Le plaisir par la douleur.

Cela doit choquer beaucoup de gens. Comment une aiguille peut-elle donner du plaisir ? Le processus est surement bien plus complexe et je ne suis pas psy et j’aurais du mal Ă  l’expliquer. Il n’en reste pas moins que je me suis laissĂ© attirer par cette pratique. Cette dĂ©couverte est bien sĂ»r venue par le biais de vidĂ©os porno BDSM. C'est une pratique courante mĂȘme. Au dĂ©but j’ai eu la mĂȘme attitude que tout le monde et j’ai rejetĂ© çà. Mais au fil du temps je me suis rendu compte que je suis profondĂ©ment masochiste. Ces sĂ©vices et pratiques extrĂȘmes font rĂ©agir ma libido et mon excitation devant ces choses est intense. Le spectacle d’une femme fouettĂ©e Ă  l’extrĂȘme me donne toujours envie de me mettre Ă  sa place. Au dĂ©but n se dit jamais je ne pourrais supporter. Maintenant aprĂšs m’ĂȘtre infligĂ© diverses choses je sais que je pourrais supporter la douleur. Que cette douleur rĂ©elle, entrainerait une profonde excitation qui me mĂšnera au plaisir. Peut-ĂȘtre pas Ă  coup sĂ»r mais dans la plupart des cas. Par expĂ©rience je peux dire que ne pas arriver Ă  l’orgasme via ces pratiques est une frustration sans nom. Quand cela arrive cela entraine une crise de nerf, crise de larme chez moi. DĂ©vastĂ©e que je suis quand je n’ai pas atteint l’orgasme alors que je me suis meurtrie. C’est hĂ©las ma dure rĂ©alitĂ©. Je suis profondĂ©ment masochiste, je l’ai dĂ©couvert petit Ă  petit. MariĂ©e Ă  un homme exemplaire et aussi amoureux de moi que je le suis de lui. Notre vie est vraiment exceptionnelle. Deux hĂ©ritiers mĂąles de 10 et 6 ans, monsieur est directeur de sa propre entreprise, notre train de vie est supĂ©rieur. Le rĂȘve intĂ©gral. Sur le plan sexuel tout va bien (allait bien ) mais mon mari ne veut absolument pas comprendre et satisfaire mes penchants masochistes. Il se refuse Ă  les assouvir.
Comme j’aime mon mari et ma vie pas question de le tromper et d’aller vivre des aventures ailleurs. Vous comprendrez facilement qu’une femme qui rĂȘve de se faire “dĂ©molir” par ses partenaires prendrait beaucoup de risques Ă  tenter une rencontre scabreuse et peut ĂȘtre dangereuse. Maso je le suis mais je ne suis pas suicidaire. J’ai du me rĂ©soudre Ă  des pratiques solitaires rĂ©guliĂšres qui me font vivre les orgasmes dont je rĂȘve. C’est un pis-aller bien sĂ»r et cela me laisse un goĂ»t de cendres et de non abouti. Sur le moment je prends un plaisir intense, mais je me sens ensuite tellement coupable. Mais je ne peux absolument pas rĂ©frĂ©ner ces instincts.il y a bientĂŽt 1 an et demi que je me suis lancĂ©e dans cette double vie sexuelle. Car avec mon mari cela reste trĂšs satisfaisant. Il n'est pas prude, nous avons mĂȘme un temps pratiquĂ© l'Ă©changisme et nous avons apprĂ©ciĂ© les jeux sexuels, mais les gens sont souvent de nature changeante, les quelques amis que nous avions nous ont tour Ă  tour déçu et nous avons laissĂ© tomber.

J’ai commencĂ© par me caresser rĂ©guliĂšrement devant des vidĂ©os SM. Je connaissais de frĂ©quents et trs forts orgasmes, excitĂ©e par les scĂšnes de plus en plus dures. En effet je suis attirĂ©e par l’extrĂȘme. Mais voir et m’exciter de voir, ne me suffisait pas. Je voulais ressentir dans ma chair les sĂ©vices. Je me pinçais les seins, mes tĂ©tons sont gros et charnus, je les tords jusqu’à en crier, je leur met des pichenettes trĂšs fortes. Une ceinture permet de se fouetter, je le faisais sur mes seins, mon dos, mes fesses. Face Ă  ma glace, sur le bord du lit, cuisses largement Ă©cartĂ©es, je me fouette le sexe, le clitoris, il est Ă©galement fort dĂ©veloppĂ© chez moi. Quand je suis excitĂ©e il sort de son capuchon et il est trĂšs accessible. La premiĂšre fois oĂč je l’ai touchĂ© avec ma ceinture je suis tombĂ©e du lit sous la douleur. J’avais tapĂ© trĂšs fort et le cuir est tombĂ© pile sur mon bouton tout sorti. Quelle cuisante sensation, mais en mĂȘme temps j’ai eu l’impression d’ĂȘtre au bord de la jouissance. Faisant fi des douleurs j’ai continuĂ© Ă  prendre pour cible mon clito. J’ai frappĂ© et frappĂ© moins fort peut ĂȘtre. Mais rĂ©guliĂšrement, chaque coup c’était comme monter a une Ă©chelle. Un peu plus , un peu plus. Mon sexe Ă©tait vraiment grand ouvert et je mouillais comme une folle. Je glissais mes doigts en moi, c’était brĂ»lant. Je pouvais a peine effleurer mes lĂšvres et mon bouton meurtris. Je me regardais dans le miroir et voyait une femme comme celle des vidĂ©os, en proie Ă  un Ă©trange mal cette soif de douleur qui ne se tarit jamais. Dans ma tĂȘte c’est toujours plus. Si je me livrais Ă  un partenaire je crois que je serais capable de tout accepter et je serais une vĂ©ritable proie. Je sens au fond de moi une sorte de dĂ©sir nihiliste, je pourrais tout accepter jusqu’a la derniĂšre extrĂ©mitĂ© et le dĂ©sirer vraiment. Suicidaire ? Surement d’une certaine maniĂšre.

Puis je suis tombée sur une vidéo dans laquelle on utilisait n
Published by Hellene39
3 months ago
Comments
3
Please or to post comments
ccandau
ccandau 2 months ago
c'est une superbe confession avouant sans aucune gĂȘne ce cotĂ© maso bravo
Reply
micka81 2 months ago
ma soumise et compagne actuelle etait comme toi tres jeune déjà
Reply
micka81 2 months ago
ton histoire est tres intéressante et nous livre ton combat de femme soumise et surement maso qui petit a petit assouvit sesenvies et sa libido tres particuliÚre j'en ai connu quelques unes comme toi qui ont vraiment pris leur pied et plus
Reply