A la raie

Chaque jour face au chef d'oeuvre qu'est ton corps,
Je me sens devenir toujours un peu plus porc,
Envie de planter mon long nez dans ta raie,
Sortir ma grande langue et boire à peu de frais,
Faire ruisseler ton cul et ta chatte de truie,
En fouettant de ma queue tes trous endoloris,

Puis te pincer les cuisses jusqu'aux petites larmes,
Et te planter mon pieu dans ton jambon de parme
Tout en fessant ton cul de gros hippopotame,
Jusqu' à ce que tu en jouisses à en sonner l'alarme
Alors pour éviter que ça fasse tout un drame
Je me mettrai en face et te jetterai un charme

J'enfoncerai dans ta bouche pour qu'enfin tu te calmes
Ma queue raide d'amour, dans ta gorge de pute
Tu baveras, et tes lèvres comme deux chiens se disputent
un os plein de viande, d'un vieux gorille en rut
Gonfleront sous mes coups de reins sauvages et bruts

Puis tout en caressant tes tétons de guenon
A moitié étourdie du plaisir de ton fion
Tu cracheras de la chatte comme une femelle réclame
Et te pisserai au cul pour éteindre la flamme