Café latté

Vos doux tétons fripés comme une vieille pute,
D'où les chatons ardents ont bien tiré le lait
Se tiennent encore bien fiers comme des chiennes en rut
Qui attendent qu'on les prenne la main par le collet

Mais en mordant bien fort sur ces poires qu'on affûte
Surgit encore un peu de liquide de la plaie,
La blancheur laiteuse, ressort d'autant plus brut,
Sur la peau douce et chaude de nymphe chocolatée

Le liquide ruisselle sur vos beaux seins qui chutent
Et parcourt votre ventre jusqu'au bord de l'entrée
De vos lèvres rosées où perlent un peu de jute
Et vient bien humecter l'orifice de la raie,

Alors bien préparée comme un serpent qui mute

J'enfonce lentement ma queue dans le latté
Published by BigBoiteNoire
23 days ago
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