Aiguilles, douleurs, orgasmes

J’étais sur le point d’écrire et de raconter l’une de mes solitaires soirĂ©es extrĂȘmes, mais j’ai pensĂ© que mieux que de vous narrer une sĂ©ance d’il y a quelques temps. Pourquoi ne pas vous raconter celle que je vais vivre dans quelques minutes.
Pour vous situer la scĂšne, je suis dans notre chambre, notre lit est un king-size , un couvre lit pourpre en soie le recouvre. Le mur face au lit est celui du dressing il est couvert de miroirs. Je suis lĂ  assise sur le bord du lit, totalement nue. Je ne dĂ©teste pas me regarder. Je suis loin d’avoir un corps parfait, mais je me trouve plutĂŽt jolie et attirante. Ma peau est blanche piquetĂ©e de taches de rousseur sur presque la totalitĂ© de mon corps Je suis assez petite, un peu ronde, mais pas grosse. Mes seins sont lourds et ronds, mes arĂ©oles et mes tĂ©tons sont d’un rose soutenu. TrĂšs granuleux ces tĂ©tons sont gros et le plus souvent tendus. Si je mets un T-Shirt j’attire le regard, on ne voit que mes pointes qui dĂ©forment le tissus et tous les yeux des mĂąles sont attirĂ©s. Ceci ne me dĂ©plait pas. Ma taille n’est pas celle d’une guĂ©pe mais mes hanches sont larges et ma silhouette est de proportions agrĂ©ables Le piercing de mon nombril est ornĂ© d’un brillant. Un vrai une coquetterie de femme je l’avoue aisĂ©e et je n’en ai pas honte.
Debout nue devant le miroir mes yeux descendent vers mon sexe glabre, Ă©pilĂ© dĂ©finitivement. J’ai toujours trouvĂ© que ma toison rousse assez touffue Ă©tait moche, je l’ai rasĂ©e longtemps mais les dĂ©mangeaisons quand cela repoussait et les petits boutons ont eu raisons de ma patience. L’épilation laser fut longue, horriblement couteuse mais on s’en moque. J’ai a offrir a mon homme un abricot rebondi pour qu’il le dĂ©vore. Mes petites lĂšvres sont vraiment petites et sont masquĂ©es pas mes grandes lĂšvres bien charnues. En haut de cette blessure le capuchon de mon clitoris est trĂšs saillant, et dĂšs que je suis excitĂ©e mon bouton grossit rapidement et pointe le bout de son nez comme une bille toute rose. Mon clitoris est d’une taille largement au-dessus de la moyenne. Une sensibilitĂ© incroyable Ă©galement. Mais mes intenses sĂ©ances de masturbation l’ont sans doute endurci tout comme le traitement qui lui sera bientĂŽt infligĂ©.
Je suis toute fraiche sortie de la douche, pas question de faire ce qui va suivre sans ĂȘtre certaine d’ĂȘtre parfaitement clean. Dans le coin l'Ă©cran est en marque et une blonde allemande, prend une volĂ©e de coups et cries sa dĂ©tresse, sa douleur mais aussi son plaisir. Je ne m’attache qu’au vidĂ©o dans lesquelles je sens que ce n’est pas factice. Je ne peux ĂȘtre sĂ»re Ă  100% Ă©videmment. Mais quand on observe les partenaires on peut noter des gestes, des regards, des attitudes qui montre que ce n’est pas de l’esbrouffe pour la camĂ©ra. Je pense ĂȘtre assez perspicace pour voir si une femme jouie vraiment et ne simule pas.
Pour ma part je ne sais pas simuler, je ne le dĂ©sire pas non plus. Quelquefois il m’est arrivĂ© d’ĂȘtre incapable d’atteindre l’orgasme avec mon mari. Seule ce n’est jamais arrivĂ©.


