Suite de mes confidences
L’après midi se poursuit entre danses improvisées aux sons des orchestres et des pauses à des guinguettes pour se rafraîchir. L’ambiance est fantastique, je passe de cavaliers en cavaliers.
Oui certains doivent se rendre compte de ma nudité sous ma robe tachée mais l’intérêt est à la musique.
Nous quittons ce grand espace de verdure boisé en début de soirée et traversons à nouveau un pont pour gagner la vieille ville.
Là l’ambiance est tout autre et G...redevient câlin, jeune coq fier d’être à coté de sa muse.
Des musiciens de rues sont omniprésent et le public plus agé ce qui a l’air de le contrarier.
« il est temps de rentrer » dit il d’un ton sec.
Nous marchons encore plusieurs minutes pour arriver dans un quartier composé de grandes bâtisses entourées de murs d’enceintes.
Un code d’accès nous permet quelques instants plus tard d’accéder au perron d’une grande maison à plusieurs étages.
Derrière moi, ses mains sur mes épaules tremblantes, il m’invite à avancer dans le hall, passe ses mains sous mes bretelles, me malaxe doucement mes seins, je sens à présent sa queue gonflée dans son pantalon se frotter contre mes fesses.
Je ne refuse pas ce contact, bien au contraire, je ferme mes yeux,je pose ma tête en arrière afin de lui laisser libre accès à ma poitrine et à ma chatte.
La situation est Ă©trange et sonne comme un clap de fin.
Je ne sais pas où nous sommes mais je suis sous le charme de cette situation compromettante au moment de la chute de ma robe sous la poussée de ses mains sous les bretelles.
Me voila nue, il me retourne, m’embrasse à pleine bouche pendant qu’il dégrafe son pantalon,
me pousse à me mettre à genoux :
« avant de se quitter, tu vas me nettoyer correctement ma queue car j’ai un autre RV tout à l’heure »
Outrée par cette révélation je me retrouve face à une humiliation supplémentaire à prendre en bouche cette queue encore enduite de sperme séché et d’une odeur répulsive.
Devant mon manque d’entrain il rythme lui même les va et vient en empoignent ma tête afin d’enfoncer son sexe au fond de ma gorge me faisant baver ma salive au goût dégoûtant.
Elle gonfle, je sens l’éjaculation proche, il se retire pour se vider par saccades sur mon visage.
« c’est bien mais il reste encore quelques gouttes à avaler pour la rendre présentable »
je m’applique à présent à terminer le nettoyage en avalant le reste gluant.
Il me relève et d’un ton neutre sans aucune empathie :
« c’était un plaisir de te baiser et peut être à une prochaine fois »
« c’est tout ce que tu as me dire ? »
« non tu montes au premier et tu rentres à poil dans la pièce de droite »
Ce n’est pas la fin que j’imaginais ou espérais.
« by » en roulant ma robe sous son bras et il tourne les talons pour sortir.
Je me trouve à présent seule, nue au pied de cet escalier dans ce bâtiment silencieux.
Je monte avec précaution, je repère la porte indiquée, je fais face à mon destin ne sachant pas à quoi m’attendre une fois ouverte.
Je l’enclenche , l’ouvre doucement, c’est une chambre !
Elle est vide, sur le lit mon jeans, ma chemise et le cabas posé sur une chaise.
l’étonnement passé je vois une salle de bain attenante.
Une rose rouge sur la table de nuit avec un petit mot.
J’en suis presque à pleurer de joie cette fois ci. Quelle classe ce Pietro !!!!!!!!
« prépare toi pour 20h un taxi viendra te chercher »
je suis scotchée, entre nous ce n’est pas l’amour avec un grand A mais quel plaisir de vivre de tels moments avec lui.
J’ai largement le temps de prendre un bon bain, je m’y prélasse longuement.
Je récupère ma trousse de toilette pour me maquiller, enfin simplement pour lui plaire tout à l’heure.
Enfin j’espère que c’est lui que je vais voir !!!!!!!
