La Forêt des grosses bûches
la Forêt des grosses bûches
Pour une fois, malgré cette fin d'automne, je prenais mon courage à deux mains pour
envisager une sortie dans les bois, en m'équipant de bonnes bottes en caoutchouc fourrées.
Le but de la sortie "photo" étant de profiter de la lumière bien particulière de cette saison pour obtenir de belles images avec les coloris des végétaux qui sont si variés.
Chance en ce jour, la météo était humide et froide mais la pluie n'était pas au programme.
Cette forêt, à quelques lieux de chez moi, est particulièrement indiquées pour des sorties dominicales, en ayant pris soins de s'équiper en conséquence.
On peut y croiser des promeneurs les Week end, par contre en semaine l'endroit est fort peu fréquenter donc parfait pour y flâner et pour y travailler.
J'avais déjà eu l'occasion de repérer les lieux quelques années auparavant et j'avais souvenir qu' il existait de nombreux petits parking ombragés d'où partaient des sentiers carrossable à pied voir en vélo. Je choisis un parking reconnu auparavant et comme je m'en doutais en ce milieu de semaine et de matinée, j'étais le seul à m'y garer.
De plus un soleil timide commençait à poindre, ce qui me faisait dire que le moment était propice à mon projet photo.
J'enfilais un blouson et mes bottes fourrées, m'équipant de mon matériel photos et d'un sac avec mes pièces à photographier.
Remontant d'une centaine de mètres sur l'un des sentiers partant du parking, je repérais une petite clairière sans de flaques d'eau et ayant un arbre couché en son travers.
Parfait ! j'installais mon trépied muni d'un appareil photo, je vérifiais le contraste des lumières et je déballais la dizaine de pièces à photographiées en les disposant sur le tronc d'arbre couché. En seulement quelques minutes, après vérification, j'avais merveilleusement obtenu le rendu espéré !
Je commençais à remballer mes pièces dans leurs sacs et je m'apprêtais à faire de même avec mon trépied et son appareil. C'est le moment, sortie d'on ne sait ou, deux hommes en tenue, que je qualifierai, de chasse entraient à l'autre bout de ma clairière.
Etonnement partagé !? Bien qu' en tenue de chasse, les deux sexagénaires ne portaient pas de fusil !? en lieu et place, ils avaient chacun un panier d'osier sous le bras.
La première surprise passée, une discussion s'établie, quant à moi je montrais sur mon appareil le résultat de ma séance et les deux compères me montraient leurs... champignons glanés dans les alentours.
Ces deux amis de 30ans, Roger et Jean-Pierre, anciens collègues de travail, heureux retraités, passaient régulièrement du temps ensemble à balader de ci de là, fuyant ainsi leurs foyers respectifs et leurs obligations maritales.
L'été à la pêche et en bord de mer et l'hiver à visiter les coins à champignons, histoire de fuir leur ordinaire.
Il faut dire que les deux amis n'oubliaient jamais d'emmener des provisions dans leurs paniers et qu' ils vouaient un culte sans faille au pinique et apéros nature !
Bref ! je m'aperçus assez rapidement qu'ils avaient l'air de bien s'aimer et que leur relation était plus qu'amicale ! La discussion, jusqu'alors banale, commençait à prendre une tournure coquine lorsque Roger me dit que le bon air aidait souvent à épanouir leur sensualité !?
"Comment ça ?" dis-je.
Roger "Et bien oui ! le bon air donne des envies !"
Moi "des envies ?" même si j'avais bien compris.
Jean-Pierre "de baise ! cette question !" ricanant.
Roger "tu n'as jamais eu envi de baiser dans la forêt?"
Moi "Si ! bien sur ! j'ai effectivement eu ce plaisir à plusieurs reprises"
Roger "et même tout seul ?"
Moi "oui, enfin ! là je suis venu pour mes photos"
Jean-Pierre "Nous, on adore ça ! une bonne branlette"
Roger "oui et même que c'est mieux à deux voir à plusieurs !"
Bon ! là ! c'était clair !
Roger "tu nous montre ton kiki ? et on te montre les nôtres !"
Jean-Pierre "Oh ! oui ! montre nous !?"
Moi "Euh !?" je m'étonnerai toujours de ma faculté à attirer ce genre de situation !
Avant que je réponde, Roger faisait le premier pas en défouraillant un membre décalotté, violacé , court et épais. De son côté, Jean-Pierre se mit à branler le chibre de son compère.
