2024 - Pat et Nat - Suite déménagement – Nat

Pat, ma chérie, ce matin, tu es partie avant moi ?
Tu m’as dit que tu avais un conseil de classes à préparer.
Et moi, j’avais relâche toute la journée, une grève surprise de mon syndicat…
J’avais des courses à faire, et des idées de cadeaux à creuser…

Quand je suis descendue, en arrivant dans le hall d’entrée, j’ai vu du courrier qui dépassait de notre boîte à lettres.
Comme j’avais le temps, j’ai décidé de le remonter, et j’ai repris l’ascenseur…
Mais un homme est arrivé en même temps que la porte se refermait, et donc je me suis retrouvée avec lui… Un parfait inconnu…

Mais on ne peut pas connaître tout le monde…
Cela ne fait que 3 mois que nous sommes installées, je ne me suis pas inquiétée…
Mais c’est la première fois depuis longtemps que je me retrouve face à face, avec un homme dans un espace réduit, un inconnu, charmant et un peu charmeur…

On s’est dévisagés un instant… La porte s’est refermée…
Il m’a demandé en bégayant, où j’allais…
Prise au dépourvu, je lui ai répondu sur le même registre :

« Je… Oui… Chez… Chez-moi !»…
« Ah oui ! Mais à quel étage ? »

Il attendait le numéro de l’étage, son index posé sur le bouton du 6ème, sans doute le sien…
Je tenais le courrier dans ma main, je m’y accrochais… Sa voix me figeait…
Une voix grave, suave, je la ressentais jusque dans mon ventre…
Perturbée, j’avais du mal à trouver mes mots…

« Oui, pardon, au… le 5ème étage ! »
« Ah ! Vous…. Vous êtes « Les nouvelles » ? Vous et…Ça votre amie, je crois… »
« Oui, exact… Deux femmes d’un certain âge qui emménagent ensemble, cela doit déclencher des commentaires…»

Il n’avait toujours pas appuyé sur 5, et j’étais enfermée avec cet inconnu à la voix de stentor…
Mais son sourire m’a faite craquer… Je me suis détendue… Je lui ai souri…
J’ai pensé au syndrome de Stockholm…

Il ne regardait plus le bouton, il me fixait, tout en essayant d’alimenter notre conversation…
Il n’était pas mal finalement… 45/50… Dans nos âges, Pat et moi…
Alors j’ai joué le jeu…

« Oui, nouvelles… Et heureuses d’avoir trouvé cet immeuble… Calme, cossu avec des gens charmants… »
« Oh, merci… »

Son regard plongeait de plus en plus souvent dans mon décolleté…
Je le dévisageais du coin de l’œil… Cela m’amusait soudain…
Divorcée sans enfant, l’élue de mon cœur était un refuge sentimental…
J’avais oublié le regard des hommes dans celui de ma compagne…
Me sentir scrutée ainsi me remettait en mémoire quelques scènes agréables, de soirées entre collègues du Lycée, que l’alcool déridaient, les portant à des remarques, voire des gestes très familiers… Les mœurs se libéraient en ce temps-là, on prônait l’amour libre, la femme n’était plus une potiche, mais devenait une égérie, représentant l’égale de l’homme dans bien des domaines, et du sexe en particulier…
Mes collègues, même mariées, se prêtaient au jeu, et devenaient libertine le temps d’un flirt…

L’ambiance devenait torride, j’avais de plus en plus chaud…
Je me suis ventilée avec le courrier…
Mon corsage s’est ouvert un peu plus…
Il aborda un sujet plus intime…

« Je… Je m’excuse de vous demander cela… C’est juste pour éviter les malentendus…
Vous habitez avec une femme, donc vous aimez les femmes… Vous êtes divorcée sans doute… Un essai de vie en commun, pour un renouveau ? »
« Oui… Mais comment ?.... »
« L’immeuble a des yeux, et il a surtout des oreilles et des langues agiles…
Les gens parlent, les moindres bribes sont relatées, grandies, déformées et répétées… »