Mes prĂ©paratifs, mes allez retour entre le lit et mon clavier car je fais tout çà en live. Cela contribue Ă  faire monter mon excitation c’est comme si j’étais observĂ©e par tous ceux et celles qui liront ce texte. L’humiditĂ© entre mes cuisses est dĂ©ja sensible, et bien sĂ»r je me suis dĂ©ja plusieurs fois passĂ©s les doigts sur le clito qui est bien gonflĂ©. J’ai Ă©galement passĂ© quelques minutes a me tortiller les tĂ©tons, a les pincer les Ă©tirer. Ils sont bien gonflĂ©s et tout sensibles. Mes aiguilles sont lĂ  sorties de leur enveloppe de papier mais sagement dans leur Ă©tui. Elles font 5cm de long et ce ne sont pas des fines, mais des moyennes. Les fines je ne les sens presque pas tandis que celles-ci c’est autre chose. Au dĂ©but l’utilisais des toutes fines. Mais au bout des quelques mois je ne sentais plus vraiment l’aiguille dans ma chair. J’ai donc changĂ© de taille. Car le plaisir s’amenuisait. Je pense que celles-ci finiront par moins me satisfaire.
L’Ɠil sur l’écran et sur le miroir ou je regarde mes doigts jouer avec mes pointes de seins, mon visage se crispe quand je commence Ă  incruster mes ongles dans la pointe tout en tourant. Suffisamment fort pour que je pousse un petit gĂ©missement involontaire. Mes joues s’empourprent rapidement ainsi que la base de mon cou sur ma peau Blache c’est si visible. J’écarte largement mes cuisses et ouvre mn sexe en grand, je suis dĂ©jĂ  trĂšs mouillĂ©e, plein de fils de mouille barrent l’entrĂ©e de mon sexe je glisse mon doigt dans mon vagin il en ressort luisant et couvert de ma liqueur je lĂšche j’adore ce gout. Quand on pratiquait l'Ă©changisme j’aimais beaucoup manger les minous des femmes, fouiller leur sexe avec ma langue la faire entrer loin. J’aime aussi me faire dĂ©vorer, sentir qu’on me fouille.
Sur l'Ă©cran la blonde prend des coups de canne en bambou, elle hurle, les coups sont vraiment violents. Cette vidĂ©o n’est pas truquĂ©e. Les marques sur les fesses puis les seins de la fille sont de longues balafres boursouflĂ©es et presque Ă  liquide vital. Sur son sein il y a mĂȘme un endroit oĂč il y a une petite blessure. C’est trop excitant, avec le ceinturon je m’applique des coups sur les fesses, puis le dos et je finis par une dizaine de coups sur mes seins avec force. Mes seins rougissent et commencent Ă  me brĂ»ler. Je dois me retenir pour ne pas marquer mes seins. J’ai du mal Ă  me contrĂŽler. Je ne reviendrais pas Ă©crire au fil de l’action Ă  partir de maintenant je raconterai aprĂšs. LĂ  je suis trop excitĂ©e.



Je reprends aprĂšs avoir un peu soufflĂ©. Je me suis donnĂ©e comme une folle Vous y ĂȘtes peut-ĂȘtre un peu pour quelque chose, j’espĂšre que les garçons vont se branler en me lisant, vraiment je vous imagine la queue tendue entre vos doigts, dĂ©calottĂ©s, les couilles qui montent et descendent suivant le rythme. Pour m’asperger de votre semence. Encore une chose que j’adore, le sperme sur ma peau. Mon visage et dans ma bouche.

A genoux devant le miroir, je prends le ceinturon et je mets 5 coups trĂšs violents sur mon sexe. Par 5 fois mon clito prend le coup et je crie Ă  chaque choc. Je mouille de plus belle. Je mets 3doigts loin dans mon vagin quel bruit de clapot. Je suis trempĂ©e. On ne joes plus maintenant. Je prends une aiguille je la sors de son Ă©tui avec mes dents. J’ai le visage rouge, mon souffle est court, je tremble un peu Je griffe lĂ©gĂšrement mon sein gauche avec la pointe de mĂ©tal, puis mon arĂ©ole. Je place la pointe sous mon tĂ©ton. Je pousse, petit pincement puis crissement de l’acier dans la chair tendre de mon bout de sein. La douleur irradie dans toute la pointe. Je pousse lentement, mm par mm elle s’enfonce. Maintenant je vois la pointe de l’aiguille qui tends la peau de mon tĂ©ton. J'ai presque percĂ©, c’est comme un petit bouton qui nait sous mes yeux. Et d’un coup sous la pression la peau cĂšde enfin et l’aguille glisse au travers de mon tĂ©ton. Un rĂąle de plaisir nait dans ma gorge.