En voulant m’habiller je constate le manque de sous vêtement et en voulant fermer mon chemisier les premiers boutons ont été coupés.
Une fois mise le premier se trouve Ă hauteur de mon nombril et Ă chaque mouvement de ma part mes seins sont totalement visibles.
Je teste toutes les possibilités , dans mon jeans, sur mon jeans rien n’y fait le résultat est le même au bout de quelques instants, ma poitrine largement à l’air !!!!!!!
19h45 un dernier coup de peigne (mes cheveux étaient longs à l’époque) et je suis prête.
Je me dirige tranquillement vers le portail, et à peine sur le trottoir qu’un taxi se présente au bout de la rue .
Je fais en sorte de tirer un maximum sur mon chemiser en y prenant place.
Le trajet ne dure pas très longtemps, pour me trouver devant un bâtiment austère.
Plusieurs personnes en tenue chic y entrent, robes longues ,nœuds pap pour les hommes………….
Que fais je lĂ Â ?
En sortant du véhicule je suis face à Pietro qui m’embrasse avant de prendre mon bras pour nous diriger vers l’entrée.
Je souhaite lui parler de ma journée mais son doigt sur ma bouche m’incite à me taire.
Les quelques mètres lui servent à dégager un peu mon chemisier du pantalon afin que je sois plus désirable.
À l’intérieur les nombreux convives présents papotent, se congratulent, cela ressemblerait à une réunion d’anciens élèves si l’atmosphère ne dégageait pas celle d’un club échangiste select.
Il me présente à de nombreuses personnes en tant que sa française préférée.
Je ne risque pas de passer inaperçu en jeans et seins à l’air alors que toutes les femmes sont en tenue de soirée.
Les cocktails et petits fours se succèdent.
Pietro qui m’avait un peu délaissée au milieu des convives me rejoint au moment de la baisse de luminosité de la salle.
Le brouhaha se calme au moment de la connexion d’un écran géant qui s’allume au fond de la pièce .
Comme tout le monde nous nous approchons .
Il reste derrière à me masser ma nuque en attendant le film proposé.
Oui certains doivent se rendre compte de ma nudité sous ma robe tachée mais l’intérêt est à la musique.
Nous quittons ce grand espace de verdure boisé en début de soirée et traversons à nouveau un pont pour gagner la vieille ville.
Là l’ambiance est tout autre et G...redevient câlin, jeune coq fier d’être à coté de sa muse.
Des musiciens de rues sont omniprésent et le public plus agé ce qui a l’air de le contrarier.
« il est temps de rentrer » dit il d’un ton sec.
Nous marchons encore plusieurs minutes pour arriver dans un quartier composé de grandes bâtisses entourées de murs d’enceintes.
Un code d’accès nous permet quelques instants plus tard d’accéder au perron d’une grande maison à plusieurs étages.
Derrière moi, ses mains sur mes épaules tremblantes, il m’invite à avancer dans le hall, passe ses mains sous mes bretelles, me malaxe doucement mes seins, je sens à présent sa queue gonflée dans son pantalon se frotter contre mes fesses.
Je ne refuse pas ce contact, bien au contraire, je ferme mes yeux,je pose ma tête en arrière afin de lui laisser libre accès à ma poitrine et à ma chatte.
La situation est Ă©trange et sonne comme un clap de fin.
Je ne sais pas où nous sommes mais je suis sous le charme de cette situation compromettante au moment de la chute de ma robe sous la poussée de ses mains sous les bretelles.
Me voila nue, il me retourne, m’embrasse à pleine bouche pendant qu’il dégrafe son pantalon,
me pousse à me mettre à genoux :
« avant de se quitter, tu vas me nettoyer correctement ma queue car j’ai un autre RV tout à l’heure »
Outrée par cette révélation je me retrouve face à une humiliation supplémentaire à prendre en bouche cette queue encore enduite de sperme séché et d’une odeur répulsive.
