Voyage en Italie 4
Jour 2 suite
Je déchire la feuille en petits morceaux.
Je m’écroule sur le lit
je n’arrive même pas à pleurer
j’ai envie de hurler
Je n’ai plus faim mais je dois me rendre à la salle à manger pour donner le change.
Certains ont presque terminé de manger.
Louis et Paul esquissent un sourire Ă mon passage.
« Ils savent que j’ai vu »
j’avale difficilement quelques morceaux et je sors au moment du départ du groupe pour les vignes avoisinantes. Laurent en bon père de famille (oui il est marié et déjà grand-père) me conseille d’aller me reposer et que cela ira mieux demain.
De retour dans ma chambre j’essaye de trouver un moyen de m’en sortir mais malheureusement je suis prise dans un engrenage.
Je vais en profiter pour vous présenter le domaine.
Comme je l’ai déjà écrit cela ressemble un peu à un monastère avec des bâtiments autour d’une cour centrale, et cette fameuse grange séparée de l’enceinte principale par un champs d’olivier fraîchement planté.
Ce lieu est principalement pédagogique mis à la disposition des écoles pour connaître le travail des de la vigne et des métiers qui en découlent.
Une bonne dizaine de personnes y travaillent dont le livreur Pietro (pour le billet) homme à tout faire, les autres répartis aux cuisines, à l’administration et comme formateurs.
Le temps passe trop vite,
Je suis obligée d’y aller pour essayer de négocier.
Comme demandé j’enlève mon soutien gorge sous mon chemisier.
Je me fais discrète et en approchant je constate la présence de la camionnette devant le portillon ouvert.
J’entre (la suite de la conversation était en italien et mes réponses en italique).
« bonjour »
« j’ai une surprise pour toi »
« oui je crois savoir mais j’aimerai oublier cette erreur ».
« On verra, pour le moment prends place sur cette chaise »
je m’assieds face à un établi encombré d’outils et de pièces mécanique, il passe devant moi avec un ordinateur portable qu’il pose dessus, le met en marche, se retourne vers moi :
« tu vas aimer ».
« Non je ne crois pas » pendant qu’il passe derrière moi et que des premières images sans intérêt défilent sur l’écran.
Les images se stabilisent à présent et se rapprochent du bas de la porte,
mes talons apparaissent sur ma serviette
puis mes cuisses,puis mon cul.
je veux me lever et m’enfuir.
Ses deux mains sur mes épaules m’obligent à rester assise.
« stp on peut arrêter ? »
« ne bouge pas et regarde» .
A présent les images continuent à défiler devant moi pendant qu’il relâche un peu la pression.
Ses mains remontent vers ma nuque pour la masser doucement.
Je ne bouge plus.
À présent elles descendent doucement vers l’avant, effleurent mes seins à travers le tissus.
« c’est bien tu es obĂ©issante sans soutien gorge ».Â
« oui »
ses caresses deviennent de plus en plus agréables alors que je me vois me branler à l’écran.
Les boutons de mon chemiser sautent les uns après les autres sans réaction de ma part.
Je mouille, mes seins durcissent, à présent il sait que je suis à sa merci, ma tête en arrière je lui offre ma poitrine, il pince mes têtons, il guide ma main sous mon jeans.
« branle toi maintenant ».
« regarde comme tu as joui hier »
Je vois mes spasmes sur cet Ă©cran devant moi pendant que je commence Ă me branler.
Il passe à coté de moi, sort une énorme queue qu’il présente devant ma bouche.
« suce salope »
je suis trempée et sans réfléchir j’ouvre ma bouche pour avaler cette belle bite,
le film s’est arrêté mais je continue à sucer, à bouffer ses couilles .
« dis que tu aimes être une salope » en se retirant
« oui j’aime te sucer »
« plus fort »
« je suis une salope qui aime te sucer »
« voila c’est bien et maintenant achève moi que je t’arrose tes seins »
Quelque s instant plus tard de nombreuse giclées finissent sur mes seins.
« Tu as été une bonne pute à aimer me sucer et maintenant tu peux partir »
« on peut effacer ton film maintenant »
« si tu veux »
je suis surprise et heureuse de sa réponse en le voyant retirer une carte mémoire de l’ordinateur.
