Carnet de bal, carnet de boules

Rien, rien de rien sur mon appli de rencontres préférée. trop loins, pas dispo, aucun profil qui me permette d’approcher le septième ciel en cette fin de semaine. Heureusement, dans mon carnet d’adresses, sur mon téléphone, j’ai gardé les noms de ceux que, déjà, j’avais découverts par l'entremise d’un site aujourd’hui défunt, et très controversé. Qui parmi ces cocos-là (!) pourrait me rendre visite? Rapidement, deux candidats répondent à l’appel. Comme toujours, cette période de janvier-février est propice aux rencontres, ou simplement Eros et Aphrodite veillent-ils à garder ma couchette toujours garnie?
Jeudi matin, c’est mon gentleman-farmer si distingué qui vient se faire déshabiller chez moi. J’ai décidé de conserver ma tenue de petite punk rebelle sexy pour tous mes plans de la semaine, car je n’arrive plus à donner ordre et variété pour assortir tous ces rendez-vous et à mes tenues.
Mais la simplicité, c’est l’efficacité: à genoux devant lui, je caresse sa verge qui gonfle, se lève sous mes doigts fins. Je le masturbe délicatement, pouce sur le frein, m’amusant à le faire geindre et soupirer. Avec lui, c’est fellation pure et simple: je vais donc m’activer à animer sa flamme, parfois déclinante, mais je termine quand même avec une magnifique éjaculation faciale. la tête posée entre ses jambes, au pied du lit, je passe d’une joue à l’autre la verge chaude et raide d’où jaillit un long flot de semence chaude, afin que le sperme éclabousse ma peau. Je le lui dis: oh, c'est beau, oh, c’est bon, alors que je me fais arroser le visage de foutre par cette homme qui jouit. Non seulement ça m’amuse, mais ça m’excite aussi: lorsque je me relève sur mes longues jambes, une belle érection dépasse de sous ma jupe en cuir… il n’en faudrait pas beaucoup, juste quelques coups de poignet, pour que je lui rende la pareille! Mais je garde mes fantaisies pour moi, il n'est pas sûr que se faire éjaculer dessus par surprise par un travesti, fût-il blonde et sexy, entre dans le registre de ses fantasmes.
Par contre, le lendemain, c’est un vieil ami, cariste de son état, qui vient prendre sa douche chez moi à la sortie du travail. Il est 11h30, il est nu, petit, râblé, tatoué, et devant ma tenue de vamp gothique, il bande direct, dur et ferme! Avec lui, la panne n’existe pas! Surentrainée par mes 12 pipes en 14 jours, je me mets immédiatement à l’ouvrage. Et je suis charmée, alors que ma langue s’active délicieusement sous le frein de son gland épais, de sentir la verge gonfler et se raidir encore davantage, par spasmes. Et de l’entendre me féliciter: ah, ça, ça c’est de la pipe! C’est trop bon, t’es vraiment douée! En voilà un dont on ne s’occupe pas assez, je vous le dis! C’est merveilleux, d’avoir tant de pouvoir sur le plaisir d’un homme, et de déclencher de telles réactions, juste par le travail de mes lèvres, ma langue, ma bouche, sur son gros sexe en érection. Tu te régales, hein? Tu aimes ça? J’adore, mon chou! Je suis faite pour la queue! lui dis-je, souriante et mutine, avant de me taire, car on ne parle pas la bouche pleine. Même les punkettes ont de bonnes manières, si ça leur chante!
Je finis d’ailleurs par chanter pour de vrai, enculée à fond face à mon miroir, par ce type qui enfonce sans relâche sa trique entre mes fesses. Oui, démonte-moi le cul, j'adore ça! Il est derrière moi, et à grands coups de boutoir, fait monter e plaisir par vagues. Ses boules viennent percuter mon petit arrière train, s’écrasent puis repartent, mon anus s’ouvre en fleur à chacun de ses enfoncements. Enculée à fond, soumise à sa queue, je finis par éjaculer en criant, fort, longtemps, avant de m’écrouler au pied du lit, échevelé, défaite, haletante et comblée: Voilà qui vient mettre un terme à une semaine qui commença difficilement, mais qui finit trés bien.