« Oh, un peu comme dans le petit village d’où je viens, on a l’habitude des commérages… Nous sommes parties un peu pour ça… Même si par notre éducation, nous sommes discrètes sur ces sujets…
Et puisque vous ouvrez le dialogue, et vous ? Vous vivez seul, ou y-a-t ’il inscrit M. et Mme sur votre boîte à lettres ? »

« Oui, en effet, je suis seul… J’ai barré le Mme sur l’étiquette, car elle a changé d’immeuble, de rue, de ville… Mon appartement est juste au-dessus du vôtre, au 6ème, la vue est plus belle et j’ai la chance d’avoir un balcon côté le port. »
« Oh ! Je vois… Vous aimez les vues panoramiques… Et votre regard est attiré par l’esthétisme… »

Tout à coup l’ascenseur s’est élevé tout seul…
Il m’a semblé qu’il était tout rouge…
Le temps de réagir à ma remarque, la porte s’est ouverte au 4ème…
La personne, une dame âgée qui l’a salué sans me regarder, voulait descendre…
Alors, entre adultes bien élevés, nous sommes sortis sur le palier, tandis qu’elle grommelait un remerciement…

On se retrouvait un étage plus bas que le mien…
On allait devoir attendre que la cabine remonte, ce qui en soi, ne semblait pas le perturber, les yeux toujours entre mes seins…
Mais la lumière s’est éteinte… Puni !

Je respirais fort… Le temps de m’habituer à la pénombre…
Un reflet éclaira son visage… Ses yeux m’inspectaient de la tête aux pieds…

« On pourrait faire le reste à pied, vous habitez juste au-dessus, et moi, un étage de plus, un peu de sport nous fera du bien… »

Quel sport ? Une invit’ ? Un peu osé tout de même !...
Il connait Christian ? Deux divorcés dans la même entrée…
Si ils ont parlé entre hommes… Comme il nous a baisées dès notre arrivée…
Il tente sa chance aussi ? D’où sa question indiscrète… Et puis nous sommes des adultes avec un vécu, un passé conjugal… Il est direct, tout simplement… Comme on l’a été avec Christian…
Il a dû lui dire que c’est nous qui avons commencé… Qu’on était en jachère… Un peu en panne de sexe masculin… Et il a dû vanter nos mérites…

Je suis passée devant lui sans le regarder, en le frôlant pour qu’il sente mon parfum…
J’ai commencé à monter les marches en faisant claquer mes talons, en me tenant à la main-courante…
La lumière est revenue…

Je sentais son regard sur mes fesses…
J’ai accéléré… Il me suivait…
Une fois devant ma porte, j’ai cherché mes clés dans mon sac…
Erreur !
J’étais en panique, idiote, affolée d’avoir des pensées légères, voire érotiques…
Tout se brouillait en moi… Christian avait ravivé pas mal de choses…

Énervée d’un tel comportement pour mon âge, mon courrier est tombé…
Je me suis penchée en avant, sans réfléchir, lui offrant une vue panoramique comme il aime…
Pourtant j’ai l’habitude, mes seins sont pleins, et sortent facilement de leurs bonnets…
Pat aime quand je m’habille comme ça, un peu provocante, en femme assurant son indépendance…
Ma silhouette est ainsi mise en valeur par cet artifice, et j’ai su en jouer tout au long de ma carrière, et de ma vie de femme…
Il a pris un jeton… J’ai rougi… C’était un réflexe idiot, pas une invitation…
Enfin, pas encore…

Il a ramassé mes lettres, me les a tendues avec un sourire craquant…
Ses yeux dans les miens….
Envoutée, j’ai balbutié à mon tour : « Un café ? »

Je venais de prendre une décision irréfléchie…
Après 3 mois seulement avec Pat…
C’est vrai que n’avons pas d’accord, la preuve, c’est Christian…
On en a eu envie ensemble, un jouet pour nous divertir…

Là, je suis seule, tremblante, perturbée, ma foufoune qui picote, comme dans mes plus riches années et l’idée de me laisser tenter de plus en plus présente…