Surpris par leur envie subite et n'étant pas si farouche, je me sentais émoustiller par l'aspect incongru de la situation.
Roger "tu peux prendre nos bites en photo mais pas nos tronches !"
Je m'exécutais et effectivement cela m'excitait au plus !...
Jean-Pierre "allez viens !"
Ils me baissèrent d'abord la braguette pour fouiller mon entre-jambes !
Très vite, c'est mon jeans qui était baisser jusqu'à mi- mollets !
Mon slip rejoins, lui aussi, mes mollets et mon pantalon retroussé au plus bas ! heureusement que mes bottes faisaient bonne garde sinon ! j'aurais surement fini nu !
Les deux "experts" passèrent rapidement d'une simple branle mutuelle à une mise à feu de mon corps !
caressant à tour de rôle mon corp ! titillant ainsi les tétons, mes bourses, ma queue, malaxant mes fesses...
Sortant de leurs paniers, du lubrifiant et des préservatifs !
Roger se mit à explorer à l'aide du lubrifiant mon anus avec ses gros doigts !
Jean-Pierre se mit à me sucée ! J'étais sans dessus dessous !
Jusqu'à ce que, de concert, ils me poussèrent en travers de l'arbre mort ou j'avais exposé mes pièces quelques temps auparavant.
C'est Roger, qui le premier après avoir reçu mon consentement, vint enfourner son calibre dans mon trou déjà bien graisser ! Je le reçus avec des petits couinements de satisfactions !
Jean-Pierre, de son côté, continuait à me caresser tendrement .
Roger prit tout le temps qu'il lui fallait pour lâcher finalement son foutre dans la bouche de Jean-Pierre .
Je me retournais pour présenter ma queue à J.P qui venait à peine de finir Roger.
Il me suçait goulument presqu'à jus !
"A mon tour" dis-je ! et c'est le J.P que je forçais sur mon arbre !
J'enfilais un préservatif, le graissait de lubrifiant et paf ! A point ! Limant rapidement pour exploser sans retenu dans ma capote ! ...
Le J.P était le dernier à n'avoir pas cracher son venin ! Accompagné de Roger, nous le tétions jusqu'à l'apogée !
Il n'y a pas à dire les plans Nature sont les plus bandants que j'ai conclu !...
Pour une fois, malgré cette fin d'automne, je prenais mon courage à deux mains pour
envisager une sortie dans les bois, en m'équipant de bonnes bottes en caoutchouc fourrées.
Le but de la sortie "photo" étant de profiter de la lumière bien particulière de cette saison pour obtenir de belles images avec les coloris des végétaux qui sont si variés.
Chance en ce jour, la météo était humide et froide mais la pluie n'était pas au programme.
Cette forêt, à quelques lieux de chez moi, est particulièrement indiquées pour des sorties dominicales, en ayant pris soins de s'équiper en conséquence.
On peut y croiser des promeneurs les Week end, par contre en semaine l'endroit est fort peu fréquenter donc parfait pour y flâner et pour y travailler.
J'avais déjà eu l'occasion de repérer les lieux quelques années auparavant et j'avais souvenir qu' il existait de nombreux petits parking ombragés d'où partaient des sentiers carrossable à pied voir en vélo. Je choisis un parking reconnu auparavant et comme je m'en doutais en ce milieu de semaine et de matinée, j'étais le seul à m'y garer.
De plus un soleil timide commençait à poindre, ce qui me faisait dire que le moment était propice à mon projet photo.
J'enfilais un blouson et mes bottes fourrées, m'équipant de mon matériel photos et d'un sac avec mes pièces à photographier.
Remontant d'une centaine de mètres sur l'un des sentiers partant du parking, je repérais une petite clairière sans de flaques d'eau et ayant un arbre couché en son travers.
Parfait ! j'installais mon trépied muni d'un appareil photo, je vérifiais le contraste des lumières et je déballais la dizaine de pièces à photographiées en les disposant sur le tronc d'arbre couché. En seulement quelques minutes, après vérification, j'avais merveilleusement obtenu le rendu espéré !
Je commençais à remballer mes pièces dans leurs sacs et je m'apprêtais à faire de même avec mon trépied et son appareil. C'est le moment, sortie d'on ne sait ou, deux hommes en tenue, que je qualifierai, de chasse entraient à l'autre bout de ma clairière.
Etonnement partagé !? Bien qu' en tenue de chasse, les deux sexagénaires ne portaient pas de fusil !? en lieu et place, ils avaient chacun un panier d'osier sous le bras.
