Mari en déplacement, amant à la maison
Ma vie sexuelle est bien plus torride que ce que mon époux pourrait imaginer. Un soir, pendant que mon mari était en déplacement, j'ai décidé de profiter de cette liberté pour assouvir mes désirs. J'ai contacté un black avec qui j'avais déjà eu des échanges textuels, et lui ai demandé de venir en amenant un de ses potes juste pour filmer nos ébats.
J'étais déjà excitée à l'idée de ce qui allait se passer. J'avais choisi une robe noire ultra-moulante et de beaux talons, prête à être la salope infidèle que je suis au fond de moi. Ils sont arrivés chez moi, l'atmosphère chargée de tension sexuelle. Le pote a tout de suite sorti son téléphone, prêt à capturer chaque instant.
Dès que la porte s'est fermée, je me suis jetée sur lui, l'embrassant avec une passion dévorante. Mes mains ont trouvé sa braguette, libérant sa queue déjà dure. Je l'ai sucé sans aucune retenue, j'ai pris mon temps, savourant chaque centimètre de sa belle queue large, le regardant dans les yeux alors que je le prenais profondément dans ma bouche.
Il m'a retournée, me penchant sur notre canapé, ma robe relevée juste assez pour exposer mon cul. Il m'a pris en levrette, ses coups de reins puissants et profonds. Le canapé bougeait sous la force de notre baise, et j'étais encore habillée. Le pote filmait tout, capturant chaque gémissement, chaque coup de reins, chaque expression de plaisir sur mon visage.
Après le canapé, il m'a soulevée, me prenant par les cuisses et me portant debout au milieu du salon. Sa force me permettait de sentir chaque poussée de sa queue, mes talons en l'air. C'était intense, presque acrobatique, mais tellement excitant.
On a fini dans la cuisine, moi penchée sur le plan de travail, mes seins comprimés par ma robe, mes talons fermement plantés au sol. Il m'a baisée avec une telle énergie que j'ai cru que le plan de travail allait céder. Ses mains sur mes hanches me guidaient, me faisaient aller au rythme de son désir.
Quand il a été au bord de l'orgasme, il m'a fait mettre à genoux devant lui. J'ai sucé encore une fois, mes lèvres et ma langue travaillant ensemble, jusqu'à ce qu'il gicle dans ma bouche. J'ai pris tout son sperme, le goûtant, le savourant, avant de l'avaler avec une gourmandise qui ne trompait pas.
Le pote avait tout filmé, chaque position, chaque moment de cette soirée sauvage. J'ai posté la vidéo sur mon Mym, pbien entendu. Cette nuit-là, j'étais restée habillée de A à Z, mes talons comme un symbole de ma soumission à mes désirs les plus profonds, une nuit où j'ai pleinement vécu ma double vie, loin des yeux de mon mari.
J'étais déjà excitée à l'idée de ce qui allait se passer. J'avais choisi une robe noire ultra-moulante et de beaux talons, prête à être la salope infidèle que je suis au fond de moi. Ils sont arrivés chez moi, l'atmosphère chargée de tension sexuelle. Le pote a tout de suite sorti son téléphone, prêt à capturer chaque instant.
Dès que la porte s'est fermée, je me suis jetée sur lui, l'embrassant avec une passion dévorante. Mes mains ont trouvé sa braguette, libérant sa queue déjà dure. Je l'ai sucé sans aucune retenue, j'ai pris mon temps, savourant chaque centimètre de sa belle queue large, le regardant dans les yeux alors que je le prenais profondément dans ma bouche.
Il m'a retournée, me penchant sur notre canapé, ma robe relevée juste assez pour exposer mon cul. Il m'a pris en levrette, ses coups de reins puissants et profonds. Le canapé bougeait sous la force de notre baise, et j'étais encore habillée. Le pote filmait tout, capturant chaque gémissement, chaque coup de reins, chaque expression de plaisir sur mon visage.
Après le canapé, il m'a soulevée, me prenant par les cuisses et me portant debout au milieu du salon. Sa force me permettait de sentir chaque poussée de sa queue, mes talons en l'air. C'était intense, presque acrobatique, mais tellement excitant.
On a fini dans la cuisine, moi penchée sur le plan de travail, mes seins comprimés par ma robe, mes talons fermement plantés au sol. Il m'a baisée avec une telle énergie que j'ai cru que le plan de travail allait céder. Ses mains sur mes hanches me guidaient, me faisaient aller au rythme de son désir.
Quand il a été au bord de l'orgasme, il m'a fait mettre à genoux devant lui. J'ai sucé encore une fois, mes lèvres et ma langue travaillant ensemble, jusqu'à ce qu'il gicle dans ma bouche. J'ai pris tout son sperme, le goûtant, le savourant, avant de l'avaler avec une gourmandise qui ne trompait pas.
Le pote avait tout filmé, chaque position, chaque moment de cette soirée sauvage. J'ai posté la vidéo sur mon Mym, pbien entendu. Cette nuit-là, j'étais restée habillée de A à Z, mes talons comme un symbole de ma soumission à mes désirs les plus profonds, une nuit où j'ai pleinement vécu ma double vie, loin des yeux de mon mari.
2 months ago