J’ai tourné la clé dans la serrure de façon énergique…

« Allez ma vieille !
Fais-le, comme avant !…
Tu adorais ramener un coup d’un soir chez toi…
Tu l’as même fait avec Pat, un soir en discothèque…
Des images dans la tête, ton ventre en délire, tu te souviens de ce jeune danseur…
Tu avais craqué sur un slow, il te frôlait, te serrait, son sexe te mettait en émoi…
Tu lui avais expliqué, elle t’avais vue flirter avec lui… Elle n’avait pas cette chance, elle avait compris…
Tu étais excitée, affamée, il te caressait debout dans l’entrée de ton studio… Seins libérés, robe retroussée… Tu gémissais de désir, en te tenant à la poignée, il suçait tes tétons avec ardeur… Tu as soulevé une cuisse pour lui faciliter la tâche…
Tu as crié de plaisir, quand il t’a pénétrée !
Il te prenait comme un cheval fou, te soulevant en t’empalant pour mieux te saillir…
Tu l’as entraîné dans ta chambre et tu t’es jetée sur son membre en érection…
Tu en as joui, jusqu’au matin…
Tu te souvenais de la sensation de plénitude que tu avais ressentie avec lui, chaque fois qu’il te possédait et jouissait en toi…
Tu as aimé te délecter de son sexe, chose qui t’avait manquée après ton divorce, jusqu’à le faire gicler dans ta bouche pour avaler les dernières gouttes… »

Et ma porte d’entrée s’est ouverte…
Je venais de mélanger rêve et réalité…

Il allait me pousser à l’intérieur ? Déchirer mes vêtements ? Me violer dans l’entrée ? Comme mon danseur ?...

J’ai tout lâché, mon sac, le courrier, les clés…
Je me suis retournée vers lui…
Il n’avait pas bougé et attendait sagement la permission d’entrer…
Comme un ange, il s’est avancé vers moi…
Il m’a ouvert ses bras et m’a serrée fort contre lui…

Nos lèvres se sont jointes, et j’ai oublié le café, les clés, le courrier, mon sac…
Je voulais revivre ces instants, ceux de mon souvenir…

Il avait déjà libéré mes seins, la porte était restée ouverte, ma vue se brouillait…
Son sexe flirtait déjà avec mon pubis, une main dégrafait ma robe, la mienne cherchait sa bosse… Je perdais le contrôle…

J’ai entendu l’ascenseur revenir à l’étage, j’ai claqué la porte d’un coup de pied sec, je ne pensais qu’à lui, à lui rendre son baiser, à masser son sexe, sa main était passée sous ma culotte, je m’accrochais à son cou, soulevant une cuisse en guise d’accord tacite…
Mes doudounes s’échappaient du chemisier, il était ravi, ébahi, sa main les a empaumées…
L’autre avait trouvé ma minette à son goût…

Je l’ai entraîné dans la chambre, avant que je ne sois terrassée par le plaisir…
Il m’a embrassée avec la langue, je planais, et il me déshabillait lentement, je minaudais…
J’ai défait sa ceinture et baissé le pantalon, j’étais en sous-vêtements devant lui, il était en slip… J’ai tiré vers le bas…

J’ai aperçu son sexe… Je l’ai attrapé dans ma main… Je l’ai serré tendrement…
Il a sucé mes tétons, à tour de rôle, les libérant du soutif…

J’en jouissais comme une ado, mon ventre se tordait de plaisir…
Ma culotte a glissé à mes pieds…
Je me suis assise au bord du lit et j’ai embrassé son sexe tendu…
J’ai entrouvert mes lèvres sur un gland rougeoyant, veiné de bleu…
Longuement, doucement, le sexe plongeait entre mes lèvres, il caressait mes cheveux, il ondulait son bassin au rythme de ma bouche qui surfait sur sa hampe…

Je le couvrais de salive… Je m’en régalais, l’invitais jusque dans ma gorge…

Il devint dur, à point, il m’a relevée, puis m’a allongée sur le dos, et j’ai compris…
J’ai replié mes cuisses en les écartant, lui offrant mon bonbon d’amour…
Alors il m’a rendu ma caresse…
Sa langue m’arrachait des râles contenus, je m’offrais comme une bourgeoise en mal d’amour…
Ses mains massaient mes seins, sa bouche suçait mes tétons et il m’étreignait de partout en même temps…