« tiens cadeau »
« merci »
« j’ai beaucoup mieux maintenant »
« regarde » en se dirigeant vers l’établi
au milieu des pièces et des outils il avait placé une caméra dans un tube.
Il a tout filmé.
je le repousse pour lui arracher mais sans succès.
« demain tu trouveras une excuse pour aller en ville »
« c’est moi que tu auras comme chauffeur »
« file maintenant, à demain après le repas et cette fois sans soutien gorge ni culotte sinon !!!!!!!!!!!!!!! »
Il passe la porte en me faisant un clin d’œil, démarre la camionnette et disparaît par une piste dans le vignoble.
Je suis tétanisée par ce que je viens de vivre, je referme maladroitement mon chemisier sur ma poitrine souillée.
Je retourne rapidement dans ma chambre pour me laver avant le retour des élèves.
Je n’arrive pas à m’en remettre .
Honteuse d’avoir cédée pour finir en jouissant comme une salope en manque.
En colère de ne pas avoir vu venir ce piège.
Comment m’en sortir demain ?
Il est temps de redescendre ; juste à temps pour voir le car passer le portail.
Je fais en sorte de ne jamais me trouver en groupe et de ne pas croiser le regard de Paul ou celui de Louis.
C’est délicat je suis toujours à la recherche d’une excuse pour quitter le groupe demain.
Lors de la réunion pour les activités du lendemain il est à nouveau évoqué la réception de la Saint Jean en fin de semaine.
Une fenêtre s’ouvre pour moi.
Je me risque à demander s’il y avait dans les environs une boutique de location de tenues.
Laurent « prof vieille école » décline l’idée ayant un costume cravate dans ses affaires.
Une secrétaire sera chargée demain matin de trouver ce genre de magasin et que Pietro pourrait m’y conduire. La journée du lendemain étant consacrée à des rencontres sportives avec des jeunes du village voisin ma présence n’est pas indispensable
Ouf je tiens l’excuse. Je me sens mieux.
Le reste de la soirée se passe relativement bien.
Je déchire la feuille en petits morceaux.
Je m’écroule sur le lit
je n’arrive même pas à pleurer
j’ai envie de hurler
Je n’ai plus faim mais je dois me rendre à la salle à manger pour donner le change.
Certains ont presque terminé de manger.
Louis et Paul esquissent un sourire Ă mon passage.
« Ils savent que j’ai vu »
j’avale difficilement quelques morceaux et je sors au moment du départ du groupe pour les vignes avoisinantes. Laurent en bon père de famille (oui il est marié et déjà grand-père) me conseille d’aller me reposer et que cela ira mieux demain.
De retour dans ma chambre j’essaye de trouver un moyen de m’en sortir mais malheureusement je suis prise dans un engrenage.
Je vais en profiter pour vous présenter le domaine.
Comme je l’ai déjà écrit cela ressemble un peu à un monastère avec des bâtiments autour d’une cour centrale, et cette fameuse grange séparée de l’enceinte principale par un champs d’olivier fraîchement planté.
Ce lieu est principalement pédagogique mis à la disposition des écoles pour connaître le travail des de la vigne et des métiers qui en découlent.
Une bonne dizaine de personnes y travaillent dont le livreur Pietro (pour le billet) homme à tout faire, les autres répartis aux cuisines, à l’administration et comme formateurs.
Le temps passe trop vite,
Je suis obligée d’y aller pour essayer de négocier.
Comme demandé j’enlève mon soutien gorge sous mon chemisier.
Je me fais discrète et en approchant je constate la présence de la camionnette devant le portillon ouvert.
J’entre (la suite de la conversation était en italien et mes réponses en italique).
« bonjour »
« j’ai une surprise pour toi »
« oui je crois savoir mais j’aimerai oublier cette erreur ».
« On verra, pour le moment prends place sur cette chaise »
je m’assieds face à un établi encombré d’outils et de pièces mécanique, il passe devant moi avec un ordinateur portable qu’il pose dessus, le met en marche, se retourne vers moi :
« tu vas aimer ».