Je me regarde dans le miroir, mon regard est un peu fou, trouble. J’aimes çà me sentir aussi perverse, salope. Si seulement on me fouettait sans relĂąche pendant que je me perce ainsi. Le premier barreau de l’échelle de mon plaisir. Je suis comme enivrĂ©e, j’en veux plus. Une seconde aiguille, Ă  l’horizontale sur mon tĂ©ton gauche. Lentement je force, le tĂ©ton cherche Ă  se dĂ©rober, mais la pointe acĂ©rĂ©e crĂšve ma peau, je sens nettement la progression du mĂ©tal dans ma chair, des frissons de plaisir me parcourent naissants dans mon sexe et se diffusant partout sur ma peau. Mon souffle est de plus en plus court, ma peau commence Ă  ĂȘtre moite et brillante. Dans le miroir je me trouve belle, offerte aux sĂ©vices. La seule ombre c’est moi qui dois officier. Que j’aimerais attendre tremblante, que les mains de mon maitre ou maitresse m’inflige toutes les douleurs possibles. Mon vagin trempĂ©, palpite appelant les caresses. Je pousse encore mon aiguille, enfin elle est lĂ  cette pointe sur le cĂŽtĂ© de mon tĂ©ton. On la devine, elle fait une petite bosse, elle va crever la peau dans quelques secondes, j’ai mal mais je pousse lentement. La pointe brille sur le rose de mn tĂ©ton. Elle Ă©merge et lĂ  elle traverse la pointe de mon sein facilement. Mes doigts courent dans ma fente inondĂ©e, chaque frĂŽlement de mon clito me rapproche d’un orgasme que je sens puissant. Sans doute le fait de penser que je vais tout vous raconter augmente mon plaisir. A cet instant, je suis Ă  vous, votre chienne, esclave prĂȘte Ă  tout subir. Je ne suis que votre jouet, on peut me casser me jeter, m’abimer me dĂ©truire avec mon consentement. En rĂ©compense vous cracherez sur ma langue, me giflerez violemment. Je fais subir le mĂȘme traitement Ă  mon tĂ©ton droit. Je suis percĂ©e par des aiguilles en croix. J’évites de trop me caresser au risque de jouir trop vite. J’aimerais m’enfoncer un god, violemment dans la chatte tapant dans le fond de mon sexe, Ă©branlant mon corps. Mais cela doit durer, j’ai besoin de souffrir longtemps. Cette fois je prends deux aiguilles, une chaque main. Je pose les pontes au bout de mon tĂ©ton. Je me regarde dans le miroir, prĂȘte Ă  pousser ces aiguilles doit dans mes seins. Jamais je ne l’ai fait avant de cette façon. Pression la pointe pĂ©nĂštre mais la rĂ©sistance est bien plus forte que prĂ©vue. Mes tĂ©tons semblent reculer pour Ă©viter d’ĂȘtre empalĂ©s. Je pousse plus fort, elles entrent un peu comme par un a coup. Je pousse un cri car la douleur est vraiment plus forte, l’excitation l’emporte, une poussĂ©e encore. Douleur et plaisir irradient dans mon corps. Mon sexe c’est un peu contractĂ© puis un spasme Ă  laisser couler un peu de ma liqueur. Je le vois dans la glace. Ça coule le long de mes cuisses en petite rigoles brillante. Au haut de ma fente mon clitoris est saillant et dressĂ©, d’un rose foncĂ© et luisant. Le liquide vital bat contre mes tempes. Ce soit la vidĂ©o c’est moi. La salope qui souffre c’est moi et j’adore ça. Je m’imagine au milieu d’un cercle d’hommes et de femmes nus, qui me frappent Ă  coup de cravache, de ceinturon. Ils vont sans doute me prendre ensuite, me faire subir des tas de sĂ©vices.