J’étais prise de folie, d’un désir extrême, je me suis tournée, tête-bêche, j’ai retrouvé son sexe, il a retrouvé le mien…
Nos doigts se sont joints à nos langues, à nos bouches…

Il m’a fouillée tendrement, a déclenché ma fontaine, mon nectar, puis est venu sublimer mon clitoris, alors je l’ai sodomisé d’un doigt vengeur…
Pendant qu’il me portait à un orgasme effréné, avec mon bouton d’amour, je l’envoyais au pays de Sodome…

Il râlait, je feulais… Je tremblais…
Il découvrait mon méat de femme, mes organes, mes orgasmes…
Trois doigts me faisaient perdre le nord…
J’ai craqué la première…

« Viens ! »

Je me suis installée à 4 pattes, les fesses à l’air, impatiente, la chatte en folie…
Son sexe a glissé dans mon sillon… Il s’est couvert de ma mouille, s’est détrempé de mon nectar…
Son gland a ouvert mes grandes lèvres délicatement… Sans effort… Comme une clé dans une serrure…

Je l’ai senti glisser jusqu’au bord de mon puits d’amour…
Il a parcouru le chemin à l’envers, puis est revenu, plus intense, plus décidé…
Je brûlais de désir, m’écartelais, le voulais, me donnais…
Il a franchi ma porte… Une extase…

J’ai serré mon ventre, mon sexe, ma vulve s’est refermée sur lui, je l’ai happé d’un coup de rein……
Et j’ai senti une onde de plaisir…
Il est ressorti doucement, puis m’a reprise, détrempant mon vagin…
J’ai lâché des râles de chatte en chaleur, en ondulant du bassin…
Il me donnait des coups de reins tendres, envahissants, percutants, son dard plongeait dans mes organes, faisait naitre mon bonheur d’amante…

C’était fait…
Je jouissais d’un homme… Il me punaisait sur mon nid d’amour…

Il m’a prise et reprise, en rugissant, en catin, en bourgeoise, il m’a baisée, empalée, embrochée…
Il a même claqué mes fesses ! Comme une pouliche...

Les yeux fermés, me balançant à son rythme, écartelée, inondée de plaisir, je me laissais submerger par mes orgasmes, je m’envolais, j’étais à lui…
Je m’offrais, nue et consentante, indécente, sur ma couche de lesbienne…

Il me montait comme un étalon, il jouait de sa bite comme un virtuose…
Il massait mes seins, les serrait, les écrasait…
Il a glissé son sexe en les pressant l’un contre l’autre…
Il jouissait doucement, à son rythme, en cravate de notaire…
Puis il me reprit par derrière….

Je montais de volume, la chambre tournait autour de moi, il m’avait agrippée par les hanches et me démontait, me limait tel un pro dans un porno sur Canal+…
Un véritable marteau-piqueur qui remplissait ma chatte, distendait mon vagin, cognait contre mon utérus…

Je sentais venir la fin, inondée de sécrétions diverses, de sueur, de plaisir…
Je rugissais comme jamais, disais des mots sans suite, des onomatopées variées et osées…
Genre « Tringle-moi », « Encule-moi », « Je suis ta chienne »,

Il sort sa main de ma vulve, me saisit par les hanches, me griffe, et ses coups de reins m’envoient dans un monde inconnu, je suis éreintée, épuisée, malmenée, une vraie poupée de chiffon, disloquée par des allers-retours de cheval en rut….

Il tombe sur moi, m’entraine, on s’étreint, il gicle encore, m’inonde de sperme, je délire, je me laisse faire, il est toujours planté dans mon rectum, je jouis…
Je jouis de ressentir le sperme chaud couler entre mes fesses, je jouis de me retrouver avec cet inconnu, dans une position vulgaire, sur le ventre, les bras en croix, les cuisses ouvertes et son sexe planté dans mon cul de putain…

« Non ! Tu ne vas pas le faire ? »
« Pourquoi pas, c’était sublime, alors autant aller au bout… »

Il me tourne et sa queue encore en action, pénètre ma vulve, glisse dans mon vagin sans aucun mal, et recommence…
Je tourne de l’œil, emportée par un dernier orgasme…
Il vient d’éjaculer…
Je deviens hystérique, me frotte contre lui, frotte mes seins sur son torse, lui ouvre mon vagin, ressens sa verge, la serre…
Je me baise en ondulant mon bassin, recueillant les dernière gouttes....
Il m’a remplie comme jamais je ne l’ai été…
Une exception !