« Non je ne crois pas » pendant qu’il passe derrière moi et que des premières images sans intérêt défilent sur l’écran.
Les images se stabilisent à présent et se rapprochent du bas de la porte,
mes talons apparaissent sur ma serviette
puis mes cuisses,puis mon cul.
je veux me lever et m’enfuir.
Ses deux mains sur mes épaules m’obligent à rester assise.
« stp on peut arrêter ? »
« ne bouge pas et regarde» .
A présent les images continuent à défiler devant moi pendant qu’il relâche un peu la pression.
Ses mains remontent vers ma nuque pour la masser doucement.
Je ne bouge plus.
À présent elles descendent doucement vers l’avant, effleurent mes seins à travers le tissus.
« c’est bien tu es obĂ©issante sans soutien gorge ».Â
« oui »
ses caresses deviennent de plus en plus agréables alors que je me vois me branler à l’écran.
Les boutons de mon chemiser sautent les uns après les autres sans réaction de ma part.
Je mouille, mes seins durcissent, à présent il sait que je suis à sa merci, ma tête en arrière je lui offre ma poitrine, il pince mes têtons, il guide ma main sous mon jeans.
« branle toi maintenant ».
« regarde comme tu as joui hier »
Je vois mes spasmes sur cet Ă©cran devant moi pendant que je commence Ă me branler.
Il passe à coté de moi, sort une énorme queue qu’il présente devant ma bouche.
« suce salope »
je suis trempée et sans réfléchir j’ouvre ma bouche pour avaler cette belle bite,
le film s’est arrêté mais je continue à sucer, à bouffer ses couilles .
« dis que tu aimes être une salope » en se retirant
« oui j’aime te sucer »
« plus fort »
« je suis une salope qui aime te sucer »
« voila c’est bien et maintenant achève moi que je t’arrose tes seins »
Quelque s instant plus tard de nombreuse giclées finissent sur mes seins.
« Tu as été une bonne pute à aimer me sucer et maintenant tu peux partir »
« on peut effacer ton film maintenant »
« si tu veux »
je suis surprise et heureuse de sa réponse en le voyant retirer une carte mémoire de l’ordinateur.
« tiens cadeau »
« merci »
« j’ai beaucoup mieux maintenant »
« regarde » en se dirigeant vers l’établi
au milieu des pièces et des outils il avait placé une caméra dans un tube.
Il a tout filmé.
je le repousse pour lui arracher mais sans succès.
« demain tu trouveras une excuse pour aller en ville »
« c’est moi que tu auras comme chauffeur »
« file maintenant, à demain après le repas et cette fois sans soutien gorge ni culotte sinon !!!!!!!!!!!!!!! »
Il passe la porte en me faisant un clin d’œil, démarre la camionnette et disparaît par une piste dans le vignoble.
Je suis tétanisée par ce que je viens de vivre, je referme maladroitement mon chemisier sur ma poitrine souillée.
Je retourne rapidement dans ma chambre pour me laver avant le retour des élèves.
Je n’arrive pas à m’en remettre .
Honteuse d’avoir cédée pour finir en jouissant comme une salope en manque.
En colère de ne pas avoir vu venir ce piège.
Comment m’en sortir demain ?
Il est temps de redescendre ; juste à temps pour voir le car passer le portail.
Je fais en sorte de ne jamais me trouver en groupe et de ne pas croiser le regard de Paul ou celui de Louis.
C’est délicat je suis toujours à la recherche d’une excuse pour quitter le groupe demain.
Lors de la réunion pour les activités du lendemain il est à nouveau évoqué la réception de la Saint Jean en fin de semaine.
Une fenêtre s’ouvre pour moi.
Je me risque à demander s’il y avait dans les environs une boutique de location de tenues.
Laurent « prof vieille école » décline l’idée ayant un costume cravate dans ses affaires.
Une secrétaire sera chargée demain matin de trouver ce genre de magasin et que Pietro pourrait m’y conduire. La journée du lendemain étant consacrée à des rencontres sportives avec des jeunes du village voisin ma présence n’est pas indispensable
Ouf je tiens l’excuse. Je me sens mieux.
Le reste de la soirée se passe relativement bien.
6 months ago