Je pousse plus fort les aiguilles avancent lentement dans ma chair. J’aimerais ĂȘtre vue, ĂȘtre touchĂ©e par vous tous. Je gĂ©mis car la douleur est vraiment forte. Dans un effort ultime je pousse si fort qu’enfin le plastique bleu de l’aiguille touche la pointe de mes seins. Avec un frisson d’extase je me dit que j’ai 5 cm d’acier plongĂ© droit dans les pointes de mes seins. Je me sens au bord de l’orgasme. Souffle court, la peau humide de sueur je tremble comme une feuille, je m’insulte, me gifle. Le ceinturon frappe mes cuisses qui rougissent et se marquent. Je n’ai plus la notion du temps. Je me laisse aller en arriĂšre, cuisses Ă©cartĂ©es dans le miroir je vois mon sexe bĂ©ant qui ruisselle, une liqueur laiteuse plus Ă©paisse est en train de couler lentement en dehors de mon sexe qui palpite. A tĂątons je trouve une aiguille, la sors de son Ă©tui. Respiration saccadĂ©e, ma tĂȘte est embrumĂ©e, je suis dans une demi-conscience presque. Je pose la pointe de l’aiguille sur mon clito et d’un coup je l’enfonce. Je hurle et fĂ©brilement je cherche une autre aiguille, je prends le plastique entre mes dents dĂ©gage le mĂ©tal. Au seuil de l’orgasme je travers a nouveau mon clito dans un cri de douleur. Et Ă©blouissement de l’orgasme. TĂ©tanisĂ©e, renversĂ©e sur le dos, mes jambes repliĂ©es sous moi. J’explose la douleur et mon dĂ©sir se mĂȘlent, mes fantasmes accourent, je ne sais plus si je suis seule si une foule me touche et me martyrise. SubmergĂ©e par le plaisir je me masturbe, enfonce mes doigts dans mon sexe. Les aiguilles me font mal mais je branle quand mĂȘme mon clito. Un autre orgasme approche. Je vois bien que je perd un peu de liquide vital un peu mais j’ai trop envie de jouir Ă  nouveau. Cela ne tarde pas je suis secouĂ©e de spasmes violents qui s’espacent et s'Ă©puisent comme moi. Mon sexe est barbouillĂ© de rose, un peu de liquide vital mĂȘlĂ© Ă  ma mouille laiteuse.
Il me faut facilement 10 ou 15 minutes pour sortir de cet Ă©tat lĂ©thargique d’aprĂšs orgasme.

Mon dieu, quel pied !! C’était gigantesque ce n’est pas si fort Ă  chaque fois. J’ai mis un peu de temps Ă  arrĂȘter l'Ă©coulement de liquide vital de mon clitoris. Ce matin je peux Ă  peine le frĂŽler. J’ai renoncĂ© Ă  la petite culotte car elle frottait trop contre mon gros bouton. Il reste un peu tumĂ©fiĂ©, je pense Ă  cause des coups de ceinturon. Si mon corps, n’est pas tout Ă  fait prĂȘt Ă  recommencer de suite. Mon esprit, ma libido serait partant pour une nouvelle sĂ©ance tout de suite.
Published by Hellene39
3 months ago
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ccandau
ccandau 2 months ago
quel récit un plaisr à lire c'est divinement écrit
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Slavekate 2 months ago
Trés beau texte
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inconnu57 2 months ago
j espÚre qu' un jour votre homme se rendra compte des cicatrices comme ca vous serez obligée de tout lui dire ...il pourra enfin vous attacher comme cette femme et de vous cravacher votre intimité ..
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caso29
caso29 2 months ago
Un souci du détail qui fait qu'on se croirait dans cette chambre pendant votre séance SM. Continuez à écrire vos envie je suis fan :heart:
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micka81 2 months ago
c'est tellement rĂ©aliste cette belle sĂ©ance masochiste que cela semble du vĂ©cu j'aurais adorĂ© faire pĂ©nĂ©trer ces aiguilles dans ta chair et te frapper au ceinturon et plus peut ĂȘtre une autres fois ;....... merci de ce rĂ©cit tres jouissif
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