La première surprise passée, une discussion s'établie, quant à moi je montrais sur mon appareil le résultat de ma séance et les deux compères me montraient leurs... champignons glanés dans les alentours.
Ces deux amis de 30ans, Roger et Jean-Pierre, anciens collègues de travail, heureux retraités, passaient régulièrement du temps ensemble à balader de ci de là, fuyant ainsi leurs foyers respectifs et leurs obligations maritales.
L'été à la pêche et en bord de mer et l'hiver à visiter les coins à champignons, histoire de fuir leur ordinaire.
Il faut dire que les deux amis n'oubliaient jamais d'emmener des provisions dans leurs paniers et qu' ils vouaient un culte sans faille au pinique et apéros nature !
Bref ! je m'aperçus assez rapidement qu'ils avaient l'air de bien s'aimer et que leur relation était plus qu'amicale ! La discussion, jusqu'alors banale, commençait à prendre une tournure coquine lorsque Roger me dit que le bon air aidait souvent à épanouir leur sensualité !?
"Comment ça ?" dis-je.
Roger "Et bien oui ! le bon air donne des envies !"
Moi "des envies ?" même si j'avais bien compris.
Jean-Pierre "de baise ! cette question !" ricanant.
Roger "tu n'as jamais eu envi de baiser dans la forêt?"
Moi "Si ! bien sur ! j'ai effectivement eu ce plaisir à plusieurs reprises"
Roger "et même tout seul ?"
Moi "oui, enfin ! là je suis venu pour mes photos"
Jean-Pierre "Nous, on adore ça ! une bonne branlette"
Roger "oui et même que c'est mieux à deux voir à plusieurs !"
Bon ! là ! c'était clair !
Roger "tu nous montre ton kiki ? et on te montre les nôtres !"
Jean-Pierre "Oh ! oui ! montre nous !?"
Moi "Euh !?" je m'étonnerai toujours de ma faculté à attirer ce genre de situation !
Avant que je réponde, Roger faisait le premier pas en défouraillant un membre décalotté, violacé , court et épais. De son côté, Jean-Pierre se mit à branler le chibre de son compère.
Surpris par leur envie subite et n'étant pas si farouche, je me sentais émoustiller par l'aspect incongru de la situation.
Roger "tu peux prendre nos bites en photo mais pas nos tronches !"
Je m'exécutais et effectivement cela m'excitait au plus !...
Jean-Pierre "allez viens !"
Ils me baissèrent d'abord la braguette pour fouiller mon entre-jambes !
Très vite, c'est mon jeans qui était baisser jusqu'à mi- mollets !
Mon slip rejoins, lui aussi, mes mollets et mon pantalon retroussé au plus bas ! heureusement que mes bottes faisaient bonne garde sinon ! j'aurais surement fini nu !
Les deux "experts" passèrent rapidement d'une simple branle mutuelle à une mise à feu de mon corps !
caressant à tour de rôle mon corp ! titillant ainsi les tétons, mes bourses, ma queue, malaxant mes fesses...
Sortant de leurs paniers, du lubrifiant et des préservatifs !
Roger se mit à explorer à l'aide du lubrifiant mon anus avec ses gros doigts !
Jean-Pierre se mit à me sucée ! J'étais sans dessus dessous !
Jusqu'à ce que, de concert, ils me poussèrent en travers de l'arbre mort ou j'avais exposé mes pièces quelques temps auparavant.
C'est Roger, qui le premier après avoir reçu mon consentement, vint enfourner son calibre dans mon trou déjà bien graisser ! Je le reçus avec des petits couinements de satisfactions !
Jean-Pierre, de son côté, continuait à me caresser tendrement .
Roger prit tout le temps qu'il lui fallait pour lâcher finalement son foutre dans la bouche de Jean-Pierre .
Je me retournais pour présenter ma queue à J.P qui venait à peine de finir Roger.
Il me suçait goulument presqu'à jus !
"A mon tour" dis-je ! et c'est le J.P que je forçais sur mon arbre !
J'enfilais un préservatif, le graissait de lubrifiant et paf ! A point ! Limant rapidement pour exploser sans retenu dans ma capote ! ...
Le J.P était le dernier à n'avoir pas cracher son venin ! Accompagné de Roger, nous le tétions jusqu'à l'apogée !
Il n'y a pas à dire les plans Nature sont les plus bandants que j'ai conclu !...
4 months ago