Devant mon manque d’entrain il rythme lui même les va et vient en empoignent ma tête afin d’enfoncer son sexe au fond de ma gorge me faisant baver ma salive au goût dégoûtant.
Elle gonfle, je sens l’éjaculation proche, il se retire pour se vider par saccades sur mon visage.
« c’est bien mais il reste encore quelques gouttes à avaler pour la rendre présentable »
je m’applique à présent à terminer le nettoyage en avalant le reste gluant.
Il me relève et d’un ton neutre sans aucune empathie :
« c’était un plaisir de te baiser et peut être à une prochaine fois »
« c’est tout ce que tu as me dire ? »
« non tu montes au premier et tu rentres à poil dans la pièce de droite »
Ce n’est pas la fin que j’imaginais ou espérais.
« by » en roulant ma robe sous son bras et il tourne les talons pour sortir.
Je me trouve à présent seule, nue au pied de cet escalier dans ce bâtiment silencieux.
Je monte avec précaution, je repère la porte indiquée, je fais face à mon destin ne sachant pas à quoi m’attendre une fois ouverte.
Je l’enclenche , l’ouvre doucement, c’est une chambre !
Elle est vide, sur le lit mon jeans, ma chemise et le cabas posé sur une chaise.
l’étonnement passé je vois une salle de bain attenante.
Une rose rouge sur la table de nuit avec un petit mot.
J’en suis presque à pleurer de joie cette fois ci. Quelle classe ce Pietro !!!!!!!!
« prépare toi pour 20h un taxi viendra te chercher »
je suis scotchée, entre nous ce n’est pas l’amour avec un grand A mais quel plaisir de vivre de tels moments avec lui.
J’ai largement le temps de prendre un bon bain, je m’y prélasse longuement.
Je récupère ma trousse de toilette pour me maquiller, enfin simplement pour lui plaire tout à l’heure.
Enfin j’espère que c’est lui que je vais voir !!!!!!!
En voulant m’habiller je constate le manque de sous vêtement et en voulant fermer mon chemisier les premiers boutons ont été coupés.
Une fois mise le premier se trouve Ă hauteur de mon nombril et Ă chaque mouvement de ma part mes seins sont totalement visibles.
Je teste toutes les possibilités , dans mon jeans, sur mon jeans rien n’y fait le résultat est le même au bout de quelques instants, ma poitrine largement à l’air !!!!!!!
19h45 un dernier coup de peigne (mes cheveux étaient longs à l’époque) et je suis prête.
Je me dirige tranquillement vers le portail, et à peine sur le trottoir qu’un taxi se présente au bout de la rue .
Je fais en sorte de tirer un maximum sur mon chemiser en y prenant place.
Le trajet ne dure pas très longtemps, pour me trouver devant un bâtiment austère.
Plusieurs personnes en tenue chic y entrent, robes longues ,nœuds pap pour les hommes………….
Que fais je lĂ Â ?
En sortant du véhicule je suis face à Pietro qui m’embrasse avant de prendre mon bras pour nous diriger vers l’entrée.
Je souhaite lui parler de ma journée mais son doigt sur ma bouche m’incite à me taire.
Les quelques mètres lui servent à dégager un peu mon chemisier du pantalon afin que je sois plus désirable.
À l’intérieur les nombreux convives présents papotent, se congratulent, cela ressemblerait à une réunion d’anciens élèves si l’atmosphère ne dégageait pas celle d’un club échangiste select.
Il me présente à de nombreuses personnes en tant que sa française préférée.
Je ne risque pas de passer inaperçu en jeans et seins à l’air alors que toutes les femmes sont en tenue de soirée.
Les cocktails et petits fours se succèdent.
Pietro qui m’avait un peu délaissée au milieu des convives me rejoint au moment de la baisse de luminosité de la salle.
Le brouhaha se calme au moment de la connexion d’un écran géant qui s’allume au fond de la pièce .
Comme tout le monde nous nous approchons .
Il reste derrière à me masser ma nuque en attendant le film proposé.
19 days ago