Je me sens détruite, ses lèvres viennent contre les miennes et on s’embrasse tendrement, je me sens femme, je me sens pleine, me sens comme la première fois…

Je ne sais pas son prénom…
Je ne sais pas l’étage, mais il m’a portée au 7éme ciel, c’est certain…

Je n’avais jamais fait l’amour aussi intensément, aussi pleinement, aussi passionnément, sauvagement, aussi excitée…
J’ai atteint des sommets…

Je n’ai plus envie de bouger, il est toujours en moi, vidé, mais chaud et intense…
Je m’endors, je crois…

Il n’est plus là…
C’est bientôt onze heures…
2 heures de plaisir…
J’ai oublié Nat, je devais la rejoindre pour manger, j’envoie un SMS : « panne d’oreiller »…
J’ai du mal à sortir du lit…
Mon sexe est dilaté, mon anus encore ouvert…
Quelle salope je fais !…
Pourtant j’aime faire l’amour avec toi, Pat…
Mes vêtements sont éparpillés, piétinés, entre le courrier, mon sac, mes clés…

Je trouve un mot à la cuisine, son 06…

« Jules : Au 06xxxxxx ou au 6ème étage, gauche, sans réservation : For love»

Je souris et entre sous la douche…

For love… Un appel direct…
Il m’a trouvée à son goût…
Je me savonne…
Il a aimé… Je l’ai satisfait…
Il veut me sauter, me baiser…
Il a aimé ma bouche qui glisse le long de son sexe…
Il a aimé ma cravate de notaire, son sexe entre mes seins, une havre de plaisir…

Il a aimé masser mes seins, après les avoir mâtés dans l’ascenseur…
Il s’est délecté de mon nectar, quand il m’a basculée en arrière, et ouverte comme une huitre, il a aspiré mon jus d’amour…

Il veut me sodomiser de nouveau, profiter de mon cul de salope, en massant mes seins, me plantant sa bite comme un dératé, en m’écoutant débiter mes orgasmes de chienne…

J’ai adoré l’expérience Christian, un partage de bienvenue entre voisins…
J’aimerais revivre ces heures jubilatoires avec Jules et lui…
Les partager, les échanger avec Pat, une nuit de relâchement total entre adultes…
Je n’ai jamais fait de double pénétration avec mon mari…
On n’a jamais échangé non plus…
Il m’a trompée, ça oui…
Son sexe a fouillé la chatte d’une autre femme, l’a faite jouir, comme moi, en pensant à moi, en nous comparant ?

Jules… Ça rime avec… Trahison… Tromperie…
Si on les invitait ? Jules et Christian…
Pat aimerait certainement un jeu à 4…
Elle a joui sans se cacher, aimant même s’offrir, comme avec moi…
Elle pourrait passer de l’un à l’autre, leur offrir sa jolie chatte rose et son anus de divorcée en manque…
Gémir de plaisir comme j’adore l’entendre quand elle a un orgasme…

On pourrait se filmer…
Ils nous monteraient comme deux salopes, nous partageraient, nous échangeraient…
Leurs bites dans nos vagins… Ou dans nos fesses…
On gémirait certainement notre plaisir, de copuler sans limite et sans tabou…

J’ai déjà envie de monter lui dire que j’ai aimé aussi…
Enveloppée dans une grande serviette, je soigne mes bleus…
Il a été macho avec mes seins, me pinçant les bouts pour que je crie mon plaisir de bourgeoise…

Monter vêtue d'un simple peignoir ?
En écarter les pans, dès que la porte s’ouvre !
M'offrir en lui tendant mes lèvres…




FIN
Marika842010 - décembre 2024
Published by marika842010
2 months ago
Comments
1
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ccandau
ccandau 2 months ago
Marika quel plaisir à te lire à nouveau tu me fais monter en pression vu que ce soir je tire les rois en la compagnie de mes voisines chéries, comme j'aurais été heureux de te les présenter gros bisous ton Christian
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