Voyage en Italie 7

Je suis sous son emprise

J’ai vraiment mal partout, mes orifices ne se referment pas, je tente une esquive :
« je pense qu’il se fait tard, on pourrait rentrer »
« non maintenant je vais te faire l’amour chez moi ».
Je suis surprise par son ton doux, sensuel et apaisé,
Nous arrivons devant un petit immeuble, il prend soin de moi pour y entrer et me fait passer la porte d’un appartement coquet.
« viens je te montre la douche » en retirant ma veste.
Je découvre une nouveau Pietro.
Il me rejoint sous la douche, m’embrasse tendrement, me savonne, prend soin de moi.
M’aide à m’essuyer, me guide vers son lit, nous faisons l’amour tantôt amoureusement, tantôt avec fougue.
Je me sens aimée.
Mais le temps presse pour rentrer.
Après une douche il me tend une robe (certainement à une de ses conquêtes) que je passe sur ma peau nue.
« as tu aimé cette escapade » ?
Je suis obligée de lui avouer que j’ai aimé me considérer comme sa salope dans cette citée.
« bien alors quand nous serons seuls comme tout à l’heure je te ferai l’amour mais tu me serviras aussi de catin pour assouvir mes fantasmes. »
Sans hésitation : « oui j’aime tes initiatives pour me surprendre».
Il sait à présent qu’il n’a plus besoin de sa cassette pour assouvir ses envies.
Nous arrivons au domaine, il me dépose au hangar pour me changer puis devant le bâtiment de ma chambre. Une bise sur ma joue en sortant : « fais de beaux rêves, à demain ».
J’accroche la robe et le spencer sur un cintre.
Je me maquille un peu pour aller rapidement au secrétariat afin de confirmer l’acquisition d’une tenue pour la réception.
Je retrouve le groupe en grande discussion à refaire les matchs, des liens d’amitiés se sont créés entre les deux établissements.
La semaine d’échange se terminera bientôt et c’est normal que des amourettes se créent entre eux .
L’ambiance est chaleureuse et comme au premier soir j’ai droit à la bise en les quittant.
Sur mon lit toujours pleine de courbatures je me refais dans ma tête ces moments de déchéance quelque heures auparavant ?
Comme à mon habitude maintenant j’attends que le calme revienne à l’étage pour prendre ma douche et en faisant très attention à ne pas me trouver dans une situation gênante.

Le jour d’après :

Cela va être une journée très chargée pour moi.
Préparation du discours de remerciement du lendemain pour Laurent.
Organiser le déplacement des volontaires pour la soirée de la St Jean dans le village voisin.
Le retour se faisant également demain il y a toute la logistique et l’aspect administratif à régler.
Mais ce n’est ce que vous voulez lire!!!!!!!!!!!!!!!!!!!vous voulez savoir ce qui va m’arriver !

Quelques heures plus tard.
Laurent est parti dans sa chambre pour se préparer.
Une petite dizaine d’élèves dont Paul et Louis montent dans une navette en direction le village pour la fête sachant que le retour se fera à pied.
Maquillée, je revêt cette robe prêtée sur des sous vêtements sexy.
Ainsi habillée je me trouve ravissante avec cette robe noire arrivant juste au dessus de mes genoux et ce spencer gris. Je suis belle avec mes cheveux libres.
A cet instant je décide de retirer ma culotte, certainement encore en proie de mes jouissances de la veille. La robe est assez opaque et je serai seule à le savoir.
En sortant du bâtiment je croise Pietro qui émet un sifflement à ma vue.
« ravissante ».
« merci » tout en sachant j’ai enlevé ma culotte pour m’accepter comme étant une salope.
Son sourire suffit à me rendre satisfaite de mon initiative.Je rejoins le groupe pour me rendre à la réception.
Pietro sera notre chauffeur à Laurent et moi, les autres habitant dans la région ont pris leurs propres voitures. Je prends place à l’arrière de sa voiture perso.Durant le trajet il en profite pour jouer au guide touristique. Instinctivement je me glisse au centre de la banquette arr pour participer à la conversation. Non c’est faux, je mouille, je veux qu’il sache que je n’ai pas mis de culotte. J’écarte légèrement mes genoux, je surveille son regard.
Sous prétexte de m’associer à la discussion il règle le rétroviseur, je ne vois plus son visage, me penchant sur les dossiers des sièges avants afin de donner le change mes cuisses sont à présent bien ouvertes, il ne peut pas ne pas s’en apercevoir mais aucun signe de sa part.
Je suis frustrée !!!!!
En arrivant à la salle des fêtes je constate que j’ai bien fait de ne pas arriver en jeans car les tenues sont chics.
Le directeur du domaine nous présente aux invités.
La soirée se passe remarquablement bien entre petits fours et vin pétillant italien.
Mais Pietro m’ignore totalement.
J’en arrive à être jalouse.
Tard dans la soirée les premiers convives commencent à partir et nous nous préparons à faire de même.
En m’installant dans la voiture il glisse un billet dans ma main : « RV au hangar tout à l’heure ».
Le retour se fait sans un mot et nous remercions notre chauffeur lors de l’arrivée.
Je salue également Laurent en regagnant nos chambres.
J’attends un petit moment, le bâtiment est silencieux, je redescends pour me trouver en pleine nuit à marcher vers ce lieu qui a été à l’origine de mon penchant pour Pietro .
Au loin se dessine l’ombre de la masure, non l’antre dans lequel je vais être l’objet de désir de mon amant.
Une lueur sous le portail confirme une présence.
Il m’attend.
La porte s’ouvre.
Un doigt sur sa bouche m’indique le silence.
Encore sur le pas de la porte, il fait glisser la fermeture de la robe, dégrafe mon soutient gorge.
Nue comme un vers,il me guide vers une table basse pour m’y allonger.
Je ne manifeste aucune résistance.
Il écarte mes cuisses et mes bras pour faire passer mes poignets et mes chevilles dans des nœuds coulants aux pieds de la table.
Me voila le sexe à l’air à ras du bord, les cuisses grandes ouvertes mais je ne lui refuse rien.
Toujours en silence il me passe un genre de masque sur ma tête laissant juste ma bouche et mon nez libres afin de pouvoir respirer.
Il serre la cordelette de fermeture autour de mon cou.
Je ne vois plus rien.
« Qu’a t il en tête ? »