sur le lit, je te reprends en bouche. deuxiĂšme essai: gagnĂ©! ouff! C'est gros ça mâĂ©carte le cul, ça prend possession de moi: jâadore! On commence Ă faire aller et venir: oui, pas mal. Mais soudain: on me pousse au milieu de lit, on me couche fermement sur le ventre, et on empoigne mes hanches: tiens? Du nouveau? Oui! enfin en confiance, son sexe a encore gonflĂ©, sâest raidi davantage, et il le plonge, le replonge entre mes fesses pour mon plus grand bonheur. Oui, oui, vas-y mon grand, baise-moi, baise-moi la chatte! Il se plante en moi et sâenfonce sans retenue maintenant, tu es super, tu es magnifique. Son rythme accĂ©lĂšre, le tempo est fort, chaud, mâenvahit. Ma queue gonfle, gonfle, mon plaisir approche, mais: dommage: dans une sĂ©rie de grands soupirs, le voilĂ qui Ă©jacule longuement au fond de mon petit cul. Ah, zut! Que faire? Je me redresse, toujours sur le lit, lui montre ma verge en pleine Ă©rection: tu veux pas la sucer un peu, mon chou? Jâen peux plus, moi!
Alors non, câest sans doute trop tĂŽt. Mais il nâest pas contre me donner lâaide dâune main secourable. AccrochĂ©e Ă ses Ă©paules puissantes, en quelques minutes, je jouis, alors que sa main caresse mon sexe. Enfin le plaisir, enfin un partenaire qui veut vraiment sâoccuper de moi. cette semaine finit bien mieux quâelle nâa commencĂ©.
intermĂšde: je reçois mes deux porte-jarretelles neufs, et une jolie robe zippĂ©e ce jour-lĂ . Le soir, lors de mes deux heures de libre, alors que A., depuis son hĂŽtel, trouve le temps long, je fais lâessayage pour lui. Pour voir. Au bout de quelques photos, la validation arrive: il vient dâĂ©jaculer devant ma nouvelle tenue. La rouge, bien sĂ»r. Comme par hasard!
AprĂšs tant de timiditĂ© dans les gestes, je me mĂ©fie du rendez-vous du lendemain matin. Lui aussi sait Ă©crire de belles choses! Mais lorsque je le vois garer son cabriolet devant chez moi, je comprends que jâai affaire Ă un autre type de gibier. Plus ĂągĂ©, mais aussi plus sportif, cet homme fraĂźchement divorcĂ© semble bien dĂ©cidĂ© Ă essayer de nouvelles choses. TrĂšs cĂąlin, beau parleur, il me met Ă lâaise, et caresse ma peau comme celle de son ex-femme, sans doute. Je fonds. Seul bĂ©mol encore: entre ses jambes, lĂ aussi, lâĂ©motion et lâanxiĂ©tĂ© font des ravages. Je lĂšve les yeux au ciel, inspire, et me mets Ă ses genoux.
Bonne surprise: câest assez mou, certes, mais câest gros, câest imposant, et je comprends que jâai sans doute affaire Ă une de ces bites demi-molles qui peuvent aussi bien aller jusquâau bout des choses que les autres;
Je suce, je lĂšche, on caresse doucement mes longs cheveux dâor, on me trouve belle, on me le dit. On me trouve douĂ©e, aussi. Lâexcitation montant, jâai commencĂ© Ă dĂ©gager ma propre queue, dĂ©jĂ raidissante, de mon petit string rouge. Au rythme de ma bouche sur sa queue, je la caresse, innocemment, jusquâĂ voir ce macho enrouler sa main autour de ma tige. fascinĂ© par mon Ă©rection, qui se dresse entre mes jarretelles rouges, il mâastique doucement. ta main est chaude, mon chou. Tu me touches bien. TrĂšs bien. Tiens, regarde, câest ce que tu veux, je pense. je suis sĂ»re que ton ex-femme ne tâa jamais b
mis une telle tige sous le nez, lui dis-je en souriant. Et voilĂ mon visiteur qui part Ă lâaventure, dĂ©couvrant Ă son tour le plaisir de sucer une queue.
En levrette au bord du lit, la question sâimpose: entrera? Entrera pas? Premier essai ratĂ©: peu importe, mon chou, je me tourne et, toujours sur le lit, je te reprends en bouche. deuxiĂšme essai: gagnĂ©! ouff! C'est gros ça mâĂ©carte le cul, ça prend possession de moi: jâadore! On commence Ă faire aller et venir: oui, pas mal. Mais soudain: on me pousse au milieu de lit, on me couche fermement sur le ventre, et on empoigne mes hanches: tiens? Du nouveau? Oui! enfin en confiance, son sexe a encore gonflĂ©, sâest raidi davantage, et il le plonge, le replonge entre mes fesses pour mon plus grand bonheur. Oui, oui, vas-y mon grand, baise-moi, baise-moi la chatte! Il se plante en moi et sâenfonce sans retenue maintenant, tu es super, tu es magnifique. Son rythme accĂ©lĂšre, le tempo est fort, chaud, mâenvahit. Ma queue gonfle, gonfle, mon plaisir approche, mais: dommage: dans une sĂ©rie de grands soupirs, le voilĂ qui Ă©jacule longuement au fond de mon petit cul. Ah, zut! Que faire? Je me redresse, toujours sur le lit, lui montre ma verge en pleine Ă©rection: tu veux pas la sucer un peu, mon chou? Jâen peux plus, moi!
Alors non, câest sans doute trop tĂŽt. Mais il nâest pas contre me donner lâaide dâune main secourable. AccrochĂ©e Ă ses Ă©paules puissantes, en quelques minutes, je jouis, alors que sa main caresse mon sexe. Enfin le plaisir, enfin un partenaire qui veut vraiment sâoccuper de moi. cette semaine finit bien mieux quâelle nâa commencĂ©.